********** Français **********
L'intention de ce spectacle est de visibiliser auprès de toustes les questions
de genre et LGBTQIA+. La conférence invite les jeunes et les moins jeunes à se
questionner sur l'orientation sexuelle et l'identité de genre. Avec un message
de lutte contre les discriminations, elle analyse et décrit les mouvements de
luttes des personnes LGBTQIA+.
Un personnage de conférencière psychorigide et loufoque mène avec précision le
déroulé de son intervention, tandis que les souvenirs qui la submergent se
dévoilent en slam. A mi-chemin entre la conférence qui apporte des savoirs
théoriques et le récit de vie, le parcours d’une personne au cœur du sigle de L
jusqu’à Q. Ponctuée de jeux, d'échanges et d'humour, elle rend accessible et
décrypte l'histoire d'une lutte. La conférence parodiée est suivie d'un échange
avec le public.
********** Nederlands **********
Het doel van de show is om mensen bewust te maken van gender- en
LGBTQIA+-kwesties. De conferentie nodigt jong en oud uit om hun seksuele
geaardheid en genderidentiteit in twijfel te trekken. Met een anti-discriminatie
boodschap analyseert en beschrijft ze de strijd van LGBTQIA+ mensen.
Een psychorigide en maffe spreker leidt de procedure met precisie, terwijl de
herinneringen die haar overweldigen worden onthuld in slam poetry. Halverwege
tussen een lezing met theoretische kennis en een levensverhaal, de reis van een
persoon in het hart van het acroniem van L naar Q. Doorspekt met spelletjes,
uitwisselingen en humor wordt het verhaal van een worsteling toegankelijk
gemaakt en ontcijferd. De geparodieerde lezing wordt gevolgd door een discussie
met het publiek.
********** English **********
The aim of the show is to raise awareness of gender and LGBTQIA+ issues. The
conference invites young and old alike to question their sexual orientation and
gender identity. With an anti-discrimination message, she analyses and describes
the struggles of LGBTQIA+ people.
A psychorigid and zany lecturer leads the proceedings with precision, while the
memories that overwhelm her are revealed in slam poetry. Halfway between a
lecture providing theoretical knowledge and a life story, the journey of a
person at the heart of the acronym from L to Q. Punctuated by games, exchanges
and humour, it makes the story of a struggle accessible and deciphers it. The
parodied lecture is followed by a discussion with the audience.
Lundynamite
Description
********** English **********
Le Théâtre de la Vie, Les Halles de Schaerbeek and Garage 29 launch the Lundynamite Nights. Every first Monday night of the month, get your fill of adventuresome artistic offerings and leave the Monday blues at home.
On the schedule will be a frenzied mix of work-in progresses, short-form pieces and various experiments by artists from of a range of backgrounds, for Mondays worthy of a Friday night out!
Lundynamite also invites you to discover unique spots in the municipalities of Schaerbeek and Saint-Josse, and even beyond.
The detailed schedule will be available one month before the event on the partners’ sites, as well as on social media.
********** Français **********
Le Theatre de la Vie, Les Halles de Schaerbeek et le Garage 29 lancent les soirées Lundynamite !
Une formule d’évènements inédite, chaque premier lundi soir du mois. De quoi faire le plein de nouveautés artistiques aventureuses et laisser le lundi blues a la maison.
Au programme, un mélange endiable de projets en cours, de formes courtes, d’expérimentations diverses par des artistes d’horizons variés, préparé mensuellement pour vous présenter des lundis de découverte dignes d’un vendredi soir. De nouveaux projets éclectiques, mais pas que. Lundynamite vous invitera aussi à découvrir des lieux uniques des communes de Schaerbeek et Saint-Josse, voire d’ailleurs. Le programme détaillé sera disponible une quinzaine de jours avant chaque spectacle sur les sites des partenaires, ainsi que sur les réseaux sociaux.
