********** Français **********
Le 21 mai 2024, la Commune de Woluwe-Saint-Pierre organise, à l’initiative des
échevinats des droits humains et de l’égalité des chances, une soirée festive au
WHalll pour promouvoir le vivre ensemble et sensibiliser à la lutte contre
toutes les formes de discrimination LGBTQIA+phobes.
Au programme :
>À partir de 19h (avec accès au bar), des associations tiendront leur stand pour
vous présenter les activités qu’elles mènent au quotidien en faveur des droits
des communautés LGBTQIA+ ;
>À 20h, place au spectacle de la chorale « Sing Out Brussels », dont les membres
reflètent la diversité des personnes LGBTQIA+ à Bruxelles avec plus de 20
nationalités différentes et 15 langues parlées. Cette chorale nous offrira un
moment musical unique en reprenant des chansons françaises et internationales
célébrant la liberté, l’ouverture et le respect. Ce spectacle pétillant nous
permettra, en somme, d’unir nos cœurs et nos voix pour célébrer
l’interculturalité et le mieux vivre ensemble.
>La chorale cèdera ensuite la place à une performance de slam poétique et
incisif de l’artiste belge, Biche de Ville, qui nous dévoilera son univers, ses
pensées et ses émotions.
********** Nederlands **********
De gemeente van Sint-Pieters-Woluwe organiseert op dinsdag 21 mei 2024, op
initiatief van de diensten Mensenrechten en Gelijke Kansen, een feestelijke
avond in de W:Halll om samenleven te promoten en de strijd tegen alle vormen van
LGBTQIA+fobische discriminatie onder de aandacht te brengen.
Op het programma:
>Vanaf 19u00 (met toegang tot de bar) zullen verenigingen hun stands opzetten om
hun activiteiten voor de rechten van LGBTQIA+-gemeenschappen toe te lichten;
>Om 20u00 treedt het koor “Sing Out Brussels” op, waarvan de leden de
diversiteit van LGBTQIA+-mensen in Brussel weerspiegelen, met meer dan 20
verschillende nationaliteiten en 15 talen. Dit koor biedt ons een unieke
muzikale ervaring met Franse en internationale nummers over vrijheid, openheid
en respect. Deze sprankelende show is de gelegenheid om onze harten en stemmen
te verenigen om interculturaliteit en beter samenleven te vieren.
>Na het koor volgt nog een poëtische en indringende slam performance van de
Belgische artiest Biche de Ville, die zijn wereld, zijn gedachten en emoties zal
delen met ons.
Les déménageurs
Description
QU’EST CE QU’ON VA FAIRE
POUR NOS 20 ANS ?
Venez nous aider à fêter l’anniversaire des Déménageurs !
Déguisements bienvenus !
Déjà 20 ans que les Déménageurs font chanter les familles et les écoles.
Lili et ses frères sont bien décidés à fêter ça : ils ont préparé un spectacle avec leurs plus belles chansons. Mais à leur arrivée dans la salle qu’ils ont réservée, rien ne se passe comme prévu.
Heureusement, ils sont accueillis par le régisseur du lieu, Monsieur Pascal, musicien à ses heures perdues. Celui-ci va les aider à tout préparer et, qui sait, peut-être jouer avec eux.
Au menu, un spectacle festif et interactif !!!
Tickets
Article 27
1.25€
Enfants
10€
Normal
12€
Info & Reservation
Venue
Organiser
1 Picture
Suggested events
Abi’s performing career spans over a decade. From comedian to singer, actress to
presenter; be it a comedy club, radio, live theatre, TV or on the big screen,
she has consistently strived to entertain and make an audience feel at ease. Abi
trained at the Guildford School of Acting at 18 years old and graduated with a
degree in musical theatre.
In her early twenties, Abi appeared in many off West-End productions and finally
made her West End Debut in 2016 in a production which also took her on a Number
1 tour of the UK, to Hong Kong and to Singapore. Her next venture was where
Abi’s passion for comedy writing and performing began - ‘Newsrevue’ – the
world’s longest running comedy shows which has an alumnus of the likes of Sarah
Pasco, Alistair McGowan and Bill Bailey. Many of her songs and parodies have
been featured in the show over the years and Newsrevue – EdFringe, a show that
she was member of in 2017 performing at The Pleasance Beyond.
