Terwijl Gaza een totale tragedie doormaakt, werpt deze tentoonstelling een blik
op een decennium van tumult in het Midden-Oosten. Vanaf de revoluties in Tunesië
en Egypte tot de conflicten in Syrië, Irak, Jemen en momenteel in Gaza.
De verschillende hoofdstukken van deze recente geschiedenis van het
Midden-Oosten worden verteld aan de hand van de verhalen van oorlogsslachtoffers
die worden behandeld in het MSF-ziekenhuis in Amman, een unieke locatie op het
kruispunt van deze conflicten.
Na een verhelderend kijk op de actualiteit gaan we met elkaar in gesprek en is
er tijd voor een creatieve borduurworkshop waar je meewerkt aan een solidaire
boodschap.
(G)rève Général(e) - Exposition "Nous"
Description
Les photographies publiées dans l’ouvrage éponyme, présentées dans cette exposition, ont été réalisées par Charles Paulicevich dans le cadre d’une mission commanditée par la Centrale générale de la Fédération Générale du Travail de Belgique.
Entre septembre 2021 et octobre 2022, il est parti à la rencontre de travailleuses et travailleurs belges au sein d’une trentaine d’entreprises, avec l’ambition de proposer une représentation actualisée du monde ouvrier. Ces photographies, complétées par de nombreux témoignages de délégué.e.s syndicaux.ales issu.e.s de différents secteurs d’activités, des métallos aux titres-services, dresse un portrait collectif du monde du travail dans les usines et sur les chantiers, tel qu’on ne le voit et le montre jamais.
Ces clichés racontent l’histoire de corps en action montrés ici avec le respect et la dignité qu’ils méritent et les conditions de travail de celles et ceux qui concurrent, parfois de façon invisible, à notre confort et à notre sécurité. Ces corps sont fiers de ce qu’ils apportent à la collectivité avec toutes leurs compétences et leur détermination.
—
✅Visite libre de l'exposition de 9h à 16h30, du 23 avril au 02 mai
Date info
09:00:00 - 16:30:00
Tickets
Free
Info & Reservation
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Suggested events
********** English **********
Many migration movements demand a lot from migrants. Their lives and health are
threatened, their right to self-determination is challenged, and their
individual identities become objects of other people’s prejudices and actions.
All migration processes, even the painful ones, lead to new cultural diversity,
which can be seen as a positive force in today’s societies. Shared experiences
empower the citizens of Europe and help create our joint European identity.
Featured are some very specific situations at European level:
1. The long-term consequences of the German occupation of Norway during World
War II.
2. Prejudices against many Greenlandians after the migration from Greenland to
Denmark since 1945.
3. Forced migration of Sámi from the North to the South of Sweden.
4. Population exchange in former German Pomerania after 1945, exemplified by the
Polish town Slupsk .
5. The long-term consequences of the Holocaust for Lithuanian women.
6. Migration to Slovenia after World War II and the impact of the country’s
independence in 1991 on the migrants.
7. The complex political history of the Istrian peninsula and its multi-ethnic
population related to 200 000 emigrants after World War II.
Reservations: museum@foyer.be
Info: https://www.i-on.museum; https://www.identityontheline.eu
********** Français **********
De nombreux mouvements migratoires exigent beaucoup des migrants. Leurs vies et
leur santé sont menacées, leur droit à l’autodétermination est remis en
question, et leurs identités individuelles deviennent des objets des préjugés et
des actions d’autrui. Tous les processus de migration, même les plus douloureux,
conduisent à une nouvelle diversité culturelle, qui peut être perçue comme une
force positive dans les sociétés d’aujourd’hui. Les expériences partagées
renforcent les citoyens européens et contribuent à créer notre identité
européenne commune.
Il existe quelques situations très spécifiques au niveau européen :
1. Les conséquences à long terme de l’occupation allemande de la Norvège pendant
la Seconde Guerre mondiale.
2. Les préjugés contre de nombreux Groenlandais après la migration du Groenland
au Danemark depuis 1945.
