Exposition de Benjamin Hendlisz et Adrien Roubens, qui vous présentent leur
oeuvres sur toile ou sur objets. Cette exposition est organisée en collaboration
avec le Colllectif Propaganza. Issus du street art, venez découvrir comment ils
ont utiliser leurs techniques (aérosol et peinture acrylique) pour créer des
oeuvres qui peuvent s'intégrer dans harmonieusement dans votre intérieur.
Nocturne |Urban Glow
Description
đ Nocturne Exposition "Urban Glow" đExceptionnellement nous ouvrons pour quelques dates le soir afin que vous puissiez dĂ©couvrir l'exposition "Urban Glow" dans des conditions nocturnes.Pour l'occasion le molotow store sera ouvert Ă©galement jusqu'Ă 23h. Vous pourrez y dĂ©couvrir des promotions pour les Belton Premium et les flammes blues (Uniquement les fluos).Notre bar sera aussi ouvert.Plongez dans un univers de couleurs Ă©clatantes et de crĂ©ativitĂ© dĂ©bordante Ă l'Urban Art Center ! đšâšRejoignez-nous pour le vernissage de notre exposition immersive "Urban Glow", en partenariat avec Molotow.đPlongez au cĆur d'un univers urbain fluorescent oĂč les murs s'illuminent sous vos yeux.đPour l'exposition "Urban Glow", une sĂ©lection d'une vingtaine d'artistes a Ă©tĂ© invitĂ©e Ă exprimer leur crĂ©ativitĂ© en dĂ©corant les murs de lâUrban Art Center, prĂšs de lâAltitude 100 Ă Forest. Leur mission : explorer les nuances du fluo dans toute leur splendeur !Line Up :Adrien Roubens - Amor - Antistatik - Ascril - Bern - Bonito - Cimon - Dake25 - Digii 5 - Dr Wrong - Dyva - Eyes-B - Haeck - H. skulls - Ioxoi - L'Altro Andrea - Mister X - Remx - TonerNe manquez pas cette occasion unique de dĂ©couvrir un art vibrant et contemporain dans un cadre exceptionnel.
Painting
Date info
Vendredi: de 18:00 Ă 23:00. Samedi: de 18:00 Ă 23:00. Du 29 au 30 mars
1 Picture
Suggested events
********** English **********
In her second solo exhibition at the MichÚle Schoonjans Gallery, Amélie Scotta
presents a series of works exploring the notions of habitat and landscape
through colour and organic materials, brought to life through both drawing
(wood, bark, rock, etc.) and paper (mineral, vegetable, etc.).
In the Withdraw series, the artist works in two stages, superimposing two layers
of drawing and two types of perspective. The first layer, applied quickly and
randomly across the entire surface of the paper in coloured ink, can evoke the
atmospheric dimension of a landscape. The bright, unnatural colours and the
invisibility of the gesture give the impression of a luminous, radiant surface.
Here and there, accidents of material accentuate the effect of a printed image
that has been doctored, washed out and deteriorated. The second layer, drawn in
graphite, somehow constrains, obstructs or limits these infinite expanses.
Created slowly and meticulously in pencil, the motifs of trellis, wire netting
and other barriers reflect the artist's preoccupation with the question of
confinement. The idea of withdrawal, whether voluntary or not, has already been
evoked in earlier works, notably the Reclusoirs, sculptures inspired by the
small enclosed buildings in which penitents lived in the Middle Ages. But the
contrast between the immateriality of the coloured surface and the repetitive
pattern of the drawing also speaks to us of what is said beyond the edge of the
paper.
ABOUT THE ARTIST
Born in Nantes in 1983, Amélie Scotta is a visual artist and teacher based in
Brussels. She holds degrees in Design (HEAR Strasbourg, 2008) and Visual Arts
(ENSAV La Cambre, Brussels, 2016).
Since 2013, her work has been shown in numerous exhibitions in Belgium (Le
Botanique, La Médiatine, Vanderborght Building, Musées Royaux des Beaux-Arts,
European Parliament, etc.) and abroad (Villa Méditerranée in Marseille, Arabic
Culture House in Berlin, Matadero in Madrid, as well as Magasins Généraux,
Palais de Tokyo and Carreau du Temple in Paris). She has also held residencies
at the Casa de Velåzquez in Madrid, the Cité Internationale des Arts in Paris,
the Moonens Foundation and the Boghossian Foundation in Brussels. She is the
winner of the Prix international de la Ville de Tournai in 2021, the Prix Cocof
and the Prix Carré sur Seine in 2020.
