A one-off collaboration between
American singer, poet and guitarist Mike Doughty (founder and frontman of Soul
Coughing, one half of Ghost of Vroom),
American cellist and bassist Andrew ‘Scrap’ Livingston (the other half of Ghost
of Vroom) and
Belgian producers Husk Husk (KVS, Victoria & Albert Museum (UK), ARKO Arts
Theater (KR), Ex Elettrofonica (IT)),
and
London-based, Korean choreographer Sung Im Her (P.A.R.T.S, Needcompany, The
Place (UK)), and
Greek dancer, performer and choreographer Martha Pasakopoulou (Marina Abramovic,
Tino Sehgal).
Artwork: Daniel Sterckx (Créahmbxl)
27april
18:30 - 20:30
Drève Sainte-Anne - Sint-Annadreef 90, 1020 Brussels, Brussels-Capital, Belgium
Free
Description
********** Nederlands **********
Beginpunt: Parc Royal (Parc de Bruxelles): bij de grote fontijn (dichtbij Théâtre Royal du Parc). Ga binnen via de Wetstraat en volg de borden 'rue libre'.
Gratis evenement in de openbare ruimte met meerdere voorstellingen.
********** Français **********
Point de départ : Parc Royal (Parc de Bruxelles) : à la grande fontaine (près du Théâtre Royal du Parc). Entrer par la rue de la Loi et suivre les panneaux "rue libre".
Événement gratuit dans l'espace public avec de multiples représentations.
********** English **********
Starting point: Parc Royal (Parc de Bruxelles): at the big fountain (close to the Théâtre Royal du Parc). Enter via Rue de la Loi and follow the signs 'rue libre'.
Free event in public space with multiple performances.
Contemporary
Tickets
Free
Info & Reservation
1 Picture
Suggested events
********** English **********
Maryse Condé wrote Tituba a fictional childhood, adolescence and death in her
award-winning book I, Tituba, whereupon philosopher Elsa Dorlin wrote an essay
on Tituba in Moi, toi, nous ... Tituba of de ontologie van het spoor.
When Dorothée Munyaneza was introduced to Elsa and her work, there was little
hesitance: she knew she wanted to create something around the figure of Tituba.
In this new solo, a dialogue with musician Khyam Allami, Dorothée Munyaneza
tries to breathe new life into the lives and dreams of Tituba. The men and women
whose identities and existences were denied and squashed by slave trade and
colonial regimes. Through words. Through the body. Through the space the voice
takes up, and through song.
Dorothée visualises a physical archive capable of gathering memories and
honouring them. A living, sensitive, physical and bodily archive, where
experiences are gathered. A solo conceived as a cross-pollination, a hybrid
space. African, but also American, European, Caribbean, ... A space full of
traces, dreams, and violence.
********** Français **********
Maryse Condé a attribué à Tituba une enfance, une adolescence et une fin de
vie fictives dans son livre primé Moi, Tituba, sorcière noire de Salem, qui à
son tour a engendré une réflexion de la philosophe Elsa Dorlin dans Moi, toi,
nous ... Tituba ou l'ontologie de la trace.
Quand Dorothée Munyaneza fait la connaissance d'Elsa et de son travail, aucun
doute ne subsiste : elles vont consacrer un projet à Tituba. Dans ce nouveau
solo en dialogue avec le musicien Khyam Allami, Dorothée Munyaneza cherche à
faire revivre les vies et les rêves de Tituba. Des hommes et des femmes dont
l'identité et l'existence ont été niées et écrasées par la traite
négrière et le régime colonial. À travers les mots. À travers le corps. À
travers l'espace occupé par la voix et les chants.
Dorothée dépeint une archive corporelle capable de collectionner et d'honorer
les souvenirs. Une archive vivante, sensible, physique et corporelle, dans
laquelle les expériences sont rassemblées. Un solo conçu comme une
pollinisation croisée, un espace hybride. L’Afrique, puis l’Amérique,
l’Europe, les Caraïbes, dans un sens puis dans l’autre... Un espace plein de
traces, de rêves et de violence.
