Pulcinella et la lune

Description


********** Français **********

A la suite d'un nouvel abus, toutes les femmes de la Terre se sont retrouvées sur la Lune. Pulcinella, pour ne pas perdre sa bien-aimée Teresina, tente de la rejoindre et se retrouve ainsi à vivre la dangereuse condition de trop de femmes.
Un violent voyou en mal d'amour, la Loi, la Mort, persécutent Pulcinella même lorsqu'elle est devenue une femme. Mais Pulcinella réussit à s'envoler vers la Lune d'où les Terriens semblent tristes, pauvres et affamés.


Le spectacle développe le répertoire de Guarattelle pour raconter l'histoire de la violence de genre et les relations difficiles entre les rôles joués par les hommes et les femmes, à travers Pulcinella qui a toujours symbolisé l'harmonie des opposés.

Avec le soutien de la fédération Wallonie-Bruxelles, de l'Image de Bruxelles, de la Loterie Nationale, de la Commune d'Ixelles et en coproduction avec le Centre culturel Italien de Bruxelles.


********** Nederlands **********

Als gevolg van een nieuwe misstand zijn alle vrouwen op aarde op de maan beland. Pulcinella, die haar geliefde Teresina niet wil verliezen, probeert zich bij haar aan te sluiten en bevindt zich zo in de gevaarlijke situatie van te veel vrouwen.
Een gewelddadige misdadiger op zoek naar liefde, de Wet en de Dood vervolgen Pulcinella zelfs nadat ze een vrouw is geworden. Maar Pulcinella slaagt erin naar de Maan te vliegen, waar de mensen van de Aarde verdrietig, arm en hongerig lijken.
De voorstelling ontwikkelt het repertoire van Guarattelle om het verhaal te vertellen van gendergeweld en de moeilijke relatie tussen de rollen die mannen en vrouwen spelen, aan de hand van Pulcinella, dat altijd symbool heeft gestaan voor de harmonie van tegengestelden.

Met de steun van de federatie Wallonie-Bruxelles, het Image de Bruxelles, Nationaal Loterij, het Geweest van Elsene en in coproductie met het Centre Culturel Italien de Bruxelles.


********** English **********

As a result of a new abuse, all the women on Earth have ended up on the Moon. Pulcinella, not wanting to lose her beloved Teresina, tries to join her, and so finds herself living the dangerous condition of too many women.
A violent thug in search of love, the Law and Death persecute Pulcinella even after she has become a woman. But Pulcinella manages to fly to the Moon, where the people of Earth seem sad, poor and hungry.
The show develops Guarattelle's repertoire to tell the story of gender violence and the difficult relationship between the roles played by men and women, through Pulcinella, which has always symbolised the harmony of opposites.

With the support of the Wallonie-Bruxelles federation, the Image de Bruxelles, the Loterie Nationale, Ixelles District and in co-production with the Centre Culturel Italien de Bruxelles.

Date info

2024-05-25: 16:00:00 - 16:40:00

2024-05-26: 15:00:00 - 15:40:00

Tickets

Enfants
8€
Normal
10€

Organiser

You’re organising this event?

Contact us if you want to update information and more.

