Exposition Résilience au féminin

Description

A l'occasion de la journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes, les artistes Caitlin Moens et Geneviève Philippart vous convient à leur exposition d'art engagé qui dénonce les violences actuelles et passées à l'égard des femmes, et prône la résilience.L'exposition mêle sculptures, peintures, installations, le tout à partir de matériaux et d'objets récupérés.Ces derniers symbolisent la résilience des femmes face à l'adversité et la nécessité de recycler les traumatismes pour créer quelque chose de beau et de significatif. Chaque transformation artistique incarne l'espoir et la lutte pour la justice, tout en rendant hommage aux femmes victimes de ces violences, et à ceux et celles qui continuent à se battre contre ces violences.Vernissage le 23/11 à 18hExpo du 24/11 au 26/11 de 13h à 18HPossibilité de participer à une oeuvre collective sur la sororité le 25/11 à 15h30

Date info

Jeudi: de 18:00 à 22:00. Vendredi: de 13:00 à 18:00. Samedi: de 13:00 à 18:00. Dimanche: de 13:00 à 18:00. Du 23 au 26 novembre

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Spectra Ex Machine / RELEASE PARTY Samedi 18 mai 2024 – 17h-19h Réservation obligatoire par mail à : gauthier@subrosa.net À l’occasion de la sortie du nouveau volume de son anthologie sonore des phénomènes occultes, l'auteur et réalisateur radio Philippe Baudouin vient présenter son projet Spectra Ex Machina (Sub Rosa), lors d'une soirée exceptionnelle. Le second volume de cette anthologie sonore explore les liens entre musique et médiumnité, art vocal et sorcellerie : Aleister Crowley, Uri Geller, Rosemary Brown ou bien encore Elvis Presley font ainsi résonner leur voix de l'au-delà. Au programme de cette soirée : séance d'écoute de quelques extraits du disque et discussion avec Philippe Baudouin, Stéphanie Peel et Christian Chelman sur l'histoire du spiritisme et ses croisements inattendus avec la question musicale. À cette occasion, les deux premiers volumes de Spectra Ex Machina seront proposés à la vente. Philippe Baudouin est réalisateur radio et maître de conférences associé à l’Université Paris-Saclay. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages et articles sur l’histoire de l’occultisme dont Apparitions : Les Archives de la France hantée (Hoëbeke, 2021) et Surnaturelles : une histoire visuelle des femmes médiums (Pyramyd, 2021). Depuis 2019, il poursuit en collaboration avec le label Sub Rosa le projet Spectra Ex Machina, consacré aux archives sonores du paranormal. Stéphanie Peel est chercheuse indépendante et doctorante à l’Université libre de Bruxelles. Son compte Instagram « Les Occultées » est consacré à l’histoire des femmes médiums. Christian Chelman est illusionniste et collectionneur. Il est également le fondateur et l’actuel conservateur du Surnatéum, Muséum d’Histoire Surnaturelle de Bruxelles.
Nu het einde van het schooljaar nadert, tonen de kinderen en jongeren van de RHOK Academie een deel van het werk dat ze afgelopen jaar gecreëerd hebben. FR - À l'approche de la fin de l'année scolaire, les enfants et les ados de l'academie RHOK présentent certains des projets artistiques qu'ils ont réalisés l'année passée.
« Voir le voir », penser le penser, vider la matière, rapprocher le lointain, donner de l’espace au temps ou encore contempler le mouvement. À travers ses oeuvres, l’artiste devient en quelque sorte une passeuse d’actualités reliées aux passés, aux présents et aux futurs. Si le visiteur ose mettre en pause sa propre machine à penser, peut-être percevra-t-il une brise de réflexions nouvelles, tantôt légères, tantôt profondes, insufflées par la puissante résonnance des créations d’Aurélie avec des sujets anthropologiques aussi simples que complexes. Pour cette exposition, Aurélie présente une installation réalisée en 2020, durant le chantier en cours de son nouvel atelier. Son défi alors : continuer de créer, tandis que le temps et l’espace manquent. Cette condition n’est pas qu’une essence symbolique pour la création, elle est concrètement et malheureusement plus que fréquente chez de nombreux artistes, et ce constat est ce qui meut la Renew Art Gallery. Aurélie Belair « commémore ».