3. La migration forcée des Sámis du Nord vers le Sud de la Suède.
4. L’échange de population dans l’ancienne Poméranie allemande après 1945,
exemplifié par la ville polonaise de Slupsk.
5. Les conséquences à long terme de l’Holocauste pour les femmes lituaniennes.
6. La migration en Slovénie après la Seconde Guerre mondiale et l’impact de
l’indépendance du pays en 1991 sur les migrants.
7. L’histoire politique complexe de la péninsule istrienne et de sa population
multiethnique liée à 200 000 émigrants après la Seconde Guerre mondiale.
Réservations : museum@foyer.be
Infos : https://www.i-on.museum; https://www.identityontheline.eu
********** Nederlands **********
Veel migratiebewegingen eisen veel van migranten. Hun levens en gezondheid
worden bedreigd, hun recht op zelfbeschikking wordt uitgedaagd, en hun
individuele identiteiten worden objecten van vooroordelen en acties van anderen.
Alle migratieprocessen, zelfs de pijnlijke, leiden tot nieuwe culturele
diversiteit, die kan worden gezien als een positieve kracht in de hedendaagse
samenlevingen. Gedeelde ervaringen versterken de burgers van Europa en helpen
bij het creëren van onze gezamenlijke Europese identiteit.
Er bestaan enkele zeer specifieke situaties op Europees niveau:
1. De langetermijngevolgen van de Duitse bezetting van Noorwegen tijdens de
Tweede Wereldoorlog.
2. Vooroordelen tegen veel Groenlanders na de migratie vanuit Groenland naar
Denemarken sinds 1945.
3. Gedwongen migratie van Sami van het noorden naar het zuiden van Zweden.
4. Bevolkingsuitwisseling in het voormalige Duitse Pommeren na 1945,
geïllustreerd door de Poolse stad Slupsk.
5. De langetermijngevolgen van de Holocaust voor Litouwse vrouwen.
6. Migratie naar Slovenië na de Tweede Wereldoorlog en de impact van de
onafhankelijkheid van het land in 1991 op de migranten.
7. De complexe politieke geschiedenis van het Istrische schiereiland en zijn
multi-etnische bevolking in verband met 200.000 emigranten na de Tweede
Wereldoorlog.
Reserveringen: museum@foyer.be
Info: https://www.i-on.museum; https://www.identityontheline.eu
Vernissage le 8 mai à 11h.
De nombreux mouvements migratoires exigent beaucoup des migrants. Leurs vies et
leur santé sont menacées, leur droit à l’autodétermination est remis en
question, et leurs identités individuelles deviennent des objets des préjugés et
des actions d’autrui. Tous les processus de migration, même les plus douloureux,
conduisent à une nouvelle diversité culturelle, qui peut être perçue comme une
force positive dans les sociétés d’aujourd’hui. Les expériences partagées
renforcent les citoyens européens et contribuent à créer notre identité
européenne commune.
Il existe quelques situations très spécifiques au niveau européen :
1. Les conséquences à long terme de l’occupation allemande de la Norvège pendant
la Seconde Guerre mondiale.
2. Les préjugés contre de nombreux Groenlandais après la migration du Groenland
au Danemark depuis 1945.
3. La migration forcée des Sámis du Nord vers le Sud de la Suède.
4. L’échange de population dans l’ancienne Poméranie allemande après 1945,
exemplifié par la ville polonaise de Slupsk.
5. Les conséquences à long terme de l’Holocauste pour les femmes lituaniennes.
6. La migration en Slovénie après la Seconde Guerre mondiale et l’impact de
l’indépendance du pays en 1991 sur les migrants.
7. L’histoire politique complexe de la péninsule istrienne et de sa population
multiethnique liée à 200 000 émigrants après la Seconde Guerre mondiale.
