Stimulez la curiosité au salon Science is Wonderful

Description

Accueilli à « The Egg » à Bruxelles les 25 et 26 avril 2024 et organisé par la Commission européenne, Science is Wonderful ! se tient prêt à offrir aux élèves du primaire et du secondaire un aperçu unique des coulisses du monde étonnant de la science et de la recherche.Chaque année, Science is Wonderful ! propose à plus de 4 000 élèves du primaire et du secondaire de se lancer dans un voyage où la science prend vie grâce à des expériences pratiques époustouflantes, des jeux captivants, des spectacles scientifiques et une gamme d'activités conçues pour éveiller leur curiosité. Cette année, nous sommes ravis d'annoncer la participation de plus de 100 scientifiques de premier plan originaires des quatre coins de l'Europe. Ils sont désireux d'interagir avec vos élèves, de répondre à leurs questions et de partager les merveilles de la science.L'inscription pour cette opportunité unique est désormais ouverte ! Bien que obligatoire pour les classes scolaires, les familles et les individus sont encouragés à nous rejoindre spontanément - tout le monde est le bienvenu ! Dépêchez-vous, les places seront attribuées selon le principe du premier arrivé, premier servi. Ne manquez pas cette extraordinaire célébration de la science !Et ce n'est pas tout ! La participation est entièrement Gratuite et, pour plus de confort, nous vous offrons la possibilité d'organiser un déjeuner gratuit et/ou une navette de bus (disponibilité limitée).Rejoignez-nous à « The Egg » pour un voyage spectaculaire dans les merveilles de la science !

Date info

Jeudi: de 9:00 à 17:30. Vendredi: de 9:00 à 16:00. Du 25 au 26 avril

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Suggested events

Découvrez en famille le travail des paléontologues lors de notre animation Giants ! Déterrez des fossiles avant de les étudier sous toutes les coutures. De quels ossements s’agit-il ? À quelle partie du squelette correspondent-ils ? À quel animal appartiennent-ils ? À quoi ressemblait celui-ci ? Vous pensez avoir trouvé un tigre à dents de sabre ? Ou plutôt un rhinocéros aussi grand qu'une girafe ? Comparez vos résultats avec les spécimens présents dans l’exposition Giants et apprenez-en plus sur leur mode de vie !
Dans Europe connexion, Alexandra Badea dépeint le trajet d’un lobbyiste qui met tout en œuvre pour modifier les textes de lois votés au Parlement Européen afin de servir les intérêts de l’agro- business. Le lobbyiste parle, il s’empare des mots avec élégance les lisse au besoin sous d’autres plus fréquentables. Qui pourrait douter de lui ? Pourtant derrière chacun de ses succès, réside un désastre pour l’humanité… Le G.I.E.C. crie. Le monde est sourd. Notre système économique engloutit le vivant dans une boulimie démesurée. Nous sommes devenus nos propres prédateurs. Les monstres mythologiques étaient censés inspirer au public « terreur et pitié », les nôtres, devenus prescripteurs des normes et règles de nos vies, y substituent « fiabilité et admiration », aidés du pouvoir de la rhétorique qui transfigure le réel, et dont Alexandra Badea nous invite à disséquer les mécanismes impitoyables, dans une écriture au scalpel aussi politique que poétique qui glace par le réalisme de ses propos, ne nous laissant à son issue qu’une rage salvatrice. La reprise d’un succès en phase avec l’actualité qui, sans didactisme, nous nous encourage à combattre l’inertie du temps.
Je kan bijdragen aan het Volk der Introverten van Sint-Gillis door mee te kleien tijdens een boetseersessie. Jouw hoofdje wordt onderdeel van het kunstwerk, dat zo groeit en groeit. Dat kan tijdens gezamenlijke sessies, maar je kan doorlopend ook zelf komen kleien in de exporuimte, te midden van alle gezichtjes. De hoofdjes worden niet afgebakken, maar zullen uiteindelijk buiten geplaatst worden waar ze weer zullen verdwijnen. Terug naar waar de klei vandaan komt, opnieuw onzichtbaar. Een gedeelte van de hoofdjes die worden gemaakt zal worden aangeboden aan Le Collectif les Morts de la Rue, als nagedachtenis aan de personen die in 2024 stierven op straat. Wil je komen boetseren? Kom naar de expositie van 1 t/m 21 mei en/of neem deel aan een boetseersessie op zaterdag 4 mei of woensdag 15 mei om 15 uur.
