Exposition de photographie “Together” sur les Amours queers.
Le 19 mai aura lieu une performance de Hugo Amour à 15h00.
UNIQUE - Beyond photography
Description
Exposition collective témoignant de la volonté des artistes à se réapproprier le medium photographique lors de leur processus de création.Nicolas Andry (BE), Pepe Atocha (PE), Sylvie Bonnot (FR), Aliki Christoforou (BE), Dana Cojbuc(RO), Antoine De Winter (BE), Gundi Falk (AT), Marina Font (AR), Lior Gal (IL), Audrey Guttman(BE), Romane Iskaria (FR), Morvarid K (IR), Kíra Krász (HU), Douglas Mandry (CH), Alice Pallot(FR), Raphaëlle Peria (FR), Luc Praet (BE), Anys Reimann (DE), St
Photography
Date info
Du 19/04/2024 au 08/06/2024
Tickets
Info:
Standard : 9,00 €Etudiants : 5,00 €Sans emploi : 5,00 €Senior : 7,00 €
Info & Reservation
1 Picture
Suggested events
********** English **********
Photographies by Patrick Labarrere
Ethiopia, cradle of humanity but also cradle of Orthodox Christianity. A dive
into these sacred spaces, into this Ethiopian belief, leads to a loss of
bearings and encourages reflection on the fervor that one encounters while
walking the paths of the ancient kingdom of Abyssinia.
********** Français **********
Exposition de photographies de Patrick Labarrere
L'Éthiopie berceau de l'humanité mais aussi berceau de la chrétienté orthodoxe.
Une plongée dans ces espaces sacrés, dans cette croyance Éthiopienne entraine
une perte de repère et incite à réflexion sur la ferveur que l'on rencontre en
arpentant les chemins de l'ancien royaume d'Abyssinie.
********** Nederlands **********
Tentoonstelling van foto's van Patrick Labarrere
Ethiopië, bakermat van de mensheid maar ook bakermat van het orthodoxe
christendom.
Een duik in deze heilige ruimtes, in dit Ethiopische geloof, leidt tot verlies
van oriëntatie en moedigt reflectie aan over de hartstocht die je tegenkomt
tijdens het bewandelen van de paden van het oude koninkrijk Abessinië.
Vernissage le 8 mai à 11h.
De nombreux mouvements migratoires exigent beaucoup des migrants. Leurs vies et
leur santé sont menacées, leur droit à l’autodétermination est remis en
question, et leurs identités individuelles deviennent des objets des préjugés et
des actions d’autrui. Tous les processus de migration, même les plus douloureux,
conduisent à une nouvelle diversité culturelle, qui peut être perçue comme une
force positive dans les sociétés d’aujourd’hui. Les expériences partagées
renforcent les citoyens européens et contribuent à créer notre identité
européenne commune.
Il existe quelques situations très spécifiques au niveau européen :
1. Les conséquences à long terme de l’occupation allemande de la Norvège pendant
la Seconde Guerre mondiale.
2. Les préjugés contre de nombreux Groenlandais après la migration du Groenland
au Danemark depuis 1945.
3. La migration forcée des Sámis du Nord vers le Sud de la Suède.
4. L’échange de population dans l’ancienne Poméranie allemande après 1945,
exemplifié par la ville polonaise de Slupsk.
5. Les conséquences à long terme de l’Holocauste pour les femmes lituaniennes.
6. La migration en Slovénie après la Seconde Guerre mondiale et l’impact de
l’indépendance du pays en 1991 sur les migrants.
7. L’histoire politique complexe de la péninsule istrienne et de sa population
multiethnique liée à 200 000 émigrants après la Seconde Guerre mondiale.
Réservations : museum@foyer.be
https://www.i-on.museum; https://www.identityontheline.eu
En couleur et en noir et blanc, le Palais de justice de Bruxelles se dévoile :
sa coupole étincelante, sa salle des pas perdus extraordinaire, ses colonnes
gréco-romaines monumentales, ses œuvres d’art et ses sculptures multiples, ses
salles d’audience au parquet ciré, ses couloirs infinis, et bien plus encore.
