"The Vessel", c'est aussi une "performance" née de la présence de sculptures,
d'objets, de masques et de marionnettes. Des rencontres pour voyager avec les
marionnettes et de la musique (Jean-Jacques Duerinckx), pour découvrir l'espace
de jeu, le théâtre de jeu des objets, des masques et des marionnettes.
2 happenings exceptionnels, le dimanche 19 à 19h et le lundi 20 mai à 18h.
Avec Matt Jackson, Ruben Mardulier et Jean-Jacques Duerinckx.
Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles, l'Image de Bruxelles, de la
Loterie Nationale et de la Commune d'Ixelles.
Elena Nagapetyan
Date info
Le 22/05/202420:00
Tickets
Info:
Billetterieticketmaster
Organiser
1 Picture
Suggested events
Kom vrijdagavond na het werk genieten van een lekkere cocktail in de tuin van
Op-Weule! Daarna maken we onze lachspieren helemaal los tijdens de comedyshow Je
suis Pippi’ van Veerle Malschaert. De avondshow start om 20u.
Veerle Malschaert volgt, net als Pippi Langkous, haar eigen parcours en laat
zich als artiest niet in een vakje duwen of aan banden leggen door labels. Ze
ontwikkelde een uniek genre dat je nog het best kan omschrijven als openhartige,
rake en troostende comedy, een uniek genre waar Veerle Malschaert als comédienne
ondertussen gerust haar patent op mag nemen. Een voorstelling over ongedimd
uzelf mogen zijn, vastzitten en loslaten, over ’t huis en houden, over aandacht
geven en krijgen, over aan de haak geslaan worden, maar niet aan de leiband
willen, over bangboosbibberland en de paniek laten varen, over pippi en kakka en
over kiezen voor het leven.
Dit is een samenwerking tussen 1200 cultuur, GC Op-Weule en Femma.
Gratis, maar beperkte plaatsen. Inschrijven kan via info@opweule.be of 02 775 92
00.
Cocktails vanaf 17.30u, de comedyshow start om 20u.
********** Français **********
Libre adaptation du conte « la petite fille aux allumettes » (Andersen), –
Spectacle écrit pour la rue, une marionnette portée, trois acteurs-musiciens et
une caravane « pop up » – Comme un cri de colère poétique…
Spectacle à partir de 5 ans. Théâtre-installation.
********** Nederlands **********
Een vrije bewerking van Andersen's sprookje "Het meisje met de lucifers" - Een
voorstelling geschreven voor de straat, met een pop, drie acteur-muzikanten en
een pop-up caravan - Als een poëtische schreeuw van woede...
Vanaf 5 jaar. Theaterinstallatie.
********** English **********
A free adaptation of Andersen's fairy tale "The Little Match Girl" - A show
written for the street, with a puppet, three actor-musicians and a pop-up
caravan - Like a poetic cry of anger...
For ages 5 and up. Theatre-installation.
En reconstituant une scène de crime, par le biais d’un geste accessible, fort,
documenté et poétique, travaillant à un acte artistique qui puisse révéler une
certaine beauté tout en pouvant transcender la douleur de gestes passés, Céline
Chariot, qui n’est ni danseuse, ni actrice, mais photographe, aborde le viol via
le regard, via des sensations qui ont pour but la réflexion, et rappelle que
dans cette transgression odieuse qu’est le viol, le crime n’est pas uniquement
celui du violeur mais surtout celui d’un corps social qui pointe la victime
comme responsable de son sort.
Dans une forme originale où se mêlent texte, performance, silence, regard,
reconstitution du réel et onirisme, le spectacle invite puissamment à la
transformation des traumatismes du passé en une puissante frénésie d’en finir
avec les inégalités de genre.
(1) La Slutwalk, ou « Marche des salopes », est une marche de protestation née
en avril 2011 au Canada après qu’un officier de police ait déclaré : « Si vous
voulez éviter de vous faire violer, il faut éviter de s’habiller comme une
salope ».
Aujourd’hui, elle part de constats et de statistiques, pas d’une colère
irrationnelle ; elle ne veut ni écrire de fiction édulcorée, ni chercher à
raconter l’histoire des femmes et encore moins la sienne, ni à brûler les
hommes, ni à faire justice. En reconstituant une scène de crime, par le biais
d’un geste accessible, fort, documenté et poétique, travaillant à un acte
artistique qui puisse révéler une certaine beauté tout en pouvant transcender la
douleur de gestes passés, Céline Chariot, qui n’est ni danseuse, ni actrice,
mais photographe, aborde le viol via le regard, via des sensations qui ont pour
but la réflexion, et rappelle que dans cette transgression odieuse qu’est le
viol, le crime n’est pas uniquement celui du violeur mais surtout celui d’un
corps social qui pointe la victime comme responsable de son sort.
Dans une forme originale où se mêlent texte, performance, silence, regard,
reconstitution du réel et onirisme, le spectacle invite puissamment à la
transformation des traumatismes du passé en une puissante frénésie d’en finir
avec les inégalités de genre.
