"Encrage" (gravure)

Description


********** Français **********

Cette exposition met en lumière six artistes en grande partie passés par l’atelier de gravure de l’Ecole des Arts d’Uccle : Fabienne Bonnoron, Françoise Rose Bracke, Claire de Brabant, Juliette Pirlet, Marcelle Stroobants et Mathieu Van Assche. Elle offre une diversité remarquable de styles et d'univers. La pratique contemporaine de la gravure varie de la série traditionnelle à l'épreuve unique, reflétant une évolution vers une plus grande autonomie artistique. Les artistes explorent diverses techniques et matériaux, du métal au lino, intégrant parfois des éléments de la culture populaire ou des expérimentations abstraites. L'encrage, point central du processus, révèle les contrastes et donne vie aux estampes sous la pression de la presse.


********** Nederlands **********

Deze nieuwe tentoonstelling zet zes kunstenaars in de spotlights die veel tijd in het graveeratelier van de Ecole des Arts van Ukkel doorbrachten: Fabienne Bonnoron, Françoise Rose Bracke, Claire de Brabant, Juliette Pirlet, Marcelle Stroobants en Mathieu Van Assche. Ze biedt een opmerkelijke diversiteit van stijlen en universums. De hedendaagse graveerpraktijk varieert van de traditionele reeks tot de enkele proef en toont een evolutie naar meer artistieke autonomie. De kunstenaars verkennen diverse technieken en materialen, van metaal tot lino, en passen soms elementen uit de volkscultuur of abstracte experimenten toe. Het inkten, het middelpunt van het proces, onthult de contrasten en brengt de prenten tot leven onder de druk van de pers.

Date info

11:00:00 - 17:00:00

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Olivia est une artiste belge passionnée née à Londres en 1982. Remplie d'amour universel et très sensible au subtil, son âme l'appelle naturellement à enraciner et à partager ces énergies pures à travers un flux heureux de couleurs, de mouvements et de mots ! L'expression artistique de son riche monde intérieur est née spontanément d'elle. Une guidance intérieure l'a poussée à plonger dans ses sentiments et à laisser l'immensité de la vie s'exprimer à travers elle. Comme une alchimie intérieure : elle intègre la vie de manière ludique et libère son champ énergétique ; prête à recevoir l'inspiration divine et à ressentir un sentiment transcendant d'unité, elle peut ensuite se propager à travers l'art. Suivant les directives familiales, elle a d'abord étudié et travaillé dans la finance tout en explorant et en s'exprimant à travers l'art la nuit. Plus tard, la pratique de la méditation, les cours d'art à l'UAL à Londres, un long voyage solo, des événements transformateurs dans la vie et de profonds efforts de déconditionnement l'ont réconciliée avec sa guidance intérieure : elle s'est consacrée à plein temps à l'art. Aujourd'hui, Olivia expose avec succès dans des expositions individuelles et collectives au Royaume-Uni, dans l'Union européenne, aux États-Unis et aux Émirats arabes unis et son art est présent dans des collections privées à travers le monde.
Découvrez l'exposition « Le travail, mode d'emploi. Voyages au fil du temps et de l'espace » ! En 2022, l’asbl Casi-Uo et son groupe d’aînés, en collaboration avec les ateliers Mot’Arts, ont imaginé un immeuble fictif à Bruxelles, traversé par différentes générations d’habitants, de 1910 à 2023. Cette initiative rassemble les générations autour de l’écriture, explorant la perception du travail à travers les âges. Nouveauté cette année ! Nous avons concocté de nouvelles surprises pour enrichir l'exposition, en donnant une voix unique à nos personnages. Venez découvrir une expérience immersive qui éveillera vos sens et suscitera votre curiosité sur le travail et son impact sur nos vies.
Multiples
03sep.
