De Ahmed Ayed / Collectif Illicium
Création chorégraphique qui joint intime et universel, …And Nobody Else évoque
la recherche d’une identité en constante transformation, une quête d’un « soi »
libre dans une enveloppe étriquée.
Ahmed Ayed, accompagné du chorégraphe et danseur Hamza Damra et du batteur et
chanteur Timothée Philippe, explore ses questionnements identitaires, questionne
la liberté d’être soi au- delà des masques qu’on s’impose.
Est-ce que nous arrivons à atteindre pleinement notre identité profonde ou
vivons-nous d’une série de compromis qui nous façonnent malgré nous ? Comment
être nous-mêmes quand nous ne faisons que jouer des rôles que nous ne
choisissons pas ? A travers le mouvement, la métamorphose constante du corps et
de l’espace et la pulsation brute d’une batterie, …And Nobody Else nous emmène
dans un voyage initiatique à la rencontre de différentes versions de soi-même.
Une performance aux accents rock qui explore la frontière entre nos identités et
la réalité qui nous entoure.
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Conception, mise en scène et chorégraphie : Ahmed Ayed / Chorégraphie et
interpretation : Hamza Damra / Performance musicale et composition : Timothée
Philippe / Assistanat à la mise en scène : Amber Kemp / Dramaturge : Patrick
Michel / Création lumières : Suzanna Bauer / Costumes : Aswad El Masrahi /
Direction technique et régie lumière : Arnaud Lhoute / Régie son : Zoé Verdique
/ Ingénieur son : Arthur Wouters / Making of et Teaser : Alice Khol / Production
déléguée : Théâtre de la Vie (Manon Di Romano).
Une production déléguée du Théâtre de la Vie (Manon Di Romano), en coproduction
avec La Coop asbl et Shelter Prod, Les Halles de Schaerbeek, Les Brigittines et
C’est Central La Louvière, avec le soutien de taxshelter.be, ING et du tax
shelter du gouvernement fédéral belge, de la COCOF, SABAM et SACD. Diffusion :
La Charge du Rhinocéros.
22augustus 2022
-23augustus 2022
Les Brigittines, Korte Brigittinenstraat 1 Petite Rue des Brigittines, Brussels, Brussels-Capital 1000, Belgium
1.25€ - 14€
Description
*** Français ***
Seven pour sept corps comme un chiffre impair affirmant l’asymétrie et donnant à voir l’édification quasi-architecturale des liens. L’ensemble des présences crée un équilibre de correspondances et de mondes en mouvement. Apparition, disparition. Soutien, abandon. Démarrages, immobilisations. Le même, le multiple. Avec une naturelle subtilité, les contrastes opèrent et les apparences troublées emmènent au-delà de la vision.Le Festival poursuit sa présentation du travail de Yasmine Hugonnet, qui trouve ici un aboutissement dans l’amplification des questions sur l’organicité interne du corps et les significations symboliques ou évocatrices des affinités que les danseurs tissent entre eux à travers l’espace.
*** Nederlands ***
Seven want zeven lichamen... een oneven cijfer als om de asymmetrie te benadrukken en de quasi architecturale opbouw van de samenhang te laten zien. Samen brengen ze een evenwicht van verbindingen en bewegende werelden tot stand. Verschijning, verdwijning. Vasthouden, loslaten. Aanzetten, tot stilstand komen. Identiek, veelvoudig. Met een natuurlijke subtiliteit krijgen contrasten vorm terwijl de verwarrende verschijningen boven onze visie uitstijgen.Met Seven Winters brengt het Festival opnieuw werk van Yasmine Hugonnet, die met deze voorstelling een hoogtepunt bereikt in haar onderzoek naar de interne stem van het lichaam en de symbolische of suggestieve betekenissen van de verbondenheid die de dansers onder elkaar smeden doorheen de ruimte.
*** English ***
Seven for seven bodies as an odd number asserting the asymmetry and showing the almost architectural construction of connections. The combination of presences establishes a balance of associations and worlds in motion. Appearance, disappearance. Support, abandonment. Starts, stops. The sameness, the multitude. With great delicacy, the contrasts operate, and the confused appearances lead us beyond our vision.The Festival pursues its focus on the work of Yasmine Hugonnet, which culminates here in the exploration of the internal organicity of the body and the symbolic or evocative meanings of the relationships that the dancers weave between themselves through space
Contemporary
Date info
20:30:00
Tickets
Article 27
1.25€
Enfants
5€
Seniors
10€
Demandeurs d'emploi
10€
Etudiants
10€
Normal
14€
Info & Reservation
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Convertis à l’infinité du possible, les corps s’entrelacent, se multiplient, se
dédoublent. Des personnages surgissent, frappés d’un irrésistible entrain, des
histoires s’entrechoquent, indéfinissables, impossibles à réduire en un tout
intelligible et résolu. La danse, échappée du pli de l'instant est un
déferlement de force, d’exploits en tout genre.