Réservations : museum@foyer.be
https://www.i-on.museum; https://www.identityontheline.eu
Aurélie Salavert est née à Avignon. Elle vit et travaille à Bruxelles. L’artiste
transmet ses pensées, ses sentiments et ses souvenirs dans des images qui
semblent enfouies dans notre propre subconscient. Le fil conducteur de sa
pratique est le dessin, qui se réinvente continuellement grâce à l’utilisation
de techniques et de styles différents, permettant l’émergence d’une abstraction
figurative. La vaste production de dessins intimes au crayon d’Aurélie Salavert,
avec leurs doux lavis d’aquarelle ou leurs plats de gouache, nous parlent avec
une clarté enfantine, mais leur signification reste ouverte.
Lasse Wandschneider est né en 1987 à Lübeck, en Allemagne. Il a fait des études
en illustration et BD à Breda, Berlin, Prague et Bruxelles. Désormais, il vit et
travaille entre Bruxelles et Berlin. Dans son art, il s’intéresse aux équilibres
entre abstraction et narration, improvisation et réflexion, page et espace.
Spectra Ex Machine / RELEASE PARTY
Samedi 18 mai 2024 – 17h-19h
Réservation obligatoire par mail à : gauthier@subrosa.net
À l’occasion de la sortie du nouveau volume de son anthologie sonore des
phénomènes occultes, l'auteur et réalisateur radio Philippe Baudouin vient
présenter son projet Spectra Ex Machina (Sub Rosa), lors d'une soirée
exceptionnelle.
Le second volume de cette anthologie sonore explore les liens entre musique et
médiumnité, art vocal et sorcellerie : Aleister Crowley, Uri Geller, Rosemary
Brown ou bien encore Elvis Presley font ainsi résonner leur voix de l'au-delà.
Au programme de cette soirée : séance d'écoute de quelques extraits du disque et
discussion avec Philippe Baudouin, Stéphanie Peel et Christian Chelman sur
l'histoire du spiritisme et ses croisements inattendus avec la question
musicale.
À cette occasion, les deux premiers volumes de Spectra Ex Machina seront
proposés à la vente.
Philippe Baudouin est réalisateur radio et maître de conférences associé à
l’Université Paris-Saclay. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages et articles sur
l’histoire de l’occultisme dont Apparitions : Les Archives de la France hantée
(Hoëbeke, 2021) et Surnaturelles : une histoire visuelle des femmes médiums
(Pyramyd, 2021). Depuis 2019, il poursuit en collaboration avec le label Sub
Rosa le projet Spectra Ex Machina, consacré aux archives sonores du paranormal.
Stéphanie Peel est chercheuse indépendante et doctorante à l’Université libre de
Bruxelles. Son compte Instagram « Les Occultées » est consacré à l’histoire des
femmes médiums.
Christian Chelman est illusionniste et collectionneur. Il est également le
fondateur et l’actuel conservateur du Surnatéum, Muséum d’Histoire Surnaturelle
de Bruxelles.
Why…Not! est une revue photographique trimestrielle, numérique et imprimée,
initiée par l’ASBL Cultures & Publics.
Projet protéiforme, la revue s’engage dans une co-création sur les sujets de
l’Utopie, le paysage urbain, la nuit, le corps… Et plus globalement sur l’impact
du médium photographique et littéraire dans la construction du lien esthétique
et social.
À l’occasion de la sortie du n°1, la Maison Commune, lieu d’occupation de
Cultures & Publics, présente un cadavre exquis d’oeuvres autour du thème
« Siphonner les esprits ».
Venez découvrir le travail de nos contributeurs à partir du lundi 18 avril à 18h
!
L’exposition, visible jusqu’au 7 mai, se terminera sur une soirée de
performances artistiques et littéraires de 18h à 22h.
The Royal Museums of Fine Arts of Belgium are inaugurating an extraordinary
international touring exhibition conceived in close collaboration with the
Centre Pompidou (Paris). From Giorgio De Chirico to Jackson Pollock, Salvador
Dalí, Joan Miró, Meret Oppenheim, Dora Maar, René Magritte…, explore the poetry
of the world's most famous surrealists through themes such as the dream, the
labyrinth, metamorphosis, the unknown and the subconscious.