-
02feb. 2025
********** English ********** Capsule exhibit  The Museum holds prints highlighting the various aspects of the city. For several years now, our team has been engaged in a massive project to inventory them. Our collections currently comprise 1500 prints, the oldest one dating back to the 16th century, and the most recent one barely a few years old. A print is an image printed using a matrix with the image in relief. Prints offer a valuable window onto their era. They are generally documentary in nature, but may also be artistic, allegorical, religious or satirical. Thanks to their precision and attention to detail, these works offer valuable historical information while also attesting to the technical and artistic skill of their creators. The Museum invites you to discover a selection of this varied and fascinating graphical heritage. Practical information Access to the Parenthesis Space is included with the entry ticket ********** Français ********** Le Musée conserve des estampes illustrant la ville sous ses différents aspects. Depuis plusieurs années, notre équipe mène une vaste campagne d’inventaire. A ce jour, nos collections comptent 1.500 estampes. La plus ancienne date du 16e et la plus récente de quelques années à peine. Une estampe est une image imprimée au moyen d'une matrice traitée en relief. Elles représentent une fenêtre précieuse sur leur époque. Principalement documentaires, elles peuvent également être artistiques, allégoriques, religieuses ou satiriques. Par leur précision et leur souci du détail, ces œuvres fournissent de précieuses informations historiques tout en témoignant du savoir-faire technique et artistique de leurs créateurs. Le Musée vous invite à découvrir une sélection de ce patrimoine graphique varié et fascinant. Informations pratiques •L’accès à l’Espace Parenthèse est compris dans le ticket d’entrée •Mardi 01 et jeudi 03.10 à 12h30 : visites Midis bruxellois •Jeudi 03.10.24 à 18h30 : Jeudi de l’Histoire : Disparu et oublié ? L'estampe s'en souvient ! ********** Nederlands ********** Capsule-tentoonstelling Het Museum heeft prenten die de stad belichten in al haar verschillende aspecten. Ons team is die al een aantal jaar aan het inventariseren. Zo telt de collectie momenteel 1.500 prenten. De oudste dateert van de 16e eeuw, terwijl de meest recente maar een paar jaar oud is. Prenten zijn afbeeldingen die worden afgedrukt met behulp van een matrix met de afbeelding in reliëf. Ze bieden een waardevolle kijk op hun tijdperk. Al leren ze ons niet alleen iets bij, maar kunnen ze ook artistiek, allegorisch, religieus of satirisch zijn. Door hun precisie en oog voor detail bieden deze werken waardevolle historische informatie en getuigen ze van de technische en artistieke vaardigheden van hun makers. Het Museum nodigt u uit om een selectie van dit gevarieerde en fascinerende grafische erfgoed te ontdekken. Toegang tot Tussen haakjes is inbegrepen in het museumticket. Dinsdag 01.10 en donderdag 03.10 om 12.30 uur: Broodje Brussel  Donderdag 03.10.24 om 18.30 uur: Geschiedenis op donderdag: Verdwenen en vergeten? De prent onthoudt!
********** English ********** In the exhibition MOON RIVER, Bart Vandevijvere and Steven Antonio Manes explore common ground. They find it in their shared identities. For instance, the concept of water is inherent in the surname Vandevijvere, which on one hand, refers to the artist's residence by the River Lys (Leie), and on the other, to the importance of rippling/movement in his work. Similarly, "Manes" evokes a metaphor, reminiscent of moonlight, the reflection of the moon. This glow creates an interplay that encapsulates both surface and universe.Their specific artistic journeys are thus connected through this onomastics. The moon and its reflection on the river visually represent their collaboration. In MOON RIVER, light, time, and space transcend individual artistry. ********** Français ********** Dans l'exposition MOON RIVER, Bart Vandevijvere (°1961) et Steven Antonio Manes (°1993) cherchent des points communs dans leurs œuvres. Ces points communs se trouvent déjà dans leurs identités. Il y a, par exemple, la notion d'eau qui se trouve dans le nom de famille de Bart: Vandevijvere. L’étang fait en effet référence, d'une part, au lieu de résidence de l'artiste sur les bords de la Lys (de Leie) et, de l’autre part, à l'importance de l'ondulation et du mouvement comme celle de l’eau, dans son œuvre. Le nom Manes semble également être une métaphore. Il évoque le clair de lune, le reflet de la lune dans l’eau. Cette lueur crée une interaction dans laquelle la surface et l'univers sont contenus. Leurs trajectoires particulières artistiques se rejoignent ainsi dans cette onomastique. La lune et son reflet sur la rivière sont une représentation visuelle de leur collaboration. La lumière, le temps et l'espace transcendent l'art individuel dans notre exposition MOON RIVER. ********** Nederlands ********** In de tentoonstelling MOON RIVER zoeken Bart Vandevijvere (1961) en Steven Antonio Manes (1993) naar raakvlakken. Die vinden ze al terug in hun beider identiteit. Zo is er bijvoorbeeld het gegeven van water in de familienaam Vandevijvere. Die verwijst daarmee enerzijds naar de woonplek van de kunstenaar aan de Leie en anderzijds naar het belang van rimpeling/beweging in zijn werk. Ook Manes lijkt een metafoor. Die doet denken aan maanlicht, de reflectie van de maan. Dat schijnsel zorgt voor een wisselwerking waarin zowel oppervlakte als universum vervat zijn. Hun specifieke artistieke parcours verbinden zich op die manier in deze onomastiek. De maan en haar reflectie op de rivier is een beeldende weergave van hun samenwerking. Licht, tijd en ruimte overstijgen in MOON RIVER het individuele kunstenaarschap.
