We Agree To Disagree

Beschrijving


********** Français **********

Le Collectif Malunés vous invite, if you agree, à prendre part à une expérience personnelle et collective : un moment de cirque à la fois virtuose, pathétique, esthétique, parfois bordélique, bien entendu acrobatique, avec un montage de portique organique, héroïque, et le tout en musique !
A votre arrivée, nous viendrons à votre rencontre. On s’approchera pour vous raconteur des secrets. Peut-être aurez vous la chance d’être incité·e à vous confier. Vous serez tous·tes invité·es à participer, même plus, à co-créer ! N’ayez crainte, la prise de risque sera maîtrisée.
We Agree To Disagree parle de l’absurdité du sérieux actuel. Insolence, décalage, humour belge et politiquement incorrect sont les ingrédients pour combattre le conformisme et faire germer l’espoir de lendemains fleuris. Plus tard, lorsque vous conterez ce doux moment à vos proches, vous ne pourrez pas dire du spectacle “je l’ai vu”, mais “je l’ai fait”.
C’est au travers de ce nouveau projet We agree to disagree que le Collectif Malunés souhaite proposer un spectacle contemporain, grinçant et poignant sur la question du «vivre ensemble ».

Dans le cadre du festival HOPLA!
HOPLA! est un festival de cirque qui se déploie depuis 2007 sur le territoire de la Ville de Bruxelles. Initialement organisé sur une seule journée, il s’est progressivement développé.

Le festival HOPLA! a pour objectif de bâtir des ponts entre le cirque et la ville, les circassiens et les citoyens, les arts et leur public. Secteur de création en pleine effervescence, le cirque présente une richesse qui correspond bien à la réalité bruxelloise. Convivial, familial, il fédère, décloisonne les genres, les générations et les clivages sociaux. Il invite au dépassement de soi, à l’émerveillement, au respect de l’autre et à la curiosité.


********** Nederlands **********

Het Collectif Malunés nodigt je, if you agree, uit om deel te nemen aan een persoonlijke en collectieve ervaring: een virtuoos, pathetisch, esthetisch, soms rommelig, acrobatisch circusmoment, met een organische, heroïsche opstelling van een acrotoestel, en dat alles met muziek!
Bij je aankomst komen we je tegemoet. We zullen dichterbij komen om je geheimen te vertellen. Misschien geeft het je zin ons in vertrouwen te nemen. Jullie zullen allemaal worden uitgenodigd om deel te nemen, meer nog, om te co-creëren! Maak je geen zorgen, de risico’s houden we onder controle.
We Agree To Disagree gaat over de absurditeit van de hedendaagse ernst. Onbeschaamdheid, eigenzinnigheid, Belgische humor en politieke incorrectheid zijn de ingrediënten om het conformisme te bestrijden en hoop te geven op een bloeiende morgen. Later, wanneer je je naasten vertelt over dit fijne moment, zal je van de voorstelling niet kunnen zeggen ‘ik heb het gezien’, maar ‘ik heb het gedaan’.
Met dit nieuwe project We agree to disagree wil het Collectif Malunés een eigentijdse, krakende en aangrijpende voorstelling bieden over het thema ‘samenleven’.

In het Kader van het HOPLA!-Festival
HOPLA! is een circusfestival dat sinds 2007 zijn tenten opslaat op het grondgebied van de stad Brussel. Van een eendaagse gebeurtenis, groeide het festival geleidelijk aan uit tot een meerdaags evenement. Sinds 2015 doet het 6 verschillende wijken aan van de Stad gedurende de laatste week van de paasvakantie.

Het HOPLA!-Festival wil bruggen bouwen tussen het circus en de stad, de circusartiesten en de burgers, de circuskunsten en hun publiek. Circus is een bloeiende artistieke sector en biedt een rijkdom die mooi aansluit op de Brusselse realiteit. Het gezellige gezinsfestival verenigt en overstijgt stijlen, generaties en sociale verschillen. Circus haalt het beste naar boven in mensen en stimuleert verwondering, respect voor elkaar en nieuwsgierigheid.

