Spectra Ex Machine / RELEASE PARTY
Samedi 18 mai 2024 – 17h-19h
Réservation obligatoire par mail à : gauthier@subrosa.net
À l’occasion de la sortie du nouveau volume de son anthologie sonore des
phénomènes occultes, l'auteur et réalisateur radio Philippe Baudouin vient
présenter son projet Spectra Ex Machina (Sub Rosa), lors d'une soirée
exceptionnelle.
Le second volume de cette anthologie sonore explore les liens entre musique et
médiumnité, art vocal et sorcellerie : Aleister Crowley, Uri Geller, Rosemary
Brown ou bien encore Elvis Presley font ainsi résonner leur voix de l'au-delà.
Au programme de cette soirée : séance d'écoute de quelques extraits du disque et
discussion avec Philippe Baudouin, Stéphanie Peel et Christian Chelman sur
l'histoire du spiritisme et ses croisements inattendus avec la question
musicale.
À cette occasion, les deux premiers volumes de Spectra Ex Machina seront
proposés à la vente.
Philippe Baudouin est réalisateur radio et maître de conférences associé à
l’Université Paris-Saclay. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages et articles sur
l’histoire de l’occultisme dont Apparitions : Les Archives de la France hantée
(Hoëbeke, 2021) et Surnaturelles : une histoire visuelle des femmes médiums
(Pyramyd, 2021). Depuis 2019, il poursuit en collaboration avec le label Sub
Rosa le projet Spectra Ex Machina, consacré aux archives sonores du paranormal.
Stéphanie Peel est chercheuse indépendante et doctorante à l’Université libre de
Bruxelles. Son compte Instagram « Les Occultées » est consacré à l’histoire des
femmes médiums.
Christian Chelman est illusionniste et collectionneur. Il est également le
fondateur et l’actuel conservateur du Surnatéum, Muséum d’Histoire Surnaturelle
de Bruxelles.
Vernissage festif en présence de l'artiste Frédérique Targez
Description
La Renew Art Gallery est heureuse de vous présenter "Sous la Fibre", la première exposition personnelle de l'artiste Frédérique Targez.🥂 Vernissage : jeudi 28 septembre à 19h30📍 33 Avenue Paul Dejaer, 1060 Saint-Gilles (à deux pas de l' Esa Saint-Luc Bruxelles )🔥Venez nombreuxes festoyer cette rentrée avec nous, et déguster les super bières de notre partenaire la Brasserie Lefebvre ! 🍻______________________________"Sous la Fibre" - FrÉdÉrique Targezdu 28 septembre au 8 octobre 2023Permanences d'ouverture : du mercredi au dimanche (14h-18h)Cette exposition est une collaboration avec La Cinquième Porte Art Gallery, un nouvel espace d'art et culture à Saint-Gilles.
Sculpture
Date info
Jeudi: de 19:30 à 22:00. Le 28 septembre
Venue
Organiser
1 Picture
Suggested events
********** English **********
In the exhibition ‘Melodies’ Mimi Kunz explores movement as a universal
expression of liveliness. The presented ink paintings are about body language,
showing how much we say while we say nothing at all. The artworks feature hand
made Japanese paper, rice paper and Awagami bamboo paper, exploring layers and
textures, rhythm and time.
Sitting on the floor with calligraphy brushes, the artist captures the essence
of fleeting moments in a meditative way, opening the borders between abstraction
and figuration, lines and bodies in minimalist gestures. "Put the mind in the
body", a buddhist monk once told her — advice which shaped her life and art.
********** Français **********
Dans l'exposition "Mélodies", Mimi Kunz explore le mouvement en tant
qu'expression universelle de la vivacité. Les peintures à l'encre présentées
parlent du langage corporel et montrent tout ce que nous disons alors que nous
ne disons rien du tout. Les œuvres sont réalisées avec du papier japonais
fabriqués à la main, du papier de riz et du papier de bambou Awagami, explorant
les couches et les textures, le rythme et le temps.
