Poëtik Babeleir

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Le Fantastique Collectif en partenariat avec la Maison de la Création, vous invite à embarquer pour des sessions mensuelles de lectures de toutes formes littéraires.
Poèmes, nouvelles, extraits, slam, rap, chansons, pensées, portraits, formes littéraires et arts de la scène en tous genres, sont les bienvenues. La MC Gare se transforme en laboratoire d’idées et d’essais, en lieu d’expression spontanée, en un voyage artistique unique un mercredi par mois.

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********** English ********** In this double bill, we are asked to rethink the relationship with our hands and reflect on their role in the present, past and future. By touching, we create relationships of proximity while distancing ourselves from the rest of our surroundings. But our touch is increasingly mediated by technologies that change how we experience ourselves and others. In Begüm Erciyas’ performance Hands Made, the hands of the audience will take centre stage. Accompanied by a soundtrack, spectators are asked to observe their hand and that of their neighbour, creating an effect of intimacy and alienation. Separated from the rest of the body, our hands become the focus of a reflection on handwork and touch. What have these hands been busy with? Who or what will they touch in the future? Nothing But Fingers is the other half of this double bill, a performance by visual artist Moe Satt. He became fascinated by the role of hand gestures in South African hunting communication as well as traditional dance in Myanmar and Southeast Asia, where human gestures can take animal forms. With dancer Liah Frank, he explores the expressive potential of hands and their ability to direct energy flows in the body, an extraordinary choreography in which the hands dictate the rest of the body until the final surrender. ********** Français ********** Deux performances, proposées ensemble dans un même programme, invitent à repenser la relation à nos mains et à réfléchir à leur rôle dans le présent, le passé et le futur. Dans Hands Made de Begüm Erciyas, les mains du public occupent une place centrale : guidé·es par une bande sonore, les spectateur·ices observent une de leur main et celle de leurs voisin·es, ce qui leur permet d’explorer des sentiments d’intimité et d’aliénation. Isolées du reste du corps, nos mains deviennent le centre d’une réflexion sur le travail manuel et le toucher. À quoi s’affairent-elles ? Qui ou quoi toucheront-elles à l’avenir ? En attirant notre attention sur notre toucher, de nouveaux rapports de proximité s’installent et la perception de ce qui nous entoure en sort modifiée. Nothing But Fingers est une performance du plasticien Moe Satt, qui a développé une recherche sur les gestes de mains utilisés dans la communication de chasse en Afrique du Sud et dans la danse traditionnelle de Birmanie et d’Asie du Sud-Est, où les gestes humains peuvent adopter des formes animales. Avec la danseuse Liah Frank, il explore le potentiel expressif des mains et leur faculté à diriger l’énergie à travers le corps. Une chorégraphie délicate, dans laquelle les mains commandent le reste du corps jusqu’à l’abandon total. ********** Nederlands ********** In deze double bill worden we uitgenodigd om onze relatie tot onze handen te heroverwegen en stil te staan bij hun rol in heden, verleden en toekomst. Door aan te raken, creëren we relaties van nabijheid waardoor we uit onze omgeving treden. In toenemende mate worden onze aanrakingen echter beïnvloed door technologieën die de manier waarop we onszelf en anderen waarnemen, veranderen. In Hands Made van Begüm Erciyas spelen de handen van het publiek de hoofdrol. Begeleid door een soundtrack observeren de toeschouwers hun hand en die van hun buur, wat tegelijk een effect van intimiteit en vervreemding tot stand brengt. Geïsoleerd van de rest van het lichaam worden onze handen het middelpunt van een reflectie over handwerk en tastzin. Waar zijn deze handen mee bezig geweest, en wie of wat zullen ze in de toekomst aanraken? Nothing But Fingers is een performance van beeldend kunstenaar Moe Satt. Hij raakte gefascineerd door de rol van handgebaren in Zuid-Afrikaanse jachtcommunicatie en in traditionele dans in Myanmar en Zuidoost-Azië, waarbij menselijke gebaren dierlijke vormen kunnen aannemen. Samen met danseres Liah Frank onderzoekt hij hun expressieve potentieel en vermogen om energiestromen in het lichaam te sturen. Een bijzondere choreografie waarin de handen de rest van het lichaam dicteren, tot de finale overgave.