********** Français ********** Depuis le début des années 90, Jean-Luc Van Damme visite l'Afrique du Sud en tant que producteur de films. Lors d'un de ses voyages avec Nadine Deruyck, ils ont eu l'idée de développer un projet photographique dans un township de Cape Town. Début 2024, ils ont décidé de concrétiser cette vision dans le township d'Imizamo Yethu, également connu sous le nom de Mandela Park, situé à Hout Bay, au sud de Cape Town. Imizamo Yethu fait face à des défis significatifs, notamment la pauvreté, la criminalité et un taux de chômage dépassant 40 %. Malgré ces difficultés, le township est stratégiquement situé au sein d'une zone résidentielle offrant de nombreuses opportunités d'emploi à ses habitants. Le township abrite deux écoles gratuites — une école primaire et une école secondaire — où le port de l'uniforme est obligatoire. Ce travail photographique dépeint la vie quotidienne des résidents d'Imizamo Yethu, dans le but de mettre en lumière leurs expériences et leurs réalités. Ce projet ne se contente pas de documenter la vie des habitants du township, il sert également de plateforme pour mettre en avant leurs histoires et leurs défis à travers l'art de la photographie. L'exposition présente deux types de portraits : l'un capturant les habitants dans leur environnement naturel, et l'autre dans un style de portrait formel en tête-à-tête sur fond noir. ********** Nederlands ********** Sinds de vroege jaren 90 bezoekt Jean-Luc Van Damme Zuid-Afrika als filmproducer. Tijdens een van zijn reizen met Nadine Deruyck ontstond het idee om een fotografisch project te ontwikkelen in een township bij Kaapstad. Begin 2024 besloten ze om deze visie tot leven te brengen in Imizamo Yethu township, ook bekend als Mandela Park, gelegen in Hout Bay ten zuiden van Kaapstad. Imizamo Yethu staat voor aanzienlijke uitdagingen, waaronder armoede, criminaliteit en een werkloosheidspercentage van meer dan 40%. Ondanks deze moeilijkheden ligt de township op een unieke locatie binnen een woongebied dat aanzienlijke werkgelegenheidskansen biedt voor haar inwoners. De township herbergt twee gratis scholen — een basisschool en een middelbare school — waar schooluniformen verplicht zijn. Dit initiatief belicht het dagelijks leven van de inwoners van Imizamo Yethu. De tentoonstelling omvat twee soorten portretten: één waarbij inwoners worden vastgelegd in hun natuurlijke omgeving, en een ander in een formele headshot-stijl tegen een zwarte achtergrond. ********** English ********** Since the early 90s, Jean-Luc Van Damme has been visiting South Africa as a filmproducer. During one of his trips with Nadine Deruyck, they conceived the idea of developing a photographic project in a Cape Town township. In early 2024, they decided to bring this vision to life in Imizamo Yethu township, also known as Mandela Park, situated in Hout Bay, south of Cape Town. Imizamo Yethu (Xhosa, meaning "Our Efforts" and commonly known as Mandela Park) faces significant challenges including poverty, crime and unemployment rates exceeding 40%. Despite these hardships, the township is uniquely situated within a residential area that provides substantial employment opportunities for its residents. The township hosts two free schools — a primary and a secondary school — where uniforms are mandatory. This initiative highlights the daily lives of the residents of Imizamo Yethu. The exhibition features two types of portraits: one capturing inhabitants in their natural environments, and another in a formal headshot style against a black backdrop.