********** English ********** 800+ objects, documents and creations around the fries! A micro cinema that only shows clips and short films immersed in the fragrant vapors of the fry stalls. Your joyful program, free and with free admission, this first weekend of May 2024! Belgian Fries are a party! And this Belgian specialty is above all about conviviality and the pleasure of tasting at an affordable price. Where do you eat the best fries? In the fry stalls, of course! Where you will find the authentic fries artists. It is in their wake that the so-called Fritkotcultuur has crystallized since the end of the 19th century. This includes the customs and habits of frituristes («fryers») and fries lovers, and the way they express themselves in our daily lives, but also in popular music, literature, comics, art, etc. At the end of July 2017, the Fritkotcultuur saved the reputation of the fries stands in the streets! It was recognized by all language communities in Belgium as intangible, cultural and oral heritage. The tradition of fries stalls in Belgium is a living heritage! The Micro Museum of the Fry in Brussels invites you to immerse yourself in this world of the Fritkotcultuur. History, recipes, gadgets, painting, photography, literature, music... Fries are everywhere at Home Frit' Home, and double fried please! The doors are open to you on Saturday May 4th (1:30 pm - 6:30 pm) and Sunday May 5th (1:30 pm - 6:00 pm). More than 800 objects, documents and creations await you at the Micro Museum of the Fry in Brussels! The passionate fryologist on duty, Hugues Henry (author of "Carrément frites"), will take you on a journey through the euphoric twists and turns of the Fritkotcultuur. Do not hesitate to bring your souvenirs, photos or objects related to fries: they will find an ideal cornet for posterity at Home Frit' Home. Free admission. Frituurtuin open. Belgo Micro Shop. Rue des Alliés 242, 1190 Brussels. Trams: 82, 97. Buses: 52, 50, 49. ********** Français ********** 800+ objets, documents et créations autour de la frite! Un micro cinéma ne diffusant que des clips et court-métrages plongés dans les vapeurs odorantes des baraques à frites. Votre joyeux programme, gratuit et en entrée libre, de ce 1er week-end du mois de mai 2024! La frite, c'est la fête! Et cette spécialité belge, c'est avant tout beaucoup de convivialité et de plaisir de dégustation à prix abordable. Où manger les meilleures frites? Dans les baraques à frites, pardi! Là où vous trouverez les authentiques artisans de la frite. C'est dans leur sillage que s'est cristallisée depuis la fin du XIXe siècle celle qu'on appelle la Culture Fritkot. Celle-ci englobe les us et coutumes des frituristes et des mangeurs de frites, et la façon dont ils s'expriment dans notre quotidien bien sûr, mais aussi à travers la chanson populaire, la littérature, la bande dessinée, l'art, etc. Fin juillet 2017, la Culture Fritkot a redoré le blason des baraques à frites! Elle a été reconnue, par toutes les composantes linguistiques de la Belgique, comme patrimoine immatériel, culturel et oral. La tradition des baraques à frites en Belgique est bien un patrimoine vivant! Le Micro Musée de la Frite de Bruxelles vous invite à plonger dans cet univers de la Culture Fritkot. Histoire, recettes, gadgets, peinture, photographie, littérature, musique... La Frite est partout chez Home Frit' Home, et en double cuisson s'il vous plaît! Les portes vous sont ouvertes gratuitement ces samedi 4 mai (13h30-18h30) et dimanche 5 mai (13h30-18h00). Plus de 800 objets, documents et créations vous attendent au Micro Musée de la Frite à Bruxelles! Passionné, le fritologue de service, Hugues Henry (auteur de «Carrément frites»), vous emmènera dans les méandres euphorisants de la Culture Fritkot. N'hésitez pas à emporter avec vous vos souvenirs, photos ou objets en lien avec la frite: ils trouveront chez Home Frit' Home un cornet idéal pour la postérité. Entrée libre et gratuite. Jardin frituresque ouvert. Belgo Micro Shop. Rue des Alliés 242, 1190 Bruxelles. Trams: 82, 97. Bus: 52, 50, 49. ********** Nederlands ********** 800+ objecten, documenten en creaties rond de friet! Een