********** English ********** 'Into Thin Air', contemporary dance (55 mins) | May 14, 2024 | 1 PM, 5 PM @ Korean Cultural Center 〈Into Thin Air〉 is a trash art based, real life inspired visual theater piece. It is about emptiness. It deals with the disappearance of value and cause, the loss of the present in the rush for a better future. Into Thin Air is set in a world of commercial values and soap opera morals. The piece's dramatic aspects, filled with dark humor, are derived from the true stories if there are 9 participants. As the piece unfolds, the dancers stretch their physical boundaries, as the characters in the piece are stretching their realistic boundaries to fit comics-like prototypes. Through rhythmical movement sections and beautifully crude visual imagery, short stories emerge, exposing a vast emotional field in which the 9 characters' virtuosity move around. 'Dance Speaks', contemporary dance (83 mins) | May 16, 2024 | 1 PM, 5 PM @ Korean Cultural Center is a lecture performance featuring dancers from various fields, including traditional Korean dance, contemporary dance, ballet, and street dance, who reflect on contemporary dance through dance and narrative, focusing on the specific body of the dancer. Dancers' bodies embody the illusion of beauty on stage, but in reality, they are often injured or deformed as professionals who use their bodies. In the performance, the dancers tell autobiographical stories about their bodies and use their own experiences with health and injury to critique the illusions that surround dance, and also show their dedication to dance on stage. 'Dallae Story', non-verbal puppet show (70 mins) | June 6, 2024 | 1 PM, 5 PM @ Korean Cultural Center is a story of three families who cherish the simple things in their lives together. It is a story of childhood memories that everyone has, and how the small pleasures of a happy and warm day can help us through the inevitable hard times. The unique form of actors and puppets performing together uses a variety of media, including objects, theater, mime, Korean dance, shadow play, and 3D video. It is a non-verbal puppet theater that uses lyrical dance and implied gestures to convey the content, making it easy for anyone to understand and relate to. ********** Français ********** 'Into Thin Air', danse contemporaine (55 minutes) | 14 mai, 2024 | 13h, 17h @ Centre Culturel Coréen 〈Into Thin Air〉 est une pièce de théâtre visuel inspirée de la vie réelle, basée sur l'art de la récupération. Elle traite de la vacuité. Elle aborde la disparition de la valeur et de la cause, la perte du présent dans la course vers un avenir meilleur. Into Thin Air est située dans un monde de valeurs commerciales et de morales de feuilleton. Les aspects dramatiques de la pièce, empreints d'humour noir, sont tirés des véritables histoires de ses 9 participants. Au fur et à mesure que la pièce se déroule, les danseurs repoussent leurs limites physiques, tout comme les personnages de la pièce repoussent leurs limites réalistes pour correspondre à des prototypes de bande dessinée. À travers des sections de mouvements rythmiques et des images visuelles magnifiquement crues, des histoires courtes émergent, exposant un vaste champ émotionnel dans lequel les 9 personnages virtuoses évoluent. 'Dance Speaks', danse contemporaine (83 minutes) | 16 mai, 2024 | 13h, 17h @ Centre Culturel Coréen est une performance de conférence mettant en vedette des danseurs de divers domaines, y compris la danse traditionnelle coréenne, la danse contemporaine, le ballet et la danse de rue, qui réfléchissent à la danse contemporaine à travers la danse et le récit, en mettant l'accent sur le corps spécifique du danseur. Les corps des danseurs incarnent l'illusion de la beauté sur scène, mais en réalité, ils sont souvent blessés ou déformés en tant que professionnels utilisant leurs corps. Dans la performance, les danseurs racontent des histoires autobiographiques sur leurs corps et utilisent leurs propres expériences en matière de santé et de blessures pour critiquer les illusions qui entourent la danse, et montrent également leur dévouement à la danse sur scène. 'Dallae Story', spectacle de marionnettes non verbal (70 minutes) | 6 juin, 2024 | 13h, 17h @ Centre Culturel Coréen est l'histoire de trois familles qui chérissent les choses simples de leur vie ensemble. C'est une histoire de souvenirs d'enfance que tout le monde a, et comment les petits plaisirs d'une journée heureuse et chaleureuse peuvent nous aider à traverser les moments difficiles inévitables. La forme unique d'acteurs et de marionnettes travaillant ensemble utilise une variété de médias, y compris des objets, du théâtre, du mime, de la danse coréenne, du théâtre d'ombres et de la vidéo 3D. C'est un théâtre de marionnettes non verbal qui utilise la danse lyrique et des gestes implicites pour transmettre le contenu, le rendant facile à comprendre et à se rapporter pour tout le monde. ********** Nederlands ********** 'Into Thin Air', hedendaagse dans (55 minuten) | 14 mei, 2024 | 13.00 uur, 17.00 uur @ Koreaans Cultureel Centrum 〈Into Thin Air〉 is een visueel theaterstuk geïnspireerd op het echte leven, gebaseerd op de kunst van het recyclen. Het gaat over de leegte. Het besproken het verdwijnen van waarde en oorzaak, het verlies van het heden in de haast naar een betere toekomst. Into Thin Air speelt zich af in een wereld van commerciële waarden en soapachtige moraal. De dramatische aspecten van het stuk, doorspekt met zwarte humor, zijn gebaseerd op de ware verhalen van de 9 deelnemers. Beweeglijke het stuk zich ontvouwt, verleggen de dansers hun fysieke grenzen, net zoals de personages in het stuk hun realistische grenzen verleggen om bij stripachtige prototypen te passen. Door ritmische bewegingssecties en prachtige regel van visuele beelden komen korte verhalen naar voren, waarin een uitgestrekt overdekt veld wordt blootgelegd waarin de 9 personages zich virtuoos bewegen. 'Dance Speaks', hedendaagse dans (83 minuten) | 16 mei, 2024 | 13.00 uur, 17.00 uur @ Koreaans Cultureel Centrum is een lezing-performance met dansers uit verschillende disciplines, waaronder traditionele Koreaanse dans, hedendaagse dans, ballet en straatdans, die reflecteren op hedendaagse dans door middel van dans en verhaal, met de nadruk op het specifieke lichaam van de danser. Hoewel de lichamen van de dansers op het podium de illusie van schoonheid belichamen, maar in werkelijkheid zijn ze vaak voorkomend of misvormd als professionals hun lichaam gebruiken. In de voorstelling vertellen de dansers autobiografische verhalen over hun lichamen en gebruiken ze hun eigen ervaringen met gezondheid en blessures om de illusies rondom dans te bekritiseren, en tonen ze ook hun toewijding aan dans op het podium. 'Dallae Story', woordeloze poppenshow (70 minuten) | 6 juni, 2024 | 13.00 uur, 17.00 uur @ Koreaans Cultureel Centrum is het verhaal van drie families die de eenvoudige dingen in hun leven koesteren. Het is een verhaal van jeugdherinneringen die iedereen heeft, en hoe de kleine geneugten van een gelukkige en warme dag ons kunnen helpen door de lastige tijden heen te komen. De unieke vorm van acteurs en poppen die samen optreden maakt gebruik van een verscheidenheid aan media, waaronder objecten, theater, mime, Koreaanse dans, schimmenspel en 3D-video. Het is een woordeloos poppentheater dat gebruik maakt van lyrische dans en impliciete gebaren om de inhoud over te brengen, waardoor het voor iedereen gemakkelijk te begrijpen en te relateren is.