From the Jeddah Tower to the disused factories of Roubaix, from the Rio stadium
to the Versailles of the people, from medieval recluses to the scaffolding of
Brussels, it is in an intuitive way that the artist questions architecture in
all its forms. Approached primarily through drawing, but also through sculpture
and photography, construction allows her to speak of the human being, the one
who both inhabits and builds.
In more recent works, Amélie Scotta takes a more sensorial approach to landscape
and habitat, working with colour and materials. She addresses the issue of
withdrawal, a position in relation to the world that can provide protection,
confinement or liberation. Her relationship with urban planning is also leading
her increasingly towards projects in the public space.
********** Français **********
Dans sa deuxiÚme exposition personnelle à la MichÚle Schoonjans Gallery, Amélie
Scotta prĂ©sente une sĂ©rie dâĆuvres explorant les notions dâhabitat et de paysage
au travers de la couleur ou de matiÚres organiques, amenées aussi bien par le
dessin (bois, Ă©corce, rocheâŠ) que par le support du papier (minĂ©ral, vĂ©gĂ©talâŠ).
Dans la série Withdraw, la dessinatrice travaille en deux temps, superposant
deux couches de dessin et deux types de perspectives. La premiĂšre strate,
appliquĂ©e Ă lâencre colorĂ©e, de maniĂšre rapide et alĂ©atoire sur toute la surface
du papier, peut évoquer un paysage dans sa dimension atmosphérique. Les couleurs
vives, non naturelles et lâinvisibilitĂ© du geste donnent lâimpression dâune
surface lumineuse et irradiante. ĂĂ et lĂ , des accidents de matiĂšre accentuent
lâeffet dâimage imprimĂ©e qui aurait Ă©tĂ© trafiquĂ©e, dĂ©lavĂ©e, dĂ©tĂ©riorĂ©e. La
seconde strate, dessinée au graphite, vient en quelque sorte contraindre,
obstruer ou limiter ces Ă©tendues infinies.
Réalisés au crayon, de maniÚre lente et minutieuse, les motifs de treillis, de
grillages et autres barriĂšres nous renvoient Ă la prĂ©occupation de lâartiste
pour la question de lâenfermement. Le repli, volontaire ou non, est dĂ©jĂ Ă©voquĂ©
dans des travaux antérieurs, notamment les Reclusoirs, des sculptures inspirées
des petits édifices clos dans lequel vivaient des pénitentes du Moyen-ùge. Mais
ce contraste entre lâimmatĂ©rialitĂ© de la surface colorĂ©e et le motif rĂ©pĂ©titif
du dessin, nous parle aussi de ce qui se raconte au-delĂ du bord du papier.
A PROPOS DE LâARTISTE
Née à Nantes en 1983, Amélie Scotta est une artiste plasticienne et enseignante
basée à Bruxelles. Elle est diplÎmée en Design (HEAR Strasbourg, 2008) et en
arts visuels (ENSAV La Cambre, Bruxelles, 2016).
Depuis 2013, son travail a été présenté dans de nombreuses expositions en
Belgique (Le Botanique, La Médiatine, Vanderborght Building, Musées Royaux des
Beaux-Arts, Parlement europĂ©enâŠ) et Ă l'Ă©tranger (Villa MĂ©diterranĂ©e Ă
Marseille, Arabic Culture House Ă Berlin, Matadero Ă Madrid, mais aussi Magasins
Généraux, Palais de Tokyo et Carreau du Temple à Paris). Elle a notamment été
rĂ©sidente Ă la Casa de VelĂĄzquez Ă Madrid, Ă la CitĂ© Internationale des Arts Ă
Paris, Ă la Fondation Moonens et Ă la Fondation Boghossian Ă Bruxelles. Elle est
lauréate du Prix international de la Ville de Tournai en 2021, du Prix Cocof et
du prix Carré sur Seine en 2020.