Abi was introduced fully to the stand up comedy world in 2018 and alongside her
trusted ukulele for moral support, she hasn’t looked back. She is a regular on
the comedy circuit both in London and regionally and has shared the stage with
the likes of Stephen K Amon, Romesh Ranganathan and Seann Walsh to name a few.
Abi has appeared on BBC1, ITV2 and SKY 1, where she played Cassandra
Laggatt-Brown in Agatha Raisin & The Deadly Dance – appearing alongside Ashley
Jensen, Matt Horne and Adam Garcia. You can still view this on catch up TV!
_______________________
Lateef Lovejoy
Lateef is an an extremely gifted entertainer, who made his show business debut
as a witty 12 year old on Lateef is an an extremely gifted entertainer, who made
his show business debut as a witty 12 year old on ITV’s famous morning gameshow
“Mousetrap”. After that experience on the big screen he has never looked back.
Not many performers can boast of having exceptional skills in all the main areas
of the performing arts, lateef has these multi-faceted skills in abundance!
Lateef also has tremendous comedic talent and is one of the most unique and
distinctive acts on the comedy circuit, and vastly gaining the reputation of
becoming a force to to reckoned with, both on the Black, Mainstream, and
International comedy circuits. In 2007 lateef played to sold out shows at the
Oude Luxor Theatre in Rotterdam and the Tuschinski Theatre in Amsterdam when he
toured Holland and has featured in many of the UK’s top comedy clubs and venues.
__________________________________________________________________________
Doors open at 6:30 pm
Show starts at 8 pm
table reservations: theblacksheep.brussels@gmail.com
Kom vrijdagavond na het werk genieten van een lekkere cocktail in de tuin van
Op-Weule! Daarna maken we onze lachspieren helemaal los tijdens de comedyshow Je
suis Pippi’ van Veerle Malschaert. De avondshow start om 20u.
Veerle Malschaert volgt, net als Pippi Langkous, haar eigen parcours en laat
zich als artiest niet in een vakje duwen of aan banden leggen door labels. Ze
ontwikkelde een uniek genre dat je nog het best kan omschrijven als openhartige,
rake en troostende comedy, een uniek genre waar Veerle Malschaert als comédienne
ondertussen gerust haar patent op mag nemen. Een voorstelling over ongedimd
uzelf mogen zijn, vastzitten en loslaten, over ’t huis en houden, over aandacht
geven en krijgen, over aan de haak geslaan worden, maar niet aan de leiband
willen, over bangboosbibberland en de paniek laten varen, over pippi en kakka en
over kiezen voor het leven.
Dit is een samenwerking tussen 1200 cultuur, GC Op-Weule en Femma.
Gratis, maar beperkte plaatsen. Inschrijven kan via info@opweule.be of 02 775 92
00.
Cocktails vanaf 17.30u, de comedyshow start om 20u.
Avec Marche salope (1), Céline Chariot aborde le sujet du viol, interrogeant le
mutisme qui entoure les agressions sexuelles. « La vraie question n’est pas de
savoir pourquoi je parle, mais pourquoi je n’ai pas parlé » écrit-elle.
Aujourd’hui, elle part de constats et de statistiques, pas d’une colère
irrationnelle ; elle ne veut ni écrire de fiction édulcorée, ni chercher à
raconter l’histoire des femmes et encore moins la sienne, ni à brûler les
hommes, ni à faire justice.
En reconstituant une scène de crime, par le biais d’un geste accessible, fort,
documenté et poétique, travaillant à un acte artistique qui puisse révéler une
certaine beauté tout en pouvant transcender la douleur de gestes passés, Céline
Chariot, qui n’est ni danseuse, ni actrice, mais photographe, aborde le viol via
le regard, via des sensations qui ont pour but la réflexion, et rappelle que
dans cette transgression odieuse qu’est le viol, le crime n’est pas uniquement
celui du violeur mais surtout celui d’un corps social qui pointe la victime
comme responsable de son sort.
Dans une forme originale où se mêlent texte, performance, silence, regard,
reconstitution du réel et onirisme, le spectacle invite puissamment à la
transformation des traumatismes du passé en une puissante frénésie d’en finir
avec les inégalités de genre.