De cette énergie furieuse et exaltée, naissent des instants chorégraphiques
d’une prodigieuse intensité, qui obnubilent et fascinent.
Dans le cadre des Rencontres Danse, Cirque, Théâtre et du Mini D Festival.
********** English **********
With a career spanning forty years, Michèle Noiret returns to the stage with a
new solo and a major challenge: questioning her own style of "dance-cinema",
without cinema! On an empty stage with no screens or projected images, and with
the help of playwright Thierry Thieû Niang, she offers us a change of register
to surprise herself and us. A dance that is part of the evolution of a
choreographic language carried by a body that has been around for an entire
oeuvre. While playing with her own image, the dancer/choreographer summons other
characters who bring a solo to the group. Past and present enter into dialogue,
interact and remind us of the fragility, the beauty, but also the strength of
maturity when it never stops exploring new territories.
At 7 pm, in the Mezzo room, we present Soleil Constant by Louise Baduel.
Combi-ticket available.
********** Français **********
Michèle Noiret, quarante ans de carrière, nous revient sur scène avec un
nouveau solo et un défi de taille : celui d’interroger sa propre écriture de
la “danse-cinéma”, sans cinéma ! Sur un plateau épuré sans écran et sans
images projetées, avec la complicité du dramaturge Thierry Thieû Niang, elle
nous propose un changement de registre pour se surprendre et nous surprendre.
Une danse qui s’inscrit dans l’évolution d’un langage chorégraphique portée
par un corps qui accueille l’œuvre du temps. Tout en jouant avec sa propre
image, la danseuse/chorégraphe convoque d’autres personnages, d’autres
présences qui s’incarnent pour réaliser un solo au singulier pluriel. Mémoire
et actualité se répondent, s’entrechoquent, et nous rappellent la fragilité,
la beauté, mais aussi la force de la maturité quand elle n’a de cesse
d’explorer de nouveaux territoires.
À 19h, en salle Mezzo, sera présenté le spectacle "Soleil Constant" de Louise
Baduel. Combi-ticket disponible.
********** Nederlands **********
Michèle Noiret, die er reeds een loopbaan op heeft zitten van veertig jaar, is
terug met een nieuwe solo en een challenge van formaat: haar eigen stijl van de
“danscinema” in vraag stellen, zonder cinema! Op een lege scène, zonder scherm
en zonder geprojecteerde beelden stelt ze, met de hulp van dramaturg Thierry
Thieû Niang een registerwijziging voor, om zichzelf en om ons te verrassen. Een
dans die kadert in de evolutie van een choreografische taal gedragen door een
lichaam dat al een oeuvre lang meegaat. Spelend met haar eigen beeld voert de
danseres/choreografe andere personages op die een solo brengen in groep. Vroeger
en nu gaan in dialoog, komen met elkaar in aanraking en herinneren ons aan de
kwetsbaarheid, de schoonheid maar ook de kracht van maturiteit wanneer
onophoudelijk nieuwe territoria werden verkend.
Om 19 uur wordt in de Mezzo zaal de voorstelling Soleil Constant van Louise
Baduel gepresenteerd. Combi-ticket beschikbaar.
********** English **********
Together with her fellow performers, Louise Baduel manages to orchestrate
performances full of poetry and humour, in a mixture of dance, music, theatre,
performance and visual arts. After Loop Affect, she is back with Soleil
Constant, with the same performers and the same mixed genres, that shines the
spotlight on our inconsistencies and our contradictions when it comes to
ecology. Using movement, text and textiles, she creates a colourful, visual
world that simultaneously evokes the power of nature and the artificiality of
our lifestyles.
Can we transcend fatalism and its logical consequence in the form of ecological
laxity and replace it with optimism and collective initiative? Straddling
fiction and reality, Louise Baduel and Pascale Gigon mockingly turn our habits
upside, rightly so.
At 20.45, in the Chapelle, the show Up Close! by the Cie Michèle Noiret will be
presented. Combined ticket available.
