What the Fun - thème Harry Potter

Description

🎤 Soirée Stand up présentée par Gaëtan Delferière sur un thème imposé !

🔥 On met les humoristes au défi ! Ils doivent écrire leurs meilleurs vannes sur le thème choisi par le MC. De quoi découvrir le talent d’écriture de nos artistes au travers de bonnes et de mauvaises blagues écrites pour l’occasion. Ramène tes potes !

👉 Ce 08.05 le thème imposé sera HARRY POTTER !

OUVERTURE DES PORTES : 19h
DÉBUT DU SPECTACLE : 20h

🎟️ RESERVATION OBLIGATOIRE
Via la billetterie

💜 Le What The Fun c’est la plateforme référence du Stand Up Comedy à Bruxelles.

👉 Les humoristes se succèdent sur une scène à l’ambiance décontractée, alors venez découvrir les nouveaux talents de l’humour belge !

Date info

Le 08/05/202420:00

Tickets

Info:

Billetteriehttps://www.whatthefun.be/events/what-the-fun-au-reservoir-soiree-harry-potter/

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En reconstituant une scène de crime, par le biais d’un geste accessible, fort, documenté et poétique, travaillant à un acte artistique qui puisse révéler une certaine beauté tout en pouvant transcender la douleur de gestes passés, Céline Chariot, qui n’est ni danseuse, ni actrice, mais photographe, aborde le viol via le regard, via des sensations qui ont pour but la réflexion, et rappelle que dans cette transgression odieuse qu’est le viol, le crime n’est pas uniquement celui du violeur mais surtout celui d’un corps social qui pointe la victime comme responsable de son sort. Dans une forme originale où se mêlent texte, performance, silence, regard, reconstitution du réel et onirisme, le spectacle invite puissamment à la transformation des traumatismes du passé en une puissante frénésie d’en finir avec les inégalités de genre. (1) La Slutwalk, ou « Marche des salopes », est une marche de protestation née en avril 2011 au Canada après qu’un officier de police ait déclaré : « Si vous voulez éviter de vous faire violer, il faut éviter de s’habiller comme une salope ».
Avec Marche salope (1), Céline Chariot aborde le sujet du viol, interrogeant le mutisme qui entoure les agressions sexuelles. « La vraie question n’est pas de savoir pourquoi je parle, mais pourquoi je n’ai pas parlé » écrit-elle. Aujourd’hui, elle part de constats et de statistiques, pas d’une colère irrationnelle ; elle ne veut ni écrire de fiction édulcorée, ni chercher à raconter l’histoire des femmes et encore moins la sienne, ni à brûler les hommes, ni à faire justice. En reconstituant une scène de crime, par le biais d’un geste accessible, fort, documenté et poétique, travaillant à un acte artistique qui puisse révéler une certaine beauté tout en pouvant transcender la douleur de gestes passés, Céline Chariot, qui n’est ni danseuse, ni actrice, mais photographe, aborde le viol via le regard, via des sensations qui ont pour but la réflexion, et rappelle que dans cette transgression odieuse qu’est le viol, le crime n’est pas uniquement celui du violeur mais surtout celui d’un corps social qui pointe la victime comme responsable de son sort. Dans une forme originale où se mêlent texte, performance, silence, regard, reconstitution du réel et onirisme, le spectacle invite puissamment à la transformation des traumatismes du passé en une puissante frénésie d’en finir avec les inégalités de genre. (1) La Slutwalk, ou « Marche des salopes », est une marche de protestation née en avril 2011 au Canada après qu’un officier de police ait déclaré : « Si vous voulez éviter de vous faire violer, il faut éviter de s’habiller comme une salope »
Aujourd’hui, elle part de constats et de statistiques, pas d’une colère irrationnelle ; elle ne veut ni écrire de fiction édulcorée, ni chercher à raconter l’histoire des femmes et encore moins la sienne, ni à brûler les hommes, ni à faire justice. En reconstituant une scène de crime, par le biais d’un geste accessible, fort, documenté et poétique, travaillant à un acte artistique qui puisse révéler une certaine beauté tout en pouvant transcender la douleur de gestes passés, Céline Chariot, qui n’est ni danseuse, ni actrice, mais photographe, aborde le viol via le regard, via des sensations qui ont pour but la réflexion, et rappelle que dans cette transgression odieuse qu’est le viol, le crime n’est pas uniquement celui du violeur mais surtout celui d’un corps social qui pointe la victime comme responsable de son sort. Dans une forme originale où se mêlent texte, performance, silence, regard, reconstitution du réel et onirisme, le spectacle invite puissamment à la transformation des traumatismes du passé en une puissante frénésie d’en finir avec les inégalités de genre. (1) La Slutwalk, ou « Marche des salopes », est une marche de protestation née en avril 2011 au Canada après qu’un officier de police ait déclaré : « Si vous voulez éviter de vous faire violer, il faut éviter de s’habiller comme une salope »