De la Jeddah Tower aux usines désaffectées de Roubaix, en passant par le stade
de Rio, le Versailles du peuple, les reclusoirs médiévaux ou les échafaudages
bruxellois, câest de maniĂšre intuitive que lâartiste interroge lâarchitecture
sous toutes ses formes. Abordée principalement par le dessin, mais aussi par la
sculpture ou la photographie, la construction lui permet de parler de lâhumain,
celui qui, tout Ă la fois, habite et Ă©difie.
Dans des travaux plus rĂ©cents, AmĂ©lie Scotta approche le paysage et lâhabitat de
maniĂšre plus sensorielle, en passant par un travail de la couleur et de la
matiĂšre. Elle y aborde la question du repli, une position face au monde qui peut
apporter protection, enfermement ou libĂ©ration. Son rapport Ă lâurbanisme
lâamĂšne Ă©galement de plus en plus vers
des projets dans lâespace public.
********** Nederlands **********
In haar tweede solotentoonstelling in de MichĂšle Schoonjans Gallery presenteert
Amélie Scotta een serie tekeningen die, naast de problematiek van de
leefomgeving, de landschapsconcepten onderzoekt door middel van kleur of
organische materialen, die zowel door het onderwerp van de tekening als door de
papieren drager (mineraal, plantaardig, enz.) worden ingebracht.
In de serie Withdraw werkt de kunstenares in twee fasen, waarbij ze gebruik
maakt van verschillende lagen in de tekening en van twee soorten perspectief. De
eerste laag, die snel en willekeurig met gekleurde inkt over het hele
papieroppervlak wordt aangebracht, kan de atmosferische dimensie van een
landschap oproepen. De heldere, onnatuurlijke kleuren en de afwezigheid van het
gebaar geven de indruk van een lichtgevend, stralend oppervlak. Hier en daar
accentueren ongelukjes met het materiaal het effect van een afgedrukte
afbeelding, die is bewerkt, uitgewassen of beschadigd. De laag grafiet, die in
een later stadium wordt aangebracht, beperkt, belemmert of begrenst op de een of
andere manier deze oneindige uitgestrektheid.
De grafiettekeningen, die langzaam en minutieus met potlood zijn gemaakt, tonen
rasterwerk, hekken en andere barriĂšres en weerspiegelen de preoccupatie van de
kunstenaar met het vraagstuk van zich opgesloten te voelen. Het idee van zich
terugtrekken, vrijwillig of niet, werd al opgeroepen in eerdere werken, met name
de Reclusoirs, sculpturen geĂŻnspireerd op de kleine afgesloten gebouwen waarin
boetelingen in de Middeleeuwen leefden. Maar dit contrast tussen de
niet-materiële aard van het gekleurde oppervlak en het repetitieve patroon van
de tekening spreekt ook tot ons over wat er voorbij de rand van het papier
gebeurt, in wat bekend staat als het buitenbeeld. Net als het raam, dat zowel
verbergt als zichtbaar maakt, laat de muur toch de horizon zien, waardoor we ons
een mogelijke ontsnapping kunnen voorstellen.
OVER DE KUNSTENARES
Amélie Scotta, geboren in Nantes in 1983, is beeldend kunstenaar en docente in
Brussel. Ze behaalde een diploma in Design (HEAR Straatsburg, 2008) en in
Visuele Kunsten (ENSAV La Cambre, Brussel, 2016).
Sinds 2013 is haar werk te zien geweest in talrijke tentoonstellingen in België
(Le Botanique, La Médiatine, Vanderborght Building, Musées Royaux des
Beaux-Arts, Europees Parlement, enz.) en in het buitenland (Villa Méditerranée
in Marseille, Arabic Culture House in Berlijn, Matadero in Madrid, evenals in
Magasins Généraux, Palais de Tokyo en Carreau du Temple in Parijs). Ze heeft ook
residenties gehad in het Casa de Velåzquez in Madrid, de Cité Internationale des
Arts in Parijs, de Moonens Stichting en de Boghossian Stichting in Brussel. Ze
is de winnaar van de Prix international de la Ville de Tournai in 2021, de Prix
Cocof en de Prix Carré sur Seine in 2020.
