Gold Edition, plateau Stand up

Description

Venez découvrir le meilleur du Stand-Up.
Que ce soit des artistes confirmés ou sur le point de percer, venez rire avec ceux qui font et feront l’humour en Belgique. Le comedy ket a tout simplement fait une sélection des humoristes qui sont les meilleurs sur les différents plateaux organisés en Belgique. Chaque humoriste aura 20minutes pour vous faire découvrir son univers.

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Avec Marche salope (1), Céline Chariot aborde le sujet du viol, interrogeant le mutisme qui entoure les agressions sexuelles. « La vraie question n’est pas de savoir pourquoi je parle, mais pourquoi je n’ai pas parlé » écrit-elle. Aujourd’hui, elle part de constats et de statistiques, pas d’une colère irrationnelle ; elle ne veut ni écrire de fiction édulcorée, ni chercher à raconter l’histoire des femmes et encore moins la sienne, ni à brûler les hommes, ni à faire justice. En reconstituant une scène de crime, par le biais d’un geste accessible, fort, documenté et poétique, travaillant à un acte artistique qui puisse révéler une certaine beauté tout en pouvant transcender la douleur de gestes passés, Céline Chariot, qui n’est ni danseuse, ni actrice, mais photographe, aborde le viol via le regard, via des sensations qui ont pour but la réflexion, et rappelle que dans cette transgression odieuse qu’est le viol, le crime n’est pas uniquement celui du violeur mais surtout celui d’un corps social qui pointe la victime comme responsable de son sort. Dans une forme originale où se mêlent texte, performance, silence, regard, reconstitution du réel et onirisme, le spectacle invite puissamment à la transformation des traumatismes du passé en une puissante frénésie d’en finir avec les inégalités de genre. (1) La Slutwalk, ou « Marche des salopes », est une marche de protestation née en avril 2011 au Canada après qu’un officier de police ait déclaré : « Si vous voulez éviter de vous faire violer, il faut éviter de s’habiller comme une salope »
********** English ********** “If I nationed myself / in the shadow / of a colossal wave / If only to hold on / by opening— / by Kingdom come”. This phrase from the Ocean Vuong poem Waterline functions as a mantra for the new creation from Clara Furey. The Canadian artist specialises in existential dance experiments that explore various states of being. Through physical research into water, the choreographer brings the immensity of an inner sea to the stage floor. With UNARMOURED, Furey reunites and reconciles what has previously been separate, the performance emerging from a fluid, carnal chaos whose crashing waves suggest infinity as a transformative emotion. The dancers appear as unsettling sculptures, undertaking an artistic exploration that awakens compelling desires. With a soft-core approach, always in between, always edging, they claim the right to eroticism on their terms. In a garden of resonance, bodies vibrate to rhythmic waves of light and sound, an immersive sound composition created by musician Tomas Furey. Membranes stretch and boundaries blur. Bodies no longer need to be seen for their contours but for the energy that overflows them. They release an erotic power that runs through us and propels us with force, leaving us fundamentally curious and tantalised. ********** Français ********** Partant d’une recherche chorégraphique autour de l’eau, l’artiste canadienne Clara Furey convie sur scène un groupe de danseur·euses et l’immensité d’une mer intérieure qui déferle en elleux. Dans son travail, Furey s’intéresse à l’expérimentation de différents états et sensations. Sa nouvelle création UNARMOURED est née des mouvements fluides et charnels qui peuvent exister