microcinema die enkel clips en kortfilms vertoont die baden in de geurige dampen van de fritkoten. Uw vrolijke programma, gratis en met vrije toegang, dit eerste weekend van mei 2024! Friet, dat is feest! En deze Belgische specialiteit staat vooral voor gezelligheid en plezier in proeven aan een betaalbare prijs. Waar eet je de beste friet? In de fritkoten, natuurlijk! Daar waar je de authentieke frietartiesten vindt. Het is in hun kielzog dat zich sinds het einde van de 19e eeuw de zogenaamde Frietkotcultuur heeft gekristalliseerd. Deze omvat de gebruiken en gewoonten van frituristen en frietliefhebbers, en de manier waarop ze zich uiten in ons dagelijks leven, maar ook in populaire muziek, literatuur, strips, kunst, enz. Eind juli 2017 heeft de Frietkotcultuur de reputatie van de fritkoten gered! Ze werd door alle taalgemeenschappen in België erkend als immaterieel, cultureel en oraal erfgoed. De traditie van de frietkoten in België is een levend erfgoed! Het Micro Frietmuseum in Brussel nodigt je uit om je onder te dompelen in deze wereld van de Frietkotcultuur. Geschiedenis, recepten, gadgets, schilderkunst, fotografie, literatuur, muziek... Friet is overal bij Home Frit' Home, en dubbel gebakken alstublieft! De deuren staan voor je open op zaterdag 4 mei (13.30-18.30 uur) en zondag 5 mei (13.30-18.00 uur). Meer dan 800 objecten, documenten en creaties wachten op je in het Micro Frietmuseum in Brussel! De gepassioneerde fritoloog van dienst, Hugues Henry (auteur van "Carrément frites"), neemt je mee op sleeptouw door de euforische kronkels van de Fritekotcultuur. Aarzel niet om je souvenirs, foto's of objecten met betrekking tot friet mee te nemen: ze vinden bij Home Frit' Home een ideale cornet voor het nageslacht. Gratis toegang. Frituurtuin open. Belgo Micro Shop. Bondgenotenstraat 242, 1190 Brussel. Trams: 82, 97. Bussen: 52, 50, 49.
********** English ********** In her second solo exhibition at the Michèle Schoonjans Gallery, Amélie Scotta presents a series of works exploring the notions of habitat and landscape through colour and organic materials, brought to life through both drawing (wood, bark, rock, etc.) and paper (mineral, vegetable, etc.). In the Withdraw series, the artist works in two stages, superimposing two layers of drawing and two types of perspective. The first layer, applied quickly and randomly across the entire surface of the paper in coloured ink, can evoke the atmospheric dimension of a landscape. The bright, unnatural colours and the invisibility of the gesture give the impression of a luminous, radiant surface. Here and there, accidents of material accentuate the effect of a printed image that has been doctored, washed out and deteriorated. The second layer, drawn in graphite, somehow constrains, obstructs or limits these infinite expanses. Created slowly and meticulously in pencil, the motifs of trellis, wire netting and other barriers reflect the artist's preoccupation with the question of confinement. The idea of withdrawal, whether voluntary or not, has already been evoked in earlier works, notably the Reclusoirs, sculptures inspired by the small enclosed buildings in which penitents lived in the Middle Ages. But the contrast between the immateriality of the coloured surface and the repetitive pattern of the drawing also speaks to us of what is said beyond the edge of the paper. ABOUT THE ARTIST Born in Nantes in 1983, Amélie Scotta is a visual artist and teacher based in Brussels. She holds degrees in Design (HEAR Strasbourg, 2008) and Visual Arts (ENSAV La Cambre, Brussels, 2016). Since 2013, her work has been shown in numerous exhibitions in Belgium (Le Botanique, La Médiatine, Vanderborght Building, Musées Royaux des Beaux-Arts, European Parliament, etc.) and abroad (Villa Méditerranée in Marseille, Arabic Culture House in Berlin, Matadero in Madrid, as well as Magasins Généraux, Palais de Tokyo and Carreau du Temple in Paris). She has also held residencies at the Casa de Velázquez in Madrid, the Cité Internationale des Arts in Paris, the Moonens Foundation and the Boghossian Foundation in Brussels. She is the winner of the Prix international de la Ville de