********** Nederlands **********
Théâtre de la Vie, de Hallen van Schaarbeek en Garage 29 lanceren de Lundynamite avonden. Elke eerste maandagavond van de maand kunt u genieten van avontuurlijke en artistieke aanbiedingen en het thuislaten van de maandagblues.
Op het programma staat er een bruisende mix van lopende projecten, korte vormen en diverse experimenten van artiesten met verschillende achtergronden. Uw maandagen zullen aanvoelen als een vrijdagavond.
Lundynamite nodigt u ook uit om unieke locaties te ontdekken in de gemeenten Schaarbeek en Sint-Joost-ten-Node, en zelfs nog verder.
Het gedetailleerde programma zal beschikbaar zijn een maand voor het evenement op de websites van de partners en op sociale media.
Performance
Info & Reservation
1 Picture
Suggested events
********** English **********
Can we understand someone’s oeuvre without knowing her personal life? At the
invitation of the festival, theatre makers Carolina Bianchi – who caused a
furore at last year’s Festival d’Avignon – and Carolina Mendonça enter into
conversation with filmmaker and writer Chantal Akerman. Why are we so obsessed
with finding out the truth about someone? In Ma mère rit, Akerman wrote: “I
don’t have a life, I’ve never learned how to make one for myself”. According to
Bianchi and Mendonça, the personal lives of female artists are often scrutinised
to the point of eclipsing their work. Now, they propose a dialogue with Akerman,
about sexuality, heredity and the autobiographical writing process. With this
venture, Bianchi and Mendonça continue their investigation on women artists of
previous generations and on an expanded form of motherhood, two crucial concepts
in their artistic path. They bring together fragments of Ma mère rit – in which
Akerman wrote her memoirs while caring for her ailing mother – and references to
Les Rendez-vous d’Anna, a movie in which she spent a night with her mother in a
hotel close to the Gare du Midi. A layered reading performance inspired by
Akerman’s mood and language, in an abandoned cinema, some streets away from that
very hotel room.
********** Français **********
Peut-on comprendre l’œuvre d’un·e artiste sans connaître son récit personnel ?
Pour cette commande du festival, les metteuses en scène Carolina Bianchi – qui a
marqué le dernier Festival d'Avignon – et Carolina Mendonça ont engagé une
conversation avec l’œuvre de la cinéaste et écrivaine Chantal Akerman. Pourquoi
sommes-nous si intéressé·es par le vécu d’autres personnes ? Dans Ma mère rit,
Akerman citait « Ma vie, je n’ai pas de vie. Je n’ai pas su m’en faire une ».
Selon Bianchi et Mendonça, la vie personnelle des femmes artistes est souvent
scrutée au point d’éclipser leur travail. Le processus d’écriture
autobiographique, la sexualité et l’hérédité sont le point de départ du dialogue
qu'elles entreprennent avec Akerman, mais aussi d’une enquête sur les femmes
artistes de générations précédentes et sur une vision élargie des relations
maternelles, deux concepts cruciaux dans leurs parcours artistiques. Présentée
dans un cinéma abandonné, cette performance intime associe des passages de Ma
mère rit, les mémoires rédigés par Akerman lorsqu’elle prenait soin de sa mère
malade, avec des références au film Les Rendez-vous d’Anna, dans lequel elle
passe une nuit avec sa mère dans un hôtel près de la gare du Midi. Une
performance inspirée par la figure d’Akerman, présentée à quelques rues de cette
même chambre d’hôtel.
********** English **********
In this double bill, we are asked to rethink the relationship with our hands and
reflect on their role in the present, past and future.
By touching, we create relationships of proximity while distancing ourselves
from the rest of our surroundings. But our touch is increasingly mediated by
technologies that change how we experience ourselves and others. In Begüm
Erciyas’ performance Hands Made, the hands of the audience will take centre
stage. Accompanied by a soundtrack, spectators are asked to observe their hand
and that of their neighbour, creating an effect of intimacy and alienation.
Separated from the rest of the body, our hands become the focus of a reflection
on handwork and touch. What have these hands been busy with? Who or what will
they touch in the future?