(1) La Slutwalk, ou « Marche des salopes », est une marche de protestation née
en avril 2011 au Canada après qu’un officier de police ait déclaré : « Si vous
voulez éviter de vous faire violer, il faut éviter de s’habiller comme une
salope »
Spectacle d’improvisation théâtrale inédit proposé par les Vikings : « Arrêt
surimage » :
L’histoire d’une vie est parfois comparable à un album photo composé d’images et
de clichés
qui s’imbriquent, se construisent, se déconstruisent et se détruisent. Venez
avec nous, le
temps d’une soirée, participer à un « arrêt sur image ». Ce sera l’occasion de
découvrir ce
qui se cache derrière la vie de certaines personnes hautes en couleur et en
émotions. Les
Vikings vous dévoileront, sans masque ni pudeur, l’histoire tragique/ comique/
dramatique/
émouvante/ cocasse qui lient des personnages bouleversants.
Grâce à ce spectacle inédit, créé de toute pièce, qui sera joué en une seule
représentation le
25 mai à 20h00 à l’Os à Moëlle, vous risquez bien de ne plus voir le cours d’une
vie de la
même façon…
Réservez vos places dès maintenant !
********** English **********
Fampitaha, fampita, fampitàna – three Malagasy words that mean comparison,
transmission and rivalry. In a score of abstract and figurative gestures, dancer
and choreographer Soa Ratsifandrihana makes use of her own experience of
diaspora and her Madagascan origins to tell us the kind of story she would have
liked to have heard or seen as a child. Blending radio, musical and
choreographic storytelling, the show plays with orality and movement, reminding
us that our bodies, just like our words and sounds, are bearers of stories.
Ratsifandrihana – who came to attention as a dancer in Rosas’ new version of
Fase – drew inspiration from the words and stories she picked up on a recent
trip to Madagascar. Joined by guitarist Joël Rabesolo and performers Audrey
Merilus and Stanley Ollivier, she travels towards a form of wandering, exploring
how several influences can lead to an unheard-of explosion of cultures like
creolisation. Just as the change in accentuation between ‘fampitaha’, ‘fampita’
and ‘fampitàna’ alters the word’s meaning, the dancers glide from one state to
another, seemingly following a constantly changing movement – or perhaps a form
of creolisation.
********** Français **********
Fampitaha, fampita, fampitàna, trois mots malgaches signifiant comparaison,
transmission et rivalité. Dans une partition de gestes abstraits et figuratifs,
la danseuse et chorégraphe Soa Ratsifandrihana se nourrit de son récit
diasporique et de ses origines malgaches pour nous raconter une histoire qu’elle
aurait aimé entendre ou voir enfant. Récits radiophoniques, musicaux et
chorégraphiques s’entremêlent dans une performance entre l’oralité et le
mouvement pour nous rappeler que les corps, au même titre que les paroles ou les
sons, portent nos histoires. Ratsifandrihana – précédemment remarquée en tant
que danseuse de Rosas dans la nouvelle version de Fase – s’est inspirée de
paroles et récits qu’elle a recueillis lors d’un voyage récent à Madagascar.
Entourée du guitariste Joël Rabesolo et des performeur·euses Audrey Merilus et
Stanley Ollivier, elle voyage vers une forme d’errance et explore comment, à
l’image de la créolisation, plusieurs influences peuvent mener à un éclatement
inouï de cultures. Tout comme le changement d’accentuation entre « fampitaha »,
« fampita » et « fampitàna » fait évoluer le sens du mot, les danseur·euses
glissent d’un état à l’autre et semblent suivre un mouvement en perpétuelle
métamorphose.
********** Nederlands **********
Fampitaha, fampita, fampitàna, drie Malagassische woorden die vergelijking,
overdracht en rivaliteit betekenen. Danseres en choreografe Soa Ratsifandrihana
– met wortels in Madagascar – put inspiratie uit haar persoonlijke diasporische
verhaal en ontwikkelde een partituur van abstracte en figuratieve gebaren om ons
een verhaal te vertellen dat ze als kind graag had willen horen of zien. De
voorstelling combineert radiovertelling, muzikale compositie en choreografie,
speelt met oraliteit en beweging, en herinnert eraan dat onze lichamen – net als
onze woorden – dragers van verhalen zijn. Ratsifandrihana – die zich onder meer
liet opmerken in de herneming van Fase van Rosas – trok naar Madagascar en
verzamelde er getuigenissen en verhalen. In het gezelschap van gitarist Joël
Rabesolo en performers Audrey Merilus en Stanley Ollivier onderzoekt ze hoe
verschillende invloeden kunnen leiden tot een ongelooflijke explosie van
culturen, naar analogie met het proces van creolisering. Net zoals het
verplaatsen van de klemtoon tussen ‘fampitaha’, ‘fampita’ en ‘fampitàna’ telkens
andere betekenissen genereert, glijden de dansers van de ene staat naar de
andere, in een eindeloze metamorfose.
