Tadam - Compagnie Renards / Effet Mer

Description

Un secret peut-il tenir bien longtemps, quand un·e enfant décide de partir sur ses traces ?

Yves était un grand magicien. Et puis, un beau jour, il a voulu réaliser le tour de trop : « La Grande Disparition » … Et il a raté son coup. Depuis, rien n’est plus comme avant. Ses petits numéros sont devenus désuets et sa fille, Louison, en connaît par cœur toutes les ficelles. Pourtant, il en reste un qu’elle n’a jamais réussi à comprendre jusqu’au bout : c’était quoi, cette histoire de disparition ? Elle a beau essayer d’en parler avec Yves, ce dernier se dérobe toujours, préférant s’enfermer dans sa propre illusion et jouer aux échecs en compagnie d’un étrange personnage, avec qui il passe le plus clair de son temps. Mais Louison n’est pas du genre à lâcher l’affaire : face aux silences de son père, elle va tout essayer pour le démasquer, par-delà les fêlures qu'il cherche à lui cacher...

Après Foxes, présenté au Varia la saison dernière, la Compagnie Renards / Effet Mer continue de nous émerveiller, avec une nouvelle fiction intime et remplie de tendresse. L’histoire d’un adulte, empêtré dans ses doutes et ses silences, et d’une enfant qui, pour grandir, va chercher à percer ses arcanes, pour renouer le dialogue avec lui. Comment réparer cette relation, abîmée par l’absence de réponses ? Comment dissiper le brouillard des non-dits, pour retrouver la joie d’être ensemble ? Une véritable quête initiatique, au fil de laquelle cette jeune héroïne va explorer les méandres parfois sinueux de l’existence, pour découvrir les zones d’ombre d’une figure paternelle aussi complexe qu’attachante, un homme craquelé de toutes parts qui, sans vraiment se l’avouer, a besoin de sa fille pour retrouver son chemin.

Dans un univers visuel enchanteur, les trois interprètes de Tadam creusent un sillon poétique entre l’enfance et le monde des adultes, au sein duquel le réel et l’illusion s’entrechoquent sans cesse, pour dévoiler le merveilleux sous toutes ses coutures. Aussi drôle qu’audacieuse, cette fable est aussi émaillée de métaphores sensibles, qui élargissent le champ de nos interprétations. S’il est question d’échecs, il ne s’agit pas simplement de ceux auxquels on joue, mais également de ceux que l’on cherche à oublier, par honte, ou par peur. Tous ces petits ratés, ces moments de faiblesse, ces discrets renoncements que l’on préfèrerait cacher mais qui, pourtant, nous constituent. Et si, pour mieux nous reconstruire, nous commencions par accepter nos failles ? Spectacle réparateur et lumineux, Tadam nous rappelle qu’au fond de nos cœurs sommeille le plus grand des pouvoirs magiques : la richesse de notre imaginaire, et la puissance de notre vulnérabilité.


Date info

Le 20/02/202413:30Le 20/02/202419:00Le 21/02/202410:00Le 22/02/202415:00Le 22/02/202413:30Le 23/02/202419:00Le 23/02/202413:30Le 24/02/202418:00

Tickets

Info:

Pay what you can : 35,00 €Pay what you can : 26,00 €Pay what you can : 21,00 €Pay what you can : 16,00 €Pay what you can : 12

