👨🏼🎨 Exposition Traits de lumière 🎨

Description

Bonjour à tous,Dès le samedi 27 janvier, et jusqu’au samedi 10 février 2024, venez découvrir l'univers de nos 2 artistes bruxellois Valérie Coton et Serge Tailler lors de leur exposition « Traits de lumière » 🎨.Vernissage de l’exposition, en présence des artistes, les samedi 27 et dimanches 28 janvier (2 jours), de 15h à 20h🥂.Quelques mots de nos 2 artistes :ValérieComédienne de formation, cela fait bientôt 4 ans que je peins en autodidacte.Je viens de décrocher ma 6ème expo.Je travaille avec de plus en plus de liberté, toujours des couleurs vives et tranchées.Mes compositions sont oniriques, elles donnent à ressentir une impression ou une ambiance, elles parlent de l'humain et de ses relations aux choses ou aux autres.Elles emmènent dans un rêve, à partir de sensation, de ressenti.SergeDepuis le début de sa carrière professionnelle comme consultant en marketing et en stratégie, il a toujours eu le besoin de mener des projets artistiques en parallèle de son activité professionnelle ; en pratiquant d’abord la sculpture dans un centre culturel pendant près de vingt années pour ensuite réaliser le rêve de devenir guitariste et ensuite concrétiser un projet qui le hante depuis des années : l’écriture.Serge est aujourd’hui l’auteur de cinq romans publiés.C’est au début de la pandémie qu’il se lance dans la peinture et plus précisément dans le Pop Art pour faire renaître, en tant que passionné de musique et de cinéma, les idoles qui l’ont fait vibrer dans sa jeunesse. Fan absolu de Bowie, il réalise ses premiers portraits à l’encre de chine sur des petits formats avant de sortir ses pinceaux en pratiquant d’abord l’acrylique et ensuite l’huile. « C’est une réelle révélation ; je n’imaginais pas à quel point j’allais me laisser entraîner et passer des nuits blanches avec mes pinceaux et mon chevalet. »Pour les informations concernant l’exposition, vous trouverez plus de détails dans l’annexe, ou sur notre site internetNous vous attendons nombreuxChristelle & Vincent

Date info

Samedi: de 10:30 à 19:00. Du 27 janvier au 10 février

Organiser

You’re organising this event?

Contact us if you want to update information and more.

