Nador de Kawtar Ouh

Description

Kawtar Ouh, photographe belgo-marocaine de 24 ans originaire du Rif et basée à Bruxelles, fusionne les médiums argentiques et numériques pour constituer une archive captivante ancrée dans son héritage familial.Inspirée par les vêtements et les bijoux de sa grand-mère, par la créativité de sa mère et de sa sœur, par ses propres designs ou encore par ses visites régulières au Maroc – où elle collabore avec des artistes et mannequins locaux – elle façonne un récit visuel harmonieux, entremêlant plusieurs récits intergénérationnels.À travers la photographie et les médias numériques, Kawtar Ouh capture l’essence de son histoire familiale et de ses origines marocaines en insufflant une nouvelle perspective unique.Parmi ses séries photographiques marquantes, on retrouve « Heritage, Jadeed & Maghreb » (2020) – une collaboration avec le créateur franco-algérien-égyptien Fahd El, dans laquelle elle explore son identité – mais aussi, « Ihenjaan n Nador » (2023), une série mettant en lumière les aspirations et défis des jeunes de Nador. Le projet, centré sur ceux qui aspirent à franchir les frontières vers Melilla, en Espagne, révèle la réalité et les espoirs d’une communauté aspirant à un meilleur avenir en Europe.Au-delà de sa photographie, l’artiste s’engage également dans des actions communautaires d’empowerment en organisant des promenades artistiques à Bruxelles, offrant aux femmes l’opportunité d’explorer la beauté de la vie quotidienne sous de perspectives nouvelles.Pour sa première exposition solo à Bruxelles, Kawtar Ouh vous convie à découvrir différentes séries de son travail photographique.VERNISSAGE le Jeudi 7/3 À 18H00 – RÉSERVATION SouhaitÉe

Date info

Lundi: de 13:30 à 17:00. Mardi: de 13:30 à 17:00. Mercredi: de 13:30 à 17:00. Jeudi: de 13:30 à 17:00. Vendredi: de 13:30 à 17:00. Du 7 mars au 5 avril