********** Nederlands **********
Maryse Condé schreef Tituba in haar prijswinnende boek I, Tituba een fictieve
kindertijd, adolescentie en levenseinde toe. Waarop filosofe Elsa Dorlin een
beschouwing op Tituba schreef in Moi, toi, nous ... Tituba of de ontologie van
het spoor.
Toen Dorothée Munyaneza kennis maakte met Elsa en haar werk, was er niet lang
twijfel: ze wilden iets creëren rond Tituba. In deze nieuwe solo, in dialoog
met muzikant Khyam Allami, tracht Dorothée Munyaneza de levens en dromen van
Tituba nieuw leven in te blazen. De mannen en vrouwen wiens identiteit en
bestaan ontkend en verpletterd werden door de slavenhandel en het koloniale
regime. Via woorden. Via het lichaam. Via de ruimte die de stem inneemt en via
liederen.
Dorothée verbeeldt een lichaamsarchief dat in staat is herinneringen te
verzamelen en in ere te houden. Een levend, gevoelig, fysiek en lichamelijk
archief, waarin ervaringen verzameld liggen. Een solo opgevat als een
kruisbestuiving, een hybride ruimte. Nu eens Afrikaans, dan weer Amerikaans,
Europees, Caraïbisch, ... Een ruimte vol sporen, dromen en geweld.
********** English **********
LALA &CE
Fini le temps des rêves différés, des ambitions remises à plus tard, des égards
accordés aux opinions d'autrui. Plus de place pour les interrogations, la quête
de légitimité et les appréhensions. Avec « No More Time », son nouveau single,
Lala &ce nous dévoile un univers aux tonalités sombres et dystopiques et
exprime, avec conviction, qu’il n’y a plus de temps à perdre. Un nouvel album
qui se profile, un nouveau live, Lala est de retour.
ICHON
Depuis les aventures de Pour de vrai, Ichon est de retour avec son nouvel
album KASSESSA, un corpus de couleurs et d’humeurs. Celui qui aime dire qu’il
“chante du rap” nous racontera cette fois-ci l’histoire d’un homme qui, au fil
du temps, a appris à se comprendre et à se construire afin qu’il puisse
s’envoler définitivement. Après l’avoir présenté en live à l’Olympia en novembre
dernier, Ichon compte bien kassessa pour de vrai aux Nuits !
LAZZA GIO
Inclassable, le projet multifilaire de lazza gio échappe astucieusement aux
catégories que l’industrie musicale lui impose. Parmi ses influences, on y
trouve des projets néo-pop psyché comme celui de Nation, des groupes comme The
Books ou Arthur Russel, mais aussi SUM41, Avril Lavigne ou encore Mathieu
Boogaerts. Beaucoup de diversité qui place l’artiste dans un genre musical « pop
trouble », comme définit par un article des Inrocks de mars 2023.
En mai 2023, lazza gio sort un premier EP entièrement auto-produit, « You Look
Nice Today », tout en continuant à alimenter la plateforme SoundCloud de
l’évolution continue de son projet. Cet EP-maison contient des versions
réaménagées du diptyque « sportlife », mis en image fin 2022 et disponible sur
YouTube sous format de clips vidéos. Le titre de l’EP est quant à lui détourné
d’une chemise Desigual de la collection obsessive de gio. Un message heureux,
universel et un peu fougueux.
********** Nederlands **********
LALA &CE
Lala &ce begon haar muzikale carriere in Lyon. Geïnspireerd door de online
SoundCloud community begon ze zelf te rappen, en bewerkte ze haar stem met
AutoTune. Samen met haar muzikale soulmate Jorrdee werd ze al snel een onderdeel
van het 667 collectief van Freeze Corleone.
In 2019 verscheen haar eerste mixtape, ‘Le Son d'après', om twee jaar later
gevolgd te worden door haar debuutalbum ‘Everything Tasteful’. Later dat jaar
zou ze samen met componist Low Jack een muzikale komedie maken, een waanzinnig
liefdesverhaal gebaseerd op de film ‘Death Takes a Holiday’ uit 1934. In 2022
releasete ze al opnieuw een EP, ‘SunSystem’, en het is zeker niet het laatste
dat we zullen horen van deze veelzijdige artieste.