entre les corps. Une bande son immersive, composée par le musicien Tomas Furey, progresse sur scène par intervalles d’ondes qui s’écrasent comme des vagues sur des corps qui semblent presque se dématérialiser. Leurs limites s’assouplissent, ils semblent s’évaporer. Les danseur·euses n’ont plus de contours mais s’abandonnent à une énergie qui les submerge, en équilibre entre une sensualité partagée et des moments de synchronicité rythmique qui les rassemblent dans une énergie unique. Présente pour la première fois au festival, Furey affirme une approche charnelle de la chorégraphie et un érotisme qui transcende les limites des corps. Parmi ses inspirations, le poème Waterline d’Ocean Vuong : « Si j'élisais nation / dans l'ombre / d'une vague colossale / Si seulement pour tenir / par l'ouvert— / que Ton règne vienne ». Une chorégraphie à la puissance fluide et incisive de l'une des voix les plus intéressantes de sa génération. ********** Nederlands ********** “If I nationed myself / in the shadow / of a colossal wave / If only to hold on / by opening— / by Kingdom come”. Deze regel uit het gedicht Waterline van Ocean Vuong werkt als een mantra voor de nieuwe creatie van Clara Furey. De Canadese artieste legt zich toe op existentiële dansexperimenten die verschillende staten van bewustzijn verkennen. Na een onderzoek rond de fysieke eigenschappen van water brengt de choreografe de uitgestrektheid van een innerlijke zee op scène. Furey herenigt en verzoent in UNARMOURED wat voorheen gescheiden was. De performance ontstaat uit een vloeiende, vleselijke chaos: de dansers verschijnen als ontregelde sculpturen en ondernemen een artistieke expeditie die dwingende verlangens oproept. Via een soft-core benadering – telkens tussenin, aarzelend op de rand – eisen ze het recht op erotiek volgens hun voorwaarden. Gutsende golven suggereren oneindigheid als een transformatieve emotie. Lichamen vibreren op ritmische golven van licht en geluid, een immersieve soundtrack gecomponeerd door muzikant Tomas Furey. Ze willen niet langer geassocieerd worden met hun omtrekken maar met de energie waarvan ze overlopen. Een overweldigende erotische kracht komt uiteindelijk vrij en laat ons nieuwsgierig en geprikkeld achter.
********** English ********** Double bill19:30Osamu Shikichiユアファントムアイ、アワクリスタライズペイン our phantom eyes, our crystalized painsWhen an eye is an eye and loses its gaze, images remain there as a phantom or memory. Pain is not an emotion, but a sensation which is most easily empathised with. When the water flowing from the eyes creates an ocean, you will be reborn once again from its amniotic fluid and will see a new body. 20:30Adem OuhaibiaShaharazadShaharazad deals with movement methods of hip hop in the realm of contemporary dance. Adem Ouhaibia researched together with Marita Schwanke how these methods can be translated and transformed considering people’s different backgrounds and knowledge. The result of this research was the practice Breaking technologies – the five elements of breaking and the performance Shaharazad.Shaharazad talks about creating and leaving traces as recordings of the past but also imagination of the future. It questions how to read dance and share it with a diverse audience. Inspired by Roland Barthes’ idea of "The Death of the Author", we concentrate on different experiences that come together, drift apart or shift around. How far is this accessible to an outsider? Just like the audience, the performers and the creators speak different languages but also have things in common. They have a shared interest in the arts and in dance, guided by a web of knowledge and pathways that had been acquired and lived. We are imagining the future, and this piece is part of