À mesure - Handle with care - Accompany ME

Description


********** Français **********

À mesure - Handle with care est la recherche d’un rythme commun avec un autre être humain, c’est la cadence qui nous mène dans notre chemin à l’autre. À travers le langage partagé de la roue Cyr, les deux artistes femmes apportent sur la scène une histoire qui vise à célébrer l’amour sous ses nombreuses formes. Un spectacle adapté pour tout le monde qui aime être touché par un peu de sensibilité et d'excitation.

Le festival HOPLA! a pour objectif de bâtir des ponts entre le cirque et la ville, les circassiens et les citoyens, les arts et leur public. Secteur de création en pleine effervescence, le cirque présente une richesse qui correspond bien à la réalité bruxelloise. Convivial, familial, il fédère, décloisonne les genres, les générations et les clivages sociaux. Il invite au dépassement de soi, à l’émerveillement, au respect de l’autre et à la curiosité.


********** Nederlands **********

"À mesure - Handle with care" is de zoektocht naar een gemeenschappelijk ritme met een andere mens, het is het tempo dat ons leidt op onze weg naar de ander. Door de gedeelde taal van het Cyr-wiel brengen de twee vrouwelijke artiesten een verhaal op het podium dat tot doel heeft de liefde in al haar vele vormen te vieren. Een voorstelling geschikt voor iedereen die geraakt wil worden door wat gevoeligheid en opwinding.

Het HOPLA!-festival wil bruggen bouwen tussen het circus en de stad, de circusartiesten en de burgers, de circuskunsten en hun publiek. Circus is een bloeiende artistieke sector en biedt een rijkdom die mooi aansluit op de Brusselse realiteit. Het gezellige gezinsfestival verenigt en overstijgt stijlen, generaties en sociale verschillen. Circus haalt het beste naar boven in mensen en stimuleert verwondering, respect voor elkaar en nieuwsgierigheid.

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Carré de je est un hymne à la complicité, à l‘union fraternelle. Dans un espace simple et brut, se retrouvent deux frères. Seuls ou à l’unisson, ils développent un langage acrobatique en se confrontant l‘un à l‘autre pour mieux témoigner de leur lien. Dans un univers visuel et graphique plein d‘imaginaire, confusion et connexion s‘entrecroisent jusqu‘à semer le trouble et bousculer nos repères. Mélange des corps, acrobaties en boucles, on ne discerne plus celui qui mène la danse et celui qui suit, celui qui porte, celui qui vole dans les airs… Avec eux, équilibres, main à main et jeux icariens font résonner engagement et affrontement autant qu’étreinte et complicité pour mieux explorer, non sans humour, les arcanes de leur dualité. La lumière s’en mêle, le tapis glisse…
Une invitation pour un fantastique voyage à la découverte des arts du cirque traditionnel. Spectacle sous chapiteau, déambulations clownesques et animations diverses. Événement organisé en collaboration avec la famille Chabri dans le cadre de la Fête du printemps. Les tickets pour le spectacle sous chapiteau seront disponibles au stand d’Archipel 19, le jour même à partir de 12h.