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Hiver 1917. Un hôpital de campagne juste derrière les lignes de front. Cent vingt-trois malades pour deux infirmières ! Les temps sont durs. Cependant, quatre femmes et un jeune garçon, réunis par les hasards de la guerre vont faire la fête malgré les urgences, les cris des blessés et le bruit du canon.La vie est plus forte que tout. Alors, à la guerre comme à la guerre, on fait ce qu’il faut et on rit, on dit des bêtises, on fume les dernières cigarettes et on chante. Oui on chante ! Parce qu’il faut bien chanter quand le canon tonne. Pour lui répondre qu’on est vivantes. Des femmes dans la guerre qui soignent ceux qui repartiront sitôt réparés. Des femmes qui se heurtent : patriotisme ou pacifisme ? Subir ou résister ? Tenir ou plier ? Un spectacle lumineux, pourtant. Car toujours, on espère. Toujours on se bat contre la violence avec les outils de la résistance : réparer, soulager, partager, ne pas faiblir, être debout, résister à la fatigue et à la peur.Et on invente la vie qui doit être plus forte que la mort, plus puissante que la destruction. Quand l’une flanche, l’autre la récupère. Et c’est de ça qu’elles sont fortes.Un spectacle pour toute la famille, drôle et tendre parce qu’elles sont épatantes ces femmes bourrées de l’énergie que provoquent l’espoir et la volonté. Car cette guerre-ci sera la Der, c’est sûr. Ce sera « la Der des Ders… »__________De Dany Laurent / Mise en scène : Patricia Ide et Serge Demoulin / Avec : Laurence D’Amelio, Soazig De Staercke, Laure Godisiabois__________UNE PRODUCTION DU THÉÂTRE LE PUBLIC. AVEC LE SOUTIEN DU TAX SHELTER DE L’ÉTAT FÉDÉRAL BELGE VIA BESIDE ET DE LA COMMUNAUTÉ FRANÇAISE.
Louis et Rau doivent leur amitié de longue date à leur recherche commune d’un art du réel. « L'essence du théâtre est la même que celle de la littérature : il s’agit de montrer ce qui est difficile à montrer. Le théâtre ne doit pas être un lieu sûr », a écrit Louis à propos de la pièce Familie de Rau. Dans The Interrogation, les deux hommes présentent un texte profondément personnel sur le doute et l'échec. Écrit et conçu au printemps 2021 à la demande du Kunstenfestivaldesarts, de l'IIPM et du NTGent, il n’avait cependant jamais été créé. Aujourd'hui, il est enfin proposé au public. Interprété par Arne De Tremerie, un acteur de l'ensemble global du NTGent, The Interrogation offre une « démonstration de vulnérabilité », un moment d'immobilité poétique. L'art peut-il nous permettre d'échapper à notre biographie ou n'est-il que le résidu d'une libération ratée ? « Il s’agit d’une pièce profondément mélancolique, fragmentaire et tendre », expliquent Louis et Rau lors d'un entretien. Elle est un échange continu d'idées sur le théâtre et la réalité, l'échec et la transformation, la fiction et la vérité, le devenir et l'être.
Maryse Condé a attribué à Tituba une enfance, une adolescence et une fin de vie fictives dans son livre primé Moi, Tituba, sorcière noire de Salem, qui à son tour a engendré une réflexion de la philosophe Elsa Dorlin dans Moi, toi, nous ... Tituba ou l'ontologie de la trace. Quand Dorothée Munyaneza fait la connaissance d'Elsa et de son travail, aucun doute ne subsiste : elles vont consacrer un projet à Tituba. Dans ce nouveau solo en dialogue avec le musicien Khyam Allami, Dorothée Munyaneza cherche à faire revivre les vies et les rêves de Tituba. Des hommes et des femmes dont l'identité et l'existence ont été niées et écrasées par la traite négrière et le régime colonial. À travers les mots. À travers le corps. À travers l'espace occupé par la voix et les chants. Dorothée dépeint une archive corporelle capable de collectionner et d'honorer les souvenirs. Une archive vivante, sensible, physique et corporelle, dans laquelle les expériences sont rassemblées. Un solo conçu comme une pollinisation croisée, un espace hybride. L’Afrique, puis l’Amérique, l’Europe, les Caraïbes, dans un sens puis dans l’autre... Un espace plein de traces, de rêves et de violence.
Hiver 1917. Un hôpital de campagne juste derrière les lignes de front. Cent vingt-trois malades pour deux infirmières ! Les temps sont durs. Cependant, quatre femmes et un jeune garçon, réunis par les hasards de la guerre vont faire la fête malgré les urgences, les cris des blessés et le bruit du canon. La vie est plus forte que tout. Alors, à la guerre comme à la guerre, on fait ce qu’il faut et on rit, on dit des bêtises, on fume les dernières cigarettes et on chante. Oui on chante ! Parce qu’il faut bien chanter quand le canon tonne. Pour lui répondre qu’on est vivantes. Des femmes dans la guerre qui soignent ceux qui repartiront sitôt réparés. Des femmes qui se heurtent : patriotisme ou pacifisme ? Subir ou résister ? Tenir ou plier ? Un spectacle lumineux, pourtant. Car toujours, on espère. Toujours on se bat contre la violence avec les outils de la résistance : réparer, soulager, partager, ne pas faiblir, être debout, résister à la fatigue et à la peur. Et on invente la vie qui doit être plus forte que la mort, plus puissante que la destruction. Quand l’une flanche, l’autre la récupère. Et c’est de ça qu’elles sont fortes. Un spectacle pour toute la famille, drôle et tendre parce qu’elles sont épatantes ces femmes bourrées de l’énergie que provoquent l’espoir et la volonté. Car cette guerre-ci sera la Der, c’est sûr. Ce sera « la Der des Ders… » __________ De Dany Laurent / Mise en scène : Patricia Ide et Serge Demoulin / Avec : Laurence D’Amelio, Soazig De Staercke, Laure Godisiabois __________ UNE PRODUCTION DU THÉÂTRE LE PUBLIC. AVEC LE SOUTIEN DU TAX SHELTER DE L’ÉTAT FÉDÉRAL BELGE VIA BESIDE ET DE LA COMMUNAUTÉ FRANÇAISE.
********** Nederlands ********** Programma: Jacques Prévert (1900-1977, Fr) : Le contrôleur; Sur le champ; Ne craignez rien; Cœur de rubis; Le soleil aime la terre; Il ne faut pas laisser les intellectuels; Tant de forêts arrachées; Aphorismes; Arthur Rimbaud (1854-1891, Fr) : Sensations; Une saison en enfer – extrait; Lettre du voyant; Henri Michaux (1899-1984, Be) : Un homme paisible; Contre; Le Grand Combat; Nausée; Emportez-moi; Pierre Albert Birot (1876-1967, Fr) : Grabinoulor – extrait 1 et 2; Jean Tardieu (1903-1995, Fr) : Monsieur, Monsieur; L’homme qui n’y comprend rien; Molinet (1435-1507, Fr) : Madame qui mon cœur avez; Rabelais (1490-1553, Fr) : Gargantua-extrait; Florian (1755-1794, Fr) : Le chien et le chat; Ibn El Muqafa (VIIe s., Perse) : L’homme à la cruche; L’homme qui fuyait la mort. ********** Français ********** Programme du spectacle : Jacques Prévert (1900-1977, Fr) : Le contrôleur; Sur le champ; Ne craignez rien; Cœur de rubis; Le soleil aime la terre; Il ne faut pas laisser les intellectuels; Tant de forêts arrachées; Aphorismes; Arthur Rimbaud (1854-1891, Fr) : Sensations; Une saison en enfer – extrait; Lettre du voyant; Henri Michaux (1899-1984, Be) : Un homme paisible; Contre; Le Grand Combat; Nausée; Emportez-moi; Pierre Albert Birot (1876-1967, Fr) : Grabinoulor – extrait 1 et 2; Jean Tardieu (1903-1995, Fr) : Monsieur, Monsieur; L’homme qui n’y comprend rien; Molinet (1435-1507, Fr) : Madame qui mon cœur avez; Rabelais (1490-1553, Fr) : Gargantua-extrait; Florian (1755-1794, Fr) : Le chien et le chat; Ibn El Muqafa (VIIe s., Perse) : L’homme à la cruche; L’homme qui fuyait la mort.
It’s with great pleasure that we welcome comedian Bill Bailey back on the Belgian stage! He’ll bring his new show ‘Thoughtifier’ on 4 May 2024 at La Madeleine Brussels. Bill Bailey is delighted to get back on the road with the announcement of an ARENA TOUR for February 2024. With his trademark musical stylings and characteristic wit, Bill returns to the live stage in… Thoughtifier! At a point in our evolution when it seems as if we’re sleepwalking into a world where humans might be redundant, and much of what we do can be done better and more efficiently by machines, what better time to celebrate our own flawed humanity. And who better a guide to lead us than Bill… To take us on a jaunt through the error-strewn, distracted, crumb-festooned, sometimes magnificent history of human thought and how it might help us survive in this brave new world. A magical, musical mystery tour of the human mind, along with some other pressing matters about whales, biophilia, unrequited love and other thoughts. Amplified With Music.
- De Théâtre & Réconciliation - Frédérique Lecomte D’habitude, IELS ne se rencontrent pas. IELS, ce sont des personnes de Bruxelles, de différents quartiers et milieux, de différentes nationalités et cultures. IELS parlent des stéréotypes, de l’amour, de l’éducation, du handicap, de la guerre, de leur différence, de leur ressemblance, de leur identité. Jamais IELS ne se sont senti.e.s aussi proches l’un.e de l’autre. Jamais IELS n’ont été aussi proches de vous. Vous ne les avez sans doute jamais vu.e.s, jamais entendu.e.s, ces gens-là, ces autres que vous. Par miracle, par la grâce d’un spectacle, IELS sont rassemblé.e.s dans un même espace. Dans le jargon, cela s’appelle de la cohésion sociale. Mais vous, vous en sortirez transformé.e.s, promis ! Drôle et émouvant bien sûr ! -------- ES LIAISONS JOYEUSES est un projet de cohésion sociale porté par Théâtre et Réconciliation. Envie de participer à la préparation de la pièce ? Les ateliers de Théâtre & Réconciliation sont ouverts à toutes et tous ! infos & inscriptions sur www.theatrereconciliation.org Un grand spectacle de cohésion social centré sur Saint-Josse se prépare pour 2025 ! Les habitant.e.s intéressé.e.s sont invité.e.s à participer aux ateliers et à voir l’édition 2024 en salle ! -------- Mise en scène : Frédérique Lecomte / Gestion de projet : Jo Gianquinto. Un projet de Théâtre & Réconciliation, réalisé dans le cadre d’un programme régional et quinquennal de cohésion sociale, sur une demande de la Commission Communautaire Française, en partenariat avec le Théâtre de la Vie, La Tricoterie et Zin TV, ainsi que toutes les autres ASBL et structures participant à la réalisation du projet. Avec le soutien de la Cocof et de la Fédération Wallonie-Bruxelles.