********** English **********
Respublika is a total theatre experience, brought to you by a collective of
actors, performers and stage managers who engage in an attempt to question their
relationship to work, and, by extension, ours. Can creating music and organising
a dance party be considered a form of resistance? Could the idea of a republic
based on alternative economic principles give rise to a new raison d'être?
Respublika is a new theatrical experience, directed by Polish artist Łukasz
Twarkowski, in which the public is invited to form part of a community that
shares food, stories and even a sauna. An immersive 6-hour experience which we
invite you to join in. Come and discover the Grande Halle as you’ve never seen
it before, transformed for the occasion into a temporary city where
possibilities are redefined.
34€ / 30€ / 26€
********** Français **********
Respublika est une expérience de théâtre totale, portée par un collectif
d’acteur·ices, de performeur·euses et de régisseur·es techniques qui s’engagent
dans une tentative de questionner leur relation au travail, et, par rebond, la
nôtre. Est-ce que créer de la musique et organiser une dance party peut être
considéré comme une forme de résistance ? Est-ce que l’idée d’une république
basée sur des principes économiques autres peut donner naissance à une nouvelle
raison d’être ?
Respublika est une nouvelle expérience théâtrale mise en scène par l’artiste
polonais Łukasz Twarkowski, dans laquelle le public est invité à faire partie
d’une communauté, qui partage de la nourriture, des histoires et même un sauna.
Une expérience immersive d’une durée de 6 heures à laquelle nous vous invitons à
participer. Venez découvrir la Grande Halle comme vous ne l’avez jamais vue,
transformée pour l’occasion en ville temporaire où les possibles sont redéfinis.
34€ / 30€ / 26€
********** Nederlands **********
Respublika is totaaltheater uitgevoerd door een collectief van acteurs,
performers en technische regisseurs die een poging ondernemen om hun relatie tot
het werk, en bij uitbreiding dat van ons, in vraag te stellen. Kan muziek maken
en een danceparty organiseren beschouwd worden als een vorm van verzet? Kan het
idee van een republiek die gebaseerd is op andere economische principes
aanleiding geven tot een nieuwe bestaansreden?
Respublika is een nieuwe theaterbeleving geregisseerd door de Poolse kunstenaar
Łukasz Twarkowski, waar het publiek wordt uitgenodigd om deel uit te maken van
een gemeenschap die voedsel, verhalen en zelfs een sauna deelt. Een immersieve
ervaring van 6 uur waarbij u wordt uitgenodigd om deel te nemen. Ontdek de Grote
Hal zoals u ze nog nooit hebt gezien. Ze werd voor de gelegenheid omgetoverd tot
een tijdelijke stad waar mogelijkheden worden geherdefinieerd.
34€ / 30€ / 26€
********** English **********
The body of the artist proposes itself as a living altar, offered for a moment
of reflection, meditation, prayer, and request, not for a god or saint, but for
the world.
In the Christian religion, lighting a candle opens one’s heart to God and thus
raises a prayer towards him. It is also a way of expressing one’s attachment to
a saint in particular by making a request or even thanking him. An offering
accompanies this approach.
The artist's body proposes itself as a living altar, offered for reflection,
meditation, prayer, and request, not for a god or a saint, but for the world.
Here, the ritual is proposed to allow oneself to express their concern, fear,
and sorrow for the world - it is a way of reacting to the environmental despair
that we are currently experiencing.
This performance is inspired both by the artist’s rituals in a women’s circle to
celebrate, among other things, the solstices and equinoxes, and Joanna Macy’s
essay, “Acting with Environmental Despair” which asks the question: “Can we
recognize our sorrow for the world and live with it in a way that affirms our
existence and frees our power to act?”
A year ago, the first version of this performance was presented during the
Trouble Festival. In this context, more than sixty sorrows were laid at the foot
of the altar. These anonymous sorrows will be engraved next to each other on one
of the walls of the exhibition, during several one-off sessions between April 11
and September 1.