Datum informatie

2023-04-22: 18:00:00 - 19:00:00

2023-04-23: 17:00:00 - 18:00:00

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Une invitation pour un fantastique voyage à la découverte des arts du cirque traditionnel. Spectacle sous chapiteau, déambulations clownesques et animations diverses. Événement organisé en collaboration avec la famille Chabri dans le cadre de la Fête du printemps. Les tickets pour le spectacle sous chapiteau seront disponibles au stand d’Archipel 19, le jour même à partir de 12h.
Carré de je est un hymne à la complicité, à l‘union fraternelle. Dans un espace simple et brut, se retrouvent deux frères. Seuls ou à l’unisson, ils développent un langage acrobatique en se confrontant l‘un à l‘autre pour mieux témoigner de leur lien. Dans un univers visuel et graphique plein d‘imaginaire, confusion et connexion s‘entrecroisent jusqu‘à semer le trouble et bousculer nos repères. Mélange des corps, acrobaties en boucles, on ne discerne plus celui qui mène la danse et celui qui suit, celui qui porte, celui qui vole dans les airs… Avec eux, équilibres, main à main et jeux icariens font résonner engagement et affrontement autant qu’étreinte et complicité pour mieux explorer, non sans humour, les arcanes de leur dualité. La lumière s’en mêle, le tapis glisse…
Avec Marche salope (1), Céline Chariot aborde le sujet du viol, interrogeant le mutisme qui entoure les agressions sexuelles. « La vraie question n’est pas de savoir pourquoi je parle, mais pourquoi je n’ai pas parlé » écrit-elle. Aujourd’hui, elle part de constats et de statistiques, pas d’une colère irrationnelle ; elle ne veut ni écrire de fiction édulcorée, ni chercher à raconter l’histoire des femmes et encore moins la sienne, ni à brûler les hommes, ni à faire justice. En reconstituant une scène de crime, par le biais d’un geste accessible, fort, documenté et poétique, travaillant à un acte artistique qui puisse révéler une certaine beauté tout en pouvant transcender la douleur de gestes passés, Céline Chariot, qui n’est ni danseuse, ni actrice, mais photographe, aborde le viol via le regard, via des sensations qui ont pour but la réflexion, et rappelle que dans cette transgression odieuse qu’est le viol, le crime n’est pas uniquement celui du violeur mais surtout celui d’un corps social qui pointe la victime comme responsable de son sort. Dans une forme originale où se mêlent texte, performance, silence, regard, reconstitution du réel et onirisme, le spectacle invite puissamment à la transformation des traumatismes du passé en une puissante frénésie d’en finir avec les inégalités de genre. (1) La Slutwalk, ou « Marche des salopes », est une marche de protestation née en avril 2011 au Canada après qu’un officier de police ait déclaré : « Si vous voulez éviter de vous faire violer, il faut éviter de s’habiller comme une salope »
********** English ********** “If I nationed myself / in the shadow / of a colossal wave / If only to hold on / by opening— / by Kingdom come”. This phrase from the Ocean Vuong poem Waterline functions as a mantra for the new creation from Clara Furey. The Canadian artist specialises in existential dance experiments that explore various states of being. Through physical research into water, the choreographer brings the immensity of an inner sea to the stage floor. With UNARMOURED, Furey reunites and reconciles what has previously been separate, the performance emerging from a fluid, carnal chaos whose crashing waves suggest infinity as a transformative emotion. The dancers appear as unsettling sculptures, undertaking an artistic exploration that awakens compelling desires. With a soft-core approach, always in between, always edging, they claim the right to eroticism on their terms. In a garden of resonance, bodies vibrate to rhythmic waves of light and sound, an immersive sound composition created by musician Tomas Furey. Membranes stretch and boundaries blur. Bodies no longer need to be seen for their contours but for the energy that overflows