Étoile du Kuchipudi, danse sacrée de l'Inde, Shantala Shivalingappa émerveille
par sa force, sa grâce et sa précision. Aurélien Bory a composé pour et avec
elle un solo-portrait sur mesure habité par Shiva, dieu créateur et destructeur
du Panthéon hindou, dont la danse maintient l'univers en mouvement. La cendre
qui couvre son corps dans les représentations inonde ici la scène, où Shantala
lui rend hommage avant de se confondre avec lui. Comme un arc tendu entre ciel
et terre, porté par les percussions de Loïc Schild, le corps pourtant frêle et
gracieux de la danseuse incarne toute la puissance cosmique. Un solo hypnotique
et envoûtant, librement inspiré par une gestuelle ancestrale, où tout disparaît
et renaît dans un cycle sublime et parfait.
Le tout petit monsieur
Description
Parfois, dans la vie, ce sont les plus petits qui sont les plus grands…
Chaque soir, le Tout Petit Monsieur raconte des histoires aux enfants des appartements voisins. Un jour, une rumeur annonce l’invasion d’extraterrestres. Le Tout Petit Monsieur prend peur et se coupe du monde. Les enfants, privé·es d’histoires, ne manquent pas d’imagination pour garder contact avec lui…
Imaginé par Vincent Zabus, Le Tout Petit Monsieur est un spectacle qui utilise la technique du kamishibai et aborde avec humour des thématiques pleines d’humanité.
Spectacle Kamishibaï par la Cie Les Zygomars
Satellites
Dim 14.04 : Bibliothèque éphémère proposée par le Réseau montois de lecture publique
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Adulte
18€
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Suggested events
L'exposition Visites guidées de l'exposition permanente dans la pénombre a lieu
dans le cadre de la Nuit des musées à Bavay 2024.
Venez découvrir l'exposition permanente du musée dans une ambiance tamisée,
propice à la contemplation et à la découverte des oeuvres. Plongez dans une
atmosphère unique et laissez-vous guider à travers les différentes salles pour
une expérience artistique inédite.
Infos réservations :
En ligne
- http://forumantique.lenord.fr
Par téléphone
- 03 59 73 15 50
nspirée par la figure de Shiva, dieu de la danse aux mille noms, créateur et
destructeur, Shantala Shivalingappa dessine l'espace avec une grâce magnétique
et fulgurante. aSH clôt une trilogie de portraits de femmes initiée par le
metteur en scène Aurélien Bory.
Si la cendre est associée à la destruction, c'est aussi un excellent fertilisant
: dans le symbole de mort réside la potentialité de vie. En Inde, la cendre est
l'un des attributs de Shiva, seigneur aussi des lieux et des crémations. Jouant
avec les formes et les matières, Shantala Shivalingappa sublime somptueusement
l'ombre sur un sol recouvert de cendres : elle danse, entre traditions indiennes
et occidentales, jusqu'à se faire déesse, jusqu'à faire danser l'espace.
Site web : https://www.lephenix.fr/projects/ash-23-24/
Rencontre entre la musique baroque et des artistes phares des cultures urbaines,
FugaCités crée un cocktail détonant avec le champion du monde de beatbox Tiko,
le fameux slameur Mehdi Krüger et le danseur hip-hop Jérôme Oussou chorégraphié
par l'incontournable Mourad Merzouki
Imaginé par Franck-Emmanuel Comte et scénographié par la metteuse en scène
Bérénice Collet, FugaCités met en regard trois variations poétiques et
interdisciplinaires aux multiples inspirations, dans un dialogue créatif entre
les instrumentistes du Concert de l'Hostel Dieu et des étoiles phares des
cultures urbaines. Éclairé par Pauline Vauchez et accompagné par le contrepoint
vidéo de Christophe Waksman, ce spectacle met en lumière trois métissages
artistiques dans lesquels les mélodies baroques se jouent des siècles qui les
séparent.
Site web : https://www.lephenix.fr/projects/fugacites-23-24/
YES, WE DANCE propose des soirées safes où chacun.e peut venir danser de façon
libre et décomplexée.
Si toi aussi tu aimes bouger ton corps et partager ton énergie avec celle des
autres sur la piste de danse, rejoins-nous !
Pas besoin de savoir suivre le rythme ou de connaitre de chorégraphie
quelconque. Nous offrons des espaces safe où chacun.e est invité.e à explorer sa
danse et ses mouvements de façon totalement libre et décomplexée, le tout sans
consommation d’alcool ou de drogues.
Certaines de nos soirées se font en mixité, d’autres sont réservées aux
personnes s’identifiant en tant que femme.