Van de toren van Jeddah tot de verlaten fabrieken van Roubaix, van het stadion
van Rio tot het Versailles van het volk, van middeleeuwse kluizenaars tot de
steigers van Brussel, de kunstenares stelt intuĂŻtief de architectuur in al haar
vormen ter discussie. Ze benadert de architectuur voornamelijk door middel van
tekenen, maar ook door middel van beeldhouwen en fotografie.Door de constructie
kan ze spreken over de mens, degene die zowel bewoont als bouwt.
In haar meer recente werk kiest Amélie Scotta voor een meer zintuiglijke
benadering van landschap en leefomgeving, waarbij ze gebruik maakt van zowel
kleur als materialen. In haar meer recente werk kiest Amélie Scotta voor een
meer zintuiglijke benadering van landschap en leefomgeving, waarbij ze gebruik
maakt van zowel kleur als materialen. Ze gaat in op het thema van het zich
terugtrekken, een positie ten opzichte van de wereld die bescherming,
afzondering of bevrijding kan brengen. In haar meer recente werk kiest Amélie
Scotta voor een meer zintuiglijke benadering van landschap en leefomgeving,
waarbij ze gebruik maakt van zowel kleur als materialen. Ze gaat in op het thema
van het zich terugtrekken, een positie ten opzichte van de wereld die
bescherming, afzondering of bevrijding kan brengen. Haar fascinatie voor
stedenbouw leidt haar ook steeds meer naar projecten in de openbare ruimte.
Gert Vandeweyer, wonende in Watermaal Bosvoorde, schildert al sinds enkele
jaren. Meestal abstract met vele verschillende kleuren.
Hij tekent ook op stenen en sculpturen van allerlei maten.
Modesti Perdriolle Gallery présente un solo show de Samantha McEwen, artiste
anglo-amĂ©ricaine nĂ©e Ă Londres en 1960, avec un ensemble d'Ćuvres des annĂ©es
1980 Ă nos jours. A cette occasion sera lancĂ©e la premiĂšre monographie dĂ©diĂ©e Ă
la vie et Ă l'Ćuvre de Samantha McEwen publiĂ©e par 5 Continents Ăditions.
Samantha McEwen arrive Ă New York Ă lâĂąge de 18 ans. Elle sâinscrit Ă la School
of Visual Arts oĂč elle sympathise avec lâun des Ă©tudiants, Keith Haring, puis
Kenny Scharf. New York est alors un village oĂč tous les artistes se cĂŽtoient.
Samantha participe Ă la vie intense de lâEast Village. Elle collabore Ă de
nombreuses expositions aussi bien dans des Clubs quâĂ la galerie Tony Schafrazi
en 1985 et 1987.
La fin des annĂ©es 1980 est marquĂ©e par le Sida. New York devient une ville oĂč
lâon ose plus demander des nouvelles de ses proches. Samantha se rĂ©installe Ă
Londres. Ce ne sont pas des années faciles pour les artistes femmes. Il faudra
attendre les années 2010 pour voir à nouveau des peintures de Samantha McEwen
dans des lieux renommés, en 2015 à la Pace Gallery de Londres dans une
exposition de groupe en hommage au grand marchand anglais Robert Fraser et en
2017 au MoMA dans lâexposition tĂ©moignage 'Club 57, Film, Performance, and Art
in the East Village, New York, 1978-1983'.
Samantha McEwen arrive Ă New York Ă lâĂąge de 18 ans. Elle sâinscrit Ă la School
of Visual Arts oĂč elle sympathise avec lâun des Ă©tudiants, Keith Haring, puis
Kenny Scharf. New York est alors un village oĂč tous les artistes se cĂŽtoient.
Samantha participe Ă la vie intense de lâEast Village. Elle collabore Ă de
nombreuses expositions aussi bien dans des Clubs quâĂ la galerie Tony Schafrazi
en 1985 et 1987.
La fin des annĂ©es 1980 est marquĂ©e par le Sida. New York devient une ville oĂč
lâon ose plus demander des nouvelles de ses proches. Samantha se rĂ©installe Ă
Londres. Ce ne sont pas des années faciles pour les artistes femmes. Il faudra
attendre les années 2010 pour voir à nouveau des peintures de Samantha McEwen
dans des lieux renommés, en 2015 à la Pace Gallery de Londres dans une
exposition de groupe en hommage au grand marchand anglais Robert Fraser et en
2017 au MoMA dans lâexposition tĂ©moignage 'Club 57, Film, Performance, and Art
in the East Village, New York, 1978-1983'.