them. They release an erotic power that runs through us and propels us with force, leaving us fundamentally curious and tantalised. ********** Français ********** Partant d’une recherche chorégraphique autour de l’eau, l’artiste canadienne Clara Furey convie sur scène un groupe de danseur·euses et l’immensité d’une mer intérieure qui déferle en elleux. Dans son travail, Furey s’intéresse à l’expérimentation de différents états et sensations. Sa nouvelle création UNARMOURED est née des mouvements fluides et charnels qui peuvent exister entre les corps. Une bande son immersive, composée par le musicien Tomas Furey, progresse sur scène par intervalles d’ondes qui s’écrasent comme des vagues sur des corps qui semblent presque se dématérialiser. Leurs limites s’assouplissent, ils semblent s’évaporer. Les danseur·euses n’ont plus de contours mais s’abandonnent à une énergie qui les submerge, en équilibre entre une sensualité partagée et des moments de synchronicité rythmique qui les rassemblent dans une énergie unique. Présente pour la première fois au festival, Furey affirme une approche charnelle de la chorégraphie et un érotisme qui transcende les limites des corps. Parmi ses inspirations, le poème Waterline d’Ocean Vuong : « Si j'élisais nation / dans l'ombre / d'une vague colossale / Si seulement pour tenir / par l'ouvert— / que Ton règne vienne ». Une chorégraphie à la puissance fluide et incisive de l'une des voix les plus intéressantes de sa génération. ********** Nederlands ********** “If I nationed myself / in the shadow / of a colossal wave / If only to hold on / by opening— / by Kingdom come”. Deze regel uit het gedicht Waterline van Ocean Vuong werkt als een mantra voor de nieuwe creatie van Clara Furey. De Canadese artieste legt zich toe op existentiële dansexperimenten die verschillende staten van bewustzijn verkennen. Na een onderzoek rond de fysieke eigenschappen van water brengt de choreografe de uitgestrektheid van een innerlijke zee op scène. Furey herenigt en verzoent in UNARMOURED wat voorheen gescheiden was. De performance ontstaat uit een vloeiende, vleselijke chaos: de dansers verschijnen als ontregelde sculpturen en ondernemen een artistieke expeditie die dwingende verlangens oproept. Via een soft-core benadering – telkens tussenin, aarzelend op de rand – eisen ze het recht op erotiek volgens hun voorwaarden. Gutsende golven suggereren oneindigheid als een transformatieve emotie. Lichamen vibreren op ritmische golven van licht en geluid, een immersieve soundtrack gecomponeerd door muzikant Tomas Furey. Ze willen niet langer geassocieerd worden met hun omtrekken maar met de energie waarvan ze overlopen. Een overweldigende erotische kracht komt uiteindelijk vrij en laat ons nieuwsgierig en geprikkeld achter.
********** English ********** The body of the artist proposes itself as a living altar, offered for a moment of reflection, meditation, prayer, and request, not for a god or saint, but for the world. In the Christian religion, lighting a candle opens one’s heart to God and thus raises a prayer towards him. It is also a way of expressing one’s attachment to a saint in particular by making a request or even thanking him. An offering accompanies this approach. The artist's body proposes itself as a living altar, offered for reflection, meditation, prayer, and request, not for a god or a saint, but for the world. Here, the ritual is proposed to allow oneself to express their concern, fear, and sorrow for the world - it is a way of reacting to the environmental despair that we are currently experiencing. This performance is inspired both by the artist’s rituals in a women’s circle to celebrate, among other things, the solstices and equinoxes, and Joanna Macy’s essay, “Acting with Environmental Despair” which asks the question: “Can we recognize our sorrow for the world and live with it in a way that affirms our existence and frees our power to act?” A year ago, the first version of this performance was presented during the Trouble Festival. In