********** Français **********
Dans FeL, la chorégraphe Karolien Verlinden explore les spectres de couleurs de
la lumière et joue sur les formes et les perceptions visuelles générées par ses
rayonnements. Sur scène, les deux danseuses révèlent une œuvre d'art lumineuse
kaléidoscopique. Karolien Verlinden aime observer les gestes du quotidien et
déceler le subtil qui s’en dégage : comment les gens marchent, comment iels
s'assoient sur un banc, ce que leur langage corporel révèle, etc. L'idée
sous-jacente étant qu'au-delà de la réalité et de sa normalité, il existe
toujours un trésor de mondes imaginatifs non découverts.Avec FeL, la chorégraphe
explore la qualité physique de la lumière. La lumière est allumée ou éteinte,
c’est blanc ou noir… quoique… n’y a-t-il pas un monde infini entre « allumé »
et « éteint » ?Un voyage du noir absolu au blanc fluorescent, en passant par
des angles crochus, des cercles tournants, des figures oscillantes et toute une
gamme de couleurs. Car il y a toujours de la lumière — parfois à peine visible,
parfois aveuglante, parfois unificatrice.
********** Nederlands **********
Karolien Verlinden observeert graag alledaagse bewegingen en toont het subtiele
dat er uit voortkomt: hoe mensen lopen, hoe ze op een bankje zitten, wat hun
lichaamstaal onthult, enzovoort. De achterliggende gedachte is dat er voorbij de
realiteit en haar normaliteit altijd een schat aan onontdekte fantasiewerelden
ligt.Met FeL onderzoekt de choreograaf de fysieke kwaliteit van licht. Licht is
aan of uit, het is wit of zwart... hoewel... is er niet een oneindige wereld
tussen 'aan' en 'uit'?Een reis van pikzwart naar fel wit, via kromme hoeken,
draaiende cirkels, oscillerende figuren en een heel scala aan kleuren. Want er
is altijd licht - soms nauwelijks zichtbaar, soms verblindend, soms verbindend.
Geek Corner with our beloved Level Up Academy
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Stream PIKNIK ELEKTRONIK RECORDS releases.
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New Tweaken release on May 1st!
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https://www.bruxelles.be
********** Français **********
Le collectif Play Label inaugure la saison des open-airs avec son rendez-vous
annuel sur la Place Poelaert. Près de 3000 personnes seront réunies le samedi 04
mai pour célébrer la culture festive et la scène électronique locale grâce à un
line-up 100% bruxellois. Un rendez-vous à ne pas manquer pour les amoureux de
dance music.
********** Nederlands **********
Het collectief Play Label opent het seizoen van de openluchtfeesten met zijn
jaarlijkse bijeenkomst op het Poelaertplein. Bijna 3000 mensen zullen op
zaterdag 4 mei samenkomen om de feestcultuur en de lokale elektronische
muziekscene te vieren met een line-up die volledig Brussels is. Een evenement
dat dance muziekliefhebbers niet mogen missen.
********** English **********
The collective Play Label kicks off the open-air season with its annual
rendezvous at Place Poelaert. Nearly 3000 people will gather on Saturday, May
4th to celebrate the festive culture and local electronic scene with a 100%
Brussels-based lineup. An event not to be missed for dance music lovers.
********** Français **********
Carcaça nous emporte dans un tourbillon de virtuosité chorégraphique. Dans cette
pièce de groupe à l’énergie intense, dix interprètes puisent dans un vaste
répertoire, bondissant entre danses de club et excursions vers des pas
traditionnels. Au rythme de ces variations de styles, le mouvement se décline au
pluriel et l’on observe de fortes singularités faire communauté.
Le chorégraphe portugais interroge ici ce qui fait tradition dans le mouvement
comme dans l’histoire politique : comment travailler avec des héritages
multiples, comment en est-on infusé·e·s au présent ? Tout en engagement
physique, Carcaça prend l’allure d’une course, qui s’incarne dans des gestes
empruntés tant à la sphère voguing, qu’au kuduro angolais, au pantsula
sud-africain ou à la danse classique, le tout accompagné d’une création sonore
modulée live. Le défilé frénétique auquel Marco da Silva Ferreira nous convie
s’appuie sur la mémoire corporelle de chaque interprète, pour former à partir de
cette multitude d’influences dansées un maillage complexe aux couleurs fluo.
Dans ce concentré d’histoires traversées à vive allure, les corps sont
expressifs, vibrants. Carcaça interroge ce qui irrigue un collectif et ce qui
fait tissage, mélange, à la lumière d’une composition habile.