********** Français **********
Louise Baduel entourée de ses collaborateurs orchestre ses spectacles avec
poésie et humour en réunissant la danse, la musique, le théâtre, la
performance et les arts visuels. Après Loop Affect, on la retrouve dans Soleil
Constant avec la même équipe et le même mélange des genres, jouant de nos
incohérences et de nos paradoxes en matière d’écologie. Par le mouvement et
les matières textiles, elle crée un univers visuel coloré qui évoque à la
fois la force de la nature et l’artificialité de nos modes de vie. Peut-on
surpasser le fatalisme et son corollaire d’inaction climatique pour le remplacer
par un optimisme et une mise en mouvement collective ? Entre fiction et
réalité, Louise Baduel et Pascale Gigon bousculent nos habitudes avec
dérision et raison.
À 20h45, en Chapelle, sera présenté le spectacle "Up Close !" de la Cie Michèle
Noiret.
Combi-ticket disponible.
********** Nederlands **********
Samen met haar medespelers slaagt Louise Baduel erin voorstellingen te
orkestreren vol poëzie en humor, in een mengeling van dans, muziek, theater,
performance en beeldende kunsten. Na Loop Affect is ze terug met Soleil
Constant, met dezelfde vertolkers en dezelfde vermenging van genres, over onze
inconsistenties en onze tegenstrijdigheden op vlak van ecologie. Met beweging,
tekst en textiel creëert zij een kleurrijke, visuele wereld die tegelijkertijd
de kracht van de natuur en de kunstmatigheid van onze levenswijzen oproept.
Kunnen we het fatalisme en het logische gevolg ervan in de vorm van ecologische
laksheid overstijgen en vervangen door optimisme en een collectieve
initiatiefneming? Balancerend tussen fictie en realiteit, halen Louise Baduel en
Pascale Gigon onze gewoonten met recht en reden én een vleugje spot overhoop.
Om 20.45 uur wordt in de Kapel de voorstelling Up Close! van Cie Michèle Noiret
gepresenteerd. Combi-ticket beschikbaar.
********** English **********
Jeanne Colin began in 2017 as a dancer and performer with Ayelen Parolin, Éric
Minh Cuong Castaing, Tumbleweed, Louise Vanneste... exploring the relationship
between movement and the unconscious, blending disciplines and practices such as
dance, hypnosis and drawing. With Abysses, the young choreographer continues
this exploration by focusing on dreams and REM sleep, a state of rest in which
nightmares and fear prevail. Starting from this dichotomy between reality and
fiction, feeling and imagination, her piece begins in the form of a reading
after which she allows the body and senses to drift towards a free, liberated
dance. Playing physically and metaphorically with ropes, knots and lianas,
Abysses connects what is hidden and divided.
********** Français **********
Jeanne Colin a débuté en 2017 comme danseuse et interprète avec Ayelen Parolin,
Éric Minh Cuong Castaing, Tumbleweed, Louise Vanneste... en explorant la
relation entre le mouvement et l'inconscient, mêlant des disciplines et des
pratiques telles que la danse, l'hypnose et le dessin. Avec Abysses, la jeune
chorégraphe poursuit cette exploration en s'intéressant aux rêves et au sommeil
paradoxal, un état de repos dans lequel les cauchemars et la peur prédominent.
Partant de cette dichotomie entre réalité et fiction, sentiment et imagination,
sa pièce débute sous la forme d'une lecture après laquelle elle laisse le corps
et les sens dériver vers une danse libre et libérée. Jouant physiquement et
métaphoriquement avec les cordes, les nœuds et les lianes, Abysses relie ce qui
est caché et divisé.
********** Nederlands **********
Jeanne Colin begon in 2017 als danseres en performer bij Ayelen Parolin, Éric
Minh Cuong Castaing, Tumbleweed, Louise Vanneste… met een onderzoek naar de
relatie tussen beweging en het onbewuste, waarbij ze disciplines en werkwijzen
zoals dans, hypnose en tekenen met elkaar vermengde. Met Abysses zet de jonge
choreografe deze verkenning verder door zich te richten op dromen en de
REMslaap, een staat van rust waarin nachtmerries en angst zegevieren. Met als
uitgangspunt deze tweespalt tussen realiteit en fictie, gevoel en verbeelding
vangt haar stuk aan in de vorm van een lezing waarna ze het lichaam en de
zintuigen laat drijven in de richting van een vrije, bevrijde dans. Abysses
speelt fysiek en metaforisch met touwen, knopen en lianen en verbindt wat
verborgen en verdeeld is.
It’s just a phase
Performed by Jacob Bousset, Samuele Baschieri and Rünno Tammela
Choreographed by Nicolas Dang with the collaboration of the performers
There are, as appears, three white cis men sitting, staring at the audience.
