Association Libre d'Artistes Européens

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Accès : Bus (avenue de Fré) : 37 – 38 – 41 – 43
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Aurélie Salavert est née à Avignon. Elle vit et travaille à Bruxelles. L’artiste transmet ses pensées, ses sentiments et ses souvenirs dans des images qui semblent enfouies dans notre propre subconscient. Le fil conducteur de sa pratique est le dessin, qui se réinvente continuellement grâce à l’utilisation de techniques et de styles différents, permettant l’émergence d’une abstraction figurative. La vaste production de dessins intimes au crayon d’Aurélie Salavert, avec leurs doux lavis d’aquarelle ou leurs plats de gouache, nous parlent avec une clarté enfantine, mais leur signification reste ouverte. Lasse Wandschneider est né en 1987 à Lübeck, en Allemagne. Il a fait des études en illustration et BD à Breda, Berlin, Prague et Bruxelles. Désormais, il vit et travaille entre Bruxelles et Berlin. Dans son art, il s’intéresse aux équilibres entre abstraction et narration, improvisation et réflexion, page et espace.
Kom langs voor een babbel en een drankje in aanwezigheid van fotografe Marlies Van Wielendaele. Marlies Van Wielendaele (1990) is een analoge fotografe die in Brussel woont maar met regelmaat de oceaan in binnen- en buitenland opzoekt. De zee is bij uitstek haar veilige haven. Ze duikt diep met haar analoge Nikonos V camera uit de jaren 80 en tegelijkertijd speelt ze aan de oppervlakte met reflecties en de vormen die het bewegende water aannemen. Ze is geïnspireerd door zowel de verschillende kleuren en patronen van die gekke vissen en koralen als de relatie tussen mensen en zo’n watermassa. Omgeven door water voelt Marlies zich op een fijne manier klein én deel van iets groots. Daarnaast levert een watersessie met haar Nikonos V gegarandeerd een grote glimlach op voor de rest van de dag." FR - En mars-avril, une exposition de Marlies Van Wielendaele occupera nos fenêtres de la Rue du Cornet et de la Rue du Clocher. Elle est une photographe analogique qui vit à Bruxelles mais qui visite régulièrement la mer, sa source d'inspiration. Rejoignez-nous le 10 mai pour une papote et un verre en compagnie de la photographe Marlies.
Spectra Ex Machine / RELEASE PARTY Samedi 18 mai 2024 – 17h-19h Réservation obligatoire par mail à : gauthier@subrosa.net À l’occasion de la sortie du nouveau volume de son anthologie sonore des phénomènes occultes, l'auteur et réalisateur radio Philippe Baudouin vient présenter son projet Spectra Ex Machina (Sub Rosa), lors d'une soirée exceptionnelle. Le second volume de cette anthologie sonore explore les liens entre musique et médiumnité, art vocal et sorcellerie : Aleister Crowley, Uri Geller, Rosemary Brown ou bien encore Elvis Presley font ainsi résonner leur voix de l'au-delà. Au programme de cette soirée : séance d'écoute de quelques extraits du disque et discussion avec Philippe Baudouin, Stéphanie Peel et Christian Chelman sur l'histoire du spiritisme et ses croisements inattendus avec la question musicale. À cette occasion, les deux premiers volumes de Spectra Ex Machina seront proposés à la vente. Philippe Baudouin est réalisateur radio et maître de conférences associé à l’Université Paris-Saclay. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages et articles sur l’histoire de l’occultisme dont Apparitions : Les Archives de la France hantée (Hoëbeke, 2021) et Surnaturelles : une histoire visuelle des femmes médiums (Pyramyd, 2021). Depuis 2019, il poursuit en collaboration avec le label Sub Rosa le projet Spectra Ex Machina, consacré aux archives sonores du paranormal. Stéphanie Peel est chercheuse indépendante et doctorante à l’Université libre de Bruxelles. Son compte Instagram « Les Occultées » est consacré à l’histoire des femmes médiums. Christian Chelman est illusionniste et collectionneur. Il est également le fondateur et l’actuel conservateur du Surnatéum, Muséum d’Histoire Surnaturelle de Bruxelles.