********** English ********** In Уя (‘Nest’), we observe a corridor of a small apartment in Bishkek, as if from the room next door, while several characters pass by: a girl who works in the Kyrgyz clubbing scene, a boy whose father left to fight with ISIS, an elderly woman who created an orphanage at home, a far-right nationalist and a feminist activist. Theater 705, one of the few independent theatres in Kyrgyzstan and a feminist voice in Central Asia, created Уя (Nest) from recorded interviews with real people in Kyrgyzstan who answered the same question: what is home for you? Chagaldak Zamirbekov and his actors weave together these stories in a cinematographic, hyper-realistic style that reproduces not just the words of each respondent, but also their pauses and intonations. The characters in the same space do not seem to see each other, evoking a sense of loneliness and bewilderment in Kyrgyz society, fertile ground increasingly used to affirm nationalist ideology. Maybe this house, this nest, is the nation itself, a place where people can be merely present in the same space or truly live together. Уя (Nest) paints a portrait of Kyrgyz society on the cusp of hyperbole and realism. It’s a rare opportunity to confront the intimate revelations of a region absent from the festival for too long. ********** Français ********** Уя (« Nid ») nous immerge dans le couloir d’un appartement de Bichkek. Comme si nous étions témoin·tes de scènes depuis une pièce voisine, nous observons des personnages traverser l’espace : une fille qui travaille dans le milieu du clubbing kirghize, un garçon dont le père combat avec Daech, une femme âgée qui a fondé un orphelinat chez elle, un nationaliste d’extrême droite et une activiste féministe. Chagaldak Zamirbekov et Theater 705, l’un des rares théâtres kirghizes indépendants et une voix féministe d’Asie centrale, ont créé Уя (Nest) à partir d’entretiens faits avec des Kirghizes ayant tous·tes répondu à la même question : qu’est-ce que la maison pour vous ? Leurs récits, jusqu’à leurs mots et intonations, sont reproduits par les acteur·ices dans un style cinématographique hyperréaliste. Les personnages partagent un même espace sans sembler se voir, évoquant un certain sentiment de solitude et de désarroi de la société kirghize – un terreau fertile pour l’idéologie nationaliste. Cette maison, ce nid, pourrait-elle être la nation au sein de laquelle nous pourrions coexister ou vivre véritablement ensemble ? Уя (Nest) dépeint un portrait de la société kirghize au croisement entre l’hyperbole et le réalisme. Une occasion rare de tendre l’oreille aux révélations intimes d’une région trop longtemps absente du festival. ********** Nederlands ********** Met Уя (‘Nest’) kijken we binnen in de gang van een appartementje in Bishkek waar verschillende personages de revue passeren: een meisje dat in het Kirgizische nachtleven werkt, een jongen wiens vader is vertrokken om voor IS te vechten, een oudere vrouw die weeskinderen opvangt, een extreemrechtse nationalist en een feministische activiste. Theater 705, één van de weinige onafhankelijke theaters in Kirgizië en een feministische stem in Centraal-Azië, creëerde Уя (Nest) op basis van interviews met Kirgiziërs. Ze beantwoordden telkens de vraag: wat is ‘een thuis’ voor jou? In een cinematografische, hyperrealistische stijl weeft Chagaldak Zamirbekov deze verhalen tot een geheel. Niet alleen de woorden, maar ook pauzes en intonaties worden trouw gereproduceerd. De personages delen dezelfde ruimte maar lijken elkaar niet te zien, wat een gevoel van eenzaamheid en vervreemding oproept, sterk aanwezig in de Kirgizische samenleving en een vruchtbare bodem voor nationalistische ideologieën. Misschien is dit huis, dit nest, wel de natie zelf; een plek waar mensen naast elkaar aanwezig kunnen zijn, of écht kunnen samenleven. Уя (Nest) schetst een portret van de Kirgizische samenleving op de grens van hyperbool en realisme.
In deze double bill worden we uitgenodigd om onze relatie tot onze handen te heroverwegen en stil te staan bij hun rol in heden, verleden en toekomst. Door aan te raken, creëren we relaties van nabijheid waardoor we uit onze omgeving treden. In toenemende mate worden onze aanrakingen echter beïnvloed door technologieën die de manier waarop we onszelf en anderen waarnemen, veranderen. In Hands Made van Begüm Erciyas spelen de handen van het publiek de hoofdrol. Begeleid door een soundtrack observeren de toeschouwers hun hand en die van hun buur, wat tegelijk een effect van intimiteit en vervreemding tot stand brengt. Geïsoleerd van de rest van het lichaam worden onze handen het middelpunt van een reflectie over handwerk en tastzin. Waar zijn deze handen mee bezig geweest, en wie of wat zullen ze in de toekomst aanraken? Nothing But Fingers is een performance van beeldend kunstenaar Moe Satt. Hij raakte gefascineerd door de rol van handgebaren in Zuid-Afrikaanse jachtcommunicatie en in traditionele dans in Myanmar en Zuidoost-Azië, waarbij menselijke gebaren dierlijke vormen kunnen aannemen. Samen met danseres Liah Frank onderzoekt hij hun expressieve potentieel en vermogen om energiestromen in het lichaam te sturen. Een bijzondere choreografie waarin de handen de rest van het lichaam dicteren, tot de finale overgave. Uren: 14u / 15u / 17u /18u