Their behavior towards us and each other is concealed by the repetitive Piano
Phase of Steve Reich. With the music reflecting the repetition and
performativity of societal norms, this vicious circle both in soundscape and in
social settings sees three individuals' passage through moments of violence and
vulnerability. This work draws to question the notion of masculinity perpetuated
through the presence of gender norms and, consequently, the state of
internalised homophobia. Using a play of contradictions and observing moments of
sensuality and susceptibility, as the music of Reich begins to shift in
conjunction with shifting power dynamics, we begin to see an abstraction of
experiences and a transformation of these norms.
In Piano Phase, Steve Reich employs the compositional process of phasing or
phase shifting. In unison two pianos play a loop, as one slightly accelerates,
they progressively fall out of phase, creating an echo. It then becomes a new
melody when the superposed loops are back in phase with a delay. It’s just a
phase is a play between the 'phases’ in the musical score and the misconception
of queerness as 'a phase’.
>
TW : sensual content, homophobia, mention of m@sturbation.
Nicolas Dang
A French performing arts creator based in Brussels who focuses on creating new
representations and challenging norms. They use diverse artistic expressions to
embody intimate and political subjects. Currently studying in P.A.R.T.S. they
present their work within and outside the community.
Un sincère partage de l'intime, inspiré de la vie d'artiste, de ses rêves et de
ses cauchemars. Un point de vue particulier d'une vie, qui a changé de 99 cm
entre le premier contact avec le monde extérieur et aujourd'hui. Ici,
maintenant, elle est là, prête, ou presque prête à partager ses délires, envies
et fantaisies. Mais entre les attentes et la réalité, il y a parfois des
décalages et des surprises. Les choses ne se passent pas vraiment comme on les
avait imaginées...
Entourée d'objets et d'éléments du quotidien détournés de leur fonction, ce
spectacle invite le public à découvrir les coulisses de la vie d'une artiste à
travers l'univers circassien. Iara Gueller est brésilienne, de la grande ville
de São Paulo. Elle passe toute son enfance dans le milieu artistique. Après une
longue formation en danse classique, elle obtient son diplôme en danse
contemporaine à l'UNICAMP (Brésil-2014) ; et développe en parallèle sa formation
en cirque. En 2014 elle traverse l'océan pour tenter les écoles de cirque en
Europe. Elle rentre à l'ESAC où elle se spécialise en Cerceau aérien.
Une artiste touchée par l'absurde, l'univers qui accueille ses créations. En
utilisant le cirque - qui permet d'amener le corps humain dans l'absurdité -
mélangé à la danse, elle crée son propre monde qui, en fin de compte, n'est pas
si loin de la réalité. Avec Création et interprétation Iara Gueller
Technicien.ne Suzon Gheur
Lumneiro Salva Salve / Xian Vancanneyt
Regard dramaturgique Aurelia Brailowsky, Alejo Gamboa
Regard extérieur Sander de Cuyper, Luciana Viacava
Création structure Ulrich Weigel Accompagnement à la diffusion Louison Chartrain
Co-production UP- Circus & Performing Arts (BE)
Accueil en résidence Centre Culturel Wolubilis (BE) / Circo Zanni (BR) /
Cirqu'conflex (BE) / La Bau (ES) / La Roseraie (BE) / Les Baladins du miroir
(BE) / Maison Culturelle d'Ath (BE) / Maison de la Création (BE) /
iaragueller.com
********** English **********
Guided by Bruce Lee’s allusion to an old Zen Buddhist wisdom in his seminal film
Enter the Dragon, “Don’t concentrate on the finger or you will miss all that
heavenly glory!”, she proposes to move with what we cannot fathom. To disappear
in order to preserve the words that precede us, that never left us. To transform
in order to keep what came before us.
In close collaboration with an invited group af artists, they dance nearby the
guardians of words and rhythms of persisting, still vibrant but disregarded
worlds and invites us to listen to images of encounters in the moment of their
sounding. In close relation with the elliptical drive of the moon, they
challenge the possibility to sense the remnants of a language inwardly, so that
the deeper they go into their bodies, the wider they go into its dismembered but
enduring vocabularies and grammars, without ever seizing or claiming them.
********** Français **********
Dans le sillage d’une ancienne sagesse du bouddhisme zen à laquelle Bruce Lee
fait allusion dans son film innovateur Enter the Dragon, « Quand le sage désigne
la lune, l’idiot regarde le doigt », Moya Michael propose de suivre le mouvement
de ce qu’on ne peut pas concevoir, de disparaître pour conserver les mots qui
nous précèdent et ne nous ont jamais quittés, de transformer pour sauvegarder ce
qui nous a précédés.