********** English ********** in FR surtitled in NL EN 75 min On 20.05 the performance is followed by an aftertalk. This story unfolds in the north of Lebanon, at Nahr el Bared, in a refugee camp hastily set up to shelter Palestinian families fleeing the Nakba of 1948. Years later, in 2007, war broke out between the Lebanese army and an infiltrated Islamist group, leading to the destruction of part of the camp. It was at that moment that the first traces appeared of Orthosia, an ancient Roman city, which vanished after being overwhelmed by a tsunami in 551 AD and which, despite 15 centuries of vain attempts to find it, no-one could ever have imagined finding there. But how best to deal with this major discovery, as excavations would mean a ‘second displacement’ for the refugee families? The filmmakers and artists Joana Hadjithomas and Khalil Joreige use photography, installations, video and cinema to question the account of the imagination and writing about the story. Through this performance, created for the festival, they uncover the palimpsest of constant cycles of construction and destruction, calling on the possible narratives about the underground worlds. A dizzying performance, full of (dis)continuities, upheavals and regeneration, which plunges us into a past that feels particularly close to the present. https://www.instagram.com/hadjithomasjoreigestudio discover the full programme of kunstenfestivaldesarts >>   — Presentation: Kunstenfestivaldesarts, Beursschouwburg A project by Joana Hadjithomas & Khalil Joreige Archaeologist: Hadi Choueri | Research: Maissa Maatouk Cinematography: Talal Khoury, Joe Saade, Julien Hirsch, Khalil Joreige Video editing: Tina Baz Animation: Laurent Brett Sound editing and mixing: Rana Eid - Studio DB Music: Charbel Haber Studio manager: Tara El Khoury Mikhael  Commissioned and produced by Kunstenfestivaldesarts Coproduction: Points communs – Nouvelle scène nationale de Cergy-Pontoise et du Val d’OiseThanks to Galerie In Situ, fabienne leclerc Image © Joana Hadjithomas & Khalil Joreige ********** Français ********** in FR surtitré en NL EN 75 min Le 20.05, la représentation est suivie d'un aftertalk. Cette histoire se déroule au nord du Liban, à Nahr el Bared, dans un camp de réfugié·es établi dans la hâte afin d’accueillir des familles palestiniennes fuyant la Nakba de 1948. Des années plus tard, en 2007, une guerre éclate entre l’armée libanaise et un groupe islamiste récemment infiltré, entraînant la destruction d’une partie du camp. C’est à ce moment-là que sont apparus les premiers vestiges d’Orthosia, une ancienne cité romaine disparue après avoir été ensevelie par un tsunami en 551 et que – cherchée en vain pendant 15 siècles – personne n’aurait pu imaginer trouver là. Mais comment faire face à cette découverte majeure, si y faire des fouilles implique un “second déplacement” des familles exilées en 1948 ? Les cinéastes et artistes Joana Hadjithomas et Khalil Joreige utilisent la photographie, les installations, la vidéo et le cinéma pour questionner la narration des imaginaires et l’écriture de l’histoire. Dans cette performance créée pour le festival, iels révèlent les cycles constants de constructions et de destructions, convoquant les narrations possibles de mondes souterrains. Une performance vertigineuse, pleine de (dis)continuités, de bouleversements et de régénérations, qui nous plonge dans un passé particulièrement proche du présent. https://www.instagram.com/hadjithomasjoreigestudio découvrez le programme complet du kunstenfestivaldesarts >> — Présentation : Kunstenfestivaldesarts, Beursschouwburg Un projet de Joana Hadjithomas & Khalil Joreige Archéologue : Hadi Choueri Recherche : Maissa Maatouk Image : Talal Khoury, Joe Saade, Julien Hirsch, Khalil Joreige Montage vidéo : Tina Baz Animation : Laurent Brett Montage Son et mixage : Rana Eid (Studio DB) Musique : Charbel Haber Studio manager : Tara El Khoury Mikhael Commandé et produit par Kunstenfestivaldesarts Coproduction: Points communs – Nouvelle scène nationale de Cergy-Pontoise et du Val d’Oise Remerciements : Galerie In Situ, fabienne leclerc Image © Joana Hadjithomas & Khalil Joreige ********** Nederlands ********** in FR boventiteld in NL EN 75 min Op 20.05 wordt de voorstelling gevolgd door een nagesprek. Dit verhaal speelt zich af in het noorden van Libanon, in Nahr el Bared, in een vluchtelingenkamp dat halsoverkop werd opgezet om Palestijnse families op te vangen die de Nakba van 1948 waren ontvlucht. Jaren later, in 2007, breekt er een oorlog uit tussen het Libanese leger en een geïnfiltreerde islamistische groepering, wat resulteert in de vernietiging van een deel van het kamp. Daarmee komen de eerste overblijfselen van Orthosia aan het licht, een oude Romeinse stad die verdween nadat ze in 551 n.C. door een tsunami was bedolven en waar 15 eeuwen lang tevergeefs naar werd gezocht. Maar hoe ga je om met zo’n belangrijke ontdekking, als opgravingen op die plek een ‘tweede ontheemding’ van vluchtelingenfamilies zou betekenen? Filmmakers en kunstenaars Joana Hadjithomas en Khalil Joreige gebruiken fotografie, installaties, video en film om geschiedschrijving in vraag te stellen. In deze performance, gecreëerd voor het festival, leggen ze de voortdurende cycli van opbouw en afbraak bloot, en roepen ze de mogelijke verhalen van ondergrondse werelden op. Een duizelingwekkende performance, vol omwentelingen en (dis)continuïteit, die ons onderdompelt in een verleden dat bijzonder dicht bij het heden blijkt te staan. https://www.instagram.com/hadjithomasjoreigestudio ontdek het volledige programma van kunstenfestivaldesarts >>   — Presentatie: Kunstenfestivaldesarts, Beursschouwburg Een project van Joana Hadjithomas & Khalil Joreige Archeologe: Hadi Choueri Onderzoek: Maissa Maatouk Beeld: Talal Khoury, Joe Saade, Julien Hirsch, Khalil Joreige Videomontage: Tina Baz Animatie: Laurent Brett Geluidsmontage en mixing: Rana Eid - Studio DB Muziek: Charbel Haber Studiomanager: Tara El Khoury Mikhael  In opdracht van en geproduceerd door Kunstenfestivaldesarts Coproductie: Points communs – Nouvelle scène nationale de Cergy-Pontoise et du Val d’Oise Met dank aan Galerie In Situ, fabienne leclerc Beeld © Joana Hadjithomas & Khalil Joreige
Olivier Kalabasi est originaire de Kinshasa (RD Congo) dans la commune de Ngaba, rue Manzengele n° 89. Il réside actuellement à Paris (France) où il sert son Dieu dans la louange et l'adoration dans le groupe « El Bethel ». Dès son plus jeune âge, Olivier s'est fait remarquer dans les rues comme percussionniste, il a également fait partie de la chorale de l'apôtre Tambu Lukoki. Passionné de musique, dès son arrivée à Paris, Olivier devient l'incontournable des musiciens chrétiens. Il débute comme batteur. Mais à cette époque Olivier Kalabasi n'est pas reconnu de tous. Peu de temps après, il rejoint le groupe « Le Prince De La Paix » dirigé par René Lokua. Dès lors, il ne s'appelle plus Olivier mais Olibass car il confirme ses talents de bassiste au sein du groupe. Très talentueux "Olibass" évolue à un rythme effréné, il arrange plusieurs albums chrétiens (Dior Vanga, Sype Masiala, etc.). Olibass avait écrit la chanson « Natondi Yo » dans l'album « La Grâce » du groupe Le Prince De La Paix. Auteur-compositeur il compte aujourd’hui 7 albums à son effigie, dont plusieurs chansons phares tel que : « Lelo eza Lelo » ou encore « L’Elu de mon coeur ». Très investit dans ses compositions musicales il sait faire voyager son public sur des rythmes diversifiés et tient a toujours véhiculer un message d’amour et de grâce. il a sous sa tutelle son groupe El Bethel , avec lequel il fait voyager ses fans dans des mélodies cadencées et joyeuses. Après plusieurs années d’absence sur la scène Européenne, Olivier Kalabasi fait son grand retour pour la première fois en concert live en Belgique tant attendu, pour rendre se moment mémorable près de son chaleureux public, il vous fera découvrir en exclusivité première une chanson de son prochain album « PREMIUM VOL 2 ».