********** English ********** How do we feel the impact of events which are so much larger than us, yet move through us, and animate and activate our bodies all the time? Ten performers enact a glacially morphing tableau vivant on a mobile raft-like stage. Their voices create a score that grows larger and resonates as they clutch, careen and cleave in a space too small to contain them, spilling off the edges. The scenes shown reference at times images from classical iconography. Tenderness and violence, sensuality and brute force cohabitate. The audience sits all around as if watching a boxing match, embanking the performers, close enough to smell their sweat and feel the steam of the spiralling scenes. Celebrated American choreographer Faye Driscoll returns to the festival with a multi-sensory flesh and breath sculpture made of bodies, sounds, scents, liquids and objects. She pushes her performers to their limits in this compelling, adventurous work, presented in the impressive Horta Hall, originally an exhibition space for sculptures. Weathering is an ode to the inexhaustible physical power of queer bodies.  Ticket sale 18 May '24 - 22:30 19 May '24 - 21:30 20 May '24 - 21:30 21 May '24 - 21:30 ********** Français ********** Comment ressentons-nous l’impact d’événements qui, malgré le fait qu’ils nous dépassent, parviennent à nous traverser, nous animer et activer nos corps ? Sur un plateau rotatif qui ressemble à un radeau, dix performeur·euses, en constante évolution, composent des images qui ressemblent à des tableaux vivants issus d’un univers queer. Leurs voix génèrent une partition qui va crescendo et résonne à mesure qu’iels s’agrippent mutuellement, se balancent et se repoussent sur une surface trop petite pour les contenir, menaçant de déborder. Par moments, des images issues de l’iconographie classique semblent se dessiner. Tendresse, violence, sensualité et force brute cohabitent. Assis autour de la scène comme s’il assistait à un match de boxe, le public peut ressentir la sueur et l’ardeur de scènes étourdissantes. La célèbre chorégraphe états-unienne Faye Driscoll revient au festival avec une sculpture multisensorielle faite de chair et de souffle, de corps, de sons, d’odeurs, de fluides et d’objets. Elle pousse ses performeur·euses jusqu’à leurs limites dans un spectacle fascinant et aventureux, présenté dans l’impressionnant Hall Horta, qui était à l’origine conçu comme une salle d’exposition pour sculptures. Weathering est une ode à l’inépuisable puissance physique des corps queer et à leurs évolutions.  Achat de tickets 18 mai '24 - 22:30 19 mai '24 - 21:30 20 mai '24 - 21:30 21 mai '24 - 21:30 ********** Nederlands ********** Hoe voelen we de impact van gebeurtenissen die onze lichamen bewegen en bezielen, maar tegelijk veel groter zijn dan onszelf? Tien performers verbeelden een steeds veranderende tableau vivant op een ronddraaiend vlot-achtig platform. Hun stemmen vormen een partituur die crescendo’s en resonanties laat horen terwijl ze elkaar vastgrijpen, wegduwen, en heen en weer slingeren over een oppervlak dat te klein is voor hen allen en uit zijn voegen dreigt te barsten. De getoonde scènes refereren bij momenten aan beelden uit de klassieke iconografie. Tederheid en geweld, sensualiteit en brute kracht worden met elkaar verzoend. Het publiek zit rondom, als bij een bokswedstrijd, kan de performers bijna aanraken, hun zweet ruiken en de stomende scènes proeven. De gevierde Amerikaanse choreografe Faye Driscoll keert terug naar het festival met een multisensoriële levende sculptuur van vlees en adem, van lichamen, geluiden, geuren en objecten. Ze drijft haar performers tot het uiterste in