Contact us

7 Pictures

+4Pictures

Suggested events

Louis et Rau doivent leur amitié de longue date à leur recherche commune d’un art du réel. « L'essence du théâtre est la même que celle de la littérature : il s’agit de montrer ce qui est difficile à montrer. Le théâtre ne doit pas être un lieu sûr », a écrit Louis à propos de la pièce Familie de Rau. Dans The Interrogation, les deux hommes présentent un texte profondément personnel sur le doute et l'échec. Écrit et conçu au printemps 2021 à la demande du Kunstenfestivaldesarts, de l'IIPM et du NTGent, il n’avait cependant jamais été créé. Aujourd'hui, il est enfin proposé au public. Interprété par Arne De Tremerie, un acteur de l'ensemble global du NTGent, The Interrogation offre une « démonstration de vulnérabilité », un moment d'immobilité poétique. L'art peut-il nous permettre d'échapper à notre biographie ou n'est-il que le résidu d'une libération ratée ? « Il s’agit d’une pièce profondément mélancolique, fragmentaire et tendre », expliquent Louis et Rau lors d'un entretien. Elle est un échange continu d'idées sur le théâtre et la réalité, l'échec et la transformation, la fiction et la vérité, le devenir et l'être.
Maryse Condé a attribué à Tituba une enfance, une adolescence et une fin de vie fictives dans son livre primé Moi, Tituba, sorcière noire de Salem, qui à son tour a engendré une réflexion de la philosophe Elsa Dorlin dans Moi, toi, nous ... Tituba ou l'ontologie de la trace. Quand Dorothée Munyaneza fait la connaissance d'Elsa et de son travail, aucun doute ne subsiste : elles vont consacrer un projet à Tituba. Dans ce nouveau solo en dialogue avec le musicien Khyam Allami, Dorothée Munyaneza cherche à faire revivre les vies et les rêves de Tituba. Des hommes et des femmes dont l'identité et l'existence ont été niées et écrasées par la traite négrière et le régime colonial. À travers les mots. À travers le corps. À travers l'espace occupé par la voix et les chants. Dorothée dépeint une archive corporelle capable de collectionner et d'honorer les souvenirs. Une archive vivante, sensible, physique et corporelle, dans laquelle les expériences sont rassemblées. Un solo conçu comme une pollinisation croisée, un espace hybride. L’Afrique, puis l’Amérique, l’Europe, les Caraïbes, dans un sens puis dans l’autre... Un espace plein de traces, de rêves et de violence.
"La Vie trépidante de Brigitte Tornade" Camille Kohler dresse un constat réaliste et humoristique sur la difficulté de jongler entre plusieurs rôles au quotidien. Submergée, survoltée, déjantée : voici Brigitte Tornade, pas tout à fait 40 ans, mère de quatre enfants, et au bord de la crise de nerfs. Sa vie ? Un marathon incessant. Elle slalome entre ambitions professionnelles, crises de couple et coups d’État permanents des enfants ! La folie ordinaire d’une « vraie » vie de famille moderne, qui nous tend un miroir réaliste et terriblement drôle de nos paradoxes et de nos petits travers. Critique de la société, caricature des mœurs contemporaines, analyse psychologique du fonctionnement du couple parental, cette pièce résolument actuelle, très dans l’air du temps, est tout à la fois fraîche et engagée. Y sont représentés, dans un style impertinent et caustique, les grands dysfonctionnements dont l’ère post #MeToo a pris possession ces dernières années : la discrimination positive, la place de la femme au travail, les questionnements liés à la maternité, au partage des tâches, à la fameuse charge mentale…
Rien n’est ce qu’il paraît, dans le vieux manoir anglais de Bly. La nouvelle gouvernante reçoit une consigne importante : ne jamais laisser les enfants seuls ! Elle comprend bien vite pourquoi, après avoir fait la rencontre effrayante des fantômes de la précédente gouvernante et d’un certain Peter Quint. Tandis que protéger les enfants devient de plus en plus difficile, des questions inquiétantes s'accumulent : quelles horreurs se sont-elles produites précédemment ? Les enfants sont-ils vraiment innocents ? Ce que vous voyez est-il bien réel ?Sur la base d’une intrigante ghost story de Henry James, Benjamin Britten a composé, avec The Turn of the Screw, un thriller psychologique sous forme d’opéra de chambre. La metteure en scène Andrea Breth préserve le mystère et fait de House Bly un labyrinthe où les personnages ne sont pas les seuls à s’égarer. Avec l’aide du chef d’orchestre Antonio Méndez, elle desserre complètement les vis de votre imagination... Vous avez moins de 30 ans ? Assistez à cet opéra lors de la soirée « Young Opera » (10.5.2024) et profitez d’une réception gratuite ainsi que d’une introduction exclusive.