The first joint exhibition of Hungarian artist, Árpád Forgó and Brussels-based ceramic artist Abel Jallais takes place at the Front Gallery of Liszt Institute, Brussels as an official off program of Art Brussels international contemporary art fair. At the exhibition, through unusual constellations, Forgó’s delicate shaped canvas compositions get in dialogue with the monochrome ceramic objects of Abel Jallais. Despite of working with different medium, their approach and processes share several similarities. They create non-representational objects, which do not intend to generate direct associations; the content of the work is its colour, shape, texture, size and scale. Both artists developed his own basic forms, from which they build the artworks: Jallais is using additions, cut-outs and repetition in his “Bonbonne” series; Forgó is applying different reflection methods, as well as shifting. They create simple and visually controllable pieces that need to be observed and discovered. Árpád Forgó works with basic geometric forms and through isometric transformations; he builds shaped canvas compositions, visualising structures, shapes, measurements and rhythm, as well as planar and spatial relationships. He developed shaped canvas modules in order to build block-like or hollow, symmetrical or asymmetrical compositions. In the recent years, he experiments intensively with different compound painting processes in order to challenge the viewer’s perception not only by the structure but also by the material. Abel Jallais has an attraction to facing unknown objects; therefore, he peals off the functional territories of the archaic objects and transforms them into a free form of interpretation. They become a fictional territory again to explore, offering the opportunity to the passive user to open a new dialogue with the form. Sighing with the eyes, turning around, manipulating to return to a primitive form of primitive apprehension. His practice moves in this interstice. The fictional sense becomes the functional sense. Both artists work with traditional materials, aiming for industrial perfection, still keeping the craftsmanship of the process. Árpád Forgó is a Budapest-based artist. After graduating, he soon started to focus on geometric abstraction and made paintings with tactile feature. He has always been interested in the periphery of painting and sculpture. Since 2015, he creates shaped canvas works and modular compositions. He has exhibited widely, including solos shows at Anya Tish Gallery in Houston; Schlieder Contemporary in Frankfurt; Viltin Gallery, Budapest and Rómer Flóris Museum of Art and History in Győr, Hungary. He has participated in group shows at Ludwig Museum and Vasarely Museum in Budapest and the Museum Ritter in Waldenbuch, Germany. Artist residency programs play an important role in the artist’s career, he was invited to Norway, Australia, Spain, and several times to the United States. For 2019-2020, he was awarded The Pollock-Krasner Foundation grant. Abel Jallais is a French-born ceramic artist living and working in Brussels. After his studies at the College of Fine Arts in Angers, where he concentrated on sculpture and drawing, he spent a year in Colombia, where he did an internship at Campo de Gutierrez artist residency centre, where ceramics played a major role. He had already been working with clay since his teenage years, and this experience strengthened his desire to explore this material further. On his return to Europe, he joined the master’s programme in ceramics at La Cambre National College of Visual Arts in Brussels, graduating in 2018. Since then, he has divided his time between his art practice at Espace Triphasé art studio and his work as a teacher at the Brussels Art Academy and as a teaching assistant at the ceramics department at La Cambre. His works have been exhibited at numerous galleries and art spaces in Brussels, including Galerie Cohérent, Musée du Cinquantenaire, Puls Ceramics Gallery and Espace La Vallée, as well as at international ceramics platforms in Belgium, The Netherlands and France. /// Curator: Gábor Pintér