********** Français **********
Espace Delahaut. Maison communale
Square S. Hoedemaekers 10, 1140 Evere.
Entrée via le passage Idiers. Heures d’ouverture de la commune ou des
bibliothèques
Gratuit
********** Nederlands **********
Aula Delahaut. Gemeentehuis
Square S. Hoedemaekerssquare 10, 1140 Evere.
Ingang Idiers. Openingsuren van het gemeentehuis of van de bibliotheken
Gratis.
A proposal by Dominique de beir with Pierrette Bloch, Cathryn Boch, Dominique De
Beir, Isabelle Ferreira, Hessie, Maëlle Labussière, Patrice Pantin.
********** English **********
In her second solo exhibition at the Michèle Schoonjans Gallery, Amélie Scotta
presents a series of works exploring the notions of habitat and landscape
through colour and organic materials, brought to life through both drawing
(wood, bark, rock, etc.) and paper (mineral, vegetable, etc.).
In the Withdraw series, the artist works in two stages, superimposing two layers
of drawing and two types of perspective. The first layer, applied quickly and
randomly across the entire surface of the paper in coloured ink, can evoke the
atmospheric dimension of a landscape. The bright, unnatural colours and the
invisibility of the gesture give the impression of a luminous, radiant surface.
Here and there, accidents of material accentuate the effect of a printed image
that has been doctored, washed out and deteriorated. The second layer, drawn in
graphite, somehow constrains, obstructs or limits these infinite expanses.
Created slowly and meticulously in pencil, the motifs of trellis, wire netting
and other barriers reflect the artist's preoccupation with the question of
confinement. The idea of withdrawal, whether voluntary or not, has already been
evoked in earlier works, notably the Reclusoirs, sculptures inspired by the
small enclosed buildings in which penitents lived in the Middle Ages. But the
contrast between the immateriality of the coloured surface and the repetitive
pattern of the drawing also speaks to us of what is said beyond the edge of the
paper.
ABOUT THE ARTIST
Born in Nantes in 1983, Amélie Scotta is a visual artist and teacher based in
Brussels. She holds degrees in Design (HEAR Strasbourg, 2008) and Visual Arts
(ENSAV La Cambre, Brussels, 2016).
Since 2013, her work has been shown in numerous exhibitions in Belgium (Le
Botanique, La Médiatine, Vanderborght Building, Musées Royaux des Beaux-Arts,
European Parliament, etc.) and abroad (Villa Méditerranée in Marseille, Arabic
Culture House in Berlin, Matadero in Madrid, as well as Magasins Généraux,
Palais de Tokyo and Carreau du Temple in Paris). She has also held residencies
at the Casa de Velázquez in Madrid, the Cité Internationale des Arts in Paris,
the Moonens Foundation and the Boghossian Foundation in Brussels. She is the
winner of the Prix international de la Ville de Tournai in 2021, the Prix Cocof
and the Prix Carré sur Seine in 2020.
From the Jeddah Tower to the disused factories of Roubaix, from the Rio stadium
to the Versailles of the people, from medieval recluses to the scaffolding of
Brussels, it is in an intuitive way that the artist questions architecture in
all its forms. Approached primarily through drawing, but also through sculpture
and photography, construction allows her to speak of the human being, the one
who both inhabits and builds.
In more recent works, Amélie Scotta takes a more sensorial approach to landscape
and habitat, working with colour and materials. She addresses the issue of
withdrawal, a position in relation to the world that can provide protection,
confinement or liberation. Her relationship with urban planning is also leading
her increasingly towards projects in the public space.
********** Français **********
Dans sa deuxième exposition personnelle à la Michèle Schoonjans Gallery, Amélie
Scotta présente une série d’œuvres explorant les notions d’habitat et de paysage
au travers de la couleur ou de matières organiques, amenées aussi bien par le
dessin (bois, écorce, roche…) que par le support du papier (minéral, végétal…).
