Zhang Enli A Traveller

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Jusqu'au 11/05/2024

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Spectra Ex Machine / RELEASE PARTY Samedi 18 mai 2024 – 17h-19h Réservation obligatoire par mail à : gauthier@subrosa.net À l’occasion de la sortie du nouveau volume de son anthologie sonore des phénomènes occultes, l'auteur et réalisateur radio Philippe Baudouin vient présenter son projet Spectra Ex Machina (Sub Rosa), lors d'une soirée exceptionnelle. Le second volume de cette anthologie sonore explore les liens entre musique et médiumnité, art vocal et sorcellerie : Aleister Crowley, Uri Geller, Rosemary Brown ou bien encore Elvis Presley font ainsi résonner leur voix de l'au-delà. Au programme de cette soirée : séance d'écoute de quelques extraits du disque et discussion avec Philippe Baudouin, Stéphanie Peel et Christian Chelman sur l'histoire du spiritisme et ses croisements inattendus avec la question musicale. À cette occasion, les deux premiers volumes de Spectra Ex Machina seront proposés à la vente. Philippe Baudouin est réalisateur radio et maître de conférences associé à l’Université Paris-Saclay. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages et articles sur l’histoire de l’occultisme dont Apparitions : Les Archives de la France hantée (Hoëbeke, 2021) et Surnaturelles : une histoire visuelle des femmes médiums (Pyramyd, 2021). Depuis 2019, il poursuit en collaboration avec le label Sub Rosa le projet Spectra Ex Machina, consacré aux archives sonores du paranormal. Stéphanie Peel est chercheuse indépendante et doctorante à l’Université libre de Bruxelles. Son compte Instagram « Les Occultées » est consacré à l’histoire des femmes médiums. Christian Chelman est illusionniste et collectionneur. Il est également le fondateur et l’actuel conservateur du Surnatéum, Muséum d’Histoire Surnaturelle de Bruxelles.
********** Français ********** L'Université libre de Bruxelles (ULB) célèbre, du 16 mai au 22 juillet 2024, 60 ans d'immigration marocaine en Belgique avec l'exposition itinérante gratuite Belgica Biladi : une histoire belgo-marocaine. Conçue en partenariat avec la Ville de Bruxelles, cette exposition se tiendra dans divers espaces publics de la ville et s'inscrit dans le cadre du 60e anniversaire de la signature des accords bilatéraux entre la Belgique et le Maroc pour une immigration de travail. Belgica Biladi propose un parcours immersif accessible à tous dans le centre-ville de Bruxelles, ponctué d’installations utilisant le mobilier urbain et retraçant l'expérience de l'immigration marocaine en Belgique, depuis l'arrivée des premiers travailleurs marocains dans les années 1960 jusqu'à la co-construction actuelle d'une société plurielle et multiculturelle. L'exposition met en lumière les témoignages de plusieurs générations d'immigrés marocains, enrichis par des archives, des photographies et des vidéos. Des experts interviennent également pour apporter leur éclairage sur les différentes thématiques abordées. L'ULB, à travers Belgica Biladi, souhaite contribuer activement à la déconstruction des stéréotypes et la lutte contre les préjugés liés à l'immigration. L'exposition vise à mettre en avant la richesse de la culture plurielle belge, née du brassage des cultures et des contributions de ses différentes communautés. Belgica Biladi se veut une invitation à la découverte de l'histoire et de la culture belgo-marocaine, ainsi qu'à la rencontre entre les différentes communautés de Bruxelles. L'exposition encourage le dialogue et la compréhension mutuelle, en célébrant la diversité et la contribution de la communauté marocaine à la société belge. ********** Nederlands ********** Van 16 mei tot 22 juli 2024 viert de Université libre de Bruxelles (ULB) 60 jaar Marokkaanse immigratie in België met de gratis reizende tentoonstelling Belgica Biladi. De tentoonstelling is ontworpen in samenwerking met de Stad Brussel en wordt in verschillende openbare ruimtes in de stad gehouden in het kader van de 60ste verjaardag van de ondertekening van de bilaterale akkoorden tussen België en Marokko over arbeidsimmigratie. Belgica Biladi neemt bezoekers mee op een immersief parcours door het centrum van Brussel, onderbroken door installaties die gebruik maken van straatmeubilair om de ervaring van de Marokkaanse immigratie naar België weer te geven, vanaf de aankomst van de eerste Marokkaanse arbeiders in de jaren 1960 tot de huidige co-constructie van een pluriforme en multiculturele samenleving. De tentoonstelling belicht de getuigenissen van verschillende generaties Marokkaanse immigranten, verrijkt met archieven, foto's en video's. Er zijn ook deskundigen te gast om licht te werpen op de verschillende thema's die aan bod komen. Met Belgica Biladi wil de ULB actief bijdragen tot de deconstructie van stereotypen en de strijd tegen vooroordelen in verband met immigratie. De tentoonstelling wil de aandacht vestigen op de rijkdom van de pluricultuur in België, die voortkomt uit de vermenging van culturen en de bijdragen van de verschillende gemeenschappen. Belgica Biladi is een uitnodiging om de Belgisch-Marokkaanse geschiedenis en cultuur te ontdekken en de verschillende gemeenschappen in Brussel te ontmoeten. De tentoonstelling moedigt dialoog en wederzijds begrip aan en viert de diversiteit en bijdrage van de Marokkaanse gemeenschap aan de Belgische samenleving.