Venez explorer ce monument emblématique de l'intérieur, grâce au regard unique
de 30 étudiants de l'Académie des Arts RHoK d'Etterbeek. À l’invitation de la
Fondation Poelaert, pendant près d'une année, ils ont arpenté ses 26 000 mètres
carrés, capturant son essence même alors que le Palais est en pleine rénovation.
Ils nous présentent le fruit de leurs déambulations dans une superbe exposition
de photographies à découvrir au Mont-de-Piété, à deux pas du Palais de Justice.
INFOS PRATIQUES
Dates : du samedi 4 au dimanche 19 mai 2024
Adresse : 19 rue Saint-Ghislain, 1000 Bruxelles
Horaires de l’exposition:
Les vendredi, samedi, dimanche de 11h à 19h
(+ ouverture exceptionnelle le mardi 14 mai de 10h à 16h)
Vernissage : vendredi 3 mai 2024 de 18h à 22h
Entrée gratuite, sans réservation
Plus d'infos sur l'expo :
https://montdepiete.be/blogs/news/expo-justice
[https://montdepiete.be/blogs/news/expo-justice?fbclid=IwZXh0bgNhZW0CMTAAAR3eXJxeh2j_jHRjQO0hdaKrXJWm_nCNSI7oeNX47UvNVH663kcQn2hkWQ0_aem_Ac02EzXMh13_eku4YL-NuzU8R2rDFxsQETRUcClV22T9XwsIhzDvgyPsfSuwF7c_Ey-aSOjWk-0h5u-RmoedVPS-]
Spectra Ex Machine / RELEASE PARTY
Samedi 18 mai 2024 – 17h-19h
Réservation obligatoire par mail à : gauthier@subrosa.net
À l’occasion de la sortie du nouveau volume de son anthologie sonore des
phénomènes occultes, l'auteur et réalisateur radio Philippe Baudouin vient
présenter son projet Spectra Ex Machina (Sub Rosa), lors d'une soirée
exceptionnelle.
Le second volume de cette anthologie sonore explore les liens entre musique et
médiumnité, art vocal et sorcellerie : Aleister Crowley, Uri Geller, Rosemary
Brown ou bien encore Elvis Presley font ainsi résonner leur voix de l'au-delà.
Au programme de cette soirée : séance d'écoute de quelques extraits du disque et
discussion avec Philippe Baudouin, Stéphanie Peel et Christian Chelman sur
l'histoire du spiritisme et ses croisements inattendus avec la question
musicale.
À cette occasion, les deux premiers volumes de Spectra Ex Machina seront
proposés à la vente.
Philippe Baudouin est réalisateur radio et maître de conférences associé à
l’Université Paris-Saclay. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages et articles sur
l’histoire de l’occultisme dont Apparitions : Les Archives de la France hantée
(Hoëbeke, 2021) et Surnaturelles : une histoire visuelle des femmes médiums
(Pyramyd, 2021). Depuis 2019, il poursuit en collaboration avec le label Sub
Rosa le projet Spectra Ex Machina, consacré aux archives sonores du paranormal.
Stéphanie Peel est chercheuse indépendante et doctorante à l’Université libre de
Bruxelles. Son compte Instagram « Les Occultées » est consacré à l’histoire des
femmes médiums.
Christian Chelman est illusionniste et collectionneur. Il est également le
fondateur et l’actuel conservateur du Surnatéum, Muséum d’Histoire Surnaturelle
de Bruxelles.
Avec Marche salope (1), Céline Chariot aborde le sujet du viol, interrogeant le
mutisme qui entoure les agressions sexuelles. « La vraie question n’est pas de
savoir pourquoi je parle, mais pourquoi je n’ai pas parlé » écrit-elle.
Aujourd’hui, elle part de constats et de statistiques, pas d’une colère
irrationnelle ; elle ne veut ni écrire de fiction édulcorée, ni chercher à
raconter l’histoire des femmes et encore moins la sienne, ni à brûler les
hommes, ni à faire justice.