ICHON
Depuis les aventures de Pour de vrai, Ichon est de retour avec son nouvel
album KASSESSA, un corpus de couleurs et d’humeurs. Celui qui aime dire qu’il
“chante du rap” nous racontera cette fois-ci l’histoire d’un homme qui, au fil
du temps, a appris à se comprendre et à se construire afin qu’il puisse
s’envoler définitivement. Après l’avoir présenté en live à l’Olympia en novembre
dernier, Ichon compte bien kassessa pour de vrai aux Nuits !
LAZZA GIO
Inclassable, le projet multifilaire de lazza gio échappe astucieusement aux
catégories que l’industrie musicale lui impose. Parmi ses influences, on y
trouve des projets néo-pop psyché comme celui de Nation, des groupes comme The
Books ou Arthur Russel, mais aussi SUM41, Avril Lavigne ou encore Mathieu
Boogaerts. Beaucoup de diversité qui place l’artiste dans un genre musical « pop
trouble », comme définit par un article des Inrocks de mars 2023.
En mai 2023, lazza gio sort un premier EP entièrement auto-produit, « You Look
Nice Today », tout en continuant à alimenter la plateforme SoundCloud de
l’évolution continue de son projet. Cet EP-maison contient des versions
réaménagées du diptyque « sportlife », mis en image fin 2022 et disponible sur
YouTube sous format de clips vidéos. Le titre de l’EP est quant à lui détourné
d’une chemise Desigual de la collection obsessive de gio. Un message heureux,
universel et un peu fougueux.
********** English **********
La Maison des Arts is a contemporary art centre housed in an early 19th-century
bourgeois house, which hosts visual art exhibitions and has developed an
outreach programme to make contemporary art accessible to all. The current
exhibition features works by some ten artists around the theme of repetition,
collections and series. It's an opportunity to take a closer look at our own
rituals, journeys, collections, obsessions, traditions and gestures to ward off
fate or heal traumas, whether they be individual or collective, conscious or
unconscious. Participants can continue their visit with a short break and a free
drink at the Estaminet de La Maison des Arts.
********** Français **********
La Maison des Arts is een centrum voor hedendaagse kunst dat is gevestigd in een
burgerwoning uit het begin van de 19de eeuw. Het biedt plaats aan
tentoonstellingen voor plastische kunst en ontwikkelde een bemiddelingsprogramma
dat hedendaagse kunst toegankelijk maakt voor een breed publiek. La Maison des
Arts organiseert een tentoonstelling over rituelen. Keer op keer doet ons
stilstaan bij onze eigen rituelen, onze gebaren om het noodlot af te wenden of
een trauma te boven te komen, onze trajecten, collecties, obsessies en
tradities, of die nu individueel of collectief, bewust of onbewust zijn. De
deelnemers kunnen hun bezoek voortzetten met een kleine pauze in het Estaminet
de La Maison des Arts (gratis drankje).
********** English **********
Nacera Belaza is known for her meticulous, minimalist and mesmerising
choreography. Born in Algeria and now living in France, she translates diverse
influences and dance traditions into addictive kinetic scores which cannot leave
you unmoved. This is dance in its purest form, which needs to be experienced
rather than understood. Two core research principles in Belaza’s body of work
are ‘the circle’ and ‘rhythm’. In previous creations presented at the festival,
Le Cercle (2019) and L’Onde (2021), she uncovered these research principles
separately with determination and depth. Now they come together for the first
time: on the one hand, the power of the circle in space, tracing its orbit
around an unchanging centre, as if organising the disorder of disparate lives;
on the other, the rhythm digging into time, lifting up bodies to grant them a
dazzling freedom. Combined, the confrontation becomes a ritual practice opening
up to a perpetual motion, a loophole to infinity. In this unique experience, the
audience surrounds the dancers to contain their incredible energy. Not to be
missed!
