Une chanson pour la lune

Description

Une petite taupe solitaire décide d’écrire une chanson pour égayer la lune. Un ver de terre lui propose son aide et bientôt, un orchestre dirigé par une sauterelle et un chœur de souris se joignent à leur beau projet. Une fois la chanson apprise, ils donnent un magnifique concert nocturne. Mais pourquoi la lune se montre-t-elle ensuite si triste? Une chanson pour la lune s’inspire du conte éponyme du célèbre auteur néerlandais Toon Tellegen, connu pour ses brèves histoires d’animaux foisonnant d’étranges situations à la dimension philosophique. Avec cette œuvre destinée aux enfants, la compositrice néerlandaise Mathilde Wantenaar (°1993) écrit son premier opéra. Une chanson pour la lune aborde de grands thèmes comme la solitude, l’identité, la déception et l’amitié, mais c’est aussi une pièce sur le pouvoir de la musique et la possibilité de nouer des liens les uns avec les autres.

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Avec Marche salope (1), Céline Chariot aborde le sujet du viol, interrogeant le mutisme qui entoure les agressions sexuelles. « La vraie question n’est pas de savoir pourquoi je parle, mais pourquoi je n’ai pas parlé » écrit-elle. Aujourd’hui, elle part de constats et de statistiques, pas d’une colère irrationnelle ; elle ne veut ni écrire de fiction édulcorée, ni chercher à raconter l’histoire des femmes et encore moins la sienne, ni à brûler les hommes, ni à faire justice. En reconstituant une scène de crime, par le biais d’un geste accessible, fort, documenté et poétique, travaillant à un acte artistique qui puisse révéler une certaine beauté tout en pouvant transcender la douleur de gestes passés, Céline Chariot, qui n’est ni danseuse, ni actrice, mais photographe, aborde le viol via le regard, via des sensations qui ont pour but la réflexion, et rappelle que dans cette transgression odieuse qu’est le viol, le crime n’est pas uniquement celui du violeur mais surtout celui d’un corps social qui pointe la victime comme responsable de son sort. Dans une forme originale où se mêlent texte, performance, silence, regard, reconstitution du réel et onirisme, le spectacle invite puissamment à la transformation des traumatismes du passé en une puissante frénésie d’en finir avec les inégalités de genre. (1) La Slutwalk, ou « Marche des salopes », est une marche de protestation née en avril 2011 au Canada après qu’un officier de police ait déclaré : « Si vous voulez éviter de vous faire violer, il faut éviter de s’habiller comme une salope »
Venez découvrir le Club des 3x20 du Comme Eddy Club, dans une salle cosy située au 1er étage du Sister Brussels Café, à 2 pas de la Grand-Place de BXL. Au menu de ces soirées : 3 humoristes en devenir auront chacun.e 20 minutes pour vous surprendre, vous faire rire, vous émouvoir ! > Jeudi 21/3 : Flora, Guillaume & Amandine > Jeudi 18/4 : Bilette, Liane & Vincent Van Parys > Jeudi 23/5 : Ness, Luis Bellis & Le Duo Complice +++ FOOD & DRINKS : Venez plus tôt pour manger et/ou boire un verre sur place avant le spectacle : carte bio, sans gluten, vegan, bières locales et jus maison ! +++ Le "Comme Eddy Club", c'est un jeu de mots pourri (vous l'avez ?), mais ce sont surtout des soirées d'humour (presque) tous les jeudis à l'étage du Sister Brussels Café. Pour être tenu.e au courant de nos activités, suivez-nous sur Instagram : @commeeddyclub Une co-production The Sister Brussels Café et Comme Eddy Club, à l'initiative d'Edgar Kosma (Eddy pour les intimes, vous l'avez cette fois ?)