Contact us

1 Picture

Suggested events

********** Français ********** Espace Delahaut. Maison communale Square S. Hoedemaekers 10, 1140 Evere. Entrée via le passage Idiers. Heures d’ouverture de la commune ou des bibliothèques Gratuit ********** Nederlands ********** Aula Delahaut. Gemeentehuis Square S. Hoedemaekerssquare 10, 1140 Evere. Ingang Idiers. Openingsuren van het gemeentehuis of van de bibliotheken Gratis.
Nu het einde van het schooljaar nadert, tonen de kinderen en jongeren van de RHOK Academie een deel van het werk dat ze afgelopen jaar gecreëerd hebben. FR - À l'approche de la fin de l'année scolaire, les enfants et les ados de l'academie RHOK présentent certains des projets artistiques qu'ils ont réalisés l'année passée.
********** English ********** In her second solo exhibition at the Michèle Schoonjans Gallery, Amélie Scotta presents a series of works exploring the notions of habitat and landscape through colour and organic materials, brought to life through both drawing (wood, bark, rock, etc.) and paper (mineral, vegetable, etc.). In the Withdraw series, the artist works in two stages, superimposing two layers of drawing and two types of perspective. The first layer, applied quickly and randomly across the entire surface of the paper in coloured ink, can evoke the atmospheric dimension of a landscape. The bright, unnatural colours and the invisibility of the gesture give the impression of a luminous, radiant surface. Here and there, accidents of material accentuate the effect of a printed image that has been doctored, washed out and deteriorated. The second layer, drawn in graphite, somehow constrains, obstructs or limits these infinite expanses. Created slowly and meticulously in pencil, the motifs of trellis, wire netting and other barriers reflect the artist's preoccupation with the question of confinement. The idea of withdrawal, whether voluntary or not, has already been evoked in earlier works, notably the Reclusoirs, sculptures inspired by the small enclosed buildings in which penitents lived in the Middle Ages. But the contrast between the immateriality of the coloured surface and the repetitive pattern of the drawing also speaks to us of what is said beyond the edge of the paper. ABOUT THE ARTIST Born in Nantes in 1983, Amélie Scotta is a visual artist and teacher based in Brussels. She holds degrees in Design (HEAR Strasbourg, 2008) and Visual Arts (ENSAV La Cambre, Brussels, 2016). Since 2013, her work has been shown in numerous exhibitions in Belgium (Le Botanique, La Médiatine, Vanderborght Building, Musées Royaux des Beaux-Arts, European Parliament, etc.) and abroad (Villa Méditerranée in Marseille, Arabic Culture House in Berlin, Matadero in Madrid, as well as Magasins Généraux, Palais de Tokyo and Carreau du Temple in Paris). She has also held residencies at the Casa de Velázquez in Madrid, the Cité Internationale des Arts in Paris, the Moonens Foundation and the Boghossian Foundation in Brussels. She is the winner of the Prix international de la Ville de Tournai in 2021, the Prix Cocof and the Prix Carré sur Seine in 2020. From the Jeddah Tower to the disused factories of Roubaix, from the Rio stadium to the Versailles of the people, from medieval recluses to the scaffolding of Brussels, it is in an intuitive way that the artist questions architecture in all its forms. Approached primarily through drawing, but also through sculpture and photography, construction allows her to speak of the human being, the one who both inhabits and builds. In more recent works, Amélie Scotta takes a more sensorial approach to landscape and habitat, working with colour and materials. She addresses the issue of withdrawal, a position in relation to the world that can provide protection, confinement or liberation. Her relationship with urban planning is also leading her increasingly towards projects in the public space. ********** Français ********** Dans sa deuxième exposition personnelle à la Michèle Schoonjans Gallery, Amélie Scotta présente une série d’œuvres explorant les notions d’habitat et de paysage au travers de la couleur ou de matières organiques, amenées aussi bien par le dessin (bois, écorce, roche…) que par le support du papier (minéral, végétal…). Dans la série Withdraw, la dessinatrice travaille en deux temps, superposant deux couches de dessin et deux types de perspectives. La première strate, appliquée à l’encre colorée, de manière rapide et aléatoire sur toute la surface du papier, peut évoquer un paysage dans sa dimension atmosphérique. Les couleurs vives, non naturelles et l’invisibilité du geste donnent l’impression d’une surface lumineuse et irradiante. Çà et là, des accidents de matière accentuent l’effet d’image imprimée qui aurait été trafiquée, délavée, détériorée. La seconde strate, dessinée au graphite, vient en quelque sorte contraindre, obstruer ou limiter ces étendues infinies. Réalisés au