Nothing But Fingers is the other half of this double bill, a performance by
visual artist Moe Satt. He became fascinated by the role of hand gestures in
South African hunting communication as well as traditional dance in Myanmar and
Southeast Asia, where human gestures can take animal forms. With dancer Liah
Frank, he explores the expressive potential of hands and their ability to direct
energy flows in the body, an extraordinary choreography in which the hands
dictate the rest of the body until the final surrender.
********** Français **********
Deux performances, proposées ensemble dans un même programme, invitent à
repenser la relation à nos mains et à réfléchir à leur rôle dans le présent, le
passé et le futur.
Dans Hands Made de Begüm Erciyas, les mains du public occupent une place
centrale : guidé·es par une bande sonore, les spectateur·ices observent une de
leur main et celle de leurs voisin·es, ce qui leur permet d’explorer des
sentiments d’intimité et d’aliénation. Isolées du reste du corps, nos mains
deviennent le centre d’une réflexion sur le travail manuel et le toucher. À quoi
s’affairent-elles ? Qui ou quoi toucheront-elles à l’avenir ? En attirant notre
attention sur notre toucher, de nouveaux rapports de proximité s’installent et
la perception de ce qui nous entoure en sort modifiée.
Nothing But Fingers est une performance du plasticien Moe Satt, qui a développé
une recherche sur les gestes de mains utilisés dans la communication de chasse
en Afrique du Sud et dans la danse traditionnelle de Birmanie et d’Asie du
Sud-Est, où les gestes humains peuvent adopter des formes animales. Avec la
danseuse Liah Frank, il explore le potentiel expressif des mains et leur faculté
à diriger l’énergie à travers le corps. Une chorégraphie délicate, dans laquelle
les mains commandent le reste du corps jusqu’à l’abandon total.
********** Nederlands **********
In deze double bill worden we uitgenodigd om onze relatie tot onze handen te
heroverwegen en stil te staan bij hun rol in heden, verleden en toekomst.
Door aan te raken, creëren we relaties van nabijheid waardoor we uit onze
omgeving treden. In toenemende mate worden onze aanrakingen echter beïnvloed
door technologieën die de manier waarop we onszelf en anderen waarnemen,
veranderen. In Hands Made van Begüm Erciyas spelen de handen van het publiek de
hoofdrol. Begeleid door een soundtrack observeren de toeschouwers hun hand en
die van hun buur, wat tegelijk een effect van intimiteit en vervreemding tot
stand brengt. Geïsoleerd van de rest van het lichaam worden onze handen het
middelpunt van een reflectie over handwerk en tastzin. Waar zijn deze handen mee
bezig geweest, en wie of wat zullen ze in de toekomst aanraken?
Nothing But Fingers is een performance van beeldend kunstenaar Moe Satt. Hij
raakte gefascineerd door de rol van handgebaren in Zuid-Afrikaanse
jachtcommunicatie en in traditionele dans in Myanmar en Zuidoost-Azië, waarbij
menselijke gebaren dierlijke vormen kunnen aannemen. Samen met danseres Liah
Frank onderzoekt hij hun expressieve potentieel en vermogen om energiestromen in
het lichaam te sturen. Een bijzondere choreografie waarin de handen de rest van
het lichaam dicteren, tot de finale overgave.
Apes Of The State
https://www.facebook.com/apesofthestate
Us - Folk/punk
+
********** English **********
How do we feel the impact of events which are so much larger than us, yet move
through us, and animate and activate our bodies all the time? Ten performers
enact a glacially morphing tableau vivant on a mobile raft-like stage. Their
voices create a score that grows larger and resonates as they clutch, careen and
cleave in a space too small to contain them, spilling off the edges. The scenes
shown reference at times images from classical iconography. Tenderness and
violence, sensuality and brute force cohabitate. The audience sits all around as
if watching a boxing match, embanking the performers, close enough to smell
their sweat and feel the steam of the spiralling scenes.
