La Patinoire Royale

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Upcoming events

********** English ********** Jan De Winter (1936-2020) Painter, draughtsman, graphic artist, cartoonist, set and costume designer Jan De Winter, who always loved to draw, begins an apprenticeship with a woodcarver in 1949, at the age of 13. A year later, he enrolls at the academy in Mechelen. His training is interrupted by his army service and is not resumed until 1963, after his marriage. He then continues his training at the Higher Institute of Fine Arts in Antwerp. In 1968 he is awarded the Young Flemish Painter Prize, in 1972 the important Koopal Prize and in 1973 the Provincial Prize for Plastic Arts of the Province of Antwerp. For several years he works as a teacher of drawing, colour and composition in Molenbeek. As an artist, he stands for freedom and social criticism. He is the figurehead of the provo movement in Mechelen and, inspired by what was happening in Amsterdam, using his brush to fight against the petty bourgeoisie, authority and power. His works, often large formats in which initially the umbilical cord appears frequently and prominently, are characterised by the presence of numerous often chubby personnages. Sex and eroticism also play an important role. In his later works, there is only room for one or two figures. The formats are smaller. Jan De Winter is also a successful cartoonist who has won prizes at the Knokke, Kruishoutem and Tongeren festivals,... ********** Français ********** Jan De Winter (1936-2020) Peintre, dessinateur, graphiste, caricaturiste, concepteur de décors et de costumes Jan De Winter, qui a toujours aimé dessiner, entre en apprentissage chez un sculpteur sur bois en 1949, à l'âge de 13 ans. Un an plus tard, il s'inscrit à l'académie de Malines. La formation est interrompue par le service militaire et ne reprend qu'en 1963, après son mariage. Il poursuit ensuite sa formation à l'Institut supérieur des beaux-arts d'Anvers. En 1968, il reçoit le prix du Jeune peintre flamand, en 1972 l'important prix Koopal et en 1973 le prix provincial des arts plastiques de la province d'Anvers. Il travaille pendant plusieurs années comme professeur de dessin et de couleur et composition à Molenbeek. En tant qu'artiste, il défend la liberté et la critique sociale. Il est la figure de proue du mouvement provo à Malines et, inspiré par ce qui se passe à Amsterdam, il se bat avec le pinceau contre la petite bourgeoisie, l'autorité et le pouvoir. Ses œuvres, souvent de grands formats dans lesquels le cordon ombilical apparaît fréquemment, se caractérisent par la présence de nombreux personnages souvent plutôt rondes. Le sexe et l'érotisme jouent également un rôle important. Dans ses œuvres ultérieures, il n'y a plus de place que pour un ou deux personnages. Les formats sont moins grands. Jan De Winter est également un cartooniste/caricaturiste qui a remporté des prix lors des festivals de Knokke, Kruishoutem et Tongres,… ********** Nederlands ********** Jan De Winter (1936-2020) Schilder, tekenaar, graficus, cartoonist, decor- en kostuumontwerper Jan De Winter, die altijd al graag en veel tekende, gaat in 1949, als dertienjarige, op leercontract bij een houtsnijder. Een jaar later schrijft hij zich in aan de academie van Mechelen. De opleiding wordt onderbroken door zijn legerdienst en pas in 1963, na zijn huwelijk, hervat. Hij zet zijn opleiding vervolgens voort aan het Hoger Instituut voor Schone Kunsten in Antwerpen. In 1968 ontvangt hij de Prijs van De jonge Vlaamse schilder, in 1972 de belangrijke Koopalprijs en in 1973 de Provinciale Prijs van de Plastische Kunsten van de Provincie Antwerpen. Hij werkt een aantal jaren als leraar waarnemingstekenen, kleur en vormgeving in Molenbeek. Als kunstenaar staat hij voor vrijheid en maatschappijkritiek. Hij is het boegbeeld van de provobeweging in Mechelen en trekt, geïnspireerd door wat er in Amsterdam gebeurt, kunstzinnig ten strijde tegen kleinburgerlijkheid, autoriteit en gezag. Zijn werken, vaak grote formaten waarin aanvankelijk de navelstreng veelvuldig en prominent voorkomt, worden gekenmerkt door de aanwezigheid van talrijke vaak mollige personnages. Ook seks en erotiek spelen een belangrijke rol. In zijn later werk is er nog slechts plaats voor één of twee personnages. De formaten zijn minder groot. Jan De Winter is tevens een succesrijk cartoonist en won prijzen op festivals in o.a. Knokke, Kruishoutem en Tongeren.