Qu'entendons-nous par démocratie ? Quel est l'attrait des régimes autoritaires ? La violence peut-elle parfois être légitime ? Le metteur en scène Piet Arfeuille réunit différentes générations et les fait réfléchir à haute voix ; il brosse un tableau d'époque des années 1970 qui, en même temps, donne l'impression d'être tout à fait actuel. À notre époque, la radicalité semble être à la mode… Mais le vrai dialogue est peut-être celui qui, au lieu d’apporter des réponses, pose des questions et ouvre la réflexion. Une histoire sur le droit ou le devoir de faire comprendre son point de vue, les boussoles morales et la façon dont elles perdent parfois le nord, les brocolis, les sonneries de téléphone et l'alcool en abondance. *Rainer Werner Fassbinder (1945-1982) : cinéaste pionnier dont les films commentent les divisions de la société allemande. Il a réalisé 42 films en 14 ans. Il doit son décès prématuré à une vie amoureuse intense, beaucoup d'alcool et de drogue.
********** English ********** What makes up a democracy? What is so attractive about authoritarian regimes? Can violence sometimes be legitimate? Director Piet Arfeuille brings together various generations and makes them think out loud; he creates a seventies imagery that simultaneously feels modern and current.  Being radical is cool … or so it seems in these times. But maybe the real dialogue is one that doesn’t deliver answers, but that asks questions and opens up our thinking. A story about the right or the duty to clarify your point of view, about moral compasses and how they sometimes lose their way, about broccoli, phone ringing and plenty of alcohol. *Rainer Werner Fassbinder (1945-1982): ground-breaking filmmaker who used his films to address the divisions in German society. Created 42 films in a span of 14 years. An intense love life fuelled by alcohol and drugs resulted in an untimely death. ********** Français ********** Qu'entendons-nous par démocratie ? Quel est l'attrait des régimes autoritaires ? La violence peut-elle parfois être légitime ?   Le metteur en scène Piet Arfeuille réunit différentes générations et les fait réfléchir à haute voix ; il brosse un tableau d'époque des années 1970 qui, en même temps, donne l'impression d'être tout à fait actuel.  À notre époque, la radicalité semble être à la mode… Mais le vrai dialogue est peut-être celui qui, au lieu d’apporter des réponses, pose des questions et ouvre la réflexion.  Une histoire sur le droit ou le devoir de faire comprendre son point de vue, les boussoles morales et la façon dont elles perdent parfois le nord, les brocolis, les sonneries de téléphone et l'alcool en abondance. *Rainer Werner Fassbinder (1945-1982) : cinéaste pionnier dont les films commentent les divisions de la société allemande. Il a réalisé 42 films en 14 ans. Il doit son décès prématuré à une vie amoureuse intense, beaucoup d'alcool et de drogue. ********** Nederlands ********** Wat verstaan we onder democratie? Wat is de aantrekkingskracht van autoritaire regimes? Kan geweld soms legitiem zijn?  Regisseur Piet Arfeuille plaatst verschillende generaties bij elkaar en laat ze luidop denken; hij schetst een tijdsbeeld uit de jaren '70 dat tegelijkertijd aanvoelt als vandaag.  Radicaal zijn is cool…. zo lijkt het wel in deze tijd. Maar misschien is de echte dialoog er wel één die geen antwoorden geeft, maar juist vragen stelt en het denken opentrekt. Een verhaal over het recht of de plicht je standpunt duidelijk te maken, over morele kompassen en hoe die soms het noorden kwijtraken, over broccoli, telefoongerinkel en veel alcohol.  *Rainer Werner Fassbinder (1945-1982): baanbrekend cineast die met zijn films de verdeeldheid van de Duitse samenleving becommentarieerde. Maakte 42 films op 14 jaar tijd. Een heftig amoureus leven met veel drank en drugs bezorgden hem een vroegtijdige dood.
Hiver 1917. Un hôpital de campagne juste derrière les lignes de front. Cent vingt-trois malades pour deux infirmières ! Les temps sont durs. Cependant, quatre femmes et un jeune garçon, réunis par les hasards de la guerre vont faire la fête malgré les urgences, les cris des blessés et le bruit du canon. La vie est plus forte que tout. Alors, à la guerre comme à la guerre, on fait ce qu’il faut et on rit, on dit des bêtises, on fume les dernières cigarettes et on chante. Oui on chante ! Parce qu’il faut bien chanter quand le canon tonne. Pour lui répondre qu’on est vivantes. Des femmes dans la guerre qui soignent ceux qui repartiront sitôt réparés. Des femmes qui se heurtent : patriotisme ou pacifisme ? Subir ou résister ? Tenir ou plier ? Un spectacle lumineux, pourtant. Car toujours, on espère. Toujours on se bat contre la violence avec les outils de la résistance : réparer, soulager, partager, ne pas faiblir, être debout, résister à la fatigue et à la peur. Et on invente la vie qui doit être plus forte que la mort, plus puissante que la destruction. Quand l’une flanche, l’autre la récupère. Et c’est de ça qu’elles sont fortes. Un spectacle pour toute la famille, drôle et tendre parce qu’elles sont épatantes ces femmes bourrées de l’énergie que provoquent l’espoir et la volonté. Car cette guerre-ci sera la Der, c’est sûr. Ce sera « la Der des Ders… » __________ De Dany Laurent / Mise en scène : Patricia Ide et Serge Demoulin / Avec : Laurence D’Amelio, Soazig De Staercke, Laure Godisiabois __________ UNE PRODUCTION DU THÉÂTRE LE PUBLIC. AVEC LE SOUTIEN DU TAX SHELTER DE L’ÉTAT FÉDÉRAL BELGE VIA BESIDE ET DE LA COMMUNAUTÉ FRANÇAISE.