Gert Vandeweyer, wonende in Watermaal Bosvoorde, schildert al sinds enkele
jaren. Meestal abstract met vele verschillende kleuren.
Hij tekent ook op stenen en sculpturen van allerlei maten.
Les photographies publiĂ©es dans lâouvrage Ă©ponyme, prĂ©sentĂ©es dans cette
exposition, ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©es par Charles Paulicevich dans le cadre dâune
mission commanditée par la Centrale générale de la Fédération Générale du
Travail de Belgique.
Entre septembre 2021 et octobre 2022, il est parti Ă la rencontre de
travailleuses et travailleurs belges au sein dâune trentaine dâentreprises, avec
lâambition de proposer une reprĂ©sentation actualisĂ©e du monde ouvrier. Ces
photographies, complétées par de nombreux témoignages de délégué.e.s
syndicaux.ales issu.e.s de diffĂ©rents secteurs dâactivitĂ©s, des mĂ©tallos aux
titres-services, dresse un portrait collectif du monde du travail dans les
usines et sur les chantiers, tel quâon ne le voit et le montre jamais.
Ces clichĂ©s racontent lâhistoire de corps en action montrĂ©s ici avec le respect
et la dignitĂ© quâils mĂ©ritent et les conditions de travail de celles et ceux qui
concurrent, parfois de façon invisible, à notre confort et à notre sécurité. Ces
corps sont fiers de ce quâils apportent Ă la collectivitĂ© avec toutes leurs
compétences et leur détermination.
â
â
Visite libre de l'exposition de 9h Ă 16h30, du 23 avril au 02 mai
********** English **********
CIVA is pleased to present the first monographic exhibition honoring the life,
work, and legacy of the Chinese-born Belgian architect Simone Guillissen-Hoa
(1916â96). A proponent of modernist architecture, Guillissen-Hoa was one of the
first women to establish her own architecture firm in Belgium. Her career and
personal life constantly defied the barriers and conventions of gender, race,
and religion.
Her life spanned the major events of the twentieth century, from the early onset
of the Chinese Revolution to the resistance in occupied Belgium and through
postwar reconstruction. In the 1950s, she was a member of the Soroptimist
Association, a womenâs-rights advocacy organization, and in the 1970s, she
became involved in the creation of the International Union of Women Architects.
The exhibition both records her architectural projects and, through a wide array
of archival materials, presents her reflections on architecture, her battles and
more broadly, her professional and private life. By delving into
Guillissen-Hoaâs artistic circle, comprised of figures such as LĂ©on Spilliaert,
Alfred Roth, Max Bill, Enrico Castellani, Tapta, Henry and Nele van de Velde,
the exhibition explores the influences and collaborations that shaped her
artistic and intellectual journey.
A newly commissioned film by artists Eva Giolo and Aglaia Konrad is central to
the exhibition, showcasing several of Guillissen-Hoaâs buildings and the
utilization, adaptation, and translation of modernist forms and concepts.
With works by: Max Bill, Enrico Castellani, Pierre Cordier, Jacques Dupuis, Eva
Giolo and Aglaia Konrad, Mayou Iserentant, Alfred Roth, Josine Souweine, LĂ©on
Spilliaert, and Tapta.
An extensive public program on feminism and architecture is being developed in
collaboration with Apolline Vranken (researcher in residence at CIVA, 2023â24).
With talks by VĂ©ronique Boone, Beatriz Colomina, Bianca Felicori, Florencia
FernĂĄndez Cardoso, Jane Hall, Sol PĂ©rez MartĂnez, LucĂa C. PĂ©rez Moreno,
LĂ©a-Catherine Szacka and many more.
The exhibition marks the occasion of the donation of the Fonds Simone
Guillissen-Hoa to CIVA Collections, Brussels. Curators: Silvia Franceschini and
Yaron Pesztat
********** Français **********
Le CIVA a le plaisir de présenter la premiÚre exposition monographique consacrée
Ă la vie, Ă l'Ćuvre et Ă l'hĂ©ritage de l'architecte belge d'origine chinoise
Simone Guillissen-Hoa (1916-1996). Promotrice de l'architecture moderniste, elle
a été l'une des premiÚres femmes à créer son propre bureau d'architecture en
Belgique. Sa carriÚre et sa vie personnelle ont constamment défié les limites et
les conventions liées au genre, aux origines et à la religion.