this context, more than sixty sorrows were laid at the foot of the altar. These anonymous sorrows will be engraved next to each other on one of the walls of the exhibition, during several one-off sessions between April 11 and September 1. Barbara Salomé Felgenhauer (1992, Huy, Belgium) lives and works in Brussels. A multidisciplinary artist, her practice covers photography, film, performance, and installation. The question of narrative and the power of words and ideas runs through her work. She uses storytelling as an experience of emancipation and empowerment from gender norms and stereotypes and as a creative force of the universe to induce new relationships to worlds. She graduated from the photography workshop at ESA Saint-Luc in Liège in 2013 and from ENSAV La Cambre in Brussels in 2022. She obtained her master’s degree with Grand Distinction and the Boghossian Foundation Prize 2022 with her project Terrapolis. ********** Français ********** Le corps de l’artiste se propose comme un autel vivant, offert pour un moment de réflexion, de méditation, de prière, de demande, non pas à destination d’un dieu ou de saint·e·s, mais pour le monde. Dans la religion chrétienne, allumer une bougie revient à ouvrir son cœur à Dieu et ainsi faire monter une prière vers lui. C’est aussi le moyen d’exprimer son attachement à un·e saint·e en particulier, de lui adresser une demande ou encore des remerciements. Une offrande accompagne cette démarche. Ici, le rituel est proposé afin de s’autoriser à exprimer son inquiétude, sa peur, ses peines pour le monde, c’est une façon de réagir au désespoir environnemental que nous vivons actuellement. Cette performance est inspirée à la fois des rituels de l’artiste en cercle de femmes pour célébrer entre autres les solstices et équinoxes, et de l’essai de Joanna Macy, “Agir avec le désespoir environnemental” qui pose la question : « Pouvons-nous reconnaître notre peine pour le monde et vivre avec elle d’une manière qui affirme notre existence et libère notre pouvoir d’agir ? ». Il y a un an, une première version de cette performance a été présentée pendant le festival Trouble. Dans ce cadre, plus de soixante peines ont été déposées au pied du corps-autel. Ces peines anonymes seront gravées les unes à côté des autres sur un des murs de l’exposition, lors de plusieurs sessions ponctuelles entre le 11 avril et le 1 septembre. Barbara Salomé Felgenhauer (1992, Huy, Belgique) vit et travaille à Bruxelles. Artiste pluridisciplinaire, sa pratique couvre la photographie, le film, la performance et l’installation. La question du récit et du pouvoir des mots et des idées traverse tout son travail. Elle utilise le récit à la fois comme une expérience d’émancipation et d’autonomisation vis-à-vis des normes et des stéréotypes de genre, comme force créatrice d’univers pour induire de nouveaux rapports aux mondes. Elle est diplômée de l’atelier de photographie à l’ESA Saint-Luc à Liège en 2013 et de l’ENSAV La Cambre à Bruxelles en 2022. Elle obtient son master avec la mention grande distinction et le Prix de la Fondation Boghossian 2022 avec son projet Terrapolis. ********** Nederlands ********** Het lichaam van de kunstenaar presenteert zich als een levend altaar, aangeboden voor een moment van reflectie, van meditatie, gebed, verzoek, niet voor een god of heiligen, maar voor de wereld. In de christelijke religie betekent het aansteken van een kaars het openen van je hart voor God en het opheffen van een gebed tot Hem. Het is ook de manier om uitdrukking te geven aan je gehechtheid aan een bepaalde heilige, door hem een verzoek te sturen of zelfs te bedanken. Een offer begeleidt dit proces. Hier wordt het ritueel voorgesteld om jezelf in staat te stellen je zorgen, je angst en je verdriet over de wereld te uiten; het is een manier om te reageren op de ecologische wanhoop die we momenteel ervaren. Deze voorstelling is zowel geïnspireerd door de rituelen van de kunstenaar in een kring van vrouwen om onder andere de zonnewendes en equinoxen