Avec Marche salope (1), Céline Chariot aborde le sujet du viol, interrogeant le mutisme qui entoure les agressions sexuelles. « La vraie question n’est pas de savoir pourquoi je parle, mais pourquoi je n’ai pas parlé » écrit-elle. Aujourd’hui, elle part de constats et de statistiques, pas d’une colère irrationnelle ; elle ne veut ni écrire de fiction édulcorée, ni chercher à raconter l’histoire des femmes et encore moins la sienne, ni à brûler les hommes, ni à faire justice. En reconstituant une scène de crime, par le biais d’un geste accessible, fort, documenté et poétique, travaillant à un acte artistique qui puisse révéler une certaine beauté tout en pouvant transcender la douleur de gestes passés, Céline Chariot, qui n’est ni danseuse, ni actrice, mais photographe, aborde le viol via le regard, via des sensations qui ont pour but la réflexion, et rappelle que dans cette transgression odieuse qu’est le viol, le crime n’est pas uniquement celui du violeur mais surtout celui d’un corps social qui pointe la victime comme responsable de son sort. Dans une forme originale où se mêlent texte, performance, silence, regard, reconstitution du réel et onirisme, le spectacle invite puissamment à la transformation des traumatismes du passé en une puissante frénésie d’en finir avec les inégalités de genre. (1) La Slutwalk, ou « Marche des salopes », est une marche de protestation née en avril 2011 au Canada après qu’un officier de police ait déclaré : « Si vous voulez éviter de vous faire violer, il faut éviter de s’habiller comme une salope »
********** English ********** “If I nationed myself / in the shadow / of a colossal wave / If only to hold on / by opening— / by Kingdom come”. This phrase from the Ocean Vuong poem Waterline functions as a mantra for the new creation from Clara Furey. The Canadian artist specialises in existential dance experiments that explore various states of being. Through physical research into water, the choreographer brings the immensity of an inner sea to the stage floor. With UNARMOURED, Furey reunites and reconciles what has previously been separate, the performance emerging from a fluid, carnal chaos whose crashing waves suggest infinity as a transformative emotion. The dancers appear as unsettling sculptures, undertaking an artistic exploration that awakens compelling desires. With a soft-core approach, always in between, always edging, they claim the right to eroticism on their terms. In a garden of resonance, bodies vibrate to rhythmic waves of light and sound, an immersive sound composition created by musician Tomas Furey. Membranes stretch and boundaries blur. Bodies no longer need to be seen for their contours but for the energy that overflows them. They release an erotic power that runs through us and propels us with force, leaving us fundamentally curious and tantalised. ********** Français ********** Partant d’une recherche chorégraphique autour de l’eau, l’artiste canadienne Clara Furey convie sur scène un groupe de danseur·euses et l’immensité d’une mer intérieure qui déferle en elleux. Dans son travail, Furey s’intéresse à l’expérimentation de différents états et sensations. Sa nouvelle création UNARMOURED est née des mouvements fluides et charnels qui peuvent exister entre les corps. Une bande son immersive, composée par le musicien Tomas Furey, progresse sur scène par intervalles d’ondes qui s’écrasent comme des vagues sur des corps qui semblent presque se dématérialiser. Leurs limites s’assouplissent, ils semblent s’évaporer. Les danseur·euses n’ont plus de contours mais s’abandonnent à une énergie qui les submerge, en équilibre entre une sensualité partagée et des moments de synchronicité rythmique qui les rassemblent dans une énergie unique. Présente pour la première fois au festival, Furey affirme une approche charnelle de la chorégraphie et un érotisme qui transcende les limites des corps. Parmi ses inspirations, le poème Waterline d’Ocean Vuong : « Si j'élisais nation / dans l'ombre / d'une vague colossale / Si seulement pour tenir / par l'ouvert— / que Ton règne vienne ». Une chorégraphie à la puissance fluide et incisive de l'une des voix les plus intéressantes de sa génération. ********** Nederlands ********** “If I nationed myself / in the shadow / of a colossal wave / If only to hold on / by opening— / by Kingdom come”. Deze regel uit het gedicht Waterline van Ocean Vuong werkt als een mantra voor de nieuwe creatie van Clara Furey. De Canadese artieste legt zich toe op existentiële dansexperimenten die verschillende staten van bewustzijn verkennen. Na een onderzoek rond de fysieke eigenschappen van water brengt de choreografe de uitgestrektheid van een innerlijke zee op scène. Furey herenigt en verzoent in UNARMOURED wat voorheen gescheiden was. De performance ontstaat uit een vloeiende, vleselijke chaos: de dansers verschijnen als ontregelde sculpturen en ondernemen een artistieke expeditie die dwingende verlangens oproept. Via een soft-core benadering – telkens tussenin, aarzelend op de rand – eisen ze het recht op erotiek volgens hun voorwaarden. Gutsende golven suggereren oneindigheid als een transformatieve emotie. Lichamen vibreren op ritmische golven van licht en geluid, een immersieve soundtrack gecomponeerd door muzikant Tomas Furey. Ze willen niet langer geassocieerd worden met hun omtrekken maar met de energie waarvan ze overlopen. Een overweldigende erotische kracht komt uiteindelijk vrij en laat ons nieuwsgierig en geprikkeld achter.