********** Nederlands **********
Voor de Portugees Marco da Silva Ferreira, voormalig topsporter, is dans een
instrument.
De CARCASS-gemeenschap, met haar verschillende genres, fysionomieën en
leeftijden, bouwt een collectieve identiteit op zonder dat de individuele
identiteit daarom verdwijnt. Herinnering en heden, verzet en feest, folklore en
creatie komen met elkaar in botsing om het lichaam van vandaag, bij uitstek
stedelijk, halsstarrig verbonden met de elementen, in vraag te stellen en te
vieren.
********** English **********
For Marco da Silva Ferreira from Portugal, who before being a dancer competed in
sport at a high level, dance is a tool.
Consisting of different genders, faces and ages, the community in CARCASS forms
a collective identity without diluting anything about the ten individuals in it.
Memory and the present, rebellion and celebration, folklore and creation
collide, questioning and celebrating the contemporary body that is resolutely
urban, but has a stubborn connection with the elements.
********** English **********
Maryse Condé wrote Tituba a fictional childhood, adolescence and death in her
award-winning book I, Tituba, whereupon philosopher Elsa Dorlin wrote an essay
on Tituba in Moi, toi, nous ... Tituba of de ontologie van het spoor.
When Dorothée Munyaneza was introduced to Elsa and her work, there was little
hesitance: she knew she wanted to create something around the figure of Tituba.
In this new solo, a dialogue with musician Khyam Allami, Dorothée Munyaneza
tries to breathe new life into the lives and dreams of Tituba. The men and women
whose identities and existences were denied and squashed by slave trade and
colonial regimes. Through words. Through the body. Through the space the voice
takes up, and through song.
Dorothée visualises a physical archive capable of gathering memories and
honouring them. A living, sensitive, physical and bodily archive, where
experiences are gathered. A solo conceived as a cross-pollination, a hybrid
space. African, but also American, European, Caribbean, ... A space full of
traces, dreams, and violence.
********** Français **********
Maryse Condé a attribué à Tituba une enfance, une adolescence et une fin de
vie fictives dans son livre primé Moi, Tituba, sorcière noire de Salem, qui à
son tour a engendré une réflexion de la philosophe Elsa Dorlin dans Moi, toi,
nous ... Tituba ou l'ontologie de la trace.
Quand Dorothée Munyaneza fait la connaissance d'Elsa et de son travail, aucun
doute ne subsiste : elles vont consacrer un projet à Tituba. Dans ce nouveau
solo en dialogue avec le musicien Khyam Allami, Dorothée Munyaneza cherche à
faire revivre les vies et les rêves de Tituba. Des hommes et des femmes dont
l'identité et l'existence ont été niées et écrasées par la traite
négrière et le régime colonial. À travers les mots. À travers le corps. À
travers l'espace occupé par la voix et les chants.
Dorothée dépeint une archive corporelle capable de collectionner et d'honorer
les souvenirs. Une archive vivante, sensible, physique et corporelle, dans
laquelle les expériences sont rassemblées. Un solo conçu comme une
pollinisation croisée, un espace hybride. L’Afrique, puis l’Amérique,
l’Europe, les Caraïbes, dans un sens puis dans l’autre... Un espace plein de
traces, de rêves et de violence.
********** Nederlands **********
Maryse Condé schreef Tituba in haar prijswinnende boek I, Tituba een fictieve
kindertijd, adolescentie en levenseinde toe. Waarop filosofe Elsa Dorlin een
beschouwing op Tituba schreef in Moi, toi, nous ... Tituba of de ontologie van
het spoor.
Toen Dorothée Munyaneza kennis maakte met Elsa en haar werk, was er niet lang
twijfel: ze wilden iets creëren rond Tituba. In deze nieuwe solo, in dialoog
met muzikant Khyam Allami, tracht Dorothée Munyaneza de levens en dromen van
Tituba nieuw leven in te blazen. De mannen en vrouwen wiens identiteit en
bestaan ontkend en verpletterd werden door de slavenhandel en het koloniale
regime. Via woorden. Via het lichaam. Via de ruimte die de stem inneemt en via
liederen.
Dorothée verbeeldt een lichaamsarchief dat in staat is herinneringen te
verzamelen en in ere te houden. Een levend, gevoelig, fysiek en lichamelijk
archief, waarin ervaringen verzameld liggen. Een solo opgevat als een
kruisbestuiving, een hybride ruimte. Nu eens Afrikaans, dan weer Amerikaans,
Europees, Caraïbisch, ... Een ruimte vol sporen, dromen en geweld.