********** Français ********** Dans "SEQUENCE 032", la galerie d'art contemporain Le Neuf Gallery présente des extraordinaires oeuvres de 3 artistes. BEDDRU (mixed media sur plexiglas, jusqu’au 29/06/24) Ine Lammers (huile sur toile, jusqu’au 29/06/24) Marine Walon (acryl sur toile, jusqu’au 11/05/24) La galerie Le Neuf, située au cœur du quartier artistique de Bruxelles, est facilement accessible en transports en commun, en vélo ou en voiture (parking sous le bâtiment). ********** Nederlands ********** In "SEQUENCE 032" presenteert de hedendaagse kunstgalerie Le Neuf Gallery buitengewone werken van 3 kunstenaars. BEDDRU (mixed media op plexiglas, tot en met 29/06/24) Ine Lammers (olie op doek, tot en met 29/06/24) Marine Walon (acryl op doek, tot en met 11/05/24) Le Neuf Gallery ligt in het hart van de Brusselse kunstwijk en is gemakkelijk bereikbaar met het openbaar vervoer, de fiets of met de auto (parkeergarage onder het gebouw). ********** English ********** In “SEQUENCE 032”, contemporary art gallery Le Neuf Gallery presents extraordinary works by 3 artists. BEDDRU (mixed media on plexiglass, until 29/06/24) Ine Lammers (oil on canvas, until 29/06/24) Marine Walon (acrylic on canvas, until 11/05/24) Le Neuf Gallery, located in the heart of the Brussels art district, is easy to access by public transport, by bike, or by car (parking under the building).
********** English ********** In her second solo exhibition at the Michèle Schoonjans Gallery, Amélie Scotta presents a series of works exploring the notions of habitat and landscape through colour and organic materials, brought to life through both drawing (wood, bark, rock, etc.) and paper (mineral, vegetable, etc.). In the Withdraw series, the artist works in two stages, superimposing two layers of drawing and two types of perspective. The first layer, applied quickly and randomly across the entire surface of the paper in coloured ink, can evoke the atmospheric dimension of a landscape. The bright, unnatural colours and the invisibility of the gesture give the impression of a luminous, radiant surface. Here and there, accidents of material accentuate the effect of a printed image that has been doctored, washed out and deteriorated. The second layer, drawn in graphite, somehow constrains, obstructs or limits these infinite expanses. Created slowly and meticulously in pencil, the motifs of trellis, wire netting and other barriers reflect the artist's preoccupation with the question of confinement. The idea of withdrawal, whether voluntary or not, has already been evoked in earlier works, notably the Reclusoirs, sculptures inspired by the small enclosed buildings in which penitents lived in the Middle Ages. But the contrast between the immateriality of the coloured surface and the repetitive pattern of the drawing also speaks to us of what is said beyond the edge of the paper. ABOUT THE ARTIST Born in Nantes in 1983, Amélie Scotta is a visual artist and teacher based in Brussels. She holds degrees in Design (HEAR Strasbourg, 2008) and Visual Arts (ENSAV La Cambre, Brussels, 2016). Since 2013, her work has been shown in numerous exhibitions in Belgium (Le Botanique, La Médiatine, Vanderborght Building, Musées Royaux des Beaux-Arts, European Parliament, etc.) and abroad (Villa Méditerranée in Marseille, Arabic Culture House in Berlin, Matadero in Madrid, as well as Magasins Généraux, Palais de Tokyo and Carreau du Temple in Paris). She has also held residencies at the Casa de Velázquez in Madrid, the Cité Internationale des Arts in Paris, the Moonens Foundation and the Boghossian Foundation in Brussels. She is the winner of the Prix international de la Ville de Tournai in 2021, the Prix Cocof and the Prix Carré sur Seine in 2020. From the Jeddah Tower to the disused factories of Roubaix, from the Rio stadium to the Versailles of the people, from medieval recluses to the scaffolding of Brussels, it is in an intuitive way that the artist questions architecture in all its forms. Approached primarily through drawing, but also through sculpture and photography, construction allows her to speak of the human being, the one who both inhabits and builds. In more recent works, Amélie Scotta takes a more sensorial approach to landscape and habitat, working with colour and materials. She addresses the issue of withdrawal, a position in relation to the world that can provide protection, confinement or liberation. Her relationship with urban planning is also leading her increasingly towards projects in the public space. ********** Français ********** Dans sa deuxième exposition personnelle à la Michèle Schoonjans Gallery, Amélie Scotta présente une série d’œuvres explorant les notions d’habitat et de paysage au travers de la couleur ou de matières organiques, amenées