Tournai in 2021, the Prix Cocof and the Prix Carré sur Seine in 2020. From the Jeddah Tower to the disused factories of Roubaix, from the Rio stadium to the Versailles of the people, from medieval recluses to the scaffolding of Brussels, it is in an intuitive way that the artist questions architecture in all its forms. Approached primarily through drawing, but also through sculpture and photography, construction allows her to speak of the human being, the one who both inhabits and builds. In more recent works, Amélie Scotta takes a more sensorial approach to landscape and habitat, working with colour and materials. She addresses the issue of withdrawal, a position in relation to the world that can provide protection, confinement or liberation. Her relationship with urban planning is also leading her increasingly towards projects in the public space. ********** Français ********** Dans sa deuxième exposition personnelle à la Michèle Schoonjans Gallery, Amélie Scotta présente une série d’œuvres explorant les notions d’habitat et de paysage au travers de la couleur ou de matières organiques, amenées aussi bien par le dessin (bois, écorce, roche…) que par le support du papier (minéral, végétal…). Dans la série Withdraw, la dessinatrice travaille en deux temps, superposant deux couches de dessin et deux types de perspectives. La première strate, appliquée à l’encre colorée, de manière rapide et aléatoire sur toute la surface du papier, peut évoquer un paysage dans sa dimension atmosphérique. Les couleurs vives, non naturelles et l’invisibilité du geste donnent l’impression d’une surface lumineuse et irradiante. Çà et là, des accidents de matière accentuent l’effet d’image imprimée qui aurait été trafiquée, délavée, détériorée. La seconde strate, dessinée au graphite, vient en quelque sorte contraindre, obstruer ou limiter ces étendues infinies. Réalisés au crayon, de manière lente et minutieuse, les motifs de treillis, de grillages et autres barrières nous renvoient à la préoccupation de l’artiste pour la question de l’enfermement. Le repli, volontaire ou non, est déjà évoqué dans des travaux antérieurs, notamment les Reclusoirs, des sculptures inspirées des petits édifices clos dans lequel vivaient des pénitentes du Moyen-âge. Mais ce contraste entre l’immatérialité de la surface colorée et le motif répétitif du dessin, nous parle aussi de ce qui se raconte au-delà du bord du papier. A PROPOS DE L’ARTISTE Née à Nantes en 1983, Amélie Scotta est une artiste plasticienne et enseignante basée à Bruxelles. Elle est diplômée en Design (HEAR Strasbourg, 2008) et en arts visuels (ENSAV La Cambre, Bruxelles, 2016). Depuis 2013, son travail a été présenté dans de nombreuses expositions en Belgique (Le Botanique, La Médiatine, Vanderborght Building, Musées Royaux des Beaux-Arts, Parlement européen…) et à l'étranger (Villa Méditerranée à Marseille, Arabic Culture House à Berlin, Matadero à Madrid, mais aussi Magasins Généraux, Palais de Tokyo et Carreau du Temple à Paris). Elle a notamment été résidente à la Casa de Velázquez à Madrid, à la Cité Internationale des Arts à Paris, à la Fondation Moonens et à la Fondation Boghossian à Bruxelles. Elle est lauréate du Prix international de la Ville de Tournai en 2021, du Prix Cocof et du prix Carré sur Seine en 2020. De la Jeddah Tower aux usines désaffectées de Roubaix, en passant par le stade de Rio, le Versailles du peuple, les reclusoirs médiévaux ou les échafaudages bruxellois, c’est de manière intuitive que l’artiste interroge l’architecture sous toutes ses formes. Abordée principalement par le dessin, mais aussi par la sculpture ou la photographie, la construction lui permet de parler de l’humain, celui qui, tout à la fois, habite et édifie. Dans des travaux plus récents, Amélie Scotta approche le paysage et l’habitat de manière plus sensorielle, en passant par un travail de la couleur et de la matière. Elle y aborde la question du repli, une position face au monde qui peut apporter protection, enfermement ou libération. Son rapport à l’urbanisme l’amène également de plus en plus vers des projets dans l’espace public. ********** Nederlands ********** In haar