En reconstituant une scène de crime, par le biais d’un geste accessible, fort,
documenté et poétique, travaillant à un acte artistique qui puisse révéler une
certaine beauté tout en pouvant transcender la douleur de gestes passés, Céline
Chariot, qui n’est ni danseuse, ni actrice, mais photographe, aborde le viol via
le regard, via des sensations qui ont pour but la réflexion, et rappelle que
dans cette transgression odieuse qu’est le viol, le crime n’est pas uniquement
celui du violeur mais surtout celui d’un corps social qui pointe la victime
comme responsable de son sort.
Dans une forme originale où se mêlent texte, performance, silence, regard,
reconstitution du réel et onirisme, le spectacle invite puissamment à la
transformation des traumatismes du passé en une puissante frénésie d’en finir
avec les inégalités de genre.
(1) La Slutwalk, ou « Marche des salopes », est une marche de protestation née
en avril 2011 au Canada après qu’un officier de police ait déclaré : « Si vous
voulez éviter de vous faire violer, il faut éviter de s’habiller comme une
salope »
Des images qui, altérées, oscillent entre le lisible et l’illisible. Pourtant,
des traces de présence humaine et des fragments de paysage, des textures et des
sensations se révèlent à nous. Des indices semés par Solal Israel pour nous
laisser entrevoir ce qui est, ce qui n’est pas, ce qui aurait pu être… ouvrant
ainsi la voie à une lecture personnelle de l’image.
* * *
Né à Bruxelles en 1993, Solal Israel grandit dans un milieu artistique et se
lance dans la photographie à 17 ans, discipline qu’il étudie à l’ÉSA Le 75 de
2011 à 2014. Parmi ses réalisations, il y a le livre [Never] Let me go, un
recueil dans lequel il présente son travail entre 2012 et 2016, ou encore
l’exposition Regarde mon histoire/Kijk naar mijn verhaal au Hangar en 2021. Son
parcours l’amène à faire un tour du monde de début 2017 à mi-2018. Solal Israel
est également cofondateur de la La Nombreuse asbl, collectif de photographes et
espace de création à Saint-Gilles.
* * *
Vendredi 31 mai, 18h - vernissage ouvert à toustes.
Samedi 8 juin, 16h - visite guidée avec l'artiste.
Mercredi 12 juin, 19h15 - soirée EXPO+DOC, visite guidée suivie d'une
projection. En collaboration avec le Centre du Film sur l'Art.
Het Volk der Introverten is een geboetseerde menigte bestaande uit hoofdjes van
klei met ogen dicht, gemaakt door vele handen. Onder leiding van kunstenaar
Mirthe Dokter (Pollif Projects) wordt je meegenomen in een zoektocht van je
handen naar jezelf, met de klei als vriendelijke bondgenoot. Door een moment
gezamenlijk introvert te zijn poogt Mirthe deze kant van de mens meer ruimte te
geven in het dagelijkse leven. Ook biedt het kunstwerk een podium aan de mensen
die zich ongezien voelen.
Je kan bijdragen aan het Volk der Introverten van Sint-Gillis door mee te kleien
tijdens een boetseersessie. Jouw hoofdje wordt onderdeel van het kunstwerk, dat
zo groeit en groeit. Dat kan tijdens gezamenlijke sessies, maar je kan
doorlopend ook zelf komen kleien in de exporuimte, te midden van alle
gezichtjes. De hoofdjes worden niet afgebakken, maar zullen uiteindelijk buiten
geplaatst worden waar ze weer zullen verdwijnen. Terug naar waar de klei vandaan
komt, opnieuw onzichtbaar.