Hiver 1917. Un hôpital de campagne juste derrière les lignes de front. Cent vingt-trois malades pour deux infirmières ! Les temps sont durs. Cependant, quatre femmes et un jeune garçon, réunis par les hasards de la guerre vont faire la fête malgré les urgences, les cris des blessés et le bruit du canon.La vie est plus forte que tout. Alors, à la guerre comme à la guerre, on fait ce qu’il faut et on rit, on dit des bêtises, on fume les dernières cigarettes et on chante. Oui on chante ! Parce qu’il faut bien chanter quand le canon tonne. Pour lui répondre qu’on est vivantes. Des femmes dans la guerre qui soignent ceux qui repartiront sitôt réparés. Des femmes qui se heurtent : patriotisme ou pacifisme ? Subir ou résister ? Tenir ou plier ? Un spectacle lumineux, pourtant. Car toujours, on espère. Toujours on se bat contre la violence avec les outils de la résistance : réparer, soulager, partager, ne pas faiblir, être debout, résister à la fatigue et à la peur.Et on invente la vie qui doit être plus forte que la mort, plus puissante que la destruction. Quand l’une flanche, l’autre la récupère. Et c’est de ça qu’elles sont fortes.Un spectacle pour toute la famille, drôle et tendre parce qu’elles sont épatantes ces femmes bourrées de l’énergie que provoquent l’espoir et la volonté. Car cette guerre-ci sera la Der, c’est sûr. Ce sera « la Der des Ders… »__________De Dany Laurent / Mise en scène : Patricia Ide et Serge Demoulin / Avec : Laurence D’Amelio, Soazig De Staercke, Laure Godisiabois__________UNE PRODUCTION DU THÉÂTRE LE PUBLIC. AVEC LE SOUTIEN DU TAX SHELTER DE L’ÉTAT FÉDÉRAL BELGE VIA BESIDE ET DE LA COMMUNAUTÉ FRANÇAISE.
********** Nederlands ********** Programma: Jacques Prévert (1900-1977, Fr) : Le contrôleur; Sur le champ; Ne craignez rien; Cœur de rubis; Le soleil aime la terre; Il ne faut pas laisser les intellectuels; Tant de forêts arrachées; Aphorismes; Arthur Rimbaud (1854-1891, Fr) : Sensations; Une saison en enfer – extrait; Lettre du voyant; Henri Michaux (1899-1984, Be) : Un homme paisible; Contre; Le Grand Combat; Nausée; Emportez-moi; Pierre Albert Birot (1876-1967, Fr) : Grabinoulor – extrait 1 et 2; Jean Tardieu (1903-1995, Fr) : Monsieur, Monsieur; L’homme qui n’y comprend rien; Molinet (1435-1507, Fr) : Madame qui mon cœur avez; Rabelais (1490-1553, Fr) : Gargantua-extrait; Florian (1755-1794, Fr) : Le chien et le chat; Ibn El Muqafa (VIIe s., Perse) : L’homme à la cruche; L’homme qui fuyait la mort. ********** Français ********** Programme du spectacle : Jacques Prévert (1900-1977, Fr) : Le contrôleur; Sur le champ; Ne craignez rien; Cœur de rubis; Le soleil aime la terre; Il ne faut pas laisser les intellectuels; Tant de forêts arrachées; Aphorismes; Arthur Rimbaud (1854-1891, Fr) : Sensations; Une saison en enfer – extrait; Lettre du voyant; Henri Michaux (1899-1984, Be) : Un homme paisible; Contre; Le Grand Combat; Nausée; Emportez-moi; Pierre Albert Birot (1876-1967, Fr) : Grabinoulor – extrait 1 et 2; Jean Tardieu (1903-1995, Fr) : Monsieur, Monsieur; L’homme qui n’y comprend rien; Molinet (1435-1507, Fr) : Madame qui mon cœur avez; Rabelais (1490-1553, Fr) : Gargantua-extrait; Florian (1755-1794, Fr) : Le chien et le chat; Ibn El Muqafa (VIIe s., Perse) : L’homme à la cruche; L’homme qui fuyait la mort.
1/Travail sur un plateau cinéma avec ses contraintes et ses applications en conditions réelles de tournage : La différence entre jouer au théâtre et pour la caméra. Même si chaque ciné́aste a son approche personnelle, ils s’accordent tous sur plusieurs points, comme pour dire qu’il y a « direction » en l’absence des acteurs à la table de montage. 2/Approche pratique en tant qu’acteur. Où, comment inventer un jeu ? 3/Le scénario, comment le lire; le séquencer, trouver les informations nécessaires pour construire mon personnage. Lecture du scénario et méthodes pour la mémoire 4/Construire la Back-Story du personnage. Où va, vient et où le personnage Exercices de préparation et les répétitions. Être apte aux répétitions et améliorer le personnage Connaître la caméra et la magie des lumières. Jouer un plan séquence en action sur le plateau. Tous les exercices seront filmés et analysés et certains montés. Ce stage va vous donner une infinité d’outils pour construire et jouer les situations dramatiques écrites par les scénaristes, car les situations dans lesquelles évoluent vos personnages Les stagiaires recevront divers texte avant le stage. On finira le jeudi après-midi et le vendredi par un tournage d’un court métrage. Possibilité de restauration sur place. Il y a une cuisine.