Het Volk der Introverten is een geboetseerde menigte bestaande uit hoofdjes van klei met ogen dicht, gemaakt door vele handen. Onder leiding van kunstenaar Mirthe Dokter (Pollif Projects) wordt je meegenomen in een zoektocht van je handen naar jezelf, met de klei als vriendelijke bondgenoot. Door een moment gezamenlijk introvert te zijn poogt Mirthe deze kant van de mens meer ruimte te geven in het dagelijkse leven. Ook biedt het kunstwerk een podium aan de mensen die zich ongezien voelen. Je kan bijdragen aan het Volk der Introverten van Sint-Gillis door mee te kleien tijdens een boetseersessie. Jouw hoofdje wordt onderdeel van het kunstwerk, dat zo groeit en groeit. Dat kan tijdens gezamenlijke sessies, maar je kan doorlopend ook zelf komen kleien in de exporuimte, te midden van alle gezichtjes. De hoofdjes worden niet afgebakken, maar zullen uiteindelijk buiten geplaatst worden waar ze weer zullen verdwijnen. Terug naar waar de klei vandaan komt, opnieuw onzichtbaar.
« La première fois que j’ai eu l’idée de créer un objet, c’est sur une plage d’Hawaï en voyant une noix de coco ». Des lointains pays qu'elle a visités Yolaine a ramené quantités de coquillages ou de végétaux aux formes curieuses, mais pas que. Racines, ossements, algues séchées, morceaux d’écailles, nacre, galets patinés, perles fines, strass, accessoires désuets et ustensiles insolites rejetés par la mer ou achetés sur des marchés bariolés, tout l’inspire et l’invite à créer. « J’ai commencé par peindre à la gouache des végétaux mais je ne les trouvais pas assez magiques. Peu à peu, je me suis détachée de leur forme initiale grâce à la glaise, au bois, au métal. » Sous ses doigts de fée, ses ‘cocos’, comme elle les appelle, se transforment en statuettes votives, idoles inquiétantes, petits dieux fantaisistes ou animaux fantastiques. Mais chaque objet est une entreprise minutieuse et délicate qui exige des semaines de travail et d’infinie patience. Car cette orfèvre besogneuse n’arrête jamais où qu’elle soit dans son atelier à Bruxelles, en voyage et même en avion, elle travaille ! Yolaine ponce, lime, sculpte. Elle cloue, polit, prépare ses fonds, peint, vernis. Elle farfouille dans son bric-à-brac de flacons, de pots, tiroirs et autres vitrines dans lesquels elle conserve précieusement ces trésors du bout du monde, pour y choisir l’objet insolite, l’opercule unique, la plume d’un oiseau merveilleux. Mariage improbable d’éléments hétéroclites que l’artiste combine avec génie. Ses créations sont ensuite rehaussées de pierres semi-précieuses, de perles naturelles, transcendant ces matériaux quotidiens, anodins en objets précieux, mystérieux, porteurs de sens. Sa créativité est sans limites, sans frontières, creuset merveilleux d’une alchimie qui mêle toutes les influences, toutes les cultures dont l’artiste s’est imprégnée au cours de ses nombreux périples. Depuis les supports, les formes et les sujets se sont multipliés. En parallèle, Yolaine n’a jamais abandonné le dessin et y mélange tout autant les matières. Elle croque sur le vif tout ce qui titille son imagination. Comme ce bébé gorille recueilli par l’orphelinat du parc des Virunga, qu’elle pare de lunettes à paillettes et transforme en star de Hollywood. Ou ces danseuses polynésiennes de Heiva, admirées à Tahiti, dont elle reproduit avec maestria les costumes chatoyants.