********** Français **********
Nacera Belaza est connue pour ses chorégraphies méticuleuses, minimalistes et
envoûtantes. Née en Algérie et résidant actuellement en France, elle a développé
une pratique chorégraphique qui traduit des influences et des traditions de
danse diverses en des partitions cinétiques captivantes qui ne peuvent laisser
indifférent·e. C'est de la danse dans sa forme la plus pure, qui s’expérimente
plus qu’elle ne se comprend. Dans Le Cercle (2019) et L'Onde (2021),
précédemment présentées au festival, elle travaillait successivement deux des
principes de recherche fondamentaux de son œuvre, le cercle et le rythme. Avec
La Nuée, Belaza réunit pour la première fois ces deux principes : d’une part, la
puissance du cercle dans l’espace qui trace sa propre orbite autour d’un centre
immuable, comme si on y organisait le désordre de vies disparates ; d’autre
part, le rythme qui creuse le temps et soulève les corps pour leur accorder une
liberté fulgurante. Une confrontation qui se transforme en une pratique rituelle
et s’ouvre sur un mouvement perpétuel, voire une faille vers l’infini. Une
expérience unique à ne pas manquer, avec une énergie incroyable contenue par le
public assis en cercle autour des danseur·euses.
********** Nederlands **********
Nacera Belaza – geboren in Algerije en nu gevestigd in Frankrijk – staat bekend
om haar precieze, minimalistische en betoverende choreografieën. Ze vertaalt
diverse invloeden en danstradities in verslavende kinetische composities die
niet onberoerd laten. Het is dans in zijn puurste vorm, die eerder ervaren dan
begrepen wil worden. Twee kernprincipes in het werk van Belaza zijn ‘de cirkel’
en ‘ritme’. In Le Cercle (2019) en L’Onde (2021), eerder te zien op het
festival, legde ze deze onderzoeksprincipes ieder afzonderlijk. Nu komen ze voor
het eerst samen: enerzijds de kracht van de cirkel in de ruimte, die zijn baan
trekt rond een onveranderlijk middelpunt, alsof het de wanorde van uiteenlopende
levens organiseert; anderzijds het ritme dat in de tijd graaft en lichamen
optilt om ze een duizelingwekkende vrijheid te schenken. Door de confrontatie
tussen beide ontstaat een rituele praktijk die zich ontvouwt tot een
eeuwigdurende beweging, een achterpoortje naar de oneindigheid. Een unieke
ervaring waarbij het publiek in een cirkel rond de onbedwingbare energie van de
dansers zit. Niet te missen!
********** English **********
Nacera Belaza is known for her meticulous, minimalist and mesmerising
choreography. Born in Algeria and now living in France, she translates diverse
influences and dance traditions into addictive kinetic scores which cannot leave
you unmoved. This is dance in its purest form, which needs to be experienced
rather than understood. Two core research principles in Belaza’s body of work
are ‘the circle’ and ‘rhythm’. In previous creations presented at the festival,
Le Cercle (2019) and L’Onde (2021), she uncovered these research principles
separately with determination and depth. Now they come together for the first
time: on the one hand, the power of the circle in space, tracing its orbit
around an unchanging centre, as if organising the disorder of disparate lives;
on the other, the rhythm digging into time, lifting up bodies to grant them a
dazzling freedom. Combined, the confrontation becomes a ritual practice opening
up to a perpetual motion, a loophole to infinity. In this unique experience, the
audience surrounds the dancers to contain their incredible energy. Not to be
missed!
********** Français **********
Nacera Belaza est connue pour ses chorégraphies méticuleuses, minimalistes et
envoûtantes. Née en Algérie et résidant actuellement en France, elle a développé
une pratique chorégraphique qui traduit des influences et des traditions de
danse diverses en des partitions cinétiques captivantes qui ne peuvent laisser
indifférent·e. C'est de la danse dans sa forme la plus pure, qui s’expérimente
plus qu’elle ne se comprend. Dans Le Cercle (2019) et L'Onde (2021),
précédemment présentées au festival, elle travaillait successivement deux des
principes de recherche fondamentaux de son œuvre, le cercle et le rythme. Avec
La Nuée, Belaza réunit pour la première fois ces deux principes : d’une part, la
puissance du cercle dans l’espace qui trace sa propre orbite autour d’un centre
immuable, comme si on y organisait le désordre de vies disparates ; d’autre
part, le rythme qui creuse le temps et soulève les corps pour leur accorder une
liberté fulgurante. Une confrontation qui se transforme en une pratique rituelle
et s’ouvre sur un mouvement perpétuel, voire une faille vers l’infini. Une
expérience unique à ne pas manquer, avec une énergie incroyable contenue par le
public assis en cercle autour des danseur·euses.