Abi’s performing career spans over a decade. From comedian to singer, actress to presenter; be it a comedy club, radio, live theatre, TV or on the big screen, she has consistently strived to entertain and make an audience feel at ease. Abi trained at the Guildford School of Acting at 18 years old and graduated with a degree in musical theatre. In her early twenties, Abi appeared in many off West-End productions and finally made her West End Debut in 2016 in a production which also took her on a Number 1 tour of the UK, to Hong Kong and to Singapore. Her next venture was where Abi’s passion for comedy writing and performing began - ‘Newsrevue’ – the world’s longest running comedy shows which has an alumnus of the likes of Sarah Pasco, Alistair McGowan and Bill Bailey. Many of her songs and parodies have been featured in the show over the years and Newsrevue – EdFringe, a show that she was member of in 2017 performing at The Pleasance Beyond. Abi was introduced fully to the stand up comedy world in 2018 and alongside her trusted ukulele for moral support, she hasn’t looked back. She is a regular on the comedy circuit both in London and regionally and has shared the stage with the likes of Stephen K Amon, Romesh Ranganathan and Seann Walsh to name a few. Abi has appeared on BBC1, ITV2 and SKY 1, where she played Cassandra Laggatt-Brown in Agatha Raisin & The Deadly Dance – appearing alongside Ashley Jensen, Matt Horne and Adam Garcia. You can still view this on catch up TV! _______________________ Lateef Lovejoy Lateef is an an extremely gifted entertainer, who made his show business debut as a witty 12 year old on Lateef is an an extremely gifted entertainer, who made his show business debut as a witty 12 year old on ITV’s famous morning gameshow “Mousetrap”. After that experience on the big screen he has never looked back. Not many performers can boast of having exceptional skills in all the main areas of the performing arts, lateef has these multi-faceted skills in abundance! Lateef also has tremendous comedic talent and is one of the most unique and distinctive acts on the comedy circuit, and vastly gaining the reputation of becoming a force to to reckoned with, both on the Black, Mainstream, and International comedy circuits. In 2007 lateef played to sold out shows at the Oude Luxor Theatre in Rotterdam and the Tuschinski Theatre in Amsterdam when he toured Holland and has featured in many of the UK’s top comedy clubs and venues. __________________________________________________________________________ Doors open at 6:30 pm Show starts at 8 pm table reservations: theblacksheep.brussels@gmail.com
********** English ********** The body of the artist proposes itself as a living altar, offered for a moment of reflection, meditation, prayer, and request, not for a god or saint, but for the world. In the Christian religion, lighting a candle opens one’s heart to God and thus raises a prayer towards him. It is also a way of expressing one’s attachment to a saint in particular by making a request or even thanking him. An offering accompanies this approach. The artist's body proposes itself as a living altar, offered for reflection, meditation, prayer, and request, not for a god or a saint, but for the world. Here, the ritual is proposed to allow oneself to express their concern, fear, and sorrow for the world - it is a way of reacting to the environmental despair that we are currently experiencing. This performance is inspired both by the artist’s rituals in a women’s circle to celebrate, among other things, the solstices and equinoxes, and Joanna Macy’s essay, “Acting with Environmental Despair” which asks the question: “Can we recognize our sorrow for the world and live with it in a way that affirms our existence and frees our power to act?” A year ago, the first version of this performance was presented during the Trouble Festival. In this context, more than sixty sorrows were laid at the foot of the altar. These anonymous sorrows will be engraved next to each other on one of the walls of the exhibition, during several one-off sessions between April 11 and September 1. Barbara Salomé Felgenhauer (1992, Huy, Belgium) lives and works in Brussels. A multidisciplinary artist, her practice covers photography, film, performance, and installation. The question of narrative and the power of words and ideas runs through her work. She uses storytelling as an experience of emancipation and empowerment from gender norms and stereotypes and as a creative force of the universe to induce new relationships to worlds. She graduated from the photography workshop at ESA Saint-Luc in Liège in 