it.The friction between the so-called ‘high art’ (contemporary dance) and ‘low art’ (hip hop) is part of the future we will imagine. ********** Français ********** Double bill19:30Osamu Shikichiユアファントムアイ、アワクリスタライズペイン our phantom eyes, our crystalized painsLorsqu'un œil est un œil et qu'il perd son regard, les images demeurent comme un fantôme ou un souvenir. La douleur n'est pas une émotion, mais une sensation avec laquelle on entre le plus facilement en empathie. Lorsque l'eau qui coule des yeux crée un océan, vous renaîtrez à nouveau de son liquide amniotique et verrez un nouveau corps. 20:30Adem OuhaibiaShaharazadShaharazad traite des méthodes de mouvement du hip-hop dans le domaine de la danse contemporaine. Nous avons cherché à savoir comment ces méthodes pouvaient être traduites et transformées en tenant compte des différents contextes et connaissances de chacun·e. Le résultat de cette recherche est la pratique Breaking technologies - the five elements of breaking et la performance Shaharazad.La pièce parle de la création et du fait de laisser des traces en tant qu'enregistrements du passé, mais également des empreintes de l'imagination du futur. Elle questionne la façon de lire la danse et de la partager avec un public diversifié. Inspiré·es par l'idée de Roland Barthes de « La mort de l'auteur », nous nous concentrons sur différentes expériences qui se rejoignent, s'éloignent ou se déplacent. Dans quelle mesure sont-elles accessibles à une personne extérieure ? Tout comme le public, les interprètes et créateur·ices parlent des langues différentes, mais ont également des choses en commun. Iels partagent un intérêt pour les arts et la danse, guidé·es par un réseau de connaissances et de chemins acquis et vécus. Nous imaginons le futur et cette pièce en fait partie.La friction entre ce que l'on appelle le « grand art » (la danse contemporaine) et « l’art mineur » (le hip-hop) fait partie de l'avenir que nous allons imaginer. ********** Nederlands ********** Double bill19:30Osamu Shikichiユアファントムアイ、アワクリスタライズペイン our phantom eyes, our crystalized painsWanneer een oog haar zicht verliest – zoals ogen soms doen – dan behoudt ze de beelden als spoken of herinneringen. Pijn is geen emotie maar een gevoel waarmee je het gemakkelijkst kan meevoelen. Wanneer het water dat uit je ogen stroomt een oceaan vormt, zal je opnieuw geboren worden in haar vruchtwater en zal je een nieuw lichaam zien.  20:30Adem OuhaibiaShaharazadShaharazad vertrekt van de bewegingsmethodes van hiphop binnen de hedendaagse danswereld. Samen met Marita Schwanke onderzoekt Adem Ouhaibia hoe deze methodes vertaald en vervormd kunnen worden met aandacht voor ieders achtergrond en kennis. Uit dit onderzoek komen de praktijk Breaking technologies – the five elements of breaking en de performance Shaharazad voort.Shaharazad gaat over sporen maken en achterlaten, als een opname van het verleden maar ook als verbeelding van de toekomst. Het stelt vragen bij de manier van dans lezen en dans delen met een divers publiek. Geïnspireerd door Roland Barthes’ idee van ‘de dood van de auteur’, concentreert de voorstelling zich op de verschillende ervaringen die samenkomen, uit elkaar drijven en transformeren. In hoeverre is dans toegankelijk voor een buitenstaander? Net als bij het publiek, spreken ook de performers en makers verschillende talen, al hebben zij wel iets gemeen. Ze delen hun interesse in kunst en in dans, en leunen op een web van kennis en trajecten waar ze doorgegaan zijn. Met deze voorstelling willen Marita Schwanke en Adem Ouhaibia bedenken wat de toekomst kan zijn.De wrijving tussen de zogenaamde ‘hoge kunst’ (hedendaagse dans) en ‘lage kunst’ (hiphop) is deel van de toekomst die ze willen verbeelden.