Annexée à la programmation du MACS (Grand-Hornu) en tant que projet extra-muros, l’installation d’Alec De Busschère, "Memory Cache Collection 99", se présente comme un dédale d’images imprimées sur de fins grands voiles librement suspendus dans l’espace d’exposition. Cette architecture translucide dans laquelle le public est invité à déambuler et à se perdre est d’autant plus déroutante que le moindre courant d’air peut en modifier l’orientation des cloisons grâce à un ingénieux mécanisme de suspension. Le spectacle de ces images fantomatiques prend alors une dimension légèrement cinétique, voire cinématographique, résultant de l’instabilité des voiles, de la circulation des spectateurs comme des effets de surimpressions et de fondus enchaînés. Labyrinthique et kaléidoscopique, le dispositif a l’apparence d’un « théâtre de la mémoire », cet outil mnémotechnique qui localise sur un plan de distribution architectural les images parcellaires d’une histoire à reconstituer. Cette connotation archéologique prend aussi son sens quand on sait que ce matériau visuel fut extrait, en 1999, de la mémoire de plusieurs ordinateurs personnels : des « fichiers caches » récupérés par l’artiste pour réaliser, à l’époque, sa vidéo "Keep the cache in memory". Des images pauvres en informations et qualité, orphelines de leurs auteurs et de leurs sites internet d’origine s’y enchaînaient les unes aux autres à un rythme quasi stroboscopique, témoin de la frénésie qui s’était emparée de toute une génération de navigateurs insomniaques. Vingt-cinq ans plus tard, Alec De Busschère revient sur cet océan d’archives pour en livrer une vision diamétralement opposée : des images dont il a diminué le nombre, agrandi la taille et ralenti la vitesse, comme une manière aussi de leur donner, malgré leur superficialité, l’épaisseur existentielle d’un geste humain et de sa trace, même technologique. Adresse : Rue du Ruisseau, 37 – 1080 Bruxelles Vernissage : 30.08.24 | 18h Exposition : 31.08 > 22.09.24 Horaires : Mercredi - dimanche | 14h - 19h
Un jour, la Girouette a pris une aiguille et une photo. Elle ne s'est plus arrêtée. Art millénaire, souvent relégué au statut d'art mineur, la broderie devient moyen d'expression. Des photographies anciennes sorties des tiroirs, sorties des greniers, sorties de l'oubli. Le fil qui raconte une nouvelle histoire. Des petites filles punk, des communiants avides de liberté, des grandes dames en colère. Drôles, cocasses ou émouvantes, ces photos montrent un autre visage, subversif ou détourné. Venez les découvrir chez Kalamity Vintage, rue du collège 24 à Ixelles (Place Fernand Cocq). Vernissage : vendredi 6 septembre de 17h à 22h Exposition : du 6 septembre au 12 septembre de 11h à 18h30 (fermé dimanche et lundi) Atelier de broderie sur photo : mercredi 11 septembre de 18h30 à 21h (sur inscription)
********** English ********** Thu-Van Tran draws on literature, history, and nature to explore the question of exile and the mutation of beings and languages in the wake of colonial narratives. 'Write as the Beasts Cry at Night' unfolds in La Loge like an open book, a palimpsest where Marguerite Duras' aura intersects with legendary, intimate writings. Through tracing, imprinting, and fragmenting, the artist focuses on what her chosen materials represent, searching for recollections she can extract. Thu-Van Tran scrutinises contaminated memories, the processes of disappearance and reappearance, and buried violence to sketch out a new imaginar—a possible liberation. ********** Français ********** Thu-Van Tran puise dansla littérature, l’histoire et la nature afin d’explorer la question de l’exil, les mutations des êtres et des langues au gré des récits coloniaux. 