te vieren, als door het essay van Joanna Macy, ‘Acting with Environmental Despair’, waarin de vraag wordt gesteld: ‘Kunnen we onze pijn voor de wereld erkennen en ermee leven op een manier die ons bestaan bevestigt en ons vermogen om te handelen vrijmaakt? ". Een jaar geleden werd een eerste versie van deze voorstelling gepresenteerd tijdens het Trouble festival. In dit kader werden ruim zestig verdrieten aan de voet van het hoofdaltaar geplaatst. Deze anonieme zinnen worden tussen 11 april en 1 september tijdens verschillende gelegenheidssessies naast elkaar gegraveerd op een van de wanden van de tentoonstelling. Barbara Salomé Felgenhauer (1992, Hoei, België) woont en werkt in Brussel. Als multidisciplinair kunstenaar omvat haar praktijk fotografie, film, performance en installatie. De vraag naar het verhaal en de kracht van woorden en ideeën loopt als een rode draad door haar werk. Ze gebruikt het verhaal zowel als een ervaring van emancipatie en empowerment ten opzichte van gendernormen en stereotypen, als een creatieve kracht van het universum om nieuwe relaties met werelden tot stand te brengen. Ze behaalde haar diploma aan het fotografieatelier bij ESA Saint-Luc in Luik in 2013 en aan ENSAV La Cambre in Brussel in 2022. Ze behaalde haar masterdiploma met grote onderscheiding en de Prijs van de Stichting Boghossian Stichting 2022 met haar Terrapolis-project.
********** English ********** Double bill19:30Osamu Shikichiユアファントムアイ、アワクリスタライズペイン our phantom eyes, our crystalized painsWhen an eye is an eye and loses its gaze, images remain there as a phantom or memory. Pain is not an emotion, but a sensation which is most easily empathised with. When the water flowing from the eyes creates an ocean, you will be reborn once again from its amniotic fluid and will see a new body. 20:30Adem OuhaibiaShaharazadShaharazad deals with movement methods of hip hop in the realm of contemporary dance. Adem Ouhaibia researched together with Marita Schwanke how these methods can be translated and transformed considering people’s different backgrounds and knowledge. The result of this research was the practice Breaking technologies – the five elements of breaking and the performance Shaharazad.Shaharazad talks about creating and leaving traces as recordings of the past but also imagination of the future. It questions how to read dance and share it with a diverse audience. Inspired by Roland Barthes’ idea of "The Death of the Author", we concentrate on different experiences that come together, drift apart or shift around. How far is this accessible to an outsider? Just like the audience, the performers and the creators speak different languages but also have things in common. They have a shared interest in the arts and in dance, guided by a web of knowledge and pathways that had been acquired and lived. We are imagining the future, and this piece is part of it.The friction between the so-called ‘high art’ (contemporary dance) and ‘low art’ (hip hop) is part of the future we will imagine. ********** Français ********** Double bill19:30Osamu Shikichiユアファントムアイ、アワクリスタライズペイン our phantom eyes, our crystalized painsLorsqu'un œil est un œil et qu'il perd son regard, les images demeurent comme un fantôme ou un souvenir. La douleur n'est pas une émotion, mais une sensation avec laquelle on entre le plus facilement en empathie. Lorsque l'eau qui coule des yeux crée un océan, vous renaîtrez à nouveau de son liquide amniotique et verrez un nouveau corps. 