********** English ********** The body of the artist proposes itself as a living altar, offered for a moment of reflection, meditation, prayer, and request, not for a god or saint, but for the world. In the Christian religion, lighting a candle opens one’s heart to God and thus raises a prayer towards him. It is also a way of expressing one’s attachment to a saint in particular by making a request or even thanking him. An offering accompanies this approach. The artist's body proposes itself as a living altar, offered for reflection, meditation, prayer, and request, not for a god or a saint, but for the world. Here, the ritual is proposed to allow oneself to express their concern, fear, and sorrow for the world - it is a way of reacting to the environmental despair that we are currently experiencing. This performance is inspired both by the artist’s rituals in a women’s circle to celebrate, among other things, the solstices and equinoxes, and Joanna Macy’s essay, “Acting with Environmental Despair” which asks the question: “Can we recognize our sorrow for the world and live with it in a way that affirms our existence and frees our power to act?” A year ago, the first version of this performance was presented during the Trouble Festival. In this context, more than sixty sorrows were laid at the foot of the altar. These anonymous sorrows will be engraved next to each other on one of the walls of the exhibition, during several one-off sessions between April 11 and September 1. Barbara Salomé Felgenhauer (1992, Huy, Belgium) lives and works in Brussels. A multidisciplinary artist, her practice covers photography, film, performance, and installation. The question of narrative and the power of words and ideas runs through her work. She uses storytelling as an experience of emancipation and empowerment from gender norms and stereotypes and as a creative force of the universe to induce new relationships to worlds. She graduated from the photography workshop at ESA Saint-Luc in Liège in 2013 and from ENSAV La Cambre in Brussels in 2022. She obtained her master’s degree with Grand Distinction and the Boghossian Foundation Prize 2022 with her project Terrapolis. ********** Français ********** Le corps de l’artiste se propose comme un autel vivant, offert pour un moment de réflexion, de méditation, de prière, de demande, non pas à destination d’un dieu ou de saint·e·s, mais pour le monde. Dans la religion chrétienne, allumer une bougie revient à ouvrir son cœur à Dieu et ainsi faire monter une prière vers lui. C’est aussi le moyen d’exprimer son attachement à un·e saint·e en particulier, de lui adresser une demande ou encore des remerciements. Une offrande accompagne cette démarche. Ici, le rituel est proposé afin de s’autoriser à exprimer son inquiétude, sa peur, ses peines pour le monde, c’est une façon de réagir au désespoir environnemental que nous vivons actuellement. Cette performance est inspirée à la fois des rituels de l’artiste en cercle de femmes pour célébrer entre autres les solstices et équinoxes, et de l’essai de Joanna Macy, “Agir avec le désespoir environnemental” qui pose la question : « Pouvons-nous reconnaître notre peine pour le monde et vivre avec elle d’une manière qui affirme notre existence et libère notre pouvoir d’agir ? ». Il y a un an, une première version de cette performance a été présentée pendant le festival Trouble. Dans ce cadre, plus de soixante peines ont été déposées au pied du corps-autel. Ces peines anonymes seront gravées les unes à côté des autres sur un des murs de l’exposition, lors de plusieurs sessions ponctuelles entre le 11 avril et le 1 septembre. Barbara Salomé Felgenhauer (1992, Huy, Belgique) vit et travaille à Bruxelles. Artiste pluridisciplinaire, sa pratique couvre la photographie, le film, la performance et l’installation. La question du récit et du pouvoir des mots et des idées traverse tout son travail. Elle utilise le récit à la fois comme une expérience d’émancipation et d’autonomisation vis-à-vis des normes et des stéréotypes de genre, comme force créatrice d’univers pour induire de nouveaux rapports aux mondes. Elle est diplômée de l’atelier de photographie à l’ESA Saint-Luc à Liège en 2013 et de l’ENSAV La Cambre à Bruxelles en 2022. Elle obtient son master avec la mention grande distinction et le Prix de la Fondation Boghossian 2022 avec son projet Terrapolis. ********** Nederlands ********** Het lichaam van de kunstenaar presenteert zich als een levend altaar, aangeboden voor een moment van reflectie, van meditatie, gebed, verzoek, niet voor een god of heiligen, maar voor de wereld. In de christelijke religie betekent het aansteken van een kaars het openen van je hart voor God en het opheffen van een gebed tot Hem. Het