'Write as the Beasts Cry at Night' se déploie dans La Loge comme un livre ouvert, un palimpseste où l’aura de Marguerite Duras croise des écrits légendaires et intimes. Par son usage de la trace, de l’empreinte et du fragment, l’artiste se concentre sur la charge des matières qu’elle choisit, en quête des réminiscences qu’elle pourra dégager. Thu-Van Tran scrute la mémoire contaminée, les processus de disparition et de réapparition, les violences enfouies pour esquisser un nouvel imaginaire, une possible délivrance. ********** Nederlands ********** Thu-Van Tran vindt inspiratie in de literatuur, geschiedenis en natuur om thema’s zoals ballingschap en de mutatie van levende wezens en talen te verkennen aan dehand van koloniale verhalen. Write as the Beasts Cry at Night ontvouwt zich in La Loge als een open boek, een palimpsest waar de aura van Marguerite Duras legendarische en intieme geschriften kruist. Door haar gebruik van sporen, afdrukken en fragmenten focust de kunstenares op de lading van de materialen die ze kiest, op zoek naar herinneringen die ze kan losmaken. Thu-Van Tran doorgrondt het aangetaste geheugen, de processen van verdwijnen en opnieuw verschijnen en het verborgen geweld om zo een nieuwe verbeelding en een mogelijke bevrijding te schetsen.
S'il existe un lieu de rendez-vous emblématique pour les passionnés d'art et de sculpture à Bruxelles, c'est bien le Square Armand Steurs. L'événement rassemblera 33 sculptures, ainsi qu'une installation monumentale. Y participeront 27 sculpteurs de renom, dont 7 femmes et 3 sculpteurs français. Nous vous invitons à rencontrer les artistes lors du vernissage le samedi 31 août 2024 à partir de 11h
EXPOSITION Quelque part entre glitch digital fantomatico-psyché, gravure et dédales de plans superposés / symboles hallucinés, pour sa première exposition de la saison le Sterput a le plaisir d’accueillir les artistes Ramon Keimig (Allemagne) et Nico Fremz (France). VERNISSAGE & WORKSHOP ► Jeudi 5 septembre 18h-21h : Vernissage en présence des artistes et sortie du livre de l'exposition. ► Samedi 7 septembre 15h-17h : Workshop expo « Tarot glitché : Dessin et collage en photocopie » https://www.facebook.com/share/tnPegP1SmiYDj5Ka/ Inscriptions : info@sterput.org ______________________ RAMON KEIMIG Ramon Keimig vit et travaille en Allemagne. Son travail, très proche de la culture DIY, trouve ses racines dans la gravure et le dessin. Il utilise de l'encre et des crayons sur papier, qu'il combine avec des dessins créés numériquement. Il modifie les éléments dessinés à la main à l'aide de programmes d'imagerie numérique et de dessin ou les reproduit à la photocopieuse, à l'imprimante laser et au scanner. Il prend pour thème la fragilité technique et incorpore des perturbations aléatoires comme nouveaux éléments dans les compositions. Inspirés par l'esthétique de la photocopie des années 1970 et 1980, ses motifs rendent hommage à la culture cassette, aux bandes dessinées underground et aux prospectus de concerts. ramonkeimig.de instagram.com/ramon_keimig/ NICO FREMZ Nicolas Fremion est né en 1983 à Grenoble. Il vit et travaille entre l’Ardèche et la région parisienne. Privilégiant le petit format, à quelques exceptions près, il pratique un dessin noir et blanc, extrêmement fouillé, saturé de motifs et de symboles. Ses compositions, souvent inspirées de l'art traditionnel asiatique (notamment des traditions chinoise, coréenne, japonaise, et plus récemment vietnamienne) se sont étoffées au fil des années, devenant un savant étagement de plans, entrelacs d'évènements hallucinés, agencés dans une perspective cavalière au cordeau. Dans ce déferlement d'architectures, de textures, de signes ésotériques, toute empathie avec les personnages représentés est exclue. Extrêmement codifiées et loufoques, les représentations de la violence et du chaos qui y figurent, voient leur charge émotionnelle annulée, par le minutieux dépliage cathartique s’étalant sur le papier. instagram.com/nicofremz/ ____________________