tweede solotentoonstelling in de Michèle Schoonjans Gallery presenteert Amélie Scotta een serie tekeningen die, naast de problematiek van de leefomgeving, de landschapsconcepten onderzoekt door middel van kleur of organische materialen, die zowel door het onderwerp van de tekening als door de papieren drager (mineraal, plantaardig, enz.) worden ingebracht. In de serie Withdraw werkt de kunstenares in twee fasen, waarbij ze gebruik maakt van verschillende lagen in de tekening en van twee soorten perspectief. De eerste laag, die snel en willekeurig met gekleurde inkt over het hele papieroppervlak wordt aangebracht, kan de atmosferische dimensie van een landschap oproepen. De heldere, onnatuurlijke kleuren en de afwezigheid van het gebaar geven de indruk van een lichtgevend, stralend oppervlak. Hier en daar accentueren ongelukjes met het materiaal het effect van een afgedrukte afbeelding, die is bewerkt, uitgewassen of beschadigd. De laag grafiet, die in een later stadium wordt aangebracht, beperkt, belemmert of begrenst op de een of andere manier deze oneindige uitgestrektheid. De grafiettekeningen, die langzaam en minutieus met potlood zijn gemaakt, tonen rasterwerk, hekken en andere barrières en weerspiegelen de preoccupatie van de kunstenaar met het vraagstuk van zich opgesloten te voelen. Het idee van zich terugtrekken, vrijwillig of niet, werd al opgeroepen in eerdere werken, met name de Reclusoirs, sculpturen geïnspireerd op de kleine afgesloten gebouwen waarin boetelingen in de Middeleeuwen leefden. Maar dit contrast tussen de niet-materiële aard van het gekleurde oppervlak en het repetitieve patroon van de tekening spreekt ook tot ons over wat er voorbij de rand van het papier gebeurt, in wat bekend staat als het buitenbeeld. Net als het raam, dat zowel verbergt als zichtbaar maakt, laat de muur toch de horizon zien, waardoor we ons een mogelijke ontsnapping kunnen voorstellen. OVER DE KUNSTENARES Amélie Scotta, geboren in Nantes in 1983, is beeldend kunstenaar en docente in Brussel. Ze behaalde een diploma in Design (HEAR Straatsburg, 2008) en in Visuele Kunsten (ENSAV La Cambre, Brussel, 2016). Sinds 2013 is haar werk te zien geweest in talrijke tentoonstellingen in België (Le Botanique, La Médiatine, Vanderborght Building, Musées Royaux des Beaux-Arts, Europees Parlement, enz.) en in het buitenland (Villa Méditerranée in Marseille, Arabic Culture House in Berlijn, Matadero in Madrid, evenals in Magasins Généraux, Palais de Tokyo en Carreau du Temple in Parijs). Ze heeft ook residenties gehad in het Casa de Velázquez in Madrid, de Cité Internationale des Arts in Parijs, de Moonens Stichting en de Boghossian Stichting in Brussel. Ze is de winnaar van de Prix international de la Ville de Tournai in 2021, de Prix Cocof en de Prix Carré sur Seine in 2020. Van de toren van Jeddah tot de verlaten fabrieken van Roubaix, van het stadion van Rio tot het Versailles van het volk, van middeleeuwse kluizenaars tot de steigers van Brussel, de kunstenares stelt intuïtief de architectuur in al haar vormen ter discussie. Ze benadert de architectuur voornamelijk door middel van tekenen, maar ook door middel van beeldhouwen en fotografie.Door de constructie kan ze spreken over de mens, degene die zowel bewoont als bouwt. In haar meer recente werk kiest Amélie Scotta voor een meer zintuiglijke benadering van landschap en leefomgeving, waarbij ze gebruik maakt van zowel kleur als materialen. In haar meer recente werk kiest Amélie Scotta voor een meer zintuiglijke benadering van landschap en leefomgeving, waarbij ze gebruik maakt van zowel kleur als materialen. Ze gaat in op het thema van het zich terugtrekken, een positie ten opzichte van de wereld die bescherming, afzondering of bevrijding kan brengen. In haar meer recente werk kiest Amélie Scotta voor een meer zintuiglijke benadering van landschap en leefomgeving, waarbij ze gebruik maakt van zowel kleur als materialen. Ze gaat in op het thema van het zich terugtrekken, een positie ten opzichte van de wereld die bescherming, afzondering of bevrijding kan brengen. Haar fascinatie voor stedenbouw leidt haar ook steeds meer naar projecten in de openbare ruimte.