Au-delà de leurs apparentes différences, il y a forcément une cohérence entre les peintures d’objets que sont les Vies silencieuses et les arbres, peints ou dessinés, puisque les trois séries sont issues de la main d’Alexandre Hollan. Les arbres dessinés proposent une modulation libre des gris, ceux qui sont peints une vibration éclatante des couleurs, alors que dans les vies silencieuses celles-ci sont juxtaposées, par teintes et par couches, pour aboutir à une forme de sérénité et de calme apparents vibrant de l’intérieur, au lieu que les arbres les exposent davantage, couleurs, matières et gestes. À supposer que les Vies silencieuses soient plus introspectives – ce qui est une interprétation – les arbres portent aussi un langage en attente. Les uns et les autres parlent, différemment, et tous, en nous regardant les regarder, nous parlent. Peints ou dessinés, la succession des arbres, par exemple, révèle à la fois la différence, la spécificité de chacun, mais aussi l’approche que chaque rencontre suscite chez l’artiste, qu’il s’agisse d’esquisses, de contours, de vides ou de remplis : dans sa forme et son espace, chacun de ces arbres se distingue et non se répète. Puisque aucune représentation ne peut englober un tout ni être définitive, chacune figure une tentative, un inachèvement, qui ouvre sur un autre. On pourrait faire le pari que c’est autant de visages d’Alexandre Hollan qu’ils dessinent – et je fais aussi celui que dans ce qui n’est pas un jeu de variations mais une tentative d’équilibre sans cesse recommencée, chacun d’entre nous, à la manière d’un labyrinthe, peut y trouver son chemin, et, d’une certaine manière, s’y retrouver voire s’y reconnaître. Que vous préfériez l’une ou l’autre de ces œuvres, ou plusieurs, arbre vif de couleur ou de fusain, vie silencieuse, je vous invite donc à vous demander en quoi elle vous ressemble et ce que vous y découvrez de vous. Ludovic Degroote
********** English ********** Repetition / Erosion is a contemporary approach to the Cantigas de Santa Maria, a 13th century Galician song collection, through the lens of Erosion. Cantigas de Santa Maria is one of the largest song collections from the Middle-Ages, with a total of 427 songs. Dedicated to the Virgin Mary, the collection alternates poems narrating stories of miracles and praising Hymns. The overall work, written in vernacular language (Galaico-Portugues) is oscillating between courtly love tellings and liturgy.  Besides its literary and musical legacy, this work can also be read as a chronicle of both cultural and mystical life in Europe during the 13th century and reveals the blurred line between sacred and folklore. The project plays with different scales of time: geological, historical, musical and human. In constant evolution, the performance consist of a succession and/or superposition of repetitive tasks addressing the different aspects of the songbook : musical, poetic, iconographic, historic… ********** Nederlands ********** Repetition / Erosion is een hedendaagse benadering van de Cantigas de Santa Maria, een 13e-eeuwse Galicische verzameling liederen, door de lens van Erosion. Cantigas de Santa Maria is een van de grootste zangbundels uit de Middeleeuwen, met in totaal 427 liederen. Opgedragen aan de Maagd Maria, wisselt de collectie af tussen wonderlijke gedichten en lofliederen. Het geheel, geschreven in de volkstaal Galaico-Portuguees, schommelt tussen hoofse liefdesverhalen en liturgie.  Naast de literaire en muzikale erfenis kan dit werk ook gelezen worden als een kroniek van zowel het culturele als mystieke leven in Europa tijdens de 13e eeuw en onthult het de vage grens tussen sacraal en folklore.Het project speelt met verschillende tijdschalen: geologisch, historisch, muzikaal en menselijk. De voorstelling evolueert voortdurend en bestaat uit een opeenvolging en/of overlapping van repetitieve taken, waarbij de verschillende aspecten van het liedboek aan bod komen: muzikaal, poëtisch, iconografisch, historisch...