Jan De Winter (1936-2020) : rebelle au crayon et au pinceauÀ partir du 24 novembre, la vaste collection d'artistes et d'œuvres des années 1970 de la galerie d'art Schleiper sera complétée par l'œuvre de Jan De Winter, né et élevé à Malines, peintre, dessinateur, graphiste, caricaturiste, concepteur de décors et de costumes très apprécié.Les œuvres de Jan De Winter exposées comprennent des dessins, des pastels et des peintures.La galerie d'art Schleiper expose une centaine d'œuvres des années 1970.Les œuvres, dont certaines incarnent incontestablement le style des années 1970, comblent le fossé entre figuration et abstraction.Également exposées à la galerie d'art Schleiper :Œuvres de Guy Leclercq, Luc Mondry, Teresa Van Aken - Van Gerwen, Henri Baviera, Michèle Nédélec, Bernard Remusat, Roger Somville, Thomas Hamann, Antoni Clavé, Frédéric Dufoor, Paul van Hoeydonck.Toutes les œuvres sont signées et proposées à la vente encadrées.Entrée libre.

Past events

La Renew Art Gallery est heureuse d'ouvrir une nouvelle saison d'expositions en collaboration avec La Cinquième Porte (Saint-Gilles), avec "Fantômes Futur", exposition personnelle d'Hugo Janin, jeune artiste sérigraphe qui vit et travaille à Bruxelles. L'exposition présentera une série de sérigraphies sur papier mais aussi une série inédite d'oeuvres uniques sur acier émaillé.
Inondée de lumière zénithale, la Verrière une curation d’œuvres de Renaud Auguste-Dormeuil. Depuis les années 1990, l’artiste français Renaud-Auguste Dormeuil, né en 1968, explore et critique dans son œuvre les dynamiques du pouvoir unilatéral et la subjectivité des perspectives. Dans cette première exposition personnelle à la galerie, intitulée « La réalité n’a pas besoin de moi », l’artiste présente dans une scénographie inédite une imposante série de tapisseries de sa dernière série «Hope it Was Worth It». L’artiste poursuit d’interroger les structures invisibles qui influencent notre perception d’une réalité de plus en plus médiatisée, travaillant à la frontière entre la visibilité et l’invisibilité, la lumière et l’obscurité, la mémoire et l’oubli. Ni document d’archive, ni photographie au sens strict du terme, ni pure modélisation, chacune de ses œuvres possède le charme ambigu de ce qui échappe à la définition, dépassant, à chaque tentative de qualification de leur statut, le cadre trop étroit dans lequel on voudrait les inscrire. La série inédite « Hope It Was Worth It » se compose de 12 tapisseries d’Aubusson, célèbres depuis la Guerre de Cent Ans. Chaque pièce est associée à un évènement historique du temps où elle a été tissée, transformant ces oeuvres en palimpsestes où l’histoire de l’art fusionne avec l’histoire des hommes. La galerie expose 3 nouvelles tapisseries de la série. Également présentée, la série « The Day Before_Star System » donne à voir la carte du ciel la nuit précédant une attaque aérienne visant des populations civiles, de Guernica à Hiroshima ou New York. Chacune de ces voûtes célestes ressemble à s’y méprendre à la précédente. Mais ces ciels étoilés, tragiquement inscrits dans l’histoire, portent en eux le drame à venir. Ils disent la guerre, la violence et la mort sans les montrer, dans cet instant d’avant où tout reste encore possible, mais où pourtant tout est déjà joué.  Avec le projet « Spin-Off_Je Me Fous Du Passé », l’artiste départit le drone de sa fonction militaire en le transformant en enseigne lumineuse, lui accordant un statut poétique, Hermès des temps modernes.  Renaud Auguste-Dormeuil, distingué par le Prix HSBC pour la photographie, le Prix Meurice pour l’art contemporain et le Prix 1% marché de l’art, a également été pensionnaire de la Villa Médicis. Son oeuvre, exposée dans d’éminents musées et institutions à travers le monde (Musée d’Art Moderne et Contemporain de Nice, Palais de Tokyo, Fondation Ricard, Fondation Caixa, Swiss Institute de NY…), est intégrée dans les collections majeures de musées d’art contemporain, fondations et collections privées.