2013 and from ENSAV La Cambre in Brussels in 2022. She obtained her master’s degree with Grand Distinction and the Boghossian Foundation Prize 2022 with her project Terrapolis. ********** Français ********** Le corps de l’artiste se propose comme un autel vivant, offert pour un moment de réflexion, de méditation, de prière, de demande, non pas à destination d’un dieu ou de saint·e·s, mais pour le monde. Dans la religion chrétienne, allumer une bougie revient à ouvrir son cœur à Dieu et ainsi faire monter une prière vers lui. C’est aussi le moyen d’exprimer son attachement à un·e saint·e en particulier, de lui adresser une demande ou encore des remerciements. Une offrande accompagne cette démarche. Ici, le rituel est proposé afin de s’autoriser à exprimer son inquiétude, sa peur, ses peines pour le monde, c’est une façon de réagir au désespoir environnemental que nous vivons actuellement. Cette performance est inspirée à la fois des rituels de l’artiste en cercle de femmes pour célébrer entre autres les solstices et équinoxes, et de l’essai de Joanna Macy, “Agir avec le désespoir environnemental” qui pose la question : « Pouvons-nous reconnaître notre peine pour le monde et vivre avec elle d’une manière qui affirme notre existence et libère notre pouvoir d’agir ? ». Il y a un an, une première version de cette performance a été présentée pendant le festival Trouble. Dans ce cadre, plus de soixante peines ont été déposées au pied du corps-autel. Ces peines anonymes seront gravées les unes à côté des autres sur un des murs de l’exposition, lors de plusieurs sessions ponctuelles entre le 11 avril et le 1 septembre. Barbara Salomé Felgenhauer (1992, Huy, Belgique) vit et travaille à Bruxelles. Artiste pluridisciplinaire, sa pratique couvre la photographie, le film, la performance et l’installation. La question du récit et du pouvoir des mots et des idées traverse tout son travail. Elle utilise le récit à la fois comme une expérience d’émancipation et d’autonomisation vis-à-vis des normes et des stéréotypes de genre, comme force créatrice d’univers pour induire de nouveaux rapports aux mondes. Elle est diplômée de l’atelier de photographie à l’ESA Saint-Luc à Liège en 2013 et de l’ENSAV La Cambre à Bruxelles en 2022. Elle obtient son master avec la mention grande distinction et le Prix de la Fondation Boghossian 2022 avec son projet Terrapolis. ********** Nederlands ********** Het lichaam van de kunstenaar presenteert zich als een levend altaar, aangeboden voor een moment van reflectie, van meditatie, gebed, verzoek, niet voor een god of heiligen, maar voor de wereld. In de christelijke religie betekent het aansteken van een kaars het openen van je hart voor God en het opheffen van een gebed tot Hem. Het is ook de manier om uitdrukking te geven aan je gehechtheid aan een bepaalde heilige, door hem een verzoek te sturen of zelfs te bedanken. Een offer begeleidt dit proces. Hier wordt het ritueel voorgesteld om jezelf in staat te stellen je zorgen, je angst en je verdriet over de wereld te uiten; het is een manier om te reageren op de ecologische wanhoop die we momenteel ervaren. Deze voorstelling is zowel geïnspireerd door de rituelen van de kunstenaar in een kring van vrouwen om onder andere de zonnewendes en equinoxen te vieren, als door het essay van Joanna Macy, ‘Acting with Environmental Despair’, waarin de vraag wordt gesteld: ‘Kunnen we onze pijn voor de wereld erkennen en ermee leven op een manier die ons bestaan bevestigt en ons vermogen om te handelen vrijmaakt? ". Een jaar geleden werd een eerste versie van deze voorstelling gepresenteerd tijdens het Trouble festival. In dit kader werden ruim zestig verdrieten aan de voet van het hoofdaltaar geplaatst. Deze anonieme zinnen worden tussen 11 april en 1 september tijdens verschillende gelegenheidssessies naast elkaar gegraveerd op een van de wanden van de tentoonstelling. Barbara Salomé Felgenhauer (1992, Hoei, België) woont en werkt in Brussel. Als multidisciplinair kunstenaar omvat haar praktijk fotografie, film, performance en installatie. De vraag naar het verhaal en de kracht van woorden en ideeën loopt als een rode draad door haar werk. Ze gebruikt het verhaal zowel als een ervaring van emancipatie en empowerment ten opzichte van gendernormen en stereotypen, als een creatieve kracht van het universum om nieuwe relaties met werelden tot stand te brengen. Ze behaalde haar diploma aan het fotografieatelier bij ESA Saint-Luc in Luik in 2013 en aan ENSAV La Cambre in Brussel in 2022. Ze behaalde haar masterdiploma met grote onderscheiding en de Prijs van de Stichting Boghossian Stichting 2022 met haar Terrapolis-project.