Emilie Danchin conveys questions in her work pertaining to the realism of photography by involving the body in the pho- tographic space. It is very vibrant as well as an organic ad- venture. Emilie Danchin does not photograph reality as such, but a kind of dream rooted in the subject, to a certain extent a somewhat inhabited or animated dreamy reality. To this effect, the photographic act extends to a personal phenome- nology and the progressive creation of a visual language ca- pable of relaying a personal experience charged with images and emotions that, universally recognisable, are likely to stir viewers’ feelings, disrupt thought and trigger dreams. Emilie Danchin introduces here Le Bois des Rêves, the culmi- nation of a performance and photographic work achieved in a property that is noteworthy in terms of its architecture, as well as its gardens, in the Arts-and-Crafts style. This heritage site lent itself to her proposal to have the freedom to take over a space and a body, hers in this case. She tackles the question of origins in a foreign place in a paradoxical way. It substitutes a space that no longer exists, which represents her origins. This property conjured up, through a combination of me- mories, her own English place of birth, the houses belonging to her grandmothers, their gardens in the countryside and seaside, baths, woodworks, smells, clothes, furniture, musica- lity... a whole atmosphere that is generally, culturally familiar to her. And at the same time, it recalled absence, missing people, invasion and emptiness of the body and a house that until recently remained within the same family, loss and the parentage that was interrupted. By means of self-portrait, Emilie Danchin wondered what the inside of the house would look like. How would the emotions generated by the exterior of the house be conveyed in her outside landscapes? How would she extri- cate her body from the matter to render it in a landscape having similar characteristics? How would time intervene in this memory-enhanced place where her own body, her robe and some of her clothes combined with those that belonged to three generations of women, the house, gar- den, the photographic act itself have jointly become the template for a vital identity-related fiction? Her aim was to found her hope of investing a space, materialising and filling a form of absence, the place of the origins, a kind of double of another imaginary space, distant and close, inaccessible, erased, deleted, having left the body and the house and nevertheless, inalienable yet. Le Bois des Rêves is carried by the the artist’s body postures, which has become a sensitive measure of the evocative potential of the place. Equally, the place has given live to non-material memories, the vague outlines of which could not have stood out without this inseparable staging of her body and the space. The photographic medium is presented in a variety of aspects, black and white, colour, varying formats and scales, as well as dialogue between fiction and observation. Video is added to this. Processed as stills, this lends the ensemble a form of heartbeat in real time as such of perception through gaze. This results in an art form in several phases, the assembly of which in its entirety impresses a circular motion in space and physically creates time. Intimating the desire to go on reconnais- sance, this photographic form espouses the volatility of space and time, emotions, dreams and the sense of self. One marvels before the representation of the memory space, whose autobiographical form is that of an absolute memory and of a dream.
********** Nederlands ********** De werken van Elodie Antoine hebben een speelse en dubbelzinnige dimensie. Ze houdt van tegenstrijdigheden, van het uitlokken van het vreemde door een spel van ontmoetingen, en van de mogelijkheden die ontstaan tijdens het creatieve proces, die haar van het ene naar het andere punt leiden. De draden van haar gedachten woekeren, bestuiven elkaar en verspreiden zich om een soort mycelium te vormen, een soort zwam, een organisme dat ook vaak voorkomt in haar werk. Op deze manier creëert ze een organische esthetiek met vele, slim met elkaar verbonden facetten, zoals de vreemde voetbal waarvan elke zeshoek versierd is met een roze vilten tepel. ********** Français ********** Si les œuvres d’Elodie Antoine contiennent une dimension ludique et ambiguë, c’est que l’artiste aime à travailler avec les ambivalences, susciter l’étrangeté par un jeu de rencontres, exploiter les opportunités qui se tissent au fil de sa démarche, un point l'entraînant vers un autre. Les filaments de sa pensée prolifèrent, se contaminent et s’étendent pour former un réseau micellaire semblable à celui des champignons, organismes qui colonisent également son travail. L’artiste construit ainsi une esthétique organique aux multiples facettes savamment liées les unes aux autres, à l’image de cet étrange ballon de foot dont chaque hexagone est orné d’un téton de feutre rose.
********** Nederlands ********** Tentoonstelling "Hymne aan het leven": Schilderen is een ontsnapping die altijd iets zegt over de werkelijkheid. Het delen van kunst helpt wonden te helen van hen die lijden. Het is een factor van broederschap die mensen met elkaar verbindt. De eerste verdienste van een schilderij is dat het een lust voor het oog is. Als er geen tranen meer zijn om te huilen, is er altijd nog hoop. ********** Français ********** Exposition « Hymne à la vie » La peinture est une évasion qui a toujours quelque chose à dire sur le réel. Offrir l’Art en partage permet de panser les plaies de ceux qui souffrent. C'est un facteur de fraternité, ce qui permet de relier les humains entre eux. Le premier mérite d’une peinture est d’être une fête pour l’oeil. Lorsqu’il ne reste plus de larmes pour pleurer, il reste l’Espérance.