"The Vessel", c'est aussi une "performance" née de la présence de sculptures, d'objets, de masques et de marionnettes. Des rencontres pour voyager avec les marionnettes et de la musique (Jean-Jacques Duerinckx), pour découvrir l'espace de jeu, le théâtre de jeu des objets, des masques et des marionnettes. 2 happenings exceptionnels, le dimanche 19 à 19h et le lundi 20 mai à 18h. Avec Matt Jackson, Ruben Mardulier et Jean-Jacques Duerinckx. Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles, l'Image de Bruxelles, de la Loterie Nationale et de la Commune d'Ixelles.
DUREE - 55min _______________________________________________________ « Le spectacle des Belges qui veulent simplifier la langue française » : tout est faux dans cette phrase. Pas « simplifier » mais faire preuve d’esprit critique. Pas « des Belges », mais des passionnés qui veulent partager les découvertes des linguistes. Pas même la langue, seulement son orthographe. Car l’orthographe, c’est pas la langue, juste le code graphique qui permet de la retranscrire. Une approche pop et iconoclaste, pour dédramatiser un débat et aussi parce qu’il faut bien avouer que l’Académie Française a un vrai potentiel comique... Notez que tout n’est pas faux : il s’agit bien d’un spectacle... Et drôle en plus. C'est quand la dernière fois que vous avez changé d’avis ? _______________________________________________________ Conférence ludique, instructive, interactive. La Libre Belgique, Guy Duplat, 28.09.16 Le tout agrémenté de fautes légendaires – le fameux « Omar m’a tuer » – et flagrants délits humoristiques. Le Soir, Catherine Makereel, 16.09.16 Une vraie gourmandise intellectuelle. L’Humanité, Caroline Constant, 22.11.19 Erudit, drôle, bien menée, La Convivialité est un objet scénique atypique qui titille les méninges. Le Monde, Sandrine Blanchard, 18.11.19 _______________________________________________________ VOIR LE TEASER : https://vimeo.com/236903278 AFTER SCENE - Je 25.05 après la représentation. Avec l’équipe du spectacle. _______________________________________________________ Conception et écriture Arnaud Hoedt et Jérôme Piron - Jeu Philippe Couture, Arnaud Hoedt, Jérôme Piron, Antoni Severino (en alternance) - Direction technique Charlotte Plissart - Régie Charlotte Plissart, Clément Papin, Aurélie Perret (en alternance) - Co-mise en scène Dominique Bréda, Arnaud Pirault et Clément Thirion - Création vidéo Kévin Matagne - Conseiller technique Nicolas Callandt. Conseiller artistique Antoine Defoort - Assistanat à la mise en scène Anaïs Moray – Photo visuel Kévin Matagne - Développement et diffusion Habemus Papam. Une création de la compagnie Chantal & Bernadette. En coproduction avec le Théâtre National/Bruxelles et L’Ancre/Charleroi et Hypothalamus renforcé. Avec le soutien du Théâtre La Cité/Marseille, de La Bellone/Bruxelles, de la compagnie La Zouze/Marseille et du Service de la Langue française de la Fédération Wallonie-Bruxelles et du Centre culturel de Braine L’Alleud. Avec l’aide du Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles (Service du théâtre).
********** English ********** Deep inside a salt mine in the Austrian Alps lies an archive created by ceramist Martin Kunze that he calls “The Memory of Mankind”. Since 2012, he has crafted a collection of ceramic plates containing text and images to ‘back up’ human civilisation and preserve all existing knowledge about our modern times. Kunze’s ultimate aim is to create a time capsule that could last millions of years, hoping that future civilisations will find the archive and learn about our story. But what do you want people a million years from now to know about us? How do you even start? And what gives one man the right to tell the story of everyone? In this captivating theatre performance, the Swedish director Marcus Lindeen and the French dramaturge Marianne Ségol ingeniously interweave the tale of Martin Kunze with other true stories. Among them, we meet a man who suffers from a rare type of amnesia that wipes his memory clean, and a queer archaeologist who questions