aussi bien par le dessin (bois, écorce, roche…) que par le support du papier (minéral, végétal…). Dans la série Withdraw, la dessinatrice travaille en deux temps, superposant deux couches de dessin et deux types de perspectives. La première strate, appliquée à l’encre colorée, de manière rapide et aléatoire sur toute la surface du papier, peut évoquer un paysage dans sa dimension atmosphérique. Les couleurs vives, non naturelles et l’invisibilité du geste donnent l’impression d’une surface lumineuse et irradiante. Çà et là, des accidents de matière accentuent l’effet d’image imprimée qui aurait été trafiquée, délavée, détériorée. La seconde strate, dessinée au graphite, vient en quelque sorte contraindre, obstruer ou limiter ces étendues infinies. Réalisés au crayon, de manière lente et minutieuse, les motifs de treillis, de grillages et autres barrières nous renvoient à la préoccupation de l’artiste pour la question de l’enfermement. Le repli, volontaire ou non, est déjà évoqué dans des travaux antérieurs, notamment les Reclusoirs, des sculptures inspirées des petits édifices clos dans lequel vivaient des pénitentes du Moyen-âge. Mais ce contraste entre l’immatérialité de la surface colorée et le motif répétitif du dessin, nous parle aussi de ce qui se raconte au-delà du bord du papier. A PROPOS DE L’ARTISTE Née à Nantes en 1983, Amélie Scotta est une artiste plasticienne et enseignante basée à Bruxelles. Elle est diplômée en Design (HEAR Strasbourg, 2008) et en arts visuels (ENSAV La Cambre, Bruxelles, 2016). Depuis 2013, son travail a été présenté dans de nombreuses expositions en Belgique (Le Botanique, La Médiatine, Vanderborght Building, Musées Royaux des Beaux-Arts, Parlement européen…) et à l'étranger (Villa Méditerranée à Marseille, Arabic Culture House à Berlin, Matadero à Madrid, mais aussi Magasins Généraux, Palais de Tokyo et Carreau du Temple à Paris). Elle a notamment été résidente à la Casa de Velázquez à Madrid, à la Cité Internationale des Arts à Paris, à la Fondation Moonens et à la Fondation Boghossian à Bruxelles. Elle est lauréate du Prix international de la Ville de Tournai en 2021, du Prix Cocof et du prix Carré sur Seine en 2020. De la Jeddah Tower aux usines désaffectées de Roubaix, en passant par le stade de Rio, le Versailles du peuple, les reclusoirs médiévaux ou les échafaudages bruxellois, c’est de manière intuitive que l’artiste interroge l’architecture sous toutes ses formes. Abordée principalement par le dessin, mais aussi par la sculpture ou la photographie, la construction lui permet de parler de l’humain, celui qui, tout à la fois, habite et édifie. Dans des travaux plus récents, Amélie Scotta approche le paysage et l’habitat de manière plus sensorielle, en passant par un travail de la couleur et de la matière. Elle y aborde la question du repli, une position face au monde qui peut apporter protection, enfermement ou libération. Son rapport à l’urbanisme l’amène également de plus en plus vers des projets dans l’espace public. ********** Nederlands ********** In haar tweede solotentoonstelling in de Michèle Schoonjans Gallery presenteert Amélie Scotta een serie tekeningen die, naast de problematiek van de leefomgeving, de landschapsconcepten onderzoekt door middel van kleur of organische materialen, die zowel door het onderwerp van de tekening als door de papieren drager (mineraal, plantaardig, enz.) worden ingebracht. In de serie Withdraw werkt de kunstenares in twee fasen, waarbij ze gebruik maakt van verschillende lagen in de tekening en van twee soorten perspectief. De eerste laag, die snel en willekeurig met gekleurde inkt over het hele papieroppervlak wordt aangebracht, kan de atmosferische dimensie van een landschap oproepen. De heldere, onnatuurlijke kleuren en de afwezigheid van het gebaar geven de indruk van een lichtgevend, stralend oppervlak. Hier en daar accentueren ongelukjes met het materiaal het effect van een afgedrukte afbeelding, die is bewerkt, uitgewassen of beschadigd. De laag grafiet, die in een later stadium wordt aangebracht, beperkt, belemmert of begrenst op de een of andere manier deze oneindige uitgestrektheid. De grafiettekeningen, die langzaam en minutieus met potlood zijn gemaakt, tonen rasterwerk, hekken en andere barrières en weerspiegelen de preoccupatie van de kunstenaar met het vraagstuk van zich opgesloten te voelen. Het idee van zich terugtrekken, vrijwillig of niet, werd al opgeroepen in eerdere werken, met name de Reclusoirs, sculpturen geïnspireerd op de kleine afgesloten gebouwen waarin boetelingen in de Middeleeuwen leefden. Maar dit contrast tussen de niet-materiële aard van het gekleurde oppervlak en het repetitieve patroon van de tekening spreekt ook tot ons over wat er voorbij de rand van het papier gebeurt, in wat bekend staat