Découvrez en famille le travail des paléontologues lors de notre animation Giants ! Déterrez des fossiles avant de les étudier sous toutes les coutures. De quels ossements s’agit-il ? À quelle partie du squelette correspondent-ils ? À quel animal appartiennent-ils ? À quoi ressemblait celui-ci ? Vous pensez avoir trouvé un tigre à dents de sabre ? Ou plutôt un rhinocéros aussi grand qu'une girafe ? Comparez vos résultats avec les spécimens présents dans l’exposition Giants et apprenez-en plus sur leur mode de vie !
Terwijl Gaza een totale tragedie doormaakt, werpt deze tentoonstelling een blik op een decennium van tumult in het Midden-Oosten. Vanaf de revoluties in Tunesië en Egypte tot de conflicten in Syrië, Irak, Jemen en momenteel in Gaza. De verschillende hoofdstukken van deze recente geschiedenis van het Midden-Oosten worden verteld aan de hand van de verhalen van oorlogsslachtoffers die worden behandeld in het MSF-ziekenhuis in Amman, een unieke locatie op het kruispunt van deze conflicten. Na een verhelderend kijk op de actualiteit gaan we met elkaar in gesprek en is er tijd voor een creatieve borduurworkshop waar je meewerkt aan een solidaire boodschap.
********** English ********** Philip Janssens is extending his series of woven curtains, utilizing a reflective textile that manipulates light to create a floating effect. His sewing and weaving techniques induce a meditative experience for viewers, stimulating sensory perception. He emphasizes the subjective interpretation of his work, asserting that its meaning resides within the viewer's imagination and personal memories. The challenging visual comprehension and photography of his art highlight its ambiguity, blurring the distinction between physical and digital realms.• Philip Janssens' work is imbued with a strong fascination for scale, the immense and the atmospheric, for the uncanny, the anonymous and the objectified. His sculptures or installations seem to elevate physical, atmospheric phenomena such as the optical play of light, refraction & reflection. ********** Français ********** Philip Janssens poursuit sa série de rideaux tissés en utilisant des textiles réfléchissants qui génèrent un effet de flottement grâce à des jeux de lumière. Ses techniques de couture et de tissage créent une expérience méditative chez les spectateur·ices et stimulent l'expérience sensorielle. Il place l'accent sur l'interprétation subjective de son travail. Le sens réside, selon lui, dans l'imagination et les souvenirs personnels des spectateur·ices. Le défi de l'intelligibilité visuelle et de la photographie de son art souligne son ambiguïté, brouillantainsi la distinction entre les univers physique et numérique.• Le travail de Philip Janssens est empreint d'une grande fascination pour l'échelle, l'immensité, l'atmosphère, l'aliénation, l'anonyme et l'objectif. Ses sculptures et installations semblent générer des phénomènes physiques et atmosphériques comme les jeux d'optique de la lumière, la réflexion et la diffraction. ********** Nederlands ********** Philip Janssens breidt zijn serie gewoven gordijnen uit en gebruikt hiervoor reflecterend textiel dat door lichtspel een drijvend effect genereert. Zijn naai- en weeftechnieken zorgen voor een meditatieve ervaring bij de kijker en stimuleren de zintuigelijke ervaring. Hij benadrukt de subjectieve interpretatie van zijn werk. De betekenis huist volgens hem in de verbeelding en persoonlijke herinneringen van de kijker. De uitdagende visuele begrijpbaarheid en fotografie van zijn kunst versterken diens ambiguïteit, en vervaagt het onderscheid tussen de fysieke en digitale wereld.• Philip Janssens’ werk is doordrongen van een grote fascinatie voor schaal, immensiteit, het atmosferische, het bevreemdende, het anonieme en het objectieve. Zijn sculpturen en installaties lijken fysieke, atmosferische fenomenen te genereren als optisch spel van licht, weerkaatsing en diffractie.
Exposition d'illustrations en tirages limités. Le style est épuré et graphique. Le monde brassicole belge, la nouvelle mobilité bruxelloise et toutes les façons de se bouger en ville sont à l'honneur. Le tout dans un esprit souriant. Ouvert de 14 à 19 heures.