Celebrated American choreographer Faye Driscoll returns to the festival with a
multi-sensory flesh and breath sculpture made of bodies, sounds, scents, liquids
and objects. She pushes her performers to their limits in this compelling,
adventurous work, presented in the impressive Horta Hall, originally an
exhibition space for sculptures. Weathering is an ode to the inexhaustible
physical power of queer bodies.
Ticket sale
18 May '24 - 22:30
19 May '24 - 21:30
20 May '24 - 21:30
21 May '24 - 21:30
********** Français **********
Comment ressentons-nous l’impact d’événements qui, malgré le fait qu’ils nous
dépassent, parviennent à nous traverser, nous animer et activer nos corps ? Sur
un plateau rotatif qui ressemble à un radeau, dix performeur·euses, en constante
évolution, composent des images qui ressemblent à des tableaux vivants issus
d’un univers queer. Leurs voix génèrent une partition qui va crescendo et
résonne à mesure qu’iels s’agrippent mutuellement, se balancent et se repoussent
sur une surface trop petite pour les contenir, menaçant de déborder. Par
moments, des images issues de l’iconographie classique semblent se dessiner.
Tendresse, violence, sensualité et force brute cohabitent. Assis autour de la
scène comme s’il assistait à un match de boxe, le public peut ressentir la sueur
et l’ardeur de scènes étourdissantes.
La célèbre chorégraphe états-unienne Faye Driscoll revient au festival avec une
sculpture multisensorielle faite de chair et de souffle, de corps, de sons,
d’odeurs, de fluides et d’objets. Elle pousse ses performeur·euses jusqu’à leurs
limites dans un spectacle fascinant et aventureux, présenté dans
l’impressionnant Hall Horta, qui était à l’origine conçu comme une salle
d’exposition pour sculptures. Weathering est une ode à l’inépuisable puissance
physique des corps queer et à leurs évolutions.
Achat de tickets
18 mai '24 - 22:30
19 mai '24 - 21:30
20 mai '24 - 21:30
21 mai '24 - 21:30
********** Nederlands **********
Hoe voelen we de impact van gebeurtenissen die onze lichamen bewegen en
bezielen, maar tegelijk veel groter zijn dan onszelf? Tien performers verbeelden
een steeds veranderende tableau vivant op een ronddraaiend vlot-achtig platform.
Hun stemmen vormen een partituur die crescendo’s en resonanties laat horen
terwijl ze elkaar vastgrijpen, wegduwen, en heen en weer slingeren over een
oppervlak dat te klein is voor hen allen en uit zijn voegen dreigt te barsten.
De getoonde scènes refereren bij momenten aan beelden uit de klassieke
iconografie. Tederheid en geweld, sensualiteit en brute kracht worden met elkaar
verzoend. Het publiek zit rondom, als bij een bokswedstrijd, kan de performers
bijna aanraken, hun zweet ruiken en de stomende scènes proeven.
De gevierde Amerikaanse choreografe Faye Driscoll keert terug naar het festival
met een multisensoriële levende sculptuur van vlees en adem, van lichamen,
geluiden, geuren en objecten. Ze drijft haar performers tot het uiterste in dit
meeslepende, avontuurlijke werk, gepresenteerd in de indrukwekkende Hortahal,
oorspronkelijk een tentoonstellingsruimte voor beeldhouwwerken. Weathering is
een ode aan de onuitputtelijke fysieke kracht van queer lichamen.
Ticketverkoop
18 mei '24 - 22:30
19 mei '24 - 21:30
20 mei '24 - 21:30
21 mei '24 - 21:30
********** English **********
in FR surtitled in NL EN
75 min
On 20.05 the performance is followed by an aftertalk.