als het buitenbeeld. Net als het raam, dat zowel verbergt als zichtbaar maakt, laat de muur toch de horizon zien, waardoor we ons een mogelijke ontsnapping kunnen voorstellen. OVER DE KUNSTENARES Amélie Scotta, geboren in Nantes in 1983, is beeldend kunstenaar en docente in Brussel. Ze behaalde een diploma in Design (HEAR Straatsburg, 2008) en in Visuele Kunsten (ENSAV La Cambre, Brussel, 2016). Sinds 2013 is haar werk te zien geweest in talrijke tentoonstellingen in België (Le Botanique, La Médiatine, Vanderborght Building, Musées Royaux des Beaux-Arts, Europees Parlement, enz.) en in het buitenland (Villa Méditerranée in Marseille, Arabic Culture House in Berlijn, Matadero in Madrid, evenals in Magasins Généraux, Palais de Tokyo en Carreau du Temple in Parijs). Ze heeft ook residenties gehad in het Casa de Velázquez in Madrid, de Cité Internationale des Arts in Parijs, de Moonens Stichting en de Boghossian Stichting in Brussel. Ze is de winnaar van de Prix international de la Ville de Tournai in 2021, de Prix Cocof en de Prix Carré sur Seine in 2020. Van de toren van Jeddah tot de verlaten fabrieken van Roubaix, van het stadion van Rio tot het Versailles van het volk, van middeleeuwse kluizenaars tot de steigers van Brussel, de kunstenares stelt intuïtief de architectuur in al haar vormen ter discussie. Ze benadert de architectuur voornamelijk door middel van tekenen, maar ook door middel van beeldhouwen en fotografie.Door de constructie kan ze spreken over de mens, degene die zowel bewoont als bouwt. In haar meer recente werk kiest Amélie Scotta voor een meer zintuiglijke benadering van landschap en leefomgeving, waarbij ze gebruik maakt van zowel kleur als materialen. In haar meer recente werk kiest Amélie Scotta voor een meer zintuiglijke benadering van landschap en leefomgeving, waarbij ze gebruik maakt van zowel kleur als materialen. Ze gaat in op het thema van het zich terugtrekken, een positie ten opzichte van de wereld die bescherming, afzondering of bevrijding kan brengen. In haar meer recente werk kiest Amélie Scotta voor een meer zintuiglijke benadering van landschap en leefomgeving, waarbij ze gebruik maakt van zowel kleur als materialen. Ze gaat in op het thema van het zich terugtrekken, een positie ten opzichte van de wereld die bescherming, afzondering of bevrijding kan brengen. Haar fascinatie voor stedenbouw leidt haar ook steeds meer naar projecten in de openbare ruimte.
The Royal Museums of Fine Arts of Belgium are inaugurating an extraordinary international touring exhibition conceived in close collaboration with the Centre Pompidou (Paris). From Giorgio De Chirico to Jackson Pollock, Salvador Dalí, Joan Miró, Meret Oppenheim, Dora Maar, René Magritte…, explore the poetry of the world's most famous surrealists through themes such as the dream, the labyrinth, metamorphosis, the unknown and the subconscious.
********** English ********** Both Spanish artist Juanan Soria and Belgian artist Kevin Vanwonterghem create images with a critical mindset in which the aesthetic experience of the viewer plays an important role. During their conversations, fascinating ideas and reflections emerged on myths and rationality, on Romanticism and Enlightenment, on magic and disenchantment, on mysticism and science. This dialectic through opposites brought interesting perspectives on their visual work and on the layers of meaning of the phenomenon of light, which cannot exist without the dark and the perception of the beholder. ********** Français ********** Juanan Soria et Kevin Vanwonterghem créent des images avec un esprit critique dans lequel l'expérience esthétique du spectateur joue un rôle important. Au cours de leurs conversations, des idées et des réflexions fascinantes ont émergé sur les mythes et la rationalité, sur le romantisme et les Lumières, sur la magie et le désenchantement, sur le mysticisme et la science. Cette dialectique des contraires a apporté des perspectives intéressantes sur le travail visuel de chacun et sur les couches de signification du phénomène de la ‘lumière’, qui ne peut exister sans l'obscurité et sans la perception de l'observateur. ********** Nederlands ********** Zowel de Spaanse kunstenaar Juanan Soria als de Belgische kunstenaar Kevin Vanwonterghem creëren beelden met een kritische ingesteldheid waarbij de esthetische ervaring van de kijker een belangrijke rol speelt. Tijdens hun gesprekken ontstonden boeiende ideeën en reflecties over mythen en rationaliteit, over de romantiek en de Verlichting, over magie en onttovering, over mystiek en wetenschap. Deze dialectiek via tegenstellingen bracht interessante perspectieven op elkaars beeldend werk en op de betekenislagen van het fenomeen ‘licht’, dat niet zonder het donker en zonder de perceptie van de toeschouwer kan.