is ook de manier om uitdrukking te geven aan je gehechtheid aan een bepaalde heilige, door hem een verzoek te sturen of zelfs te bedanken. Een offer begeleidt dit proces. Hier wordt het ritueel voorgesteld om jezelf in staat te stellen je zorgen, je angst en je verdriet over de wereld te uiten; het is een manier om te reageren op de ecologische wanhoop die we momenteel ervaren. Deze voorstelling is zowel geïnspireerd door de rituelen van de kunstenaar in een kring van vrouwen om onder andere de zonnewendes en equinoxen te vieren, als door het essay van Joanna Macy, ‘Acting with Environmental Despair’, waarin de vraag wordt gesteld: ‘Kunnen we onze pijn voor de wereld erkennen en ermee leven op een manier die ons bestaan bevestigt en ons vermogen om te handelen vrijmaakt? ". Een jaar geleden werd een eerste versie van deze voorstelling gepresenteerd tijdens het Trouble festival. In dit kader werden ruim zestig verdrieten aan de voet van het hoofdaltaar geplaatst. Deze anonieme zinnen worden tussen 11 april en 1 september tijdens verschillende gelegenheidssessies naast elkaar gegraveerd op een van de wanden van de tentoonstelling. Barbara Salomé Felgenhauer (1992, Hoei, België) woont en werkt in Brussel. Als multidisciplinair kunstenaar omvat haar praktijk fotografie, film, performance en installatie. De vraag naar het verhaal en de kracht van woorden en ideeën loopt als een rode draad door haar werk. Ze gebruikt het verhaal zowel als een ervaring van emancipatie en empowerment ten opzichte van gendernormen en stereotypen, als een creatieve kracht van het universum om nieuwe relaties met werelden tot stand te brengen. Ze behaalde haar diploma aan het fotografieatelier bij ESA Saint-Luc in Luik in 2013 en aan ENSAV La Cambre in Brussel in 2022. Ze behaalde haar masterdiploma met grote onderscheiding en de Prijs van de Stichting Boghossian Stichting 2022 met haar Terrapolis-project.
Abi’s performing career spans over a decade. From comedian to singer, actress to presenter; be it a comedy club, radio, live theatre, TV or on the big screen, she has consistently strived to entertain and make an audience feel at ease. Abi trained at the Guildford School of Acting at 18 years old and graduated with a degree in musical theatre. In her early twenties, Abi appeared in many off West-End productions and finally made her West End Debut in 2016 in a production which also took her on a Number 1 tour of the UK, to Hong Kong and to Singapore. Her next venture was where Abi’s passion for comedy writing and performing began - ‘Newsrevue’ – the world’s longest running comedy shows which has an alumnus of the likes of Sarah Pasco, Alistair McGowan and Bill Bailey. Many of her songs and parodies have been featured in the show over the years and Newsrevue – EdFringe, a show that she was member of in 2017 performing at The Pleasance Beyond. Abi was introduced fully to the stand up comedy world in 2018 and alongside her trusted ukulele for moral support, she hasn’t looked back. She is a regular on the comedy circuit both in London and regionally and has shared the stage with the likes of Stephen K Amon, Romesh Ranganathan and Seann Walsh to name a few. Abi has appeared on BBC1, ITV2 and SKY 1, where she played Cassandra Laggatt-Brown in Agatha Raisin & The Deadly Dance – appearing alongside Ashley Jensen, Matt Horne and Adam Garcia. You can still view this on catch up TV! _______________________ Lateef Lovejoy Lateef is an an extremely gifted entertainer, who made his show business debut as a witty 12 year old on Lateef is an an extremely gifted entertainer, who made his show business debut as a witty 12 year old on ITV’s famous morning gameshow “Mousetrap”. After that experience on the big screen he has never looked back. Not many performers can boast of having exceptional skills in all the main areas of the performing arts, lateef has these multi-faceted skills in abundance! Lateef also has tremendous comedic talent and is one of the most unique and distinctive acts on the comedy circuit, and vastly gaining the reputation of becoming a force to to reckoned with, both on the Black, Mainstream, and International comedy circuits. In 2007 lateef played to sold out shows at the Oude Luxor Theatre in Rotterdam and the Tuschinski Theatre in Amsterdam when he toured Holland and has featured in many of the UK’s top comedy clubs and venues. __________________________________________________________________________ Doors open at 6:30 pm Show starts at 8 pm table reservations: theblacksheep.brussels@gmail.com
Préparez-vous pour la dernière édition sensationnelle de la saison ! Rejoignez-nous pour un événement tout-en-un : un workshop captivant de 19h30 à 21h00, suivi d'une jam session à partir de 21h30.