Sa vie a traversé les événements majeurs du XXe siÚcle, des prémices de la
RĂ©volution chinoise Ă la Reconstruction d'aprĂšs-guerre, en passant par la
Résistance en Belgique occupée. Dans les années 1950, elle a été membre de
l'association Soroptimist, une organisation de défense des droits des femmes, et
dans les années 1970, elle a participé à la création de l'Union Internationale
des Femmes Architectes.
L'exposition présente tout à la fois ses projets architecturaux, ses réflexions
sur l'architecture, ses combats, ainsi que sa vie professionnelle et privée, et
ce, à travers un large éventail de documents d'archives. En pénétrant dans le
cercle artistique de Guillissen-Hoa, composé de personnalités telles que Léon
Spilliaert, Alfred Roth, Max Bill, Enrico Castellani, Tapta, Henry et Nele van
de Velde, l'exposition explore les influences et les collaborations qui ont
façonné son parcours artistique et intellectuel.
Au centre de l'exposition, un film réalisé spécialement par les artistes Eva
Giolo et Aglaia Konrad, présente plusieurs bùtiments de Simone Guillissen-Hoa et
met en Ă©vidence la maniĂšre dont l'architecte utilise, adapte et traduit les
éléments du langage moderniste.
Avec des Ćuvres de : Max Bill, Enrico Castellani, Pierre Cordier, Jacques
Dupuis, Eva Giolo et Aglaia Konrad, Mayou Iserentant, Alfred Roth, Josine
Souweine, LĂ©on Spilliaert et Tapta.
Un vaste programme public sur le féminisme et l'architecture est développé en
collaboration avec Apolline Vranken (chercheuse en résidence au CIVA, 2023-24).
Avec des conférences par Véronique Boone, Beatriz Colomina, Bianca Felicori,
Florencia FernĂĄndez Cardoso, Jane Hall, Sol PĂ©rez MartĂnez, LucĂa C. PĂ©rez
Moreno, LĂ©a-Catherine Szacka et bien plus.
L'exposition marque la donation du Fonds Simone Guillissen-Hoa aux Collections
du CIVA, Bruxelles. Curateurs : Silvia Franceschini et Yaron Pesztat
********** Nederlands **********
CIVA is verheugd de eerste solotentoonstelling te presenteren die hulde brengt
aan het leven, het werk en de nalatenschap van de in China geboren Belgische
architecte Simone Guillissen-Hoa (1916-96). Deze voorvechtster van de
modernistische architectuur was een van de eerste vrouwen die in België een
eigen architectenbureau oprichtte. In haar carriĂšre en persoonlijke leven daagde
ze onophoudelijk de barriĂšres en conventies van gender, ras en religie uit.
Haar leven overspande de sleutelgebeurtenissen van de twintigste eeuw, van de
eerste aanzetten tot de Chinese Revolutie tot het verzet in bezet België en de
naoorlogse wederopbouw. In de jaren 1950 was ze lid van de Soroptimist
Association, een organisatie die opkomt voor vrouwenrechten en in de jaren 1970
was ze betrokken bij de oprichting van de International Union of Women
Architects.
De tentoonstelling belicht haar architecturale projecten en, aan de hand van een
brede waaier aan archiefmateriaal, ook haar bespiegelingen over architectuur, de
debatten en strijd die ze voerde, en meer in het algemeen haar professionele en
private leven. Via een onderdompeling in Guillissen-Hoaâs artistieke kring,
waarin we figuren als LĂ©on Spilliaert, Alfred Roth, Max Bill, Enrico Castellani,
Tapta, Henry en Nele van de Velde aantreffen, verkent de tentoonstelling de
invloeden en samenwerkingen die haar artistieke en intellectuele parcours vorm
hebben gegeven.
Centraal in de tentoonstelling staat een nieuwe film die de kunstenaressen Eva
Giolo en Aglaia Konrad in opdracht maakten; hij toont verschillende realisaties
van Guillissen-Hoa en hoe die de modernistische vormen en concepten hanteren,
aanpassen en vertalen.