********** Nederlands **********
Nacera Belaza – geboren in Algerije en nu gevestigd in Frankrijk – staat bekend
om haar precieze, minimalistische en betoverende choreografieën. Ze vertaalt
diverse invloeden en danstradities in verslavende kinetische composities die
niet onberoerd laten. Het is dans in zijn puurste vorm, die eerder ervaren dan
begrepen wil worden. Twee kernprincipes in het werk van Belaza zijn ‘de cirkel’
en ‘ritme’. In Le Cercle (2019) en L’Onde (2021), eerder te zien op het
festival, legde ze deze onderzoeksprincipes ieder afzonderlijk. Nu komen ze voor
het eerst samen: enerzijds de kracht van de cirkel in de ruimte, die zijn baan
trekt rond een onveranderlijk middelpunt, alsof het de wanorde van uiteenlopende
levens organiseert; anderzijds het ritme dat in de tijd graaft en lichamen
optilt om ze een duizelingwekkende vrijheid te schenken. Door de confrontatie
tussen beide ontstaat een rituele praktijk die zich ontvouwt tot een
eeuwigdurende beweging, een achterpoortje naar de oneindigheid. Een unieke
ervaring waarbij het publiek in een cirkel rond de onbedwingbare energie van de
dansers zit. Niet te missen!
********** English **********
‘Die Kunst der Fuge occupies an almost mythical place in the oeuvre of Johann
Sebastian Bach. Not only on account of its vast scope and impenetrability, but
also because Bach worked on it until his death, which gives the listener the
impression that this is his musical testament.’
— Bernard Foccroulle
Anne Teresa De Keersmaeker continues her exploration of Johann Sebastian Bach’s
oeuvre with the work that, in a sense, is the pinnacle of his life’s work: Die
Kunst der Fuge. The remarkable thing about this cycle of eighteen canons and
fugues, performed live by Bernard Foccroulle on the organ of the Cathedral of St
Michael and St Gudula, is the exceptional power of imagination that emanates
from what is ultimately a minimum of musical material: the first theme consists
of only twelve notes, spread over four measures.
The choreography, developed with Radouan Mriziga, starts out from the same
principle by working on four lines and in the intermediate space. In addition,
the choreography is also inspired by the circumstances in which Bach composed
Die Kunst der Fuge. He worked on this cycle until the end of his life, and the
final fugue, composed with the musical notes reflecting the letters of his
surname, was never finished. This incompleteness resonates forcefully with our
current sense of powerlessness as we face a global catastrophe, despite being at
the height of our powers.
THIS Production is part of TROIKA DANCE
********** Français **********
« Die Kunst der Fuge occupe une place mythique dans l’œuvre de J.S. Bach, tant
en raison de son ampleur et de sa densité que parce qu’elle nous parvient
inachevée. Bach travaillait à son édition au moment de sa mort, ce qui lui
confère une dimension testamentaire. »
– Bernard Foccroulle
Anne Teresa De Keersmaeker poursuit son exploration de l’œuvre de Johann
Sebastian Bach avec la pièce qui en constitue d’une certaine manière le
couronnement : Die Kunst der Fuge. Ce qui frappe dans ce cycle de dix-huit
canons et fugues, interprété en direct par Bernard Foccroulle sur l’orgue de la
cathédrale Saints-Michel-et-Gudule, c’est l’extraordinaire imagination qui se
déploie à partir d’un matériau musical en fin de compte minimal : le thème
initial compte douze notes seulement, réparties sur quatre mesures.
La chorégraphie, créée en collaboration avec Radouan Mriziga, suit le même
principe et est construite selon quatre lignes et l’espace qui les sépare. Elle
s’inspire également des circonstances dans lesquelles Bach a composé son Die
Kunst der Fuge. Il a travaillé à ce cycle jusqu’à la fin de sa vie, et la
dernière fugue, composée sur les notes correspondant aux lettres de son
patronyme dans la notation musicale allemande, est restée inachevée. Cette
incomplétude entre en forte résonance avec notre sentiment actuel d’impuissance
au seuil d’une catastrophe planétaire, et ce, alors que nous avons atteint des
sommets de savoir-faire.