Mode majeur de la fugue est le portrait d’une agricultrice, de son émancipation inattendue et de sa sensibilité brute. C’est une forme hybride entre l’installation sonore et la performance théâtrale qui fait dialoguer une pianiste en live avec des sons enregistrés et une parole documentaire. Le public est amené à y vivre une expérience acoustique et intime. Résumé Martine, agricultrice depuis cinquante ans, travaille dur sans loisirs ni repos. Un jour, au volant de son tracteur, elle entend à la radio une émission de philosophie qui va la marquer profondément. Commencera alors pour elle un parcours d’émancipation qui, grâce à la lecture, la mènera à changer de vie. Mode majeur de la fugue, première création de Jennifer Cousin, artiste d’origine normande formée à l’INSAS, a été créée au Festival XS en 2022. Soutenue par un dispositif original – une forme hybride entre performance acoustique, musique et théâtre – la pièce allie deux univers a priori distincts : le monde de l’art et le monde agricole. Une polyphonie qui crée des liens inattendus. À propos de l'artiste Jennifer Cousin entre au Conservatoire de théâtre de Rennes en 2007, et joue à l’Opéra de Rennes dans deux spectacles de Daniel Dupont. Elle se forme ensuite au théâtre physique à Montpellier, puis intègre l’INSAS en mise en scène. Après avoir mis en scène Perplexe de Mayenburg, créé aux Riches-Claires en 2015, elle découvre la pratique sonore avec Brice Cannavo et réalise Trésor de ma vie, portrait documentaire sur Armand, intrigant voisin qui vit seul avec son canari dans l’ancienne maison familiale. Elle crée ensuite Mode Majeur de la fugue, une installation sonore pour le théâtre qui aborde la notion de travail et du rapport à l’art, et lui vaut la bourse de découverte Pierre Schaeffer à l’occasion des Phonurgia Nova Awards ainsi que le prix du Fonds Marie-Paule Delvaux-Godenne. Fin 2016, elle suit la formation sonore La Coquille (ACSR) et réalise le son du spectacle Barbe-Bleue d’Hugo Favier. Elle joue ensuite dans Orphelins de Dennis Kelly, mis en scène par Elsa Chêne (Festival Courants d’air 2017). En octobre 2017, elle suit une formation au documentaire sonore avec Kaye Mortley et Hervé Marchon. Elle travaille actuellement à la création sonore de deux projets : MUR/MER d’Elsa Chêne (Festival Courants d’air 2018 et concours Danse Élargie à Paris) et sur une installation et performance de Lorette Moreau et Charlotte Lippinois sur le sexe féminin.