Met werk van Max Bill, Enrico Castellani, Pierre Cordier, Jacques Dupuis, Eva
Giolo & Aglaia Konrad, Mayou Iserentant, Alfred Roth, Josine Souweine, LĂ©on
Spilliaert en Tapta.
In samenwerking met Apolline Vranken, onderzoekster in residentie bij CIVA voor
2023-2024, wordt een uitgebreid publieksprogramma over feminisme en architectuur
uitgewerkt. Met lezingen door VĂ©ronique Boone, Beatriz Colomina, Bianca
Felicori, Florencia FernĂĄndez Cardoso, Jane Hall, Sol PĂ©rez MartĂnez, LucĂa C.
PĂ©rez Moreno, LĂ©a-Catherine Szacka en meer.
De schenking van het Fonds Simone Guillissen-Hoa aan de CIVA-collecties in
Brussel vormt de aanleiding tot deze tentoonstelling. Ze werd gecureerd door
Silvia Franceschini en Yaron Pesztat.
********** English **********
The animal kingdom has long been a source of inspiration for both the visual
arts and jewellery.
True to their philosophy of wearable contemporary jewellery, but also driven by
a sense of humour and the offbeat, Hectare's gallery owners have selected six
artists from near and far to put wildlife in the spotlight. Bestiaire Star
ventures into disturbing, surprising and seductive territory, populated by
hybrid creatures.
The creations of Miriam Arentz, Monika Brugger, Benedikt Fischer, Lore
Langendries, MĂ€rta Mattsson and Vivienne Varay play on attraction and repulsion,
without avoiding the question of the materials used: imitated or real,
reinvented or recycled.
The bestiary - an educational picture book - becomes a cabinet of curiosities.
Where the trivial is adorned with the precious, where the object becomes a
story, where the familiar is hijacked and emboldened to the brink of the
strange.
Hectare's Bestiaire Star exhibition is part of the Be.Tour for the second
edition of Brussels Jewellery Week from 25 to 28 April 2024. A festival that
highlights contemporary jewellery and brings together 15 Brussels and
international galleries.
********** Français **********
Le rÚgne animal inspire de longue date tant les arts visuels que les éléments de
parure.
FidĂšles Ă leur philosophie du bijou contemporain portable, mues aussi par un
sens certain de lâhumour et du dĂ©calage, les galeristes dâHectare ont
sĂ©lectionnĂ© six artistes dâici et dâailleurs pour mettre la faune Ă lâhonneur.
Bestiaire Star sâaventure dans des territoires inquiĂ©tants, surprenants,
sĂ©duisants, peuplĂ©s dâhybrides crĂ©atures.
Les créations de Miriam Arentz, Monika Brugger, Benedikt Fischer, Lore
Langendries, MĂ€rta Mattsson et Vivienne Varay mettent en jeu lâattraction et la
répulsion, sans esquiver la question des matériaux convoqués: imités ou
véritables, réinventés ou recyclés.
Le bestiaire â cet imagier Ă visĂ©e Ă©ducative â se mue ici en cabinet de
curiositĂ©s. OĂč le trivial se pare de prĂ©cieux, oĂč lâobjet devient histoire, oĂč
la familiaritĂ© dĂ©tournĂ©e sâenhardit jusquâĂ tutoyer lâĂ©trange.
Lâexposition Bestiaire Star dâHectare sâinscrit dans le Be.Tour de la seconde
Ă©dition de la Brussels Jewellery Week du 25 au 28 avril 2024. Un festival qui
met en lumiĂšre le bijou contemporain et qui regroupe 15 galeries bruxelloises et
internationales.
********** Nederlands **********
Het dierenrijk is al lang een bron van inspiratie voor zowel de beeldende kunst
als sieraden.
Trouw aan hun filosofie van draagbare hedendaagse sieraden, maar ook gedreven
door gevoel voor humor en het onconventionele, hebben de galeriehouders van
Hectare zes kunstenaars van heinde en verre geselecteerd om wilde dieren in de
schijnwerpers te zetten. Bestiaire Star begeeft zich op verontrustend,
verrassend en verleidelijk terrein, bevolkt door hybride wezens.