This story unfolds in the north of Lebanon, at Nahr el Bared, in a refugee camp
hastily set up to shelter Palestinian families fleeing the Nakba of 1948. Years
later, in 2007, war broke out between the Lebanese army and an infiltrated
Islamist group, leading to the destruction of part of the camp. It was at that
moment that the first traces appeared of Orthosia, an ancient Roman city, which
vanished after being overwhelmed by a tsunami in 551 AD and which, despite 15
centuries of vain attempts to find it, no-one could ever have imagined finding
there. But how best to deal with this major discovery, as excavations would mean
a ‘second displacement’ for the refugee families? The filmmakers and artists
Joana Hadjithomas and Khalil Joreige use photography, installations, video and
cinema to question the account of the imagination and writing about the story.
Through this performance, created for the festival, they uncover the palimpsest
of constant cycles of construction and destruction, calling on the possible
narratives about the underground worlds. A dizzying performance, full of
(dis)continuities, upheavals and regeneration, which plunges us into a past that
feels particularly close to the present.
https://www.instagram.com/hadjithomasjoreigestudio
discover the full programme of kunstenfestivaldesarts >>
—
Presentation: Kunstenfestivaldesarts, Beursschouwburg
A project by Joana Hadjithomas & Khalil Joreige
Archaeologist: Hadi Choueri | Research: Maissa Maatouk
Cinematography: Talal Khoury, Joe Saade, Julien Hirsch, Khalil Joreige
Video editing: Tina Baz
Animation: Laurent Brett
Sound editing and mixing: Rana Eid - Studio DB
Music: Charbel Haber
Studio manager: Tara El Khoury Mikhael
Commissioned and produced by Kunstenfestivaldesarts
Coproduction: Points communs – Nouvelle scène nationale de Cergy-Pontoise et du
Val d’OiseThanks to Galerie In Situ, fabienne leclerc
Image © Joana Hadjithomas & Khalil Joreige
********** Français **********
in FR surtitré en NL EN
75 min
Le 20.05, la représentation est suivie d'un aftertalk.
Cette histoire se déroule au nord du Liban, à Nahr el Bared, dans un camp de
réfugié·es établi dans la hâte afin d’accueillir des familles palestiniennes
fuyant la Nakba de 1948. Des années plus tard, en 2007, une guerre éclate entre
l’armée libanaise et un groupe islamiste récemment infiltré, entraînant la
destruction d’une partie du camp. C’est à ce moment-là que sont apparus les
premiers vestiges d’Orthosia, une ancienne cité romaine disparue après avoir été
ensevelie par un tsunami en 551 et que – cherchée en vain pendant 15 siècles –
personne n’aurait pu imaginer trouver là. Mais comment faire face à cette
découverte majeure, si y faire des fouilles implique un “second déplacement” des
familles exilées en 1948 ? Les cinéastes et artistes Joana Hadjithomas et Khalil
Joreige utilisent la photographie, les installations, la vidéo et le cinéma pour
questionner la narration des imaginaires et l’écriture de l’histoire. Dans cette
performance créée pour le festival, iels révèlent les cycles constants de
constructions et de destructions, convoquant les narrations possibles de mondes
souterrains. Une performance vertigineuse, pleine de (dis)continuités, de
bouleversements et de régénérations, qui nous plonge dans un passé
particulièrement proche du présent.
https://www.instagram.com/hadjithomasjoreigestudio
découvrez le programme complet du kunstenfestivaldesarts >>
—
Présentation : Kunstenfestivaldesarts, Beursschouwburg
Un projet de Joana Hadjithomas & Khalil Joreige
Archéologue : Hadi Choueri
Recherche : Maissa Maatouk
Image : Talal Khoury, Joe Saade, Julien Hirsch, Khalil Joreige
Montage vidéo : Tina Baz Animation : Laurent Brett
Montage Son et mixage : Rana Eid (Studio DB)
Musique : Charbel Haber
Studio manager : Tara El Khoury Mikhael Commandé et produit par
Kunstenfestivaldesarts
Coproduction: Points communs – Nouvelle scène nationale de Cergy-Pontoise et du
Val d’Oise
Remerciements : Galerie In Situ, fabienne leclerc
Image © Joana Hadjithomas & Khalil Joreige
********** Nederlands **********
in FR boventiteld in NL EN
75 min
Op 20.05 wordt de voorstelling gevolgd door een nagesprek.