our relationship to history. Bringing the characters and audience together in the same space, the performance poses an existential question: why would it be better to remember than to forget? ********** Français ********** Au fond d’une mine de sel des Alpes autrichiennes repose une archive appelée « La mémoire de l’humanité », qui a été conçue par un céramiste, Martin Kunze. Depuis 2012, il crée une série de tablettes en céramique contenant des textes et des images destinés à sauvegarder la civilisation humaine et à préserver les savoirs issus de notre époque moderne. L’espoir de Kunze est de réaliser une capsule temporelle qui pourrait traverser des millions d’années et être trouvée par les civilisations futures, qui découvriraient alors notre histoire. Mais que souhaite-t-on que l’on sache de nous dans un million d’années ? Par où commencer ? Et pourquoi une seule personne aurait-elle le droit de raconter notre histoire ? Dans un spectacle captivant, le metteur en scène suédois Marcus Lindeen et la dramaturge française Marianne Ségol entremêlent habilement l’histoire réelle de Martin Kunze avec d’autres histoires vraies. Dans l’une, un homme souffre d’une rare forme d’amnésie qui efface toute la mémoire ; dans une autre, un∙e archéologue queer interroge notre rapport à l’histoire. En réunissant dans le même espace le public et les protagonistes de ces histoires, Lindeen et Ségol soulèvent une question existentielle : pourquoi serait-il mieux de se souvenir plutôt que d’oublier ? ********** Nederlands ********** Diep in een zoutmijn in de Oostenrijkse Alpen ligt een archief dat keramist Martin Kunze “The Memory of Mankind” noemt. Sinds 2012 is hij bezig met het creëren van een verzameling keramische platen met daarop tekst en afbeeldingen om een ‘back-up’ van de menselijke beschaving te maken en alle bestaande kennis over onze moderne tijd op te slaan. Kunze’s uiteindelijke doel is een tijdcapsule te fabriceren die miljoenen jaren kan meegaan, in de hoop dat toekomstige beschavingen het archief zullen vinden en ons verhaal zullen leren kennen. Maar wat willen we dat men over een miljoen jaar van ons weet? Waar te beginnen? En wat geeft één man het recht om ieders verhaal te vertellen? In deze fascinerende theatervoorstelling verweven de Zweedse regisseur Marcus Lindeen en de Franse dramaturge Marianne Ségol het verhaal van Martin Kunze op ingenieuze wijze met andere waargebeurde verhalen. Zo ontmoeten we een man die lijdt aan een zeldzame vorm van geheugenverlies waardoor zijn herinneringen telkens opnieuw worden uitgewist, en een queer archeoloog die onze relatie tot de geschiedenis in vraag stelt. Lindeen en Ségol brengen deze personages en het publiek samen in eenzelfde ruimte, en werpen een existentiële vraag op: waarom zou onthouden beter zijn dan vergeten?
"Les relations mère-fille peuvent être magnifiquement compliquées". Car si le lien qui les unit est unique, il est aussi et surtout complexe. Cette relation l'auteure a souhaité la décomplexer en proposant une pièce théâtrale aussi drôle qu'émouvante. La comédienne nous explique : " On parle ici d'une mère particulière parce qu'elle est encombrante, étouffante, castratrice voire destructrice même. C'est un personnage très théâtral, ce qui me permet de l'imiter et d'en faire rire, mais aussi d'être dans l'émotion car elle peut être touchante et se révéler d'une fragile flamboyance". Un spectacle poignant !
DUREE - 12h00 RESERVATION NECESSAIRE _______________________________________________________ Du 15 au 19 mai 2024, à Etterbeek et Ixelles, dans les rues, Place Jourdan, aux Parcs Viaduc et Félix Hap, à la Boutique maelstrÖm, à l’atelier Tipi, au Medex Museum et au Rideau… Décloisonner les pratiques littéraires et artistiques, réduire les frontières entre les artistes et les publics. La poésie doit être faite par tous, et pas par un seul. (Lautréamont). Au Rideau, le 18 mai, se déroulera le moment fort du fiEstival : La Traversée de la Nuit. Ce voyage des sons et des sens, nous emportera en poésie, slam, musique, danse, vidéo de 18h à 6h du matin, du coucher au lever du soleil. Les 18e et 19e éditions du fiEstival sont en dialogue et poursuivent le Cycle des Chants de la Transition initié en 2020. Elles exploreront les questions multiples liées aux archétypes féminins et masculins, tout en transcendant les catégories, dichotomies, binarités, les genres, les sexualités, l’eau et le feu, les feux et les eaux … « des Ailes & des Îles » en 2024 en miroir de l’édition 2025 « des Îles et des Ailes » … comme un YinYang de l’esprit, du corps et du coeur. Le fiEstival est l’événement phare de maelstrÖm reEvolution : maison d’éditions, créatrice d’actions poétiques, laboratoire artistique et culturel polymorphe, et librairie.