********** English ********** Louis and Rau are long-time friends, a friendship which arose from their shared search for an art of reality. “The existential core of theatre is the same as that of literature: to show what is difficult to show. Theatre should not be a safe space,” Louis wrote about Rau’s play Familie. With The Interrogation, Rau and Louis present a very personal text about doubt and failure. The play was written in the spring of 2021, at the time commissioned by Kunstenfestivaldesarts, IIPM & NTGent, but it never premiered. Now, it finally takes to the stage. Performed by NTGent ensemble actor Arne De Tremerie, The Interrogation is a ‘demonstration of vulnerability’, a moment of poetic stillness. Can art help us escape our biography, or is art merely a reflection of a failed escape? “It’s a deeply melancholic play, a fragmentary play, a tender play,” said Louis and Rau in an interview – a constant exchange of thoughts about theatre and reality, failure and transformation, fiction and truth, about becoming and being. ********** Français ********** Louis et Rau doivent leur amitié de longue date à leur recherche commune d’un art du réel. « L'essence du théâtre est la même que celle de la littérature : il s’agit de montrer ce qui est difficile à montrer. Le théâtre ne doit pas être un lieu sûr », a écrit Louis à propos de la pièce Familie de Rau.  Dans The Interrogation, les deux hommes présentent un texte profondément personnel sur le doute et l'échec. Écrit et conçu au printemps 2021 à la demande du Kunstenfestivaldesarts, de l'IIPM et du NTGent, il n’avait cependant jamais été créé. Aujourd'hui, il est enfin proposé au public. Interprété par Arne De Tremerie, un acteur de l'ensemble global du NTGent, The Interrogation offre une « démonstration de vulnérabilité », un moment d'immobilité poétique. L'art peut-il nous permettre d'échapper à notre biographie ou n'est-il que le résidu d'une libération ratée ? « Il s’agit d’une pièce profondément mélancolique, fragmentaire et tendre », expliquent Louis et Rau lors d'un entretien. Elle est un échange continu d'idées sur le théâtre et la réalité, l'échec et la transformation, la fiction et la vérité, le devenir et l'être. ********** Nederlands ********** Louis en Rau zijn al lang vrienden, een vriendschap die ontstond uit hun gedeelde zoektocht naar een kunst van het reële. “De wezenskern van theater is dezelfde als in literatuur: tonen wat moeilijk te tonen is. Theater moet geen veilige plek zijn”, schreef Louis over Rau's toneelstuk Familie.  Met de voorstelling The Interrogation  presenteren de twee nu een zeer persoonlijke tekst over twijfelen en falen. Het stuk werd geschreven en gemaakt door Louis en Rau in het voorjaar van 2021, oorspronkelijk in opdracht van het Kunstenfestivaldesarts, IIPM & NTGent, maar ging nooit in première. Nu is het eindelijk live te zien. Gespeeld door Arne De Tremerie, een acteur uit het globale ensemble van NTGent, is The Interrogation een “demonstratie voor kwetsbaarheid”, een moment van poëtische stilstand.  Kunnen we via de kunst ontsnappen aan onze biografie, of is kunst slechts de neerslag van een mislukte bevrijding? “Het is een diep melancholisch toneelstuk, een fragmentarisch toneelstuk, een teder toneelstuk”, zo vertelden Louis en Rau in een interview –  een voortdurende gedachtewisseling over theater en werkelijkheid, mislukking en transformatie, fictie en waarheid, over worden en zijn.
Rien n’est ce qu’il paraît, dans le vieux manoir anglais de Bly. La nouvelle gouvernante reçoit une consigne importante : ne jamais laisser les enfants seuls ! Elle comprend bien vite pourquoi, après avoir fait la rencontre effrayante des fantômes de la précédente gouvernante et d’un certain Peter Quint. Tandis que protéger les enfants devient de plus en plus difficile, des questions inquiétantes s'accumulent : quelles horreurs se sont-elles produites précédemment ? Les enfants sont-ils vraiment innocents ? Ce que vous voyez est-il bien réel ?Sur la base d’une intrigante ghost story de Henry James, Benjamin Britten a composé, avec The Turn of the Screw, un thriller psychologique sous forme d’opéra de chambre. La metteure en scène Andrea Breth préserve le mystère et fait de House Bly un labyrinthe où les personnages ne sont pas les seuls à s’égarer. Avec l’aide du chef d’orchestre Antonio Méndez, elle desserre complètement les vis de votre imagination... Vous avez moins de 30 ans ? Assistez à cet opéra lors de la soirée « Young Opera » (10.5.2024) et profitez d’une réception gratuite ainsi que d’une introduction exclusive.