Dans Europe connexion, Alexandra Badea dépeint le trajet d’un lobbyiste qui met tout en œuvre pour modifier les textes de lois votés au Parlement Européen afin de servir les intérêts de l’agro- business. Le lobbyiste parle, il s’empare des mots avec élégance les lisse au besoin sous d’autres plus fréquentables. Qui pourrait douter de lui ? Pourtant derrière chacun de ses succès, réside un désastre pour l’humanité… Le G.I.E.C. crie. Le monde est sourd. Notre système économique engloutit le vivant dans une boulimie démesurée. Nous sommes devenus nos propres prédateurs. Les monstres mythologiques étaient censés inspirer au public « terreur et pitié », les nôtres, devenus prescripteurs des normes et règles de nos vies, y substituent « fiabilité et admiration », aidés du pouvoir de la rhétorique qui transfigure le réel, et dont Alexandra Badea nous invite à disséquer les mécanismes impitoyables, dans une écriture au scalpel aussi politique que poétique qui glace par le réalisme de ses propos, ne nous laissant à son issue qu’une rage salvatrice. La reprise d’un succès en phase avec l’actualité qui, sans didactisme, nous nous encourage à combattre l’inertie du temps.
À propos À travers ce spectacle « hybride » autobiographique - mêlant animation culturelle, One Man Show, projections vidéo et courte séance de médiation culturelle- ce comédien citoyen belgo congolais se raconte et se dévoile. En prise directe avec le public avec lequel il interagit : il nous retrace -tantôt avec humour et drôlerie, tantôt avec sensibilité et gravité - son parcours personnel, familial et artistique. Ses origines familiales, ses errances d’adolescent, son choix - salvateur et instinctif - de devenir artiste, ses joies immenses et ses constats amers de comédiens, ses confrontations répétées et parfois violentes face au racisme latent, aux « bonnes volontés » institutionnelles et aux réflexes induits de nos sociétés contemporaines. Autant de sujets qui constituent son identité, son engagement professionnel, artistique et humain actuel, ses réflexions quant à la place de la diversité culturelle dans les Arts (en général), au théâtre, au cinéma et dans les médias (en particulier), lui qui est métis ! À partir de 14 ans. La Maison des Cultures ouvrira ses portes au public à 18h30 et les fermera à 22h30.
In deze double bill worden we uitgenodigd om onze relatie tot onze handen te heroverwegen en stil te staan bij hun rol in heden, verleden en toekomst. Door aan te raken, creëren we relaties van nabijheid waardoor we uit onze omgeving treden. In toenemende mate worden onze aanrakingen echter beïnvloed door technologieën die de manier waarop we onszelf en anderen waarnemen, veranderen. In Hands Made van Begüm Erciyas spelen de handen van het publiek de hoofdrol. Begeleid door een soundtrack observeren de toeschouwers hun hand en die van hun buur, wat tegelijk een effect van intimiteit en vervreemding tot stand brengt. Geïsoleerd van de rest van het lichaam worden onze handen het middelpunt van een reflectie over handwerk en tastzin. Waar zijn deze handen mee bezig geweest, en wie of wat zullen ze in de toekomst aanraken? Nothing But Fingers is een performance van beeldend kunstenaar Moe Satt. Hij raakte gefascineerd door de rol van handgebaren in Zuid-Afrikaanse jachtcommunicatie en in traditionele dans in Myanmar en Zuidoost-Azië, waarbij menselijke gebaren dierlijke vormen kunnen aannemen. Samen met danseres Liah Frank onderzoekt hij hun expressieve potentieel en vermogen om energiestromen in het lichaam te sturen. Een bijzondere choreografie waarin de handen de rest van het lichaam dicteren, tot de finale overgave. Uren: 14u / 15u / 17u /18u
En reconstituant une scène de crime, par le biais d’un geste accessible, fort, documenté et poétique, travaillant à un acte artistique qui puisse révéler une certaine beauté tout en pouvant transcender la douleur de gestes passés, Céline Chariot, qui n’est ni danseuse, ni actrice, mais photographe, aborde le viol via le regard, via des sensations qui ont pour but la réflexion, et rappelle que dans cette transgression odieuse qu’est le viol, le crime n’est pas uniquement celui du violeur mais surtout celui d’un corps social qui pointe la victime comme responsable de son sort. Dans une forme originale où se mêlent texte, performance, silence, regard, reconstitution du réel et onirisme, le spectacle invite puissamment à la transformation des traumatismes du passé en une puissante frénésie d’en finir avec les inégalités de genre. (1) La Slutwalk, ou « Marche des salopes », est une marche de protestation née en avril 2011 au Canada après qu’un officier de police ait déclaré : « Si vous voulez éviter de vous faire violer, il faut éviter de s’habiller comme une salope ».