La Renew Art Gallery est heureuse de vous présenter "Sous la Fibre", la première exposition personnelle de l'artiste Frédérique Targez.🥂 Vernissage : jeudi 28 septembre à 19h30📍 33 Avenue Paul Dejaer, 1060 Saint-Gilles (à deux pas de l' Esa Saint-Luc Bruxelles )🔥Venez nombreuxes festoyer cette rentrée avec nous, et déguster les super bières de notre partenaire la Brasserie Lefebvre ! 🍻______________________________"Sous la Fibre" - FrÉdÉrique Targezdu 28 septembre au 8 octobre 2023Permanences d'ouverture : du mercredi au dimanche (14h-18h)Cette exposition est une collaboration avec La Cinquième Porte Art Gallery, un nouvel espace d'art et culture à Saint-Gilles.
Frédérique Targez est une artiste qui se laisse pleinement inspirer par l'environnement qui l'entoure. Audacieuse et vivante est son interprétation graphique d’éléments naturels simples, mais émotionnellement puissants. Tantôt architecturales, tantôt organiques, les œuvres de Frédérique nous plongent dans un univers coloré. Formée en peinture et en gravure aux Académies des Beaux-Arts de Tournai, Namur et Bruxelles, Frédérique s’est rapprochée du médium de la laine depuis quelques années. Actuellement, la technique du tufting lui permet de défier son propre style graphique, notamment à travers les contraintes que lui imposent la laine et ses teintes limitées. À l’occasion de sa première exposition personnelle, Frédérique présente une nouvelle série de "peintures fibreuses", pour lesquelles elle a exploré la possibilité de travailler en relief, voire en trois dimensions. Ainsi, ce n'est pas sans penser au travail de l’artiste belge Jeanine Cohen que nous observons les subtiles réflexions de couleurs qu'émettent les créations de Frédérique. Une douce tension entre matières et lumière, entre espace et surfaces. "Sous la Fibre" est une collaboration entre la Renew Art Gallery et La Cinquième Porte Art Gallery.
Cet été venez visiter la collection atypique du Musée d’Art Fantastique et découvrez également les nombreuses œuvres réalisées dans le cadre des différentes éditions de l’exposition collective Trolls & Bestioles dans une édition estivale best of. Un voyage fantasque au sein d’un univers étrange peuplé d’une faune magique et hors du commun. Réservation ici : https://www.billetweb.fr/visite-du-musee-exposition-trolls-bestioles-best-of Dernière entrée 16h Visite du Musée + Exposition Trolls & Bestioles Best of Du 1er juillet au 31 août / 14h – 17h (fermé les lundis et mardis) Au Musée d’Art Fantastique / 7 rue américaine -1060 – Bruxelles
A l’occasion des vacances de Pâques, le Musée d’Art Fantastique proposera l’animation Meurtre au Musée. Dans l’immeuble situé au 7 rue Américaine, le corps sans vie du conservateur est découvert dans des circonstances troublantes. Mais qui aurait pu tuer cet assistant et conservateur de renommée mondiale ? C’est en découvrant la collection atypique du Musée d’Art Fantastique, que vous pourrez résoudre cette énigme et gagner votre diplôme de détective. Une animation idéale pour les enquêteurs en herbe, leurs amis et leurs familles. Réservation obligatoire via le lien suivant : https://www.billetweb.fr/meurtre-au-musee1 Dernière entrée 16h
Artiste plasticien franco-allemand né en 1977, Sascha Nordmeyer a étudié à l'École Supérieure d'Art et de Design de Reims. Son projet "Communication prosthesis" a reçu une couverture médiatique internationale et intégré une exposition collective au MoMA de New-York en 2011. Il découvre ensuite le travail du papier, pour mieux le décliner sous forme d'infimes pastilles découpées. Loin d'être innocente, la séquence des inclinaisons rythme alors l'espace au gré du reflet et de la couleur. Un clin d’œil, et le tableau est mouvant; un pas de côté, et l'œuvre devient plurielle. Sascha invente alors un cinétisme très doux, qui s'offre avec pudeur et gourmandise. Poinçonnées une à une, ces pastilles (ses expositions peuvent en compter jusqu'à 455 000) nous renvoie à un certain poinçonneur des Lilas. Là où chaque geste "libère" le temps, Sascha ponctue l'espace, et construit ainsi sa propre méditation. Chacune de ses œuvres est un dédale interactif et subtil, cheminement sans fin de contre-pieds, de ricochets, d'interrogations. On atteint les rives de l'épure et du minimalisme. Son œuvre exprime une économie de moyens si aboutie que l'on peut y voir une dénonciation de notre opulence.