De creaties van Miriam Arentz, Monika Brugger, Benedikt Fischer, Lore
Langendries, MĂ€rta Mattsson en Vivienne Varay spelen met aantrekking en
afstoting, zonder de kwestie van de gebruikte materialen uit de weg te gaan:
nagemaakt of echt, opnieuw uitgevonden of gerecycled.
Het bestiarium - een educatief prentenboek - wordt een rariteitenkabinet. Waar
het triviale wordt opgesierd met het kostbare, waar het object een verhaal
wordt, waar het vertrouwde wordt gekaapt en uitvergroot tot het randje van het
vreemde.
De tentoonstelling Bestiaire Star van Hectare maakt deel uit van de Be.Tour voor
de tweede editie van de Brussels Jewellery Week van 25 tot 28 april 2024. Een
festival dat hedendaagse juwelen in de kijker zet en 15 Brusselse en
internationale galerijen samenbrengt.
********** English **********
âThe recent works (2023-2024) presented here explore the many potentialities of
painting, while opening up to other techniques such as drawing, embroidery and
ceramics. Her work is ever-changing and multi-faceted. The artist plays with the
material components of her works, such as the canvas, the frame and the support
for her paintings, which she twists, turns and metamorphoses endlessly. A
gradual conquest towards other dimensions, other potential spaces beyond the
imposed framework.â â Catherine Henkinet
********** Français **********
âLes Ćuvres rĂ©centes (2023-2024) ici prĂ©sentĂ©es dĂ©clinent les nombreuses
potentialitĂ©s quâoffre la peinture tout en sâouvrant Ă dâautres techniques : le
dessin, la broderie, la céramique. Son travail est sans cesse changeant,
protĂ©iforme car lâartiste joue avec les composantes matĂ©rielles de ses Ćuvres
comme la toile, le chĂąssis ou le support de ses peintures quâelle dĂ©tourne,
retourne et mĂ©tamorphose Ă lâenvi. Une conquĂȘte progressive vers dâautres plans,
dâautres espaces possibles hors du cadre imposĂ©. â â Catherine Henkinet
********** Nederlands **********
"De recente werken (2023-2024) die hier worden gepresenteerd verkennen de vele
mogelijkheden van de schilderkunst, terwijl ze zich ook openstellen voor andere
technieken zoals tekenen, borduren en keramiek. Haar werk is steeds veranderend
en veelzijdig. De kunstenaar speelt met de materiële componenten van haar
werken, zoals het doek, het frame en de drager van haar schilderijen, die ze
eindeloos verdraait, draait en metamorfoseert. Een geleidelijke verovering naar
andere dimensies, andere potentiële ruimtes buiten het opgelegde kader." -
Catherine Henkinet
Accueilli à « The Egg » à Bruxelles les 25 et 26 avril 2024 et organisé par la
Commission europĂ©enne, Science is Wonderful ! se tient prĂȘt Ă offrir aux Ă©lĂšves
du primaire et du secondaire un aperçu unique des coulisses du monde étonnant de
la science et de la recherche.Chaque annĂ©e, Science is Wonderful ! propose Ă
plus de 4 000 Ă©lĂšves du primaire et du secondaire de se lancer dans un voyage oĂč
la science prend vie grùce à des expériences pratiques époustouflantes, des jeux
captivants, des spectacles scientifiques et une gamme d'activités conçues pour
éveiller leur curiosité. Cette année, nous sommes ravis d'annoncer la
participation de plus de 100 scientifiques de premier plan originaires des
quatre coins de l'Europe. Ils sont désireux d'interagir avec vos élÚves, de
répondre à leurs questions et de partager les merveilles de la
science.L'inscription pour cette opportunité unique est désormais ouverte ! Bien
que obligatoire pour les classes scolaires, les familles et les individus sont
encouragés à nous rejoindre spontanément - tout le monde est le bienvenu !
DĂ©pĂȘchez-vous, les places seront attribuĂ©es selon le principe du premier arrivĂ©,
premier servi. Ne manquez pas cette extraordinaire célébration de la science !Et
ce n'est pas tout ! La participation est entiĂšrement Gratuite et, pour plus de
confort, nous vous offrons la possibilité d'organiser un déjeuner gratuit et/ou
une navette de bus (disponibilité limitée).Rejoignez-nous à « The Egg » pour un
voyage spectaculaire dans les merveilles de la science !