Dit verhaal speelt zich af in het noorden van Libanon, in Nahr el Bared, in een
vluchtelingenkamp dat halsoverkop werd opgezet om Palestijnse families op te
vangen die de Nakba van 1948 waren ontvlucht. Jaren later, in 2007, breekt er
een oorlog uit tussen het Libanese leger en een geïnfiltreerde islamistische
groepering, wat resulteert in de vernietiging van een deel van het kamp. Daarmee
komen de eerste overblijfselen van Orthosia aan het licht, een oude Romeinse
stad die verdween nadat ze in 551 n.C. door een tsunami was bedolven en waar 15
eeuwen lang tevergeefs naar werd gezocht. Maar hoe ga je om met zo’n belangrijke
ontdekking, als opgravingen op die plek een ‘tweede ontheemding’ van
vluchtelingenfamilies zou betekenen? Filmmakers en kunstenaars Joana Hadjithomas
en Khalil Joreige gebruiken fotografie, installaties, video en film om
geschiedschrijving in vraag te stellen. In deze performance, gecreëerd voor het
festival, leggen ze de voortdurende cycli van opbouw en afbraak bloot, en roepen
ze de mogelijke verhalen van ondergrondse werelden op. Een duizelingwekkende
performance, vol omwentelingen en (dis)continuïteit, die ons onderdompelt in een
verleden dat bijzonder dicht bij het heden blijkt te staan.
https://www.instagram.com/hadjithomasjoreigestudio
ontdek het volledige programma van kunstenfestivaldesarts >>
—
Presentatie: Kunstenfestivaldesarts, Beursschouwburg
Een project van Joana Hadjithomas & Khalil Joreige
Archeologe: Hadi Choueri
Onderzoek: Maissa Maatouk
Beeld: Talal Khoury, Joe Saade, Julien Hirsch, Khalil Joreige
Videomontage: Tina Baz
Animatie: Laurent Brett
Geluidsmontage en mixing: Rana Eid - Studio DB
Muziek: Charbel Haber
Studiomanager: Tara El Khoury Mikhael
In opdracht van en geproduceerd door Kunstenfestivaldesarts
Coproductie: Points communs – Nouvelle scène nationale de Cergy-Pontoise et du
Val d’Oise
Met dank aan Galerie In Situ, fabienne leclerc
Beeld © Joana Hadjithomas & Khalil Joreige
Join us on a mesmerizing exploration of the profound connection between two
musical titans – Joseph Haydn and Wolfgang Amadeus Mozart. Delve into the close
relationship that transcended their 18th-century differences. Though the details
of their bond are not extensively documented, the evidence of their mutual
admiration is compelling.
Program
Overture from "Le nozze di Figaro" - Wolfgang Amadeus Mozart
Piano Concerto nr. 17 in G major, KV. 453 - Wolfgang Amadeus Mozart
Soloist: Charles Coop
break
Piano Concerto nr. 15 in B♭ major, KV. 450 - Wolgang Amadeus Mozart
Soloist: Ana Antonia Tudose
Symphony 80 in D minor, Hob. I/80 - Joseph Haydn
KCB Chamber Orchestra conducted by Wouter Versavel
Sunday 12th of May, 15.00h
Avec Marche salope (1), Céline Chariot aborde le sujet du viol, interrogeant le
mutisme qui entoure les agressions sexuelles. « La vraie question n’est pas de
savoir pourquoi je parle, mais pourquoi je n’ai pas parlé » écrit-elle.
Aujourd’hui, elle part de constats et de statistiques, pas d’une colère
irrationnelle ; elle ne veut ni écrire de fiction édulcorée, ni chercher à
raconter l’histoire des femmes et encore moins la sienne, ni à brûler les
hommes, ni à faire justice.