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Suggested events

********** English ********** Photographies by Patrick Labarrere Ethiopia, cradle of humanity but also cradle of Orthodox Christianity. A dive into these sacred spaces, into this Ethiopian belief, leads to a loss of bearings and encourages reflection on the fervor that one encounters while walking the paths of the ancient kingdom of Abyssinia. ********** Français ********** Exposition de photographies de Patrick Labarrere L'Éthiopie berceau de l'humanité mais aussi berceau de la chrétienté orthodoxe. Une plongée dans ces espaces sacrés, dans cette croyance Éthiopienne entraine une perte de repère et incite à réflexion sur la ferveur que l'on rencontre en arpentant les chemins de l'ancien royaume d'Abyssinie. ********** Nederlands ********** Tentoonstelling van foto's van Patrick Labarrere Ethiopië, bakermat van de mensheid maar ook bakermat van het orthodoxe christendom. Een duik in deze heilige ruimtes, in dit Ethiopische geloof, leidt tot verlies van oriëntatie en moedigt reflectie aan over de hartstocht die je tegenkomt tijdens het bewandelen van de paden van het oude koninkrijk Abessinië.
Kom langs voor een babbel en een drankje in aanwezigheid van fotografe Marlies Van Wielendaele. Marlies Van Wielendaele (1990) is een analoge fotografe die in Brussel woont maar met regelmaat de oceaan in binnen- en buitenland opzoekt. De zee is bij uitstek haar veilige haven. Ze duikt diep met haar analoge Nikonos V camera uit de jaren 80 en tegelijkertijd speelt ze aan de oppervlakte met reflecties en de vormen die het bewegende water aannemen. Ze is geïnspireerd door zowel de verschillende kleuren en patronen van die gekke vissen en koralen als de relatie tussen mensen en zo’n watermassa. Omgeven door water voelt Marlies zich op een fijne manier klein én deel van iets groots. Daarnaast levert een watersessie met haar Nikonos V gegarandeerd een grote glimlach op voor de rest van de dag." FR - En mars-avril, une exposition de Marlies Van Wielendaele occupera nos fenêtres de la Rue du Cornet et de la Rue du Clocher. Elle est une photographe analogique qui vit à Bruxelles mais qui visite régulièrement la mer, sa source d'inspiration. Rejoignez-nous le 10 mai pour une papote et un verre en compagnie de la photographe Marlies.
Vernissage le 8 mai à 11h. De nombreux mouvements migratoires exigent beaucoup des migrants. Leurs vies et leur santé sont menacées, leur droit à l’autodétermination est remis en question, et leurs identités individuelles deviennent des objets des préjugés et des actions d’autrui. Tous les processus de migration, même les plus douloureux, conduisent à une nouvelle diversité culturelle, qui peut être perçue comme une force positive dans les sociétés d’aujourd’hui. Les expériences partagées renforcent les citoyens européens et contribuent à créer notre identité européenne commune. Il existe quelques situations très spécifiques au niveau européen : 1. Les conséquences à long terme de l’occupation allemande de la Norvège pendant la Seconde Guerre mondiale. 2. Les préjugés contre de nombreux Groenlandais après la migration du Groenland au Danemark depuis 1945. 3. La migration forcée des Sámis du Nord vers le Sud de la Suède. 4. L’échange de population dans l’ancienne Poméranie allemande après 1945, exemplifié par la ville polonaise de Slupsk. 5. Les conséquences à long terme de l’Holocauste pour les femmes lituaniennes. 6. La migration en Slovénie après la Seconde Guerre mondiale et l’impact de l’indépendance du pays en 1991 sur les migrants. 7. L’histoire politique complexe de la péninsule istrienne et de sa population multiethnique liée à 200 000 émigrants après la Seconde Guerre mondiale. Réservations : museum@foyer.be https://www.i-on.museum; https://www.identityontheline.eu
En couleur et en noir et blanc, le Palais de justice de Bruxelles se dévoile : sa coupole étincelante, sa salle des pas perdus extraordinaire, ses colonnes gréco-romaines monumentales, ses œuvres d’art et ses sculptures multiples, ses salles d’audience au parquet ciré, ses couloirs infinis, et bien plus encore. Venez explorer ce monument emblématique de l'intérieur, grâce au regard unique de 30 étudiants de l'Académie des Arts RHoK d'Etterbeek. À l’invitation de la Fondation Poelaert, pendant près d'une année, ils ont arpenté ses 26 000 mètres carrés, capturant son essence même alors que le Palais est en pleine rénovation. Ils nous présentent le fruit de leurs déambulations dans une superbe exposition de photographies à découvrir au Mont-de-Piété, à deux pas du Palais de Justice.   INFOS PRATIQUES Dates : du samedi 4 au dimanche 19 mai 2024 Adresse : 19 rue Saint-Ghislain, 1000 Bruxelles Horaires de l’exposition: Les vendredi, samedi, dimanche de 11h à 19h (+ ouverture exceptionnelle le mardi 14 mai de 10h à 16h) Vernissage : vendredi 3 mai 2024 de 18h à 22h Entrée gratuite, sans réservation  Plus d'infos sur l'expo : https://montdepiete.be/blogs/news/expo-justice [https://montdepiete.be/blogs/news/expo-justice?fbclid=IwZXh0bgNhZW0CMTAAAR3eXJxeh2j_jHRjQO0hdaKrXJWm_nCNSI7oeNX47UvNVH663kcQn2hkWQ0_aem_Ac02EzXMh13_eku4YL-NuzU8R2rDFxsQETRUcClV22T9XwsIhzDvgyPsfSuwF7c_Ey-aSOjWk-0h5u-RmoedVPS-]
NL / De Elsense geologe Marie Anne Maniet toont een reeks foto’s over de Maalbeekvallei. Met haar foto's wil ze de aanwezigheid van dit verdwenen water en de vallei opnieuw laten voelen. FR / La géologue ixelloise Marie Anne Maniet présente une série de photos sur la vallée de Maelbeek. Avec ses photos, elle souhaite faire sentir à nouveau la présence de cette eau évaporée et de la vallée. Vernissage 27.04 18:00 Gratis/Gratuit Expo: 27.04 > 31.05 Visits on weekdays 09:00-20:00
