Expo Photos Zoom 1440

Description

Pour célébrer son deuxième anniversaire, le club photos « Zoom 14-40 »
organise sa première exposition, ouverte à tous. Elle met en valeur la
diversité des talents des photographes du club. »
 


L'exposition se tiendra du 16 au 23 septembre à la Maison du Bailli de Braine-le-Château, du mercredi au dimanche de 13h à 17h.


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Du 16/09/2023 au 23/09/2023

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********** English ********** Photographies by Patrick Labarrere Ethiopia, cradle of humanity but also cradle of Orthodox Christianity. A dive into these sacred spaces, into this Ethiopian belief, leads to a loss of bearings and encourages reflection on the fervor that one encounters while walking the paths of the ancient kingdom of Abyssinia. ********** Français ********** Exposition de photographies de Patrick Labarrere L'Éthiopie berceau de l'humanité mais aussi berceau de la chrétienté orthodoxe. Une plongée dans ces espaces sacrés, dans cette croyance Éthiopienne entraine une perte de repère et incite à réflexion sur la ferveur que l'on rencontre en arpentant les chemins de l'ancien royaume d'Abyssinie. ********** Nederlands ********** Tentoonstelling van foto's van Patrick Labarrere Ethiopië, bakermat van de mensheid maar ook bakermat van het orthodoxe christendom. Een duik in deze heilige ruimtes, in dit Ethiopische geloof, leidt tot verlies van oriëntatie en moedigt reflectie aan over de hartstocht die je tegenkomt tijdens het bewandelen van de paden van het oude koninkrijk Abessinië.
Valy Hart est une artiste brainoise formée en bande dessinée entre autre par le grand scénariste belge Yvan Delporte (rédacteur en chef du journal Spirou). Attirée aussi par la peinture et les grands formats, elle s’est spécialisée pendant 20 ans dans les fresques et trompe-l’œil. Elle est également une portraitiste émérite qui peint avec finesse, réalisme et sensibilité l’histoire de ses sujets. Aujourd’hui, elle revient dans cette exposition sur ses premiers amours à voir l’Illustration et la Bande-Dessinée. Elle utilise sa passion pour la photographie en randonnée comme base pour une série d’illustrations sur Braine-Le-Château, sa nouvelle ville de cœur, et ses monuments. Les œuvres sont réalisées à l’acrylique et feutres. Y seront également exposés une série de portraits, toujours dans le style comics de personnalités de la commune. Informations pratiques: * L'exposition se tiendra à la Maison du Bailli du 4 mai au 2 juin * Du mercredi au dimanche de 13h à 17h * Gratuit
Explorez une exposition de photos de chercheurs et de matériel scientifique utilisé lors de leurs missions en Arctique (en Alaska et en Laponie suédoise) présentés en résonnance avec une sélection d’œuvres du musée. Découvrez l’Arctique en transition au fil des saisons face au défi du changement climatique.   Visite libre en accès libre aux heures d’ouverture du musée   Visite guidée par les chercheurs par les chercheurs Philippe Roux, Maëlle Villani, Eléonore du Bois d’Aische et Sophie Opfergelt : de 14h à 15h – de 16h à 17h Public : Tout public Prix : gratuit Réservation obligatoire :  www.museel.be [http://www.museel.be/] ou 010/47 48 41
Des images qui, altérées, oscillent entre le lisible et l’illisible. Pourtant, des traces de présence humaine et des fragments de paysage, des textures et des sensations se révèlent à nous. Des indices semés par Solal Israel pour nous laisser entrevoir ce qui est, ce qui n’est pas, ce qui aurait pu être… ouvrant ainsi la voie à une lecture personnelle de l’image. * * * Né à Bruxelles en 1993, Solal Israel grandit dans un milieu artistique et se lance dans la photographie à 17 ans, discipline qu’il étudie à l’ÉSA Le 75 de 2011 à 2014. Parmi ses réalisations, il y a le livre [Never] Let me go, un recueil dans lequel il présente son travail entre 2012 et 2016, ou encore l’exposition Regarde mon histoire/Kijk naar mijn verhaal au Hangar en 2021. Son parcours l’amène à faire un tour du monde de début 2017 à mi-2018. Solal Israel est également cofondateur de la La Nombreuse asbl, collectif de photographes et espace de création à Saint-Gilles. * * * Vendredi 31 mai, 18h - vernissage ouvert à toustes. Samedi 8 juin, 16h - visite guidée avec l'artiste. Mercredi 12 juin, 19h15 - soirée EXPO+DOC, visite guidée suivie d'une projection. En collaboration avec le Centre du Film sur l'Art.