********** Français ********** L'Université libre de Bruxelles (ULB) célèbre, du 16 mai au 22 juillet 2024, 60 ans d'immigration marocaine en Belgique avec l'exposition itinérante gratuite Belgica Biladi : une histoire belgo-marocaine. Conçue en partenariat avec la Ville de Bruxelles, cette exposition se tiendra dans divers espaces publics de la ville et s'inscrit dans le cadre du 60e anniversaire de la signature des accords bilatéraux entre la Belgique et le Maroc pour une immigration de travail. Belgica Biladi propose un parcours immersif accessible à tous dans le centre-ville de Bruxelles, ponctué d’installations utilisant le mobilier urbain et retraçant l'expérience de l'immigration marocaine en Belgique, depuis l'arrivée des premiers travailleurs marocains dans les années 1960 jusqu'à la co-construction actuelle d'une société plurielle et multiculturelle. L'exposition met en lumière les témoignages de plusieurs générations d'immigrés marocains, enrichis par des archives, des photographies et des vidéos. Des experts interviennent également pour apporter leur éclairage sur les différentes thématiques abordées. L'ULB, à travers Belgica Biladi, souhaite contribuer activement à la déconstruction des stéréotypes et la lutte contre les préjugés liés à l'immigration. L'exposition vise à mettre en avant la richesse de la culture plurielle belge, née du brassage des cultures et des contributions de ses différentes communautés. Belgica Biladi se veut une invitation à la découverte de l'histoire et de la culture belgo-marocaine, ainsi qu'à la rencontre entre les différentes communautés de Bruxelles. L'exposition encourage le dialogue et la compréhension mutuelle, en célébrant la diversité et la contribution de la communauté marocaine à la société belge. ********** Nederlands ********** Van 16 mei tot 22 juli 2024 viert de Université libre de Bruxelles (ULB) 60 jaar Marokkaanse immigratie in België met de gratis reizende tentoonstelling Belgica Biladi. De tentoonstelling is ontworpen in samenwerking met de Stad Brussel en wordt in verschillende openbare ruimtes in de stad gehouden in het kader van de 60ste verjaardag van de ondertekening van de bilaterale akkoorden tussen België en Marokko over arbeidsimmigratie. Belgica Biladi neemt bezoekers mee op een immersief parcours door het centrum van Brussel, onderbroken door installaties die gebruik maken van straatmeubilair om de ervaring van de Marokkaanse immigratie naar België weer te geven, vanaf de aankomst van de eerste Marokkaanse arbeiders in de jaren 1960 tot de huidige co-constructie van een pluriforme en multiculturele samenleving. De tentoonstelling belicht de getuigenissen van verschillende generaties Marokkaanse immigranten, verrijkt met archieven, foto's en video's. Er zijn ook deskundigen te gast om licht te werpen op de verschillende thema's die aan bod komen. Met Belgica Biladi wil de ULB actief bijdragen tot de deconstructie van stereotypen en de strijd tegen vooroordelen in verband met immigratie. De tentoonstelling wil de aandacht vestigen op de rijkdom van de pluricultuur in België, die voortkomt uit de vermenging van culturen en de bijdragen van de verschillende gemeenschappen. Belgica Biladi is een uitnodiging om de Belgisch-Marokkaanse geschiedenis en cultuur te ontdekken en de verschillende gemeenschappen in Brussel te ontmoeten. De tentoonstelling moedigt dialoog en wederzijds begrip aan en viert de diversiteit en bijdrage van de Marokkaanse gemeenschap aan de Belgische samenleving.
********** Français ********** Prenez votre temps et plongez dans un Musée Charlier au féminin. Au rez-de-chaussée, vous découvrirez des œuvres textiles contemporaines « Toutes ensemble nous sommes un arbre » inspirées de diverses traditions. N'hésitez pas à discuter avec les créatrices issues de l’immigration. Cet événement est organisé en collaboration avec Eyad. Au premier étage, dans l'exposition " De la difficulté d'être femme peintre", vous découvrirez les problèmes auxquels les femmes ont longtemps été confrontées pour développer une carrière d'artiste. Une exposition avec des peintures de notre propre collection, réalisées par des femmes. ********** Nederlands ********** NL Neem de tijd en dompel u onder in een vrouwelijk Charliermuseum. Op het gelijkvloers ontdekt u hedendaagse textielwerken « Toutes ensemble nous sommes un arbre » vrouwen uit vele tradities putten uit immigratie. Er is ook ruimte om in dialoog te gaan. Dit evenement is in samenwerking met Eyad. Op de eerste verdieping ontdek je in de tentoonstelling De la difficulté d'être femme peintre tegen welke problematieken vrouwen lang opboksten om een carrière als kunstenares te ontwikkelen. Een tentoonstelling met schilderijen uit de eigen collectie, gemaakt door vrouwen.