En étroite collaboration avec un groupe d’artistes invités, elle danse au plus
près des gardiens des mots et des rythmes de mondes inflexibles, toujours
vivants mais oubliés ou négligés, et nous invite à écouter les images de
rencontres au moment où elles résonnent. En relation intime avec l’élan orbital
de la lune, iels remettent en question la possibilité de ressentir
intérieurement les vestiges d’une langue, de sorte que plus on se meut en
profondeur dans notre corps, plus on s’immerge dans ses vocabulaires et sa
grammaire, fragmentés mais durables, sans jamais les saisir ou les revendiquer.
********** Nederlands **********
Geleid door Bruce Lee’s toespeling op een oude Zen Boeddhistische wijsheid in
zijn baanbrekende film Enter the Dragon, “Focus niet op de vinger of je mist al
die hemelse glorie!”, stelt ze voor om mee te bewegen met wat we niet kunnen
bevatten. Te verdwijnen om de woorden te behouden die ons voorafgaan, die ons
nooit hebben verlaten. Te transformeren om wat ons voorafging te bewaren.
In hechte samenwerking met een groep genodigde artiesten, danst ze dichtbij de
bewakers van woorden en ritmes van onbuigzame, nog levendige maar in de wind
geslagen werelden en nodigt ze ons uit om te luisteren naar beelden van
ontmoetingen op het moment dat ze weerklinken. In nauwe relatie met de
elliptische impuls van de maan dagen zij de mogelijkheid uit om de
overblijfselen van een taal innerlijk aan te voelen, zodat hoe dieper ze zich in
hun lichaam bewegen, hoe breder ze zich begeven in haar versnipperde maar
duurzame woordenschatten en grammatica, zonder ze ooit vast te grijpen of op te
eisen.
Le Breakomaton est une installation numérique interactive de rue, qui se
présente sous la forme d'une grande cabine de danse logée sur une remorque (ou
installée sous une tente). Les participant.e.s qui s'introduisent dans
l'installation font la rencontre d'un professeur numérique présenté sous la
forme d'un avatar vidéo qui va les guider dans la réalisation d'une courte
phrase chorégraphique. Accessible à tout un chacun, les participants découvrent
ainsi les différentes techniques de breakdance en vue de créer un clip vidéo.
Les chorégraphies produites sont ensuite mises bout à bout pour former un clip
vidéo mélangé et monté à partir de boucles pour créer une véritable
chorégraphie, basée sur une musique commune, sous la forme d'une mosaïque
collective.
Depuis un écran placé en dehors de la cabine, le public peut suivre la
construction de l'oeuvre et encourager les audacieux candidats, tout comme
l'interaction peut se faire da cabine vers l'extérieur.
Curator Rosslyn Wythes, zelf actief als hedendaags danseres, stelde een
programma vol hedendaagse dans samen. Kom het ontdekken tijdens Dag Van De Dans!
FR - La conservatrice Rosslyn Wythes, elle-même danseuse contemporaine, a
élaboré un programme riche en danse contemporaine. Venez le découvrir à
l'occasion de la Journée de la danse !
EN - Curator Rosslyn Wythes, who's a contemporary dancer herself, put together a
programme full of contemporary dance. Come and discover it during Day Of Dance!
PROGRAMMA:
15:00 - 15:25 | MaRoNes
15:25 - 15:45 | Briana Ashley Stuart
15:45 - 16:15 |Sara Tan
16:30 - 16:50 | ROSAS Dancing kids
Dag van de Dans is een dag om dans te vieren en de manier waarop beweging ons
als gemeenschap verbindt. Jong, oud en iedereen met twee linkervoeten is
uitgenodigd om dit jaar mee te doen
Je kan bijvoorbeeld meedoen met 'sylvan' van Sara Tan & Eric Bribosia. Als je
kleinere kinderen hebt of de kriebels voelt om je stoffige dansschoenen uit de
kast te trekken, kom dan naar Sara's workshops en je krijgt de kans om samen met
ons op te treden.
De tieners van het Dancing Kids Dans en Performance programma van Rosas brengen
'Mini Wave', een danswerk waarin ze moeten onderhandelen, compromissen sluiten
en samenwerken terwijl ze improviseren en door rigide structuren navigeren.
Briana Ashley Stuart creëert muziek met haar lichaam door middel van
traditionele afro-amerikaanse stepping in 'Becoming Together'. Haar energie is
aanstekelijk, je kan je niet inhouden om met je voeten te tikken of mee te
klappen.
Een triowerk van MaRoNes leidt je door een mediatieve reis. Met 'Listening the
Trees with you Eyes wide Open' ontdekken we hoe aanraking je zorg kan bieden.