Barbara Salomé Felgenhauer (1992, Huy, Belgium) lives and works in Brussels. A
multidisciplinary artist, her practice covers photography, film, performance,
and installation. The question of narrative and the power of words and ideas
runs through her work. She uses storytelling as an experience of emancipation
and empowerment from gender norms and stereotypes and as a creative force of the
universe to induce new relationships to worlds.
She graduated from the photography workshop at ESA Saint-Luc in Liège in 2013
and from ENSAV La Cambre in Brussels in 2022. She obtained her master’s degree
with Grand Distinction and the Boghossian Foundation Prize 2022 with her project
Terrapolis.
********** Français **********
Le corps de l’artiste se propose comme un autel vivant, offert pour un moment de
réflexion, de méditation, de prière, de demande, non pas à destination d’un dieu
ou de saint·e·s, mais pour le monde.
Dans la religion chrétienne, allumer une bougie revient à ouvrir son cœur à Dieu
et ainsi faire monter une prière vers lui. C’est aussi le moyen d’exprimer son
attachement à un·e saint·e en particulier, de lui adresser une demande ou encore
des remerciements. Une offrande accompagne cette démarche.
Ici, le rituel est proposé afin de s’autoriser à exprimer son inquiétude, sa
peur, ses peines pour le monde, c’est une façon de réagir au désespoir
environnemental que nous vivons actuellement.
Cette performance est inspirée à la fois des rituels de l’artiste en cercle de
femmes pour célébrer entre autres les solstices et équinoxes, et de l’essai de
Joanna Macy, “Agir avec le désespoir environnemental” qui pose la question : «
Pouvons-nous reconnaître notre peine pour le monde et vivre avec elle d’une
manière qui affirme notre existence et libère notre pouvoir d’agir ? ».
Il y a un an, une première version de cette performance a été présentée pendant
le festival Trouble. Dans ce cadre, plus de soixante peines ont été déposées au
pied du corps-autel. Ces peines anonymes seront gravées les unes à côté des
autres sur un des murs de l’exposition, lors de plusieurs sessions ponctuelles
entre le 11 avril et le 1 septembre.
Barbara Salomé Felgenhauer (1992, Huy, Belgique) vit et travaille à Bruxelles.
Artiste pluridisciplinaire, sa pratique couvre la photographie, le film, la
performance et l’installation. La question du récit et du pouvoir des mots et
des idées traverse tout son travail. Elle utilise le récit à la fois comme une
expérience d’émancipation et d’autonomisation vis-à-vis des normes et des
stéréotypes de genre, comme force créatrice d’univers pour induire de nouveaux
rapports aux mondes.
Elle est diplômée de l’atelier de photographie à l’ESA Saint-Luc à Liège en 2013
et de l’ENSAV La Cambre à Bruxelles en 2022. Elle obtient son master avec la
mention grande distinction et le Prix de la Fondation Boghossian 2022 avec son
projet Terrapolis.
********** Nederlands **********
Het lichaam van de kunstenaar presenteert zich als een levend altaar, aangeboden
voor een moment van reflectie, van meditatie, gebed, verzoek, niet voor een god
of heiligen, maar voor de wereld.
In de christelijke religie betekent het aansteken van een kaars het openen van
je hart voor God en het opheffen van een gebed tot Hem. Het is ook de manier om
uitdrukking te geven aan je gehechtheid aan een bepaalde heilige, door hem een
verzoek te sturen of zelfs te bedanken. Een offer begeleidt dit proces.
Hier wordt het ritueel voorgesteld om jezelf in staat te stellen je zorgen, je
angst en je verdriet over de wereld te uiten; het is een manier om te reageren
op de ecologische wanhoop die we momenteel ervaren.
Deze voorstelling is zowel geïnspireerd door de rituelen van de kunstenaar in
een kring van vrouwen om onder andere de zonnewendes en equinoxen te vieren, als
door het essay van Joanna Macy, ‘Acting with Environmental Despair’, waarin de
vraag wordt gesteld: ‘Kunnen we onze pijn voor de wereld erkennen en ermee leven
op een manier die ons bestaan bevestigt en ons vermogen om te handelen
vrijmaakt? ".
Een jaar geleden werd een eerste versie van deze voorstelling gepresenteerd
tijdens het Trouble festival. In dit kader werden ruim zestig verdrieten aan de
voet van het hoofdaltaar geplaatst. Deze anonieme zinnen worden tussen 11 april
en 1 september tijdens verschillende gelegenheidssessies naast elkaar gegraveerd
op een van de wanden van de tentoonstelling.