En reconstituant une scène de crime, par le biais d’un geste accessible, fort,
documenté et poétique, travaillant à un acte artistique qui puisse révéler une
certaine beauté tout en pouvant transcender la douleur de gestes passés, Céline
Chariot, qui n’est ni danseuse, ni actrice, mais photographe, aborde le viol via
le regard, via des sensations qui ont pour but la réflexion, et rappelle que
dans cette transgression odieuse qu’est le viol, le crime n’est pas uniquement
celui du violeur mais surtout celui d’un corps social qui pointe la victime
comme responsable de son sort.
Dans une forme originale où se mêlent texte, performance, silence, regard,
reconstitution du réel et onirisme, le spectacle invite puissamment à la
transformation des traumatismes du passé en une puissante frénésie d’en finir
avec les inégalités de genre.
(1) La Slutwalk, ou « Marche des salopes », est une marche de protestation née
en avril 2011 au Canada après qu’un officier de police ait déclaré : « Si vous
voulez éviter de vous faire violer, il faut éviter de s’habiller comme une
salope »
********** English **********
Karpe, hailed as the premier live act in Scandinavia, delivers an infectious and
truly unparalleled energy in this one-of-a-kind show.
After the critical acclaim of Karpe's release, "Omar Sheriff" (2022), featuring
the viral hit "PAF.no," they etched their names in concert history with a
groundbreaking residency at Oslo Spektrum Arena—ten shows in one month, boasting
a record-breaking 115,000 tickets sold, setting an all-time arena record. A few
months later, they took this extraordinary performance to Europe, headlining 20
different venues with sold-out shows in major cities such as Paris, London,
Berlin, Hamburg, and Barcelona, to name just a few. This summer, they return to
Europe once again, ready to unleash the unparalleled energy that is distinctly
Karpe.
Omar Sheriff unfolds as a narrative weaving together themes of roots, belonging,
family, and upbringing, seamlessly blending diverse traditions and
languages—Norwegian, Arabic, Gujarati, Hindi, and English. It epitomizes
diaspora pop. The band members are the progeny of a generation of immigrants and
refugees from across the globe, who sought refuge in Norway to establish a home.
Now, the next generation collaboratively brings forth "Omar Sheriff" - a
multicultural endeavor that unifies and embraces. With an unwavering commitment
to push boundaries in production, ideas, and entertainment value, the group
ensures that the Omar Sheriff show is no exception.
You absolutely do not want to miss out on this.
********** Français **********
Karpe, considéré comme le premier groupe de Scandinavie, délivre une énergie
contagieuse et inégalée dans ce spectacle unique en son genre.
Après avoir été acclamé par la critique pour son album "Omar Sheriff" (2022),
avec le tube viral "PAF.no", Karpe a inscrit son nom dans l'histoire des
concerts avec une résidence inédite à l'Oslo Spektrum Arena - dix concerts en un
mois, avec 115 000 billets vendus, un record absolu pour une arène. Quelques
mois plus tard, ils ont emmené cette performance extraordinaire en Europe, en
tête d'affiche de 20 salles différentes, avec des concerts à guichets fermés
dans de grandes villes telles que Paris, Londres, Berlin, Hambourg et Barcelone,
pour n'en citer que quelques-unes. Cet été, ils reviennent en Europe, prêts à
libérer l'énergie inégalée qui caractérise Karpe.
Omar Sheriff se présente comme un récit qui tisse les thèmes des racines, de
l'appartenance, de la famille et de l'éducation, mêlant harmonieusement diverses
traditions et langues - norvégien, arabe, gujarati, hindi et anglais. C'est
l'exemple même de la pop de la diaspora. Les membres du groupe sont issus d'une
génération d'immigrants et de réfugiés du monde entier, qui ont cherché refuge
en Norvège pour s'y installer. Aujourd'hui, la nouvelle génération collabore à
la création d'"Omar Sheriff", un projet multiculturel qui unifie et embrasse.
Avec un engagement inébranlable à repousser les limites de la production, des
idées et de la valeur du divertissement, le groupe s'assure que le spectacle
Omar Sheriff ne fera pas exception.
Vous ne devez absolument pas manquer ce spectacle.