crayon, de manière lente et minutieuse, les motifs de treillis, de grillages et autres barrières nous renvoient à la préoccupation de l’artiste pour la question de l’enfermement. Le repli, volontaire ou non, est déjà évoqué dans des travaux antérieurs, notamment les Reclusoirs, des sculptures inspirées des petits édifices clos dans lequel vivaient des pénitentes du Moyen-âge. Mais ce contraste entre l’immatérialité de la surface colorée et le motif répétitif du dessin, nous parle aussi de ce qui se raconte au-delà du bord du papier. A PROPOS DE L’ARTISTE Née à Nantes en 1983, Amélie Scotta est une artiste plasticienne et enseignante basée à Bruxelles. Elle est diplômée en Design (HEAR Strasbourg, 2008) et en arts visuels (ENSAV La Cambre, Bruxelles, 2016). Depuis 2013, son travail a été présenté dans de nombreuses expositions en Belgique (Le Botanique, La Médiatine, Vanderborght Building, Musées Royaux des Beaux-Arts, Parlement européen…) et à l'étranger (Villa Méditerranée à Marseille, Arabic Culture House à Berlin, Matadero à Madrid, mais aussi Magasins Généraux, Palais de Tokyo et Carreau du Temple à Paris). Elle a notamment été résidente à la Casa de Velázquez à Madrid, à la Cité Internationale des Arts à Paris, à la Fondation Moonens et à la Fondation Boghossian à Bruxelles. Elle est lauréate du Prix international de la Ville de Tournai en 2021, du Prix Cocof et du prix Carré sur Seine en 2020. De la Jeddah Tower aux usines désaffectées de Roubaix, en passant par le stade de Rio, le Versailles du peuple, les reclusoirs médiévaux ou les échafaudages bruxellois, c’est de manière intuitive que l’artiste interroge l’architecture sous toutes ses formes. Abordée principalement par le dessin, mais aussi par la sculpture ou la photographie, la construction lui permet de parler de l’humain, celui qui, tout à la fois, habite et édifie. Dans des travaux plus récents, Amélie Scotta approche le paysage et l’habitat de manière plus sensorielle, en passant par un travail de la couleur et de la matière. Elle y aborde la question du repli, une position face au monde qui peut apporter protection, enfermement ou libération. Son rapport à l’urbanisme l’amène également de plus en plus vers des projets dans l’espace public. ********** Nederlands ********** In haar tweede solotentoonstelling in de Michèle Schoonjans Gallery presenteert Amélie Scotta een serie tekeningen die, naast de problematiek van de leefomgeving, de landschapsconcepten onderzoekt door middel van kleur of organische materialen, die zowel door het onderwerp van de tekening als door de papieren drager (mineraal, plantaardig, enz.) worden ingebracht. In de serie Withdraw werkt de kunstenares in twee fasen, waarbij ze gebruik maakt van verschillende lagen in de tekening en van twee soorten perspectief. De eerste laag, die snel en willekeurig met gekleurde inkt over het hele papieroppervlak wordt aangebracht, kan de atmosferische dimensie van een landschap oproepen. De heldere, onnatuurlijke kleuren en de afwezigheid van het gebaar geven de indruk van een lichtgevend, stralend oppervlak. Hier en daar accentueren ongelukjes met het materiaal het effect van een afgedrukte afbeelding, die is bewerkt, uitgewassen of beschadigd. De laag grafiet, die in een later stadium wordt aangebracht, beperkt, belemmert of begrenst op de een of andere manier deze oneindige uitgestrektheid. De grafiettekeningen, die langzaam en minutieus met potlood zijn gemaakt, tonen rasterwerk, hekken en andere barrières en weerspiegelen de preoccupatie van de kunstenaar met het vraagstuk van zich opgesloten te voelen. Het idee van zich terugtrekken, vrijwillig of niet, werd al opgeroepen in eerdere werken, met name de Reclusoirs, sculpturen geïnspireerd op de kleine afgesloten gebouwen waarin boetelingen in de Middeleeuwen leefden. Maar dit contrast tussen de niet-materiële aard van het gekleurde oppervlak en het repetitieve patroon van de tekening spreekt ook tot ons over wat er voorbij de rand van het papier gebeurt, in wat bekend staat als het buitenbeeld. Net als het raam, dat zowel verbergt als zichtbaar maakt, laat de muur toch de horizon zien, waardoor we ons een mogelijke ontsnapping kunnen voorstellen. OVER DE KUNSTENARES Amélie Scotta, geboren in Nantes in 1983, is beeldend kunstenaar en docente in Brussel. Ze behaalde een diploma in Design (HEAR Straatsburg, 2008) en in Visuele Kunsten (ENSAV La Cambre, Brussel, 2016). Sinds 2013 is haar werk te zien geweest in talrijke tentoonstellingen in België (Le Botanique, La Médiatine, Vanderborght Building, Musées Royaux des Beaux-Arts, Europees Parlement, enz.) en in het buitenland (Villa Méditerranée in Marseille, Arabic Culture House in Berlijn, Matadero in Madrid, evenals in Magasins Généraux, Palais de Tokyo en Carreau du Temple in Parijs). Ze heeft ook residenties gehad in het Casa de Velázquez in Madrid, de Cité Internationale des Arts in Parijs, de Moonens Stichting