Barbara Salomé Felgenhauer (1992, Hoei, België) woont en werkt in Brussel. Als
multidisciplinair kunstenaar omvat haar praktijk fotografie, film, performance
en installatie. De vraag naar het verhaal en de kracht van woorden en ideeën
loopt als een rode draad door haar werk. Ze gebruikt het verhaal zowel als een
ervaring van emancipatie en empowerment ten opzichte van gendernormen en
stereotypen, als een creatieve kracht van het universum om nieuwe relaties met
werelden tot stand te brengen.
Ze behaalde haar diploma aan het fotografieatelier bij ESA Saint-Luc in Luik in
2013 en aan ENSAV La Cambre in Brussel in 2022. Ze behaalde haar masterdiploma
met grote onderscheiding en de Prijs van de Stichting Boghossian Stichting 2022
met haar Terrapolis-project.
Spectacle d’improvisation théâtrale inédit
Découvrez le nouveau spectacle de l'équipe des Gladiateurs!
"Challenge Accepted" est un spectacle d'improvisation dynamique où les
improvisateurs les plus aguerris de notre compagnie relèvent des défis inédits
et extravagants.
Sous la direction d'un maître de jeu malicieux, chaque performance devient un
terrain de jeu pour des défis fous, loufoques et parfois insurmontables. Les
acteurs, armés de leur esprit vif et de leur réactivité, transforment chaque
contrainte en moments de pur divertissement.
Préparez-vous à une après-midi où l'impossible devient possible et où chaque
scène est une surprise. "Challenge Accepted" promet des rires, de l’imprévu et
une expérience théâtrale hors du commun.
Venez vivre avec nous une aventure théâtrale où tout peut arriver!
Mode majeur de la fugue est le portrait d’une agricultrice, de son émancipation
inattendue et de sa sensibilité brute.
C’est une forme hybride entre l’installation sonore et la performance théâtrale
qui fait dialoguer une pianiste en live avec des sons enregistrés et une parole
documentaire.
Le public est amené à y vivre une expérience acoustique et intime.
Résumé
Martine, agricultrice depuis cinquante ans, travaille dur sans loisirs ni repos.
Un jour, au volant de son tracteur, elle entend à la radio une émission de
philosophie qui va la marquer profondément. Commencera alors pour elle un
parcours d’émancipation qui, grâce à la lecture, la mènera à changer de vie.
Mode majeur de la fugue, première création de Jennifer Cousin, artiste d’origine
normande formée à l’INSAS, a été créée au Festival XS en 2022.
Soutenue par un dispositif original – une forme hybride entre performance
acoustique, musique et théâtre – la pièce allie deux univers a priori
distincts : le monde de l’art et le monde agricole. Une polyphonie qui crée des
liens inattendus.
À propos de l'artiste
Jennifer Cousin entre au Conservatoire de théâtre de Rennes en 2007, et joue à
l’Opéra de Rennes dans deux spectacles de Daniel Dupont. Elle se forme ensuite
au théâtre physique à Montpellier, puis intègre l’INSAS en mise en scène. Après
avoir mis en scène Perplexe de Mayenburg, créé aux Riches-Claires en 2015, elle
découvre la pratique sonore avec Brice Cannavo et réalise Trésor de ma vie,
portrait documentaire sur Armand, intrigant voisin qui vit seul avec son canari
dans l’ancienne maison familiale. Elle crée ensuite Mode Majeur de la fugue, une
installation sonore pour le théâtre qui aborde la notion de travail et du
rapport à l’art, et lui vaut la bourse de découverte Pierre Schaeffer à
l’occasion des Phonurgia Nova Awards ainsi que le prix du Fonds Marie-Paule
Delvaux-Godenne. Fin 2016, elle suit la formation sonore La Coquille (ACSR) et
réalise le son du spectacle Barbe-Bleue d’Hugo Favier. Elle joue ensuite dans
Orphelins de Dennis Kelly, mis en scène par Elsa Chêne (Festival Courants d’air
2017). En octobre 2017, elle suit une formation au documentaire sonore avec Kaye
Mortley et Hervé Marchon. Elle travaille actuellement à la création sonore de
deux projets : MUR/MER d’Elsa Chêne (Festival Courants d’air 2018 et concours
Danse Élargie à Paris) et sur une installation et performance de Lorette Moreau
et Charlotte Lippinois sur le sexe féminin.