********** Nederlands ********** Tentoonstelling "Hymne aan het leven": Schilderen is een ontsnapping die altijd iets zegt over de werkelijkheid. Het delen van kunst helpt wonden te helen van hen die lijden. Het is een factor van broederschap die mensen met elkaar verbindt. De eerste verdienste van een schilderij is dat het een lust voor het oog is. Als er geen tranen meer zijn om te huilen, is er altijd nog hoop. ********** Français ********** Exposition « Hymne à la vie » La peinture est une évasion qui a toujours quelque chose à dire sur le réel. Offrir l’Art en partage permet de panser les plaies de ceux qui souffrent. C'est un facteur de fraternité, ce qui permet de relier les humains entre eux. Le premier mérite d’une peinture est d’être une fête pour l’oeil. Lorsqu’il ne reste plus de larmes pour pleurer, il reste l’Espérance.
********** English ********** As the daughter of the child who was left in the home, Greene traces her family story along the matrilinear line, and the resulting film enters into the gaps in memory and record. Máthair offers a fragmented and elliptical account of a search for knowledge in the face of institutional oppression and obfuscation; the film resists linear narrative and documentary modes, offering us an intense and revelatory encounter with a shared family trauma. Scant records and redacted documents describe the negation and erasure of those who passed through the church’s homes for unmarried mothers. The sensory lives of these ungraspable women are embodied in choreographed phrases performed by four dancers, whose costumed movements both gesture towards and subvert the constrictive clothing regulations of Catholic institutions and the forced female labour in the church’s laundries. Glimpses of this performance are threaded between a chaotic collage of archival material and present-day online chat rooms; the only respite is found in the holding space of the landscape and the bodies of water between England and Ireland. The silences of the archive are countered by a dissonant sound score, a pulsing polyphonic composition dense with complex sensory impressions, and a chorus of unvoiced voices compelling us to stay with the problem.     Keira Greene is an artist working across film, photography, performance and text. Her work is preoccupied with the social and organic life and landscape of specific environments. Her work is produced through a collaborative and conversational practice of looking, writing and forming enduring relationships. Recent works are concerned with ideas of the body and the experience of emotion, in dialogue with an embodied filmmaking practice. http://keiragreene.com/ ********** Français ********** En 1954, une femme Irlandaise se rend en Angleterre pour donner naissance à un enfant illégitime. En 2024, sa petite-fille – la réalisatrice – retrace son parcours en reconstituant les fragments de son histoire. Máthair (Mère) s'appuie sur un réseau complexe d'informations obfusquées, provenant d'agences administratives d'adoption, des dossiers d'un foyer catholique pour mères et bébés et de conversations en ligne entre des inconnu·e·s suivant les mêmes traces d'archives. Máthair interroge les institutions religieuses, le concept de maternité et le sentiment d'appartenance à un lieu.   Keira Greene est une artiste qui travaille à la frontière du film, de la photographie, de la performance et du texte. Son travail se concentre sur la vie sociale et organique au sein de paysages spécifiques. Son travail est produit par une pratique collaborative et conversationnelle du regard, de l'écriture et par la formation de relations durables. Ses œuvres récentes s'intéressent aux corps et à l'émotion, en dialogue avec une pratique cinématographique incarnée. http://keiragreene.com/ ********** Nederlands ********** In 1954 reisde een Ierse vrouw naar Engeland om te bevallen van een buitenechtelijk kind. In 2024 volgt haar kleindochter, de filmmaker, haar reis door fragmenten van haar verhaal bij elkaar te zoeken. Máthair (Mother) is gebaseerd op een complex web van verdoezelde informatie van adoptiebureaus, verslagen van een katholiek tehuis voor moeders en baby's, en chatgesprekken tussen vreemden die hetzelfde archiefspoor volgen. Máthair bevraagt de instellingen van religie, noties van moederschap en een gevoel van plaats.   Keira Greene is een kunstenaar die werkt met film, fotografie, performance en tekst. Haar werk houdt zich bezig met het sociale en organische leven en landschap van specifieke omgevingen. Haar werk wordt gemaakt door middel van een collaboratieve en conversationele praktijk van kijken, schrijven en het vormen van duurzame relaties. Recente werken houden zich bezig met het lichaam en de ervaring van emotie, in dialoog met een belichaamde filmpraktijk. http://keiragreene.com/