Dans la série Withdraw, la dessinatrice travaille en deux temps, superposant
deux couches de dessin et deux types de perspectives. La première strate,
appliquée à l’encre colorée, de manière rapide et aléatoire sur toute la surface
du papier, peut évoquer un paysage dans sa dimension atmosphérique. Les couleurs
vives, non naturelles et l’invisibilité du geste donnent l’impression d’une
surface lumineuse et irradiante. Çà et là, des accidents de matière accentuent
l’effet d’image imprimée qui aurait été trafiquée, délavée, détériorée. La
seconde strate, dessinée au graphite, vient en quelque sorte contraindre,
obstruer ou limiter ces étendues infinies.
Réalisés au crayon, de manière lente et minutieuse, les motifs de treillis, de
grillages et autres barrières nous renvoient à la préoccupation de l’artiste
pour la question de l’enfermement. Le repli, volontaire ou non, est déjà évoqué
dans des travaux antérieurs, notamment les Reclusoirs, des sculptures inspirées
des petits édifices clos dans lequel vivaient des pénitentes du Moyen-âge. Mais
ce contraste entre l’immatérialité de la surface colorée et le motif répétitif
du dessin, nous parle aussi de ce qui se raconte au-delà du bord du papier.
A PROPOS DE L’ARTISTE
Née à Nantes en 1983, Amélie Scotta est une artiste plasticienne et enseignante
basée à Bruxelles. Elle est diplômée en Design (HEAR Strasbourg, 2008) et en
arts visuels (ENSAV La Cambre, Bruxelles, 2016).
Depuis 2013, son travail a été présenté dans de nombreuses expositions en
Belgique (Le Botanique, La Médiatine, Vanderborght Building, Musées Royaux des
Beaux-Arts, Parlement européen…) et à l'étranger (Villa Méditerranée à
Marseille, Arabic Culture House à Berlin, Matadero à Madrid, mais aussi Magasins
Généraux, Palais de Tokyo et Carreau du Temple à Paris). Elle a notamment été
résidente à la Casa de Velázquez à Madrid, à la Cité Internationale des Arts à
Paris, à la Fondation Moonens et à la Fondation Boghossian à Bruxelles. Elle est
lauréate du Prix international de la Ville de Tournai en 2021, du Prix Cocof et
du prix Carré sur Seine en 2020.
De la Jeddah Tower aux usines désaffectées de Roubaix, en passant par le stade
de Rio, le Versailles du peuple, les reclusoirs médiévaux ou les échafaudages
bruxellois, c’est de manière intuitive que l’artiste interroge l’architecture
sous toutes ses formes. Abordée principalement par le dessin, mais aussi par la
sculpture ou la photographie, la construction lui permet de parler de l’humain,
celui qui, tout à la fois, habite et édifie.
Dans des travaux plus récents, Amélie Scotta approche le paysage et l’habitat de
manière plus sensorielle, en passant par un travail de la couleur et de la
matière. Elle y aborde la question du repli, une position face au monde qui peut
apporter protection, enfermement ou libération. Son rapport à l’urbanisme
l’amène également de plus en plus vers
des projets dans l’espace public.
********** Nederlands **********
In haar tweede solotentoonstelling in de Michèle Schoonjans Gallery presenteert
Amélie Scotta een serie tekeningen die, naast de problematiek van de
leefomgeving, de landschapsconcepten onderzoekt door middel van kleur of
organische materialen, die zowel door het onderwerp van de tekening als door de
papieren drager (mineraal, plantaardig, enz.) worden ingebracht.