20:30Adem OuhaibiaShaharazadShaharazad traite des méthodes de mouvement du hip-hop dans le domaine de la danse contemporaine. Nous avons cherché à savoir comment ces méthodes pouvaient être traduites et transformées en tenant compte des différents contextes et connaissances de chacun·e. Le résultat de cette recherche est la pratique Breaking technologies - the five elements of breaking et la performance Shaharazad.La pièce parle de la création et du fait de laisser des traces en tant qu'enregistrements du passé, mais également des empreintes de l'imagination du futur. Elle questionne la façon de lire la danse et de la partager avec un public diversifié. Inspiré·es par l'idée de Roland Barthes de « La mort de l'auteur », nous nous concentrons sur différentes expériences qui se rejoignent, s'éloignent ou se déplacent. Dans quelle mesure sont-elles accessibles à une personne extérieure ? Tout comme le public, les interprètes et créateur·ices parlent des langues différentes, mais ont également des choses en commun. Iels partagent un intérêt pour les arts et la danse, guidé·es par un réseau de connaissances et de chemins acquis et vécus. Nous imaginons le futur et cette pièce en fait partie.La friction entre ce que l'on appelle le « grand art » (la danse contemporaine) et « l’art mineur » (le hip-hop) fait partie de l'avenir que nous allons imaginer. ********** Nederlands ********** Double bill19:30Osamu Shikichiユアファントムアイ、アワクリスタライズペイン our phantom eyes, our crystalized painsWanneer een oog haar zicht verliest – zoals ogen soms doen – dan behoudt ze de beelden als spoken of herinneringen. Pijn is geen emotie maar een gevoel waarmee je het gemakkelijkst kan meevoelen. Wanneer het water dat uit je ogen stroomt een oceaan vormt, zal je opnieuw geboren worden in haar vruchtwater en zal je een nieuw lichaam zien.  20:30Adem OuhaibiaShaharazadShaharazad vertrekt van de bewegingsmethodes van hiphop binnen de hedendaagse danswereld. Samen met Marita Schwanke onderzoekt Adem Ouhaibia hoe deze methodes vertaald en vervormd kunnen worden met aandacht voor ieders achtergrond en kennis. Uit dit onderzoek komen de praktijk Breaking technologies – the five elements of breaking en de performance Shaharazad voort.Shaharazad gaat over sporen maken en achterlaten, als een opname van het verleden maar ook als verbeelding van de toekomst. Het stelt vragen bij de manier van dans lezen en dans delen met een divers publiek. Geïnspireerd door Roland Barthes’ idee van ‘de dood van de auteur’, concentreert de voorstelling zich op de verschillende ervaringen die samenkomen, uit elkaar drijven en transformeren. In hoeverre is dans toegankelijk voor een buitenstaander? Net als bij het publiek, spreken ook de performers en makers verschillende talen, al hebben zij wel iets gemeen. Ze delen hun interesse in kunst en in dans, en leunen op een web van kennis en trajecten waar ze doorgegaan zijn. Met deze voorstelling willen Marita Schwanke en Adem Ouhaibia bedenken wat de toekomst kan zijn.De wrijving tussen de zogenaamde ‘hoge kunst’ (hedendaagse dans) en ‘lage kunst’ (hiphop) is deel van de toekomst die ze willen verbeelden.
********** English ********** Respublika is a total theatre experience, brought to you by a collective of actors, performers and stage managers who engage in an attempt to question their relationship to work, and, by extension, ours. Can creating music and organising a dance party be considered a form of resistance? Could the idea of a republic based on alternative economic principles give rise to a new raison d'être? Respublika is a new theatrical experience, directed by Polish artist Łukasz Twarkowski, in which the public is invited to form part of a community that shares food, stories and even a sauna. An immersive 6-hour experience which we invite you to join in. Come and discover the Grande Halle as you’ve never seen it before, transformed for the occasion into a temporary city where possibilities are redefined. 34€ / 30€ / 26€ ********** Français ********** Respublika est une expérience de théâtre totale, portée par un collectif d’acteur·ices, de performeur·euses et de régisseur·es techniques qui s’engagent dans une tentative de questionner leur relation au travail, et, par rebond, la nôtre. Est-ce que créer de la musique et organiser une dance party peut être considéré comme une forme de résistance ? Est-ce que l’idée d’une république basée sur des principes économiques autres peut donner naissance à une nouvelle raison d’être ? Respublika est une nouvelle expérience théâtrale mise en scène par l’artiste polonais Łukasz Twarkowski, dans laquelle le public est invité à faire partie d’une communauté, qui partage de la nourriture, des histoires et même un sauna. Une expérience immersive d’une durée de 6 heures à laquelle nous vous invitons à participer. Venez découvrir la Grande Halle comme vous ne l’avez jamais vue, transformée pour l’occasion en ville temporaire où les possibles sont redéfinis. 