Kom vrijdagavond na het werk genieten van een lekkere cocktail in de tuin van Op-Weule! Daarna maken we onze lachspieren helemaal los tijdens de comedyshow Je suis Pippi’ van Veerle Malschaert. De avondshow start om 20u. Veerle Malschaert volgt, net als Pippi Langkous, haar eigen parcours en laat zich als artiest niet in een vakje duwen of aan banden leggen door labels. Ze ontwikkelde een uniek genre dat je nog het best kan omschrijven als openhartige, rake en troostende comedy, een uniek genre waar Veerle Malschaert als comédienne ondertussen gerust haar patent op mag nemen. Een voorstelling over ongedimd uzelf mogen zijn, vastzitten en loslaten, over ’t huis en houden, over aandacht geven en krijgen, over aan de haak geslaan worden, maar niet aan de leiband willen, over bangboosbibberland en de paniek laten varen, over pippi en kakka en over kiezen voor het leven. Dit is een samenwerking tussen 1200 cultuur, GC Op-Weule en Femma. Gratis, maar beperkte plaatsen. Inschrijven kan via info@opweule.be of 02 775 92 00. Cocktails vanaf 17.30u, de comedyshow start om 20u.
Aujourd’hui, elle part de constats et de statistiques, pas d’une colère irrationnelle ; elle ne veut ni écrire de fiction édulcorée, ni chercher à raconter l’histoire des femmes et encore moins la sienne, ni à brûler les hommes, ni à faire justice. En reconstituant une scène de crime, par le biais d’un geste accessible, fort, documenté et poétique, travaillant à un acte artistique qui puisse révéler une certaine beauté tout en pouvant transcender la douleur de gestes passés, Céline Chariot, qui n’est ni danseuse, ni actrice, mais photographe, aborde le viol via le regard, via des sensations qui ont pour but la réflexion, et rappelle que dans cette transgression odieuse qu’est le viol, le crime n’est pas uniquement celui du violeur mais surtout celui d’un corps social qui pointe la victime comme responsable de son sort. Dans une forme originale où se mêlent texte, performance, silence, regard, reconstitution du réel et onirisme, le spectacle invite puissamment à la transformation des traumatismes du passé en une puissante frénésie d’en finir avec les inégalités de genre. (1) La Slutwalk, ou « Marche des salopes », est une marche de protestation née en avril 2011 au Canada après qu’un officier de police ait déclaré : « Si vous voulez éviter de vous faire violer, il faut éviter de s’habiller comme une salope »
Comme tous les Israéliens et les Juifs du monde entier, Virginie Guedj a vécu le 7 octobre comme une déflagration. Dès le lendemain, elle poste son ressenti sur les réseaux sociaux, au quotidien comme une sorte de journal de bord de ses émotions et des contradictions qui la tiraillent. Israël, l’antisémitisme, Dieu, l’État de guerre, l’alyah, la diaspora, sans oublier la vie quotidienne avec les enfants, les galères de la vie qui continue : entre rires et larmes – elle passe au crible notre réalité post – 7 octobre. En guerre est un seul en scène en forme de cri du cœur où elle essaye de penser les évènements, panser les blessures et retrouver l’essentiel : l’espoir. Mise en scène par Patrick Massiah
Sérieux, moche, compliqué, bref, pas sexy, voici quelques-uns des clichés véhiculés sur la musique contemporaine que dynamite joyeusement Sarah Defrise, élue « Jeune musicienne de l’année » en 2012 par l’Union de la presse musicale belge. Elle nous offre de découvrir une musique aussi décriée que méconnue, maniant l’humour caustique, dans un univers déjanté qu’elle nourrit de sa voix et de ses expériences, et une sélection d’œuvres interprétées a cappella. Entre les phonèmes, les onomatopées, les références aux comics américains, la musique minimaliste, la musique cyclique et même quelques élans orgasmiques, la soprano trouve le terrain de jeu idéal pour sa voix et ses talents de comédienne. I hate new music change notre façon d’écouter, en une exploration sensorielle, tonique et onirique qui se dessine main dans la main avec une artiste passionnée, généreuse et bienveillante. Une approche accessible, et drôle, de ce répertoire inhabituel, pourtant si proche de nous, qui s’adresse à tous les amateurs de musique.