In de serie Withdraw werkt de kunstenares in twee fasen, waarbij ze gebruik
maakt van verschillende lagen in de tekening en van twee soorten perspectief. De
eerste laag, die snel en willekeurig met gekleurde inkt over het hele
papieroppervlak wordt aangebracht, kan de atmosferische dimensie van een
landschap oproepen. De heldere, onnatuurlijke kleuren en de afwezigheid van het
gebaar geven de indruk van een lichtgevend, stralend oppervlak. Hier en daar
accentueren ongelukjes met het materiaal het effect van een afgedrukte
afbeelding, die is bewerkt, uitgewassen of beschadigd. De laag grafiet, die in
een later stadium wordt aangebracht, beperkt, belemmert of begrenst op de een of
andere manier deze oneindige uitgestrektheid.
De grafiettekeningen, die langzaam en minutieus met potlood zijn gemaakt, tonen
rasterwerk, hekken en andere barrières en weerspiegelen de preoccupatie van de
kunstenaar met het vraagstuk van zich opgesloten te voelen. Het idee van zich
terugtrekken, vrijwillig of niet, werd al opgeroepen in eerdere werken, met name
de Reclusoirs, sculpturen geïnspireerd op de kleine afgesloten gebouwen waarin
boetelingen in de Middeleeuwen leefden. Maar dit contrast tussen de
niet-materiële aard van het gekleurde oppervlak en het repetitieve patroon van
de tekening spreekt ook tot ons over wat er voorbij de rand van het papier
gebeurt, in wat bekend staat als het buitenbeeld. Net als het raam, dat zowel
verbergt als zichtbaar maakt, laat de muur toch de horizon zien, waardoor we ons
een mogelijke ontsnapping kunnen voorstellen.
OVER DE KUNSTENARES
Amélie Scotta, geboren in Nantes in 1983, is beeldend kunstenaar en docente in
Brussel. Ze behaalde een diploma in Design (HEAR Straatsburg, 2008) en in
Visuele Kunsten (ENSAV La Cambre, Brussel, 2016).
Sinds 2013 is haar werk te zien geweest in talrijke tentoonstellingen in België
(Le Botanique, La Médiatine, Vanderborght Building, Musées Royaux des
Beaux-Arts, Europees Parlement, enz.) en in het buitenland (Villa Méditerranée
in Marseille, Arabic Culture House in Berlijn, Matadero in Madrid, evenals in
Magasins Généraux, Palais de Tokyo en Carreau du Temple in Parijs). Ze heeft ook
residenties gehad in het Casa de Velázquez in Madrid, de Cité Internationale des
Arts in Parijs, de Moonens Stichting en de Boghossian Stichting in Brussel. Ze
is de winnaar van de Prix international de la Ville de Tournai in 2021, de Prix
Cocof en de Prix Carré sur Seine in 2020.
Van de toren van Jeddah tot de verlaten fabrieken van Roubaix, van het stadion
van Rio tot het Versailles van het volk, van middeleeuwse kluizenaars tot de
steigers van Brussel, de kunstenares stelt intuïtief de architectuur in al haar
vormen ter discussie. Ze benadert de architectuur voornamelijk door middel van
tekenen, maar ook door middel van beeldhouwen en fotografie.Door de constructie
kan ze spreken over de mens, degene die zowel bewoont als bouwt.
In haar meer recente werk kiest Amélie Scotta voor een meer zintuiglijke
benadering van landschap en leefomgeving, waarbij ze gebruik maakt van zowel
kleur als materialen. In haar meer recente werk kiest Amélie Scotta voor een
meer zintuiglijke benadering van landschap en leefomgeving, waarbij ze gebruik
maakt van zowel kleur als materialen. Ze gaat in op het thema van het zich
terugtrekken, een positie ten opzichte van de wereld die bescherming,
afzondering of bevrijding kan brengen. In haar meer recente werk kiest Amélie
Scotta voor een meer zintuiglijke benadering van landschap en leefomgeving,
waarbij ze gebruik maakt van zowel kleur als materialen. Ze gaat in op het thema
van het zich terugtrekken, een positie ten opzichte van de wereld die
bescherming, afzondering of bevrijding kan brengen. Haar fascinatie voor
stedenbouw leidt haar ook steeds meer naar projecten in de openbare ruimte.