Avec Marche salope (1), Céline Chariot aborde le sujet du viol, interrogeant le mutisme qui entoure les agressions sexuelles. « La vraie question n’est pas de savoir pourquoi je parle, mais pourquoi je n’ai pas parlé » écrit-elle. Aujourd’hui, elle part de constats et de statistiques, pas d’une colère irrationnelle ; elle ne veut ni écrire de fiction édulcorée, ni chercher à raconter l’histoire des femmes et encore moins la sienne, ni à brûler les hommes, ni à faire justice. En reconstituant une scène de crime, par le biais d’un geste accessible, fort, documenté et poétique, travaillant à un acte artistique qui puisse révéler une certaine beauté tout en pouvant transcender la douleur de gestes passés, Céline Chariot, qui n’est ni danseuse, ni actrice, mais photographe, aborde le viol via le regard, via des sensations qui ont pour but la réflexion, et rappelle que dans cette transgression odieuse qu’est le viol, le crime n’est pas uniquement celui du violeur mais surtout celui d’un corps social qui pointe la victime comme responsable de son sort. Dans une forme originale où se mêlent texte, performance, silence, regard, reconstitution du réel et onirisme, le spectacle invite puissamment à la transformation des traumatismes du passé en une puissante frénésie d’en finir avec les inégalités de genre. (1) La Slutwalk, ou « Marche des salopes », est une marche de protestation née en avril 2011 au Canada après qu’un officier de police ait déclaré : « Si vous voulez éviter de vous faire violer, il faut éviter de s’habiller comme une salope »
Spectra Ex Machine / RELEASE PARTY Samedi 18 mai 2024 – 17h-19h Réservation obligatoire par mail à : gauthier@subrosa.net À l’occasion de la sortie du nouveau volume de son anthologie sonore des phénomènes occultes, l'auteur et réalisateur radio Philippe Baudouin vient présenter son projet Spectra Ex Machina (Sub Rosa), lors d'une soirée exceptionnelle. Le second volume de cette anthologie sonore explore les liens entre musique et médiumnité, art vocal et sorcellerie : Aleister Crowley, Uri Geller, Rosemary Brown ou bien encore Elvis Presley font ainsi résonner leur voix de l'au-delà. Au programme de cette soirée : séance d'écoute de quelques extraits du disque et discussion avec Philippe Baudouin, Stéphanie Peel et Christian Chelman sur l'histoire du spiritisme et ses croisements inattendus avec la question musicale. À cette occasion, les deux premiers volumes de Spectra Ex Machina seront proposés à la vente. Philippe Baudouin est réalisateur radio et maître de conférences associé à l’Université Paris-Saclay. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages et articles sur l’histoire de l’occultisme dont Apparitions : Les Archives de la France hantée (Hoëbeke, 2021) et Surnaturelles : une histoire visuelle des femmes médiums (Pyramyd, 2021). Depuis 2019, il poursuit en collaboration avec le label Sub Rosa le projet Spectra Ex Machina, consacré aux archives sonores du paranormal. Stéphanie Peel est chercheuse indépendante et doctorante à l’Université libre de Bruxelles. Son compte Instagram « Les Occultées » est consacré à l’histoire des femmes médiums. Christian Chelman est illusionniste et collectionneur. Il est également le fondateur et l’actuel conservateur du Surnatéum, Muséum d’Histoire Surnaturelle de Bruxelles.
Vernissage le 8 mai à 11h. De nombreux mouvements migratoires exigent beaucoup des migrants. Leurs vies et leur santé sont menacées, leur droit à l’autodétermination est remis en question, et leurs identités individuelles deviennent des objets des préjugés et des actions d’autrui. Tous les processus de migration, même les plus douloureux, conduisent à une nouvelle diversité culturelle, qui peut être perçue comme une force positive dans les sociétés d’aujourd’hui. Les expériences partagées renforcent les citoyens européens et contribuent à créer notre identité européenne commune. Il existe quelques situations très spécifiques au niveau européen : 1. Les conséquences à long terme de l’occupation allemande de la Norvège pendant la Seconde Guerre mondiale. 2. Les préjugés contre de nombreux Groenlandais après la migration du Groenland au Danemark depuis 1945. 3. La migration forcée des Sámis du Nord vers le Sud de la Suède. 4. L’échange de population dans l’ancienne Poméranie allemande après 1945, exemplifié par la ville polonaise de Slupsk. 5. Les conséquences à long terme de l’Holocauste pour les femmes lituaniennes. 6. La migration en Slovénie après la Seconde Guerre mondiale et l’impact de l’indépendance du pays en 1991 sur les migrants. 7. L’histoire politique complexe de la péninsule istrienne et de sa population multiethnique liée à 200 000 émigrants après la Seconde Guerre mondiale. Réservations : museum@foyer.be https://www.i-on.museum; https://www.identityontheline.eu