Assise sur le sol avec des pinceaux de calligraphie, l'artiste capture l'essence
de moments éphémères d'une manière méditative, ouvrant les frontières entre
l'abstraction et la figuration, les lignes et les corps dans des gestes
minimalistes. Un moine bouddhiste lui a dit un jour : "Mettez l'esprit dans le
corps", un conseil qui a façonné sa vie et son art.
********** Français **********
Ce peintre hors pair livre une exposition pleine de plaisir, de couleur et de
jeunesse. Celle d’un homme qui s’émerveille toujours davantage de la force de la
nature, de la variété de ses couleurs, de ses matières et de ses lumières.
Vincent Bioulès revient sur les lieux qui forment « l’espace de son âme » : les
paysages familiers du Pic Saint Loup, de l’Etang de l’Or, du Port de Carnon, les
maisons qu’il habite ou celles dont il se souvient… La géographie d’une vie, que
Bioulès revisite avec une peinture sensuelle et enlevée, comme si l’artiste
voulait nous consoler des troubles du monde en invitant le visiteur à en voir
malgré tout la beauté. L’exposition insufflera sans nul doute énergie et
émerveillement à ceux qui la verront et se resourceront à cette leçon de
peinture, célébrant l’harmonie rêvée de l’humanité à la nature.
********** Nederlands **********
Deze uitstekende schilder presenteert deze uitmuntende schilder een
tentoonstelling vol plezier,
kleur en jeugd. Het werk van een man die zich verwondert over de kracht van de
natuur en de
verscheidenheid aan kleuren, materialen en licht. Vincent Bioulès keert terug
naar de plaatsen
die «de ruimte van zijn ziel» vormen: de vertrouwde landschappen van de Pic
Saint Loup, het
Etang de l’Or, de haven van Carnon, de huizen waarin hij woont of die hij zich
herinnert...
********** English **********
The outstanding painter presents an exhibition full of pleasure, color and
youth. It’s the work of a man who marvels at the power of nature, the variety of
its colors, its materials and its beauty, its colors, materials and light.
Vincent Bioulès returns to the places that the familiar landscapes of the Pic
Saint Loup, the Etang de l’Or, the Port of Carnon, the houses he lives in or
remembers… The geography of a life Bioulès revisits with a sensual, lively style
of painting, as if the artist wanted to comfort us world’s troubles by inviting
visitors to see its beauty in spite of everything. The exhibition will
undoubtedly inspire energy and wonder in those who see it, and will lesson in
painting, celebrating humanity’s dreamy harmony with nature.
********** Nederlands **********
Tentoonstelling "Hymne aan het leven":
Schilderen is een ontsnapping die altijd iets zegt over de werkelijkheid. Het
delen van kunst helpt wonden te helen van hen die lijden. Het is een factor van
broederschap die mensen met elkaar verbindt. De eerste verdienste van een
schilderij is dat het een lust voor het oog is. Als er geen tranen meer zijn om
te huilen, is er altijd nog hoop.
********** Français **********
Exposition « Hymne à la vie »
La peinture est une évasion qui a toujours quelque chose à dire sur le réel.
Offrir l’Art en partage permet de panser les plaies de ceux qui souffrent. C'est
un facteur de fraternité, ce qui permet de relier les humains entre eux. Le
premier mérite d’une peinture est d’être une fête pour l’oeil.
Lorsqu’il ne reste plus de larmes pour pleurer, il reste l’Espérance.
********** Nederlands **********
De werken van Elodie Antoine hebben een speelse en dubbelzinnige dimensie. Ze
houdt van tegenstrijdigheden, van het uitlokken van het vreemde door een spel
van ontmoetingen, en van de mogelijkheden die ontstaan tijdens het creatieve
proces, die haar van het ene naar het andere punt leiden. De draden van haar
gedachten woekeren, bestuiven elkaar en verspreiden zich om een soort mycelium
te vormen, een soort zwam, een organisme dat ook vaak voorkomt in haar werk. Op
deze manier creëert ze een organische esthetiek met vele, slim met elkaar
verbonden facetten, zoals de vreemde voetbal waarvan elke zeshoek versierd is
met een roze vilten tepel.