(1) La Slutwalk, ou « Marche des salopes », est une marche de protestation née
en avril 2011 au Canada après qu’un officier de police ait déclaré : « Si vous
voulez éviter de vous faire violer, il faut éviter de s’habiller comme une
salope »
Avec Marche salope (1), Céline Chariot aborde le sujet du viol, interrogeant le
mutisme qui entoure les agressions sexuelles. « La vraie question n’est pas de
savoir pourquoi je parle, mais pourquoi je n’ai pas parlé » écrit-elle.
Aujourd’hui, elle part de constats et de statistiques, pas d’une colère
irrationnelle ; elle ne veut ni écrire de fiction édulcorée, ni chercher à
raconter l’histoire des femmes et encore moins la sienne, ni à brûler les
hommes, ni à faire justice.
En reconstituant une scène de crime, par le biais d’un geste accessible, fort,
documenté et poétique, travaillant à un acte artistique qui puisse révéler une
certaine beauté tout en pouvant transcender la douleur de gestes passés, Céline
Chariot, qui n’est ni danseuse, ni actrice, mais photographe, aborde le viol via
le regard, via des sensations qui ont pour but la réflexion, et rappelle que
dans cette transgression odieuse qu’est le viol, le crime n’est pas uniquement
celui du violeur mais surtout celui d’un corps social qui pointe la victime
comme responsable de son sort.
Dans une forme originale où se mêlent texte, performance, silence, regard,
reconstitution du réel et onirisme, le spectacle invite puissamment à la
transformation des traumatismes du passé en une puissante frénésie d’en finir
avec les inégalités de genre.
(1) La Slutwalk, ou « Marche des salopes », est une marche de protestation née
en avril 2011 au Canada après qu’un officier de police ait déclaré : « Si vous
voulez éviter de vous faire violer, il faut éviter de s’habiller comme une
salope »
"Les relations mère-fille peuvent être magnifiquement compliquées".
Car si le lien qui les unit est unique, il est aussi et surtout complexe.
Cette relation l'auteure a souhaité la décomplexer
en proposant une pièce théâtrale aussi drôle qu'émouvante.
La comédienne nous explique : " On parle ici d'une mère particulière parce
qu'elle est encombrante, étouffante, castratrice voire destructrice même.
C'est un personnage très théâtral, ce qui me permet de l'imiter et d'en faire
rire,
mais aussi d'être dans l'émotion car elle peut être touchante et se révéler
d'une fragile flamboyance".
Un spectacle poignant !
DUREE - 55min
_______________________________________________________
« Le spectacle des Belges qui veulent simplifier la langue française » : tout
est faux dans cette phrase. Pas « simplifier » mais faire preuve d’esprit
critique. Pas « des Belges », mais des passionnés qui veulent partager les
découvertes des linguistes. Pas même la langue, seulement son orthographe. Car
l’orthographe, c’est pas la langue, juste le code graphique qui permet de la
retranscrire.
Une approche pop et iconoclaste, pour dédramatiser un débat et aussi parce qu’il
faut bien avouer que l’Académie Française a un vrai potentiel comique...
Notez que tout n’est pas faux : il s’agit bien d’un spectacle... Et drôle en
plus.
C'est quand la dernière fois que vous avez changé d’avis ?
_______________________________________________________
Conférence ludique, instructive, interactive. La Libre Belgique, Guy Duplat,
28.09.16
Le tout agrémenté de fautes légendaires – le fameux « Omar m’a tuer » – et
flagrants délits humoristiques. Le Soir, Catherine Makereel, 16.09.16
Une vraie gourmandise intellectuelle. L’Humanité, Caroline Constant, 22.11.19
Erudit, drôle, bien menée, La Convivialité est un objet scénique atypique qui
titille les méninges. Le Monde, Sandrine Blanchard, 18.11.19
_______________________________________________________
VOIR LE TEASER : https://vimeo.com/236903278
AFTER SCENE - Je 25.05 après la représentation. Avec l’équipe du spectacle.
_______________________________________________________
Conception et écriture Arnaud Hoedt et Jérôme Piron - Jeu Philippe Couture,
Arnaud Hoedt, Jérôme Piron, Antoni Severino (en alternance) - Direction
technique Charlotte Plissart - Régie Charlotte Plissart, Clément Papin, Aurélie
Perret (en alternance) - Co-mise en scène Dominique Bréda, Arnaud Pirault et
Clément Thirion - Création vidéo Kévin Matagne - Conseiller technique Nicolas
Callandt. Conseiller artistique Antoine Defoort - Assistanat à la mise en scène
Anaïs Moray – Photo visuel Kévin Matagne - Développement et diffusion Habemus
Papam.