34€ / 30€ / 26€ ********** Nederlands ********** Respublika is totaaltheater uitgevoerd door een collectief van acteurs, performers en technische regisseurs die een poging ondernemen om hun relatie tot het werk, en bij uitbreiding dat van ons, in vraag te stellen. Kan muziek maken en een danceparty organiseren beschouwd worden als een vorm van verzet? Kan het idee van een republiek die gebaseerd is op andere economische principes aanleiding geven tot een nieuwe bestaansreden? Respublika is een nieuwe theaterbeleving geregisseerd door de Poolse kunstenaar Łukasz Twarkowski, waar het publiek wordt uitgenodigd om deel uit te maken van een gemeenschap die voedsel, verhalen en zelfs een sauna deelt. Een immersieve ervaring van 6 uur waarbij u wordt uitgenodigd om deel te nemen. Ontdek de Grote Hal zoals u ze nog nooit hebt gezien. Ze werd voor de gelegenheid omgetoverd tot een tijdelijke stad waar mogelijkheden worden geherdefinieerd. 34€ / 30€ / 26€
Préparez-vous pour la dernière édition sensationnelle de la saison ! Rejoignez-nous pour un événement tout-en-un : un workshop captivant de 19h30 à 21h00, suivi d'une jam session à partir de 21h30.
Mode majeur de la fugue est le portrait d’une agricultrice, de son émancipation inattendue et de sa sensibilité brute. C’est une forme hybride entre l’installation sonore et la performance théâtrale qui fait dialoguer une pianiste en live avec des sons enregistrés et une parole documentaire. Le public est amené à y vivre une expérience acoustique et intime. Résumé Martine, agricultrice depuis cinquante ans, travaille dur sans loisirs ni repos. Un jour, au volant de son tracteur, elle entend à la radio une émission de philosophie qui va la marquer profondément. Commencera alors pour elle un parcours d’émancipation qui, grâce à la lecture, la mènera à changer de vie. Mode majeur de la fugue, première création de Jennifer Cousin, artiste d’origine normande formée à l’INSAS, a été créée au Festival XS en 2022. Soutenue par un dispositif original – une forme hybride entre performance acoustique, musique et théâtre – la pièce allie deux univers a priori distincts : le monde de l’art et le monde agricole. Une polyphonie qui crée des liens inattendus. À propos de l'artiste Jennifer Cousin entre au Conservatoire de théâtre de Rennes en 2007, et joue à l’Opéra de Rennes dans deux spectacles de Daniel Dupont. Elle se forme ensuite au théâtre physique à Montpellier, puis intègre l’INSAS en mise en scène. Après avoir mis en scène Perplexe de Mayenburg, créé aux Riches-Claires en 2015, elle découvre la pratique sonore avec Brice Cannavo et réalise Trésor de ma vie, portrait documentaire sur Armand, intrigant voisin qui vit seul avec son canari dans l’ancienne maison familiale. Elle crée ensuite Mode Majeur de la fugue, une installation sonore pour le théâtre qui aborde la notion de travail et du rapport à l’art, et lui vaut la bourse de découverte Pierre Schaeffer à l’occasion des Phonurgia Nova Awards ainsi que le prix du Fonds Marie-Paule Delvaux-Godenne. Fin 2016, elle suit la formation sonore La Coquille (ACSR) et réalise le son du spectacle Barbe-Bleue d’Hugo Favier. Elle joue ensuite dans Orphelins de Dennis Kelly, mis en scène par Elsa Chêne (Festival Courants d’air 2017). En octobre 2017, elle suit une formation au documentaire sonore avec Kaye Mortley et Hervé Marchon. Elle travaille actuellement à la création sonore de deux projets : MUR/MER d’Elsa Chêne (Festival Courants d’air 2018 et concours Danse Élargie à Paris) et sur une installation et performance de Lorette Moreau et Charlotte Lippinois sur le sexe féminin.