********** Nederlands **********
“Die Kunst der Fuge neemt een bijna mythische plaats in binnen het oeuvre van
Johann Sebastian Bach. Niet alleen door zijn enorme reikwijdte en
ondoordringbaarheid, maar ook omdat Bach er tot zijn dood aan heeft gewerkt, wat
de luisteraar de indruk geeft dat het hier om zijn muzikale testament gaat.” —
Bernard Foccroulle
Anne Teresa De Keersmaeker zet haar verkenning van het œuvre van Johann
Sebastian Bach verder met het werk dat er in zekere zin de bekroning van vormt:
Die Kunst der Fuge. Opmerkelijk aan deze cyclus van achttien canons en fuga’s,
door Bernard Foccroulle live uitgevoerd op het orgel van de Sint-Michiels- en
Sint-Goedelekathedraal, is de buitengewone verbeeldingskracht die voortvloeit
uit wat uiteindelijk een minimum aan muzikaal materiaal is: het eerste thema
bestaat uit slechts twaalf noten, verspreid over vier maten.
De choreografie, die samen ontwikkeld wordt met Radouan Mriziga, vertrekt vanuit
hetzelfde principe door te werken op vier lijnen, en in de ruimte daartussen.
Daarnaast is ze ook geïnspireerd door de omstandigheden waarin Bach Die Kunst
der Fuge componeerde. Hij werkte tot het einde van zijn leven aan deze cyclus,
en de laatste fuga, gecomponeerd met de muzieknoten die de letters van zijn
achternaam weerspiegelen, werd nooit afgewerkt. Het is een onvolledigheid die
sterk resoneert met ons huidige gevoel van machteloosheid, nu we oog in oog
staan met een globale catastrofe, terwijl we ons op het hoogtepunt van ons
kunnen bevinden.
DEZE VOORSTELLING MAAKT DEEL UIT VAN TROIKA DANCE
********** Français **********
Le collectif Play Label inaugure la saison des open-airs avec son rendez-vous
annuel sur la Place Poelaert. Près de 3000 personnes seront réunies le samedi 04
mai pour célébrer la culture festive et la scène électronique locale grâce à un
line-up 100% bruxellois. Un rendez-vous à ne pas manquer pour les amoureux de
dance music.
********** Nederlands **********
Het collectief Play Label opent het seizoen van de openluchtfeesten met zijn
jaarlijkse bijeenkomst op het Poelaertplein. Bijna 3000 mensen zullen op
zaterdag 4 mei samenkomen om de feestcultuur en de lokale elektronische
muziekscene te vieren met een line-up die volledig Brussels is. Een evenement
dat dance muziekliefhebbers niet mogen missen.
********** English **********
The collective Play Label kicks off the open-air season with its annual
rendezvous at Place Poelaert. Nearly 3000 people will gather on Saturday, May
4th to celebrate the festive culture and local electronic scene with a 100%
Brussels-based lineup. An event not to be missed for dance music lovers.
********** English **********
It is a colorful and lively production that is suitable for all ages. The story
of the beautiful Snow White is transformed into a magical dance spectacle.
Classical ballet, theater and a dose of humor come together to create an
unforgettable experience for the whole family! The production is designed to be
accessible and engaging for young audiences.
********** Français **********
C’est une production colorée et animée qui convient à tous les âges. Le ballet
classique, le théâtre et une dose d’humour se combinent et s’unissent pour créer
une expérience inoubliable pour toute la famille ! La production est conçue pour
être accessible et captivante pour les jeunes spectateurs.
********** Nederlands **********
Het is een kleurrijke en levendige productie die geschikt is voor alle
leeftijden. Klassiek ballet, theater, en een dosis humor komen samen om een
onvergetelijke ervaring te creëren voor het hele gezin! Dit ballet is een
perfecte introductie tot ballet voor kinderen. De productie is ontworpen om
toegankelijk en boeiend te zijn voor jonge toeschouwers.