en de Boghossian Stichting in Brussel. Ze is de winnaar van de Prix international de la Ville de Tournai in 2021, de Prix Cocof en de Prix Carré sur Seine in 2020. Van de toren van Jeddah tot de verlaten fabrieken van Roubaix, van het stadion van Rio tot het Versailles van het volk, van middeleeuwse kluizenaars tot de steigers van Brussel, de kunstenares stelt intuïtief de architectuur in al haar vormen ter discussie. Ze benadert de architectuur voornamelijk door middel van tekenen, maar ook door middel van beeldhouwen en fotografie.Door de constructie kan ze spreken over de mens, degene die zowel bewoont als bouwt. In haar meer recente werk kiest Amélie Scotta voor een meer zintuiglijke benadering van landschap en leefomgeving, waarbij ze gebruik maakt van zowel kleur als materialen. In haar meer recente werk kiest Amélie Scotta voor een meer zintuiglijke benadering van landschap en leefomgeving, waarbij ze gebruik maakt van zowel kleur als materialen. Ze gaat in op het thema van het zich terugtrekken, een positie ten opzichte van de wereld die bescherming, afzondering of bevrijding kan brengen. In haar meer recente werk kiest Amélie Scotta voor een meer zintuiglijke benadering van landschap en leefomgeving, waarbij ze gebruik maakt van zowel kleur als materialen. Ze gaat in op het thema van het zich terugtrekken, een positie ten opzichte van de wereld die bescherming, afzondering of bevrijding kan brengen. Haar fascinatie voor stedenbouw leidt haar ook steeds meer naar projecten in de openbare ruimte.
Au-delà de leurs apparentes différences, il y a forcément une cohérence entre les peintures d’objets que sont les Vies silencieuses et les arbres, peints ou dessinés, puisque les trois séries sont issues de la main d’Alexandre Hollan. Les arbres dessinés proposent une modulation libre des gris, ceux qui sont peints une vibration éclatante des couleurs, alors que dans les vies silencieuses celles-ci sont juxtaposées, par teintes et par couches, pour aboutir à une forme de sérénité et de calme apparents vibrant de l’intérieur, au lieu que les arbres les exposent davantage, couleurs, matières et gestes. À supposer que les Vies silencieuses soient plus introspectives – ce qui est une interprétation – les arbres portent aussi un langage en attente. Les uns et les autres parlent, différemment, et tous, en nous regardant les regarder, nous parlent. Peints ou dessinés, la succession des arbres, par exemple, révèle à la fois la différence, la spécificité de chacun, mais aussi l’approche que chaque rencontre suscite chez l’artiste, qu’il s’agisse d’esquisses, de contours, de vides ou de remplis : dans sa forme et son espace, chacun de ces arbres se distingue et non se répète. Puisque aucune représentation ne peut englober un tout ni être définitive, chacune figure une tentative, un inachèvement, qui ouvre sur un autre. On pourrait faire le pari que c’est autant de visages d’Alexandre Hollan qu’ils dessinent – et je fais aussi celui que dans ce qui n’est pas un jeu de variations mais une tentative d’équilibre sans cesse recommencée, chacun d’entre nous, à la manière d’un labyrinthe, peut y trouver son chemin, et, d’une certaine manière, s’y retrouver voire s’y reconnaître. Que vous préfériez l’une ou l’autre de ces œuvres, ou plusieurs, arbre vif de couleur ou de fusain, vie silencieuse, je vous invite donc à vous demander en quoi elle vous ressemble et ce que vous y découvrez de vous. Ludovic Degroote
********** Français ********** Stéphan Aelterman peint depuis une cinquantaine d’années. Par ses études d’architecture intérieure, le dessin et l’aquarelle se sont imposés dans ses travaux artistiques. Curieux et passionné de bateaux et du monde maritime, il a reçu, en 2018 le titre de ‘’ Peintre Officiel de la Marine Belge ‘’ Stéphan vous invite à partager cette découverte. ********** Nederlands ********** Stéphan Aelterman schildert al zo'n vijftig jaar. Na zijn studie binnenhuisarchitectuur werden tekenen en aquarelleren een integraal onderdeel van zijn artistieke werk. Nieuwsgierig en gepassioneerd door boten en de maritieme wereld, kreeg hij in 2018 de titel van "Officieel Schilder van de Belgische Marine". Stéphan nodigt je uit om te delen in deze ontdekking.
Spectra Ex Machine / RELEASE PARTY Samedi 18 mai 2024 – 17h-19h Réservation obligatoire par mail à : gauthier@subrosa.net À l’occasion de la sortie du nouveau volume de son anthologie sonore des phénomènes occultes, l'auteur et réalisateur radio Philippe Baudouin vient présenter son projet Spectra Ex Machina (Sub Rosa), lors d'une soirée exceptionnelle. Le second volume de cette anthologie sonore explore les liens entre musique et médiumnité, art vocal et sorcellerie : Aleister Crowley, Uri Geller, Rosemary Brown ou bien encore Elvis Presley font ainsi résonner leur voix de l'au-delà. Au programme de cette soirée : séance d'écoute de quelques extraits du disque et discussion avec Philippe Baudouin, Stéphanie Peel et Christian Chelman sur l'histoire du spiritisme et ses croisements inattendus avec la question musicale. À cette occasion, les deux premiers volumes de Spectra Ex Machina seront proposés à la vente. Philippe Baudouin est réalisateur radio et maître de conférences associé à l’Université Paris-Saclay. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages et articles sur l’histoire de l’occultisme dont Apparitions : Les Archives de la France hantée (Hoëbeke, 2021) et Surnaturelles : une histoire visuelle des femmes médiums (Pyramyd, 2021). Depuis 2019, il poursuit en collaboration avec le label Sub Rosa le projet Spectra Ex Machina, consacré aux archives sonores du paranormal. Stéphanie Peel est chercheuse indépendante et doctorante à l’Université libre de Bruxelles. Son compte Instagram « Les Occultées » est consacré à l’histoire des femmes médiums. Christian Chelman est illusionniste et collectionneur. Il est également le fondateur et l’actuel conservateur du Surnatéum, Muséum d’Histoire Surnaturelle de Bruxelles.
L'artiste abstraite Isa Dor convie les amateurs d'art à une expérience immersive avec son exposition, "Odyssée Chromatique – Contes de Résilience", qui promet de transporter le public au Centre d'Art Fantastique de Bruxelles. Prévue pour s'ouvrir le mercredi 22 mai de 18h à 21h, et à découvrir du 23 au 26 mai, "Odyssée Chromatique – Contes de Résilience" offre une véritable explosion sensorielle. Cette exposition explore les aspects complexes de l'expérience humaine, naviguant des ténèbres du chaos à la lumière de la résilience et de la joie. À travers plus de 25 œuvres sélectionnées avec soin, Isa Dor transcende les frontières de l'art traditionnel pour offrir des récits captivants de guérison et de renouveau. Chacune des peintures exposées témoigne des défis surmontés et de la résilience intrinsèque à la condition humaine. Le style expressif et dynamique d'Isa Dor capture l'essence de son parcours, mêlant des couleurs vibrantes à des paysages oniriques pour créer un univers où l'espoir émerge des ténèbres. Isa Dor, reconnue pour son style expressionniste audacieux, a obtenu une reconnaissance tant au niveau local qu'international. Avec des expositions en Belgique et en France, notamment une récompense au concours artistique du Festival International du Film Fantastique de Bruxelles en 2023, son travail résonne auprès des publics en quête d'expériences artistiques authentiques et profondes. "Je crois fermement au pouvoir de l'art pour guérir et connecter les âmes", déclare Isa Dor. "À travers 'Odyssée Chromatique – Contes de Résilience', je souhaite créer un espace où les visiteurs peuvent plonger dans des couleurs vibrantes et des émotions brutes, trouvant ainsi réconfort et inspiration à chaque toile." Le Centre d'Art Fantastique, situé au 18 rue de la Glacière à Bruxelles, offre un cadre idéal pour les vastes toiles d'Isa Dor. Niché au cœur des historiques Glacières de Saint Gilles, cet espace unique offre aux visiteurs l'opportunité rare de découvrir les œuvres les plus imposantes d'Isa Dor, habituellement réservées à son atelier.
Kom langs voor een babbel en een drankje in aanwezigheid van fotografe Marlies Van Wielendaele. Marlies Van Wielendaele (1990) is een analoge fotografe die in Brussel woont maar met regelmaat de oceaan in binnen- en buitenland opzoekt. De zee is bij uitstek haar veilige haven. Ze duikt diep met haar analoge Nikonos V camera uit de jaren 80 en tegelijkertijd speelt ze aan de oppervlakte met reflecties en de vormen die het bewegende water aannemen. Ze is geïnspireerd door zowel de verschillende kleuren en patronen van die gekke vissen en koralen als de relatie tussen mensen en zo’n watermassa. Omgeven door water voelt Marlies zich op een fijne manier klein én deel van iets groots. Daarnaast levert een watersessie met haar Nikonos V gegarandeerd een grote glimlach op voor de rest van de dag." FR - En mars-avril, une exposition de Marlies Van Wielendaele occupera nos fenêtres de la Rue du Cornet et de la Rue du Clocher. Elle est une photographe analogique qui vit à Bruxelles mais qui visite régulièrement la mer, sa source d'inspiration. Rejoignez-nous le 10 mai pour une papote et un verre en compagnie de la photographe Marlies.
Terwijl Gaza een totale tragedie doormaakt, werpt deze tentoonstelling een blik op een decennium van tumult in het Midden-Oosten. Vanaf de revoluties in Tunesië en Egypte tot de conflicten in Syrië, Irak, Jemen en momenteel in Gaza. De verschillende hoofdstukken van deze recente geschiedenis van het Midden-Oosten worden verteld aan de hand van de verhalen van oorlogsslachtoffers die worden behandeld in het MSF-ziekenhuis in Amman, een unieke locatie op het kruispunt van deze conflicten. Na een verhelderend kijk op de actualiteit gaan we met elkaar in gesprek en is er tijd voor een creatieve borduurworkshop waar je meewerkt aan een solidaire boodschap.