********** Français **********
L'Université libre de Bruxelles (ULB) célèbre, du 16 mai au 22 juillet 2024, 60
ans d'immigration marocaine en Belgique avec l'exposition itinérante gratuite
Belgica Biladi : une histoire belgo-marocaine. Conçue en partenariat avec la
Ville de Bruxelles, cette exposition se tiendra dans divers espaces publics de
la ville et s'inscrit dans le cadre du 60e anniversaire de la signature des
accords bilatéraux entre la Belgique et le Maroc pour une immigration de
travail.
Belgica Biladi propose un parcours immersif accessible à tous dans le
centre-ville de Bruxelles, ponctué d’installations utilisant le mobilier urbain
et retraçant l'expérience de l'immigration marocaine en Belgique, depuis
l'arrivée des premiers travailleurs marocains dans les années 1960 jusqu'à la
co-construction actuelle d'une société plurielle et multiculturelle.
L'exposition met en lumière les témoignages de plusieurs générations d'immigrés
marocains, enrichis par des archives, des photographies et des vidéos. Des
experts interviennent également pour apporter leur éclairage sur les différentes
thématiques abordées.
L'ULB, à travers Belgica Biladi, souhaite contribuer activement à la
déconstruction des stéréotypes et la lutte contre les préjugés liés à
l'immigration. L'exposition vise à mettre en avant la richesse de la culture
plurielle belge, née du brassage des cultures et des contributions de ses
différentes communautés.
Belgica Biladi se veut une invitation à la découverte de l'histoire et de la
culture belgo-marocaine, ainsi qu'à la rencontre entre les différentes
communautés de Bruxelles. L'exposition encourage le dialogue et la compréhension
mutuelle, en célébrant la diversité et la contribution de la communauté
marocaine à la société belge.
********** Nederlands **********
Van 16 mei tot 22 juli 2024 viert de Université libre de Bruxelles (ULB) 60 jaar
Marokkaanse immigratie in België met de gratis reizende tentoonstelling Belgica
Biladi. De tentoonstelling is ontworpen in samenwerking met de Stad Brussel en
wordt in verschillende openbare ruimtes in de stad gehouden in het kader van de
60ste verjaardag van de ondertekening van de bilaterale akkoorden tussen België
en Marokko over arbeidsimmigratie.
Belgica Biladi neemt bezoekers mee op een immersief parcours door het centrum
van Brussel, onderbroken door installaties die gebruik maken van straatmeubilair
om de ervaring van de Marokkaanse immigratie naar België weer te geven, vanaf de
aankomst van de eerste Marokkaanse arbeiders in de jaren 1960 tot de huidige
co-constructie van een pluriforme en multiculturele samenleving.
De tentoonstelling belicht de getuigenissen van verschillende generaties
Marokkaanse immigranten, verrijkt met archieven, foto's en video's. Er zijn ook
deskundigen te gast om licht te werpen op de verschillende thema's die aan bod
komen.
Met Belgica Biladi wil de ULB actief bijdragen tot de deconstructie van
stereotypen en de strijd tegen vooroordelen in verband met immigratie. De
tentoonstelling wil de aandacht vestigen op de rijkdom van de pluricultuur in
België, die voortkomt uit de vermenging van culturen en de bijdragen van de
verschillende gemeenschappen.
Belgica Biladi is een uitnodiging om de Belgisch-Marokkaanse geschiedenis en
cultuur te ontdekken en de verschillende gemeenschappen in Brussel te ontmoeten.
De tentoonstelling moedigt dialoog en wederzijds begrip aan en viert de
diversiteit en bijdrage van de Marokkaanse gemeenschap aan de Belgische
samenleving.
NL / De Elsense geologe Marie Anne Maniet toont een reeks foto’s over de
Maalbeekvallei. Met haar foto's wil ze de aanwezigheid van dit verdwenen water
en de vallei opnieuw laten voelen.
FR / La géologue ixelloise Marie Anne Maniet présente une série de photos sur la
vallée de Maelbeek. Avec ses photos, elle souhaite faire sentir à nouveau la
présence de cette eau évaporée et de la vallée.
Vernissage 27.04 18:00 Gratis/Gratuit
Expo: 27.04 > 31.05 Visits on weekdays 09:00-20:00