********** Français **********
Les Quatre Saisons d’Antonio Vivaldi comptent parmi les pièces musicales les
plus emblématiques, les plus connues et les plus jouées au monde. Anne Teresa De
Keersmaeker et Radouan Mriziga se proposent d’explorer cette remarquable ode à
la nature dans une nouvelle création, dont le point de départ est le superbe
enregistrement réalisé par la violoniste Amandine Beyer et son ensemble Gli
Incogniti.
Les deux chorégraphes partagent un intérêt marqué pour l’observation de la
nature, la géométrie et l’abstraction incarnée. Ils partagent aussi leur
inquiétude face à l’évolution néfaste de notre lien avec la nature, mais aussi
sur la place et la responsabilité qui incombent à l’art et aux artistes en cette
période critique. Quel sens donner à cette création autour des quatre saisons à
une époque où celles-ci subissent les conséquences du changement climatique au
point que la réalité même de quatre saisons distinctes menace de disparaître ?
Cela fait précisément trois siècles que Vivaldi composa cette musique, en
Méditerranée, à la croisée de différents continents. Les Quatre Saisons invitent
à une réflexion sur la dynamique géopolitique de cette région et sur les
échanges des connaissances, des pouvoirs et de l’histoire qu’elle cristallise.
Creation 2024 fait donc s’entrelacer de multiples strates sous-jacentes pour
faire émerger un langage chorégraphique unique. Ce spectacle revient à
l’essentiel, à la structure de la célèbre pièce de Vivaldi, avec tout le spectre
d’associations et d’émotions qu’elle évoque, tout en créant un contrepoint
chorégraphique à cet univers musical.
Cette production fait partie de Troika Dance
********** Nederlands **********
De vier jaargetijden van Antonio Vivaldi is een van de bekendste, meest
iconische en vaakst gereproduceerde muziekstukken; een echte ‘hit’ uit het
klassieke repertoire. Voor de nieuwste Rosas-creatie laten Anne Teresa De
Keersmaeker en Radouan Mriziga zich inspireren door deze welluidende ode aan de
natuur, en specifiek door de opname van violiste Amandine Beyer en haar ensemble
Gli Incogniti.
De twee choreografen delen naast een grote interesse in de observatie van de
natuur, geometrie en belichaamde abstractie ook een bezorgdheid om onze
veranderende en steeds meer verontrustende relatie met onze natuurlijke
omgeving. Stilstaan bij de vier jaargetijden maakt de urgentie van de
klimaatcrisis pijnlijk duidelijk. Kunnen we vandaag überhaupt nog spreken over
vier seizoenen? Vivaldi’s partituur ontstond exact driehonderd jaar geleden in
het Middellandse Zeegebied, waar verschillende continenten elkaar ontmoeten. In
die zin nodigt het werk ook uit tot reflectie over de geopolitieke dynamiek in
de regio en de manier waarop kennis, macht en geschiedenis zich verspreiden.
Deze voorstelling gaat in op deze uitnodiging en grijpt tegelijk terug naar de
kern, de structuur van Vivaldi’s De vier jaargetijden en de vele associaties en
emoties die dit muziekstuk oproept.
Deze voorstelling maakt deel uit van Troika Dance
********** English **********
Antonio Vivaldi’s The Four Seasons is one of the most well-known, iconic and
reproduced pieces of music; a veritable ‘hit’ of the classical repertoire. In
this new Rosas creation, Anne Teresa De Keersmaeker and Radouan Mriziga set out
to explore this striking ode to nature and take the exquisite recording by
violinist Amandine Beyer and her ensemble Gli Incogniti as a starting point.
Both choreographers share a keen interest in the observation of nature,
geometry, and embodied abstraction. They also share a concern with our changing
and increasingly troubling relationship to our natural environment.
Contemplating the four seasons today brings to the surface the urgency of the
impending climate crisis. Can we even still speak of four seasons? In addition,
Vivaldi wrote this music three hundred years ago in the Mediterranean, a region
at the intersection of different continents. His score thus also invites
reflection on the circulations of knowledge, power, and histories this region
represents.
In this performance, multiple strands come together to create a unique
choreographic language. The piece aims to return to the core, the structure of
Vivaldi’s famous composition and the many associations and emotions it evokes,
while offering a choreographic counterpoint to it.
This production is part of Troika Dance