********** Français **********
Si les œuvres d’Elodie Antoine contiennent une dimension ludique et ambiguë,
c’est que l’artiste aime à travailler avec les ambivalences, susciter
l’étrangeté par un jeu de rencontres, exploiter les opportunités qui se tissent
au fil de sa démarche, un point l'entraînant vers un autre. Les filaments de sa
pensée prolifèrent, se contaminent et s’étendent pour former un réseau
micellaire semblable à celui des champignons, organismes qui colonisent
également son travail. L’artiste construit ainsi une esthétique organique aux
multiples facettes savamment liées les unes aux autres, à l’image de cet étrange
ballon de foot dont chaque hexagone est orné d’un téton de feutre rose.
« La première fois que j’ai eu l’idée de créer un objet, c’est sur une plage
d’Hawaï en voyant une noix de coco ».
Des lointains pays qu'elle a visités Yolaine a ramené quantités de coquillages
ou de végétaux aux formes curieuses, mais pas que. Racines, ossements, algues
séchées, morceaux d’écailles, nacre, galets patinés, perles fines, strass,
accessoires désuets et ustensiles insolites rejetés par la mer ou achetés sur
des marchés bariolés, tout l’inspire et l’invite à créer.
« J’ai commencé par peindre à la gouache des végétaux mais je ne les trouvais
pas assez magiques. Peu à peu, je me suis détachée de leur forme initiale grâce
à la glaise, au bois, au métal. »
Sous ses doigts de fée, ses ‘cocos’, comme elle les appelle, se transforment en
statuettes votives, idoles inquiétantes, petits dieux fantaisistes ou animaux
fantastiques. Mais chaque objet est une entreprise minutieuse et délicate qui
exige des semaines de travail et d’infinie patience. Car cette orfèvre
besogneuse n’arrête jamais où qu’elle soit dans son atelier à Bruxelles, en
voyage et même en avion, elle travaille ! Yolaine ponce, lime, sculpte. Elle
cloue, polit, prépare ses fonds, peint, vernis. Elle farfouille dans son
bric-à-brac de flacons, de pots, tiroirs et autres vitrines dans lesquels elle
conserve précieusement ces trésors du bout du monde, pour y choisir l’objet
insolite, l’opercule unique, la plume d’un oiseau merveilleux. Mariage
improbable d’éléments hétéroclites que l’artiste combine avec génie.
Ses créations sont ensuite rehaussées de pierres semi-précieuses, de perles
naturelles, transcendant ces matériaux quotidiens, anodins en objets précieux,
mystérieux, porteurs de sens. Sa créativité est sans limites, sans frontières,
creuset merveilleux d’une alchimie qui mêle toutes les influences, toutes les
cultures dont l’artiste s’est imprégnée au cours de ses nombreux périples.
Depuis les supports, les formes et les sujets se sont multipliés. En parallèle,
Yolaine n’a jamais abandonné le dessin et y mélange tout autant les matières.
Elle croque sur le vif tout ce qui titille son imagination. Comme ce bébé
gorille recueilli par l’orphelinat du parc des Virunga, qu’elle pare de lunettes
à paillettes et transforme en star de Hollywood. Ou ces danseuses polynésiennes
de Heiva, admirées à Tahiti, dont elle reproduit avec maestria les costumes
chatoyants.
Emilie Danchin conveys questions in her work pertaining to the realism of
photography by involving the body in the pho- tographic space. It is very
vibrant as well as an organic ad- venture. Emilie Danchin does not photograph
reality as such, but a kind of dream rooted in the subject, to a certain extent
a somewhat inhabited or animated dreamy reality. To this effect, the
photographic act extends to a personal phenome- nology and the progressive
creation of a visual language ca- pable of relaying a personal experience
charged with images and emotions that, universally recognisable, are likely to
stir viewers’ feelings, disrupt thought and trigger dreams.
Emilie Danchin introduces here Le Bois des Rêves, the culmi- nation of a
performance and photographic work achieved in a property that is noteworthy in
terms of its architecture, as well as its gardens, in the Arts-and-Crafts style.
This heritage site lent itself to her proposal to have the freedom to take over
a space and a body, hers in this case. She tackles the question of origins in a
foreign place in a paradoxical way. It substitutes a space that no longer
exists, which represents her origins.