Une création de la compagnie Chantal & Bernadette. En coproduction avec le
Théâtre National/Bruxelles et L’Ancre/Charleroi et Hypothalamus renforcé. Avec
le soutien du Théâtre La Cité/Marseille, de La Bellone/Bruxelles, de la
compagnie La Zouze/Marseille et du Service de la Langue française de la
Fédération Wallonie-Bruxelles et du Centre culturel de Braine L’Alleud. Avec
l’aide du Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles (Service du théâtre).
Deze voorstelling met 2 dansers dagen elkaar en het publiek op spelende wijze
uit. Geïnspireerd op verschillende kinderspelletjes ontstaat een mooi duet.
Van hier-naar-daar, van hoog-naar-laag en weer over-en-weer. Het publiek wordt
getriggerd om mee te bewegen en gaat ook actief aan de slag met de dansers via
interactieve opdrachten. Time Play zal je telkens opnieuw verrassen, alert
houden en vooral zin geven om te bewegen.
Per persoon koop je een ticket. Kom je als papa met je 2 kinderen? Dan koop je
in totaal 3 ticketjes.
********** English **********
In Уя (‘Nest’), we observe a corridor of a small apartment in Bishkek, as if
from the room next door, while several characters pass by: a girl who works in
the Kyrgyz clubbing scene, a boy whose father left to fight with ISIS, an
elderly woman who created an orphanage at home, a far-right nationalist and a
feminist activist. Theater 705, one of the few independent theatres in
Kyrgyzstan and a feminist voice in Central Asia, created Уя (Nest) from recorded
interviews with real people in Kyrgyzstan who answered the same question: what
is home for you? Chagaldak Zamirbekov and his actors weave together these
stories in a cinematographic, hyper-realistic style that reproduces not just the
words of each respondent, but also their pauses and intonations. The characters
in the same space do not seem to see each other, evoking a sense of loneliness
and bewilderment in Kyrgyz society, fertile ground increasingly used to affirm
nationalist ideology. Maybe this house, this nest, is the nation itself, a place
where people can be merely present in the same space or truly live together. Уя
(Nest) paints a portrait of Kyrgyz society on the cusp of hyperbole and realism.
It’s a rare opportunity to confront the intimate revelations of a region absent
from the festival for too long.
********** Français **********
Уя (« Nid ») nous immerge dans le couloir d’un appartement de Bichkek. Comme si
nous étions témoin·tes de scènes depuis une pièce voisine, nous observons des
personnages traverser l’espace : une fille qui travaille dans le milieu du
clubbing kirghize, un garçon dont le père combat avec Daech, une femme âgée qui
a fondé un orphelinat chez elle, un nationaliste d’extrême droite et une
activiste féministe. Chagaldak Zamirbekov et Theater 705, l’un des rares
théâtres kirghizes indépendants et une voix féministe d’Asie centrale, ont créé
Уя (Nest) à partir d’entretiens faits avec des Kirghizes ayant tous·tes répondu
à la même question : qu’est-ce que la maison pour vous ? Leurs récits, jusqu’à
leurs mots et intonations, sont reproduits par les acteur·ices dans un style
cinématographique hyperréaliste. Les personnages partagent un même espace sans
sembler se voir, évoquant un certain sentiment de solitude et de désarroi de la
société kirghize – un terreau fertile pour l’idéologie nationaliste. Cette
maison, ce nid, pourrait-elle être la nation au sein de laquelle nous pourrions
coexister ou vivre véritablement ensemble ? Уя (Nest) dépeint un portrait de la
société kirghize au croisement entre l’hyperbole et le réalisme. Une occasion
rare de tendre l’oreille aux révélations intimes d’une région trop longtemps
absente du festival.
********** Nederlands **********
Met Уя (‘Nest’) kijken we binnen in de gang van een appartementje in Bishkek
waar verschillende personages de revue passeren: een meisje dat in het
Kirgizische nachtleven werkt, een jongen wiens vader is vertrokken om voor IS te
vechten, een oudere vrouw die weeskinderen opvangt, een extreemrechtse
nationalist en een feministische activiste. Theater 705, één van de weinige
onafhankelijke theaters in Kirgizië en een feministische stem in Centraal-Azië,
creëerde Уя (Nest) op basis van interviews met Kirgiziërs. Ze beantwoordden
telkens de vraag: wat is ‘een thuis’ voor jou? In een cinematografische,
hyperrealistische stijl weeft Chagaldak Zamirbekov deze verhalen tot een geheel.
Niet alleen de woorden, maar ook pauzes en intonaties worden trouw
gereproduceerd. De personages delen dezelfde ruimte maar lijken elkaar niet te
zien, wat een gevoel van eenzaamheid en vervreemding oproept, sterk aanwezig in
de Kirgizische samenleving en een vruchtbare bodem voor nationalistische
ideologieën. Misschien is dit huis, dit nest, wel de natie zelf; een plek waar
mensen naast elkaar aanwezig kunnen zijn, of écht kunnen samenleven. Уя (Nest)
schetst een portret van de Kirgizische samenleving op de grens van hyperbool en
realisme.