Avec Marche salope (1), Céline Chariot aborde le sujet du viol, interrogeant le mutisme qui entoure les agressions sexuelles. « La vraie question n’est pas de savoir pourquoi je parle, mais pourquoi je n’ai pas parlé » écrit-elle. Aujourd’hui, elle part de constats et de statistiques, pas d’une colère irrationnelle ; elle ne veut ni écrire de fiction édulcorée, ni chercher à raconter l’histoire des femmes et encore moins la sienne, ni à brûler les hommes, ni à faire justice. En reconstituant une scène de crime, par le biais d’un geste accessible, fort, documenté et poétique, travaillant à un acte artistique qui puisse révéler une certaine beauté tout en pouvant transcender la douleur de gestes passés, Céline Chariot, qui n’est ni danseuse, ni actrice, mais photographe, aborde le viol via le regard, via des sensations qui ont pour but la réflexion, et rappelle que dans cette transgression odieuse qu’est le viol, le crime n’est pas uniquement celui du violeur mais surtout celui d’un corps social qui pointe la victime comme responsable de son sort. Dans une forme originale où se mêlent texte, performance, silence, regard, reconstitution du réel et onirisme, le spectacle invite puissamment à la transformation des traumatismes du passé en une puissante frénésie d’en finir avec les inégalités de genre. (1) La Slutwalk, ou « Marche des salopes », est une marche de protestation née en avril 2011 au Canada après qu’un officier de police ait déclaré : « Si vous voulez éviter de vous faire violer, il faut éviter de s’habiller comme une salope »
Spectra Ex Machine / RELEASE PARTY Samedi 18 mai 2024 – 17h-19h Réservation obligatoire par mail à : gauthier@subrosa.net À l’occasion de la sortie du nouveau volume de son anthologie sonore des phénomènes occultes, l'auteur et réalisateur radio Philippe Baudouin vient présenter son projet Spectra Ex Machina (Sub Rosa), lors d'une soirée exceptionnelle. Le second volume de cette anthologie sonore explore les liens entre musique et médiumnité, art vocal et sorcellerie : Aleister Crowley, Uri Geller, Rosemary Brown ou bien encore Elvis Presley font ainsi résonner leur voix de l'au-delà. Au programme de cette soirée : séance d'écoute de quelques extraits du disque et discussion avec Philippe Baudouin, Stéphanie Peel et Christian Chelman sur l'histoire du spiritisme et ses croisements inattendus avec la question musicale. À cette occasion, les deux premiers volumes de Spectra Ex Machina seront proposés à la vente. Philippe Baudouin est réalisateur radio et maître de conférences associé à l’Université Paris-Saclay. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages et articles sur l’histoire de l’occultisme dont Apparitions : Les Archives de la France hantée (Hoëbeke, 2021) et Surnaturelles : une histoire visuelle des femmes médiums (Pyramyd, 2021). Depuis 2019, il poursuit en collaboration avec le label Sub Rosa le projet Spectra Ex Machina, consacré aux archives sonores du paranormal. Stéphanie Peel est chercheuse indépendante et doctorante à l’Université libre de Bruxelles. Son compte Instagram « Les Occultées » est consacré à l’histoire des femmes médiums. Christian Chelman est illusionniste et collectionneur. Il est également le fondateur et l’actuel conservateur du Surnatéum, Muséum d’Histoire Surnaturelle de Bruxelles.
The Royal Museums of Fine Arts of Belgium are inaugurating an extraordinary international touring exhibition conceived in close collaboration with the Centre Pompidou (Paris). From Giorgio De Chirico to Jackson Pollock, Salvador Dalí, Joan Miró, Meret Oppenheim, Dora Maar, René Magritte…, explore the poetry of the world's most famous surrealists through themes such as the dream, the labyrinth, metamorphosis, the unknown and the subconscious.
Au-delà de leurs apparentes différences, il y a forcément une cohérence entre les peintures d’objets que sont les Vies silencieuses et les arbres, peints ou dessinés, puisque les trois séries sont issues de la main d’Alexandre Hollan. Les arbres dessinés proposent une modulation libre des gris, ceux qui sont peints une vibration éclatante des couleurs, alors que dans les vies silencieuses celles-ci sont juxtaposées, par teintes et par couches, pour aboutir à une forme de sérénité et de calme apparents vibrant de l’intérieur, au lieu que les arbres les exposent davantage, couleurs, matières et gestes. À supposer que les Vies silencieuses soient plus introspectives – ce qui est une interprétation – les arbres portent aussi un langage en attente. Les uns et les autres parlent, différemment, et tous, en nous regardant les regarder, nous parlent. Peints ou dessinés, la succession des arbres, par exemple, révèle à la fois la différence, la spécificité de chacun, mais aussi l’approche que chaque rencontre suscite chez l’artiste, qu’il s’agisse d’esquisses, de contours, de vides ou de remplis : dans sa forme et son espace, chacun de ces arbres se distingue et non se répète. Puisque aucune représentation ne peut englober un tout ni être définitive, chacune figure une tentative, un inachèvement, qui ouvre sur un autre. On pourrait faire le pari que c’est autant de visages d’Alexandre Hollan qu’ils dessinent – et je fais aussi celui que dans ce qui n’est pas un jeu de variations mais une tentative d’équilibre sans cesse recommencée, chacun d’entre nous, à la manière d’un labyrinthe, peut y trouver son chemin, et, d’une certaine manière, s’y retrouver voire s’y reconnaître. Que vous préfériez l’une ou l’autre de ces œuvres, ou plusieurs, arbre vif de couleur ou de fusain, vie silencieuse, je vous invite donc à vous demander en quoi elle vous ressemble et ce que vous y découvrez de vous. Ludovic Degroote