This property conjured up, through a combination of me- mories, her own English
place of birth, the houses belonging to her grandmothers, their gardens in the
countryside and seaside, baths, woodworks, smells, clothes, furniture, musica-
lity... a whole atmosphere that is generally, culturally familiar to her. And at
the same time, it recalled absence, missing people, invasion and emptiness of
the body and a house that until recently remained within the same family, loss
and the parentage that was interrupted.
By means of self-portrait, Emilie Danchin wondered what the inside of the house
would look like. How would the emotions generated by the exterior of the house
be conveyed in her outside landscapes? How would she extri- cate her body from
the matter to render it in a landscape having similar characteristics? How would
time intervene in this memory-enhanced place where her own body, her robe and
some of her clothes combined with those that belonged to three generations of
women, the house, gar- den, the photographic act itself have jointly become the
template for a vital identity-related fiction? Her aim was to found her hope of
investing a space, materialising and filling a form of absence, the place of the
origins, a kind of double of another imaginary space, distant and close,
inaccessible, erased, deleted, having left the body and the house and
nevertheless, inalienable yet.
Le Bois des Rêves is carried by the the artist’s body postures, which has become
a sensitive measure of the evocative potential of the place. Equally, the place
has given live to non-material memories, the vague outlines of which could not
have stood out without this inseparable staging of her body and the space. The
photographic medium is presented in a variety of aspects, black and white,
colour, varying formats and scales, as well as dialogue between fiction and
observation. Video is added to this. Processed as stills, this lends the
ensemble a form of heartbeat in real time as such of perception through gaze.
This results in
an art form in several phases, the assembly of which in its entirety impresses a
circular motion in space and physically creates time. Intimating the desire to
go on reconnais- sance, this photographic form espouses the volatility of space
and time, emotions, dreams and the sense of self. One marvels before the
representation of the memory space, whose autobiographical form is that of an
absolute memory and of a dream.
********** Français **********
Dans "SEQUENCE 033", la galerie d'art contemporain Le Neuf Gallery présente des
extraordinaires oeuvres de 3 artistes.
Guillaume Thunis (encre sur papier)
BEDDRU (mixed media sur plexiglas)
Ine Lammers (huile sur toile)
Le Neuf Gallery, située au cœur du quartier artistique de Bruxelles, est
facilement accessible en transports en commun, en vélo ou en voiture (parking
sous le bâtiment).
********** Nederlands **********
In "SEQUENCE 033" presenteert de hedendaagse kunstgalerie Le Neuf Gallery
buitengewone werken van 3 kunstenaars.
Guillaume Thunis (inkt op papier)
BEDDRU (mixed media op plexiglas)
Ine Lammers (olie op doek)
Le Neuf Gallery ligt in het hart van de Brusselse kunstwijk en is gemakkelijk
bereikbaar met het openbaar vervoer, de fiets of met de auto (parkeergarage
onder het gebouw).
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In “SEQUENCE 033”, contemporary art gallery Le Neuf
Gallery presents extraordinary works by 3 artists.
Guillaume Thunis (ink on paper)
BEDDRU (mixed media on plexiglass)
Ine Lammers (oil on canvas)
Le Neuf Gallery, located in the heart of the Brussels art district, is easy to
access by public transport, by bike, or by car (parking under the building).
Exposition d'art contemporain africain
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This event is also linked to the Brussels Declaration of European mayors "A
European urban policy fit for the future".
→ Production: urban.brussels
→ Curation: CityTools & Dogma
→ Graphic design: Le Roy Cleeremans
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L’évènement est également lié à la Déclaration de Bruxelles des maires européens
« A European urban policy fit for the future ».
→ Production : urban.brussels
→ Commissaires : CityTools & Dogma
→ Graphisme : Le Roy Cleeremans
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Dit evenement houdt ook verband met de Verklaring van Brussel van de Europese
burgemeesters "A European urban policy fit for the future".
→ Productie: urban.brussels
→ Commissaris: CityTools & Dogma
→ Grafische vormgeving: Le Roy Cleeremans