Après deux éditions plus que réussies, nous avons décidé de réitérer l’expérience en proposant une nouvelle édition de ce beau Parcours d’Artistes le week-end du 25 et 26 mai 2024. Le concept est simple : rencontrer les artistes, chez eux, durant un week-end. Une exposition commune avec une œuvre par artiste sera organisée, accompagnée d'un drink de vernissage, le vendredi 17 Mai 2024 à 19h00. Les inscriptions sont ouvertes jusqu'au 08 avril 2024 inclus sur le lien ci-dessous :https://www.braine-lalleud.be/ma-commune/services-communaux/culture/autres-evenements/parcours-dartistes-3e-edition#section-presentation https://www.braine-lalleud.be/ma-commune/services-communaux/culture/autres-evenements/parcours-dartistes-3e-edition#section-presentation [https://www.braine-lalleud.be/ma-commune/services-communaux/culture/autres-evenements/parcours-dartistes-3e-edition#section-presentation] 
Emilie Danchin conveys questions in her work pertaining to the realism of photography by involving the body in the pho- tographic space. It is very vibrant as well as an organic ad- venture. Emilie Danchin does not photograph reality as such, but a kind of dream rooted in the subject, to a certain extent a somewhat inhabited or animated dreamy reality. To this effect, the photographic act extends to a personal phenome- nology and the progressive creation of a visual language ca- pable of relaying a personal experience charged with images and emotions that, universally recognisable, are likely to stir viewers’ feelings, disrupt thought and trigger dreams. Emilie Danchin introduces here Le Bois des Rêves, the culmi- nation of a performance and photographic work achieved in a property that is noteworthy in terms of its architecture, as well as its gardens, in the Arts-and-Crafts style. This heritage site lent itself to her proposal to have the freedom to take over a space and a body, hers in this case. She tackles the question of origins in a foreign place in a paradoxical way. It substitutes a space that no longer exists, which represents her origins. This property conjured up, through a combination of me- mories, her own English place of birth, the houses belonging to her grandmothers, their gardens in the countryside and seaside, baths, woodworks, smells, clothes, furniture, musica- lity... a whole atmosphere that is generally, culturally familiar to her. And at the same time, it recalled absence, missing people, invasion and emptiness of the body and a house that until recently remained within the same family, loss and the parentage that was interrupted. By means of self-portrait, Emilie Danchin wondered what the inside of the house would look like. How would the emotions generated by the exterior of the house be conveyed in her outside landscapes? How would she extri- cate her body from the matter to render it in a landscape having similar characteristics? How would time intervene in this memory-enhanced place where her own body, her robe and some of her clothes combined with those that belonged to three generations of women, the house, gar- den, the photographic act itself have jointly become the template for a vital identity-related fiction? Her aim was to found her hope of investing a space, materialising and filling a form of absence, the place of the origins, a kind of double of another imaginary space, distant and close, inaccessible, erased, deleted, having left the body and the house and nevertheless, inalienable yet. Le Bois des Rêves is carried by the the artist’s body postures, which has become a sensitive measure of the evocative potential of the place. Equally, the place has given live to non-material memories, the vague outlines of which could not have stood out without this inseparable staging of her body and the space. The photographic medium is presented in a variety of aspects, black and white, colour, varying formats and scales, as well as dialogue between fiction and observation. Video is added to this. Processed as stills, this lends the ensemble a form of heartbeat in real time as such of perception through gaze. This results in an art form in several phases, the assembly of which in its entirety impresses a circular motion in space and physically creates time. Intimating the desire to go on reconnais- sance, this photographic form espouses the volatility of space and time, emotions, dreams and the sense of self. One marvels before the representation of the memory space, whose autobiographical form is that of an absolute memory and of a dream.