********** English ********** Respublika is a total theatre experience, brought to you by a collective of actors, performers and stage managers who engage in an attempt to question their relationship to work, and, by extension, ours. Can creating music and organising a dance party be considered a form of resistance? Could the idea of a republic based on alternative economic principles give rise to a new raison d'être? Respublika is a new theatrical experience, directed by Polish artist Łukasz Twarkowski, in which the public is invited to form part of a community that shares food, stories and even a sauna. An immersive 6-hour experience which we invite you to join in. Come and discover the Grande Halle as you’ve never seen it before, transformed for the occasion into a temporary city where possibilities are redefined. 34€ / 30€ / 26€ ********** Français ********** Respublika est une expérience de théâtre totale, portée par un collectif d’acteur·ices, de performeur·euses et de régisseur·es techniques qui s’engagent dans une tentative de questionner leur relation au travail, et, par rebond, la nôtre. Est-ce que créer de la musique et organiser une dance party peut être considéré comme une forme de résistance ? Est-ce que l’idée d’une république basée sur des principes économiques autres peut donner naissance à une nouvelle raison d’être ? Respublika est une nouvelle expérience théâtrale mise en scène par l’artiste polonais Łukasz Twarkowski, dans laquelle le public est invité à faire partie d’une communauté, qui partage de la nourriture, des histoires et même un sauna. Une expérience immersive d’une durée de 6 heures à laquelle nous vous invitons à participer. Venez découvrir la Grande Halle comme vous ne l’avez jamais vue, transformée pour l’occasion en ville temporaire où les possibles sont redéfinis. 34€ / 30€ / 26€ ********** Nederlands ********** Respublika is totaaltheater uitgevoerd door een collectief van acteurs, performers en technische regisseurs die een poging ondernemen om hun relatie tot het werk, en bij uitbreiding dat van ons, in vraag te stellen. Kan muziek maken en een danceparty organiseren beschouwd worden als een vorm van verzet? Kan het idee van een republiek die gebaseerd is op andere economische principes aanleiding geven tot een nieuwe bestaansreden? Respublika is een nieuwe theaterbeleving geregisseerd door de Poolse kunstenaar Łukasz Twarkowski, waar het publiek wordt uitgenodigd om deel uit te maken van een gemeenschap die voedsel, verhalen en zelfs een sauna deelt. Een immersieve ervaring van 6 uur waarbij u wordt uitgenodigd om deel te nemen. Ontdek de Grote Hal zoals u ze nog nooit hebt gezien. Ze werd voor de gelegenheid omgetoverd tot een tijdelijke stad waar mogelijkheden worden geherdefinieerd. 34€ / 30€ / 26€
"WARNING: This video may potentially trigger seizures for people with photosensitive epilepsy. Viewer discretion is advised." A multi-part video and dance performance, profoundly influenced by the turbulence and uncertainties of modern life. The work opens with an expressionistic video installation that envelops the audience, guiding them through the inner dialogue and psychological landscape of a contemporary artist grappling with their place in the world. This immersive video component serves as an avant-garde prelude, setting the tone and emotional timbre. The installation seamlessly transitions into a live modern dance performance accompanied by an original musical score. The dancers' powerful, athletic movements embody the internal conflicts, doubts, and driving ambitions coursing through the artist's psyche. Their bodies become kinetic poetry, at times frenetic and disjointed, at others flowing with lyrical grace. The choreography explicitly reflects the duality of the artistic experience - the passion, the struggle, the questioning inherent to the creative process. Through this symbiotic fusion of varied media, the lines blur between audience and performer, reality and psychological realm. The artists do not merely express their personal narratives, but tap into resonant universal themes - the human quest for meaning, purpose, and self-actualization in a fast-paced, fractured world. It is both an introspective journey and an invitation for collective catharsis.
Venez découvrir le Club des 3x20 du Comme Eddy Club, dans une salle cosy située au 1er étage du Sister Brussels Café, à 2 pas de la Grand-Place de BXL. Au menu de ces soirées : 3 humoristes en devenir auront chacun.e 20 minutes pour vous surprendre, vous faire rire, vous émouvoir ! > Jeudi 21/3 : Flora, Guillaume & Amandine > Jeudi 18/4 : Bilette, Liane & Vincent Van Parys > Jeudi 23/5 : Ness, Luis Bellis & Le Duo Complice +++ FOOD & DRINKS : Venez plus tôt pour manger et/ou boire un verre sur place avant le spectacle : carte bio, sans gluten, vegan, bières locales et jus maison ! +++ Le "Comme Eddy Club", c'est un jeu de mots pourri (vous l'avez ?), mais ce sont surtout des soirées d'humour (presque) tous les jeudis à l'étage du Sister Brussels Café. Pour être tenu.e au courant de nos activités, suivez-nous sur Instagram : @commeeddyclub Une co-production The Sister Brussels Café et Comme Eddy Club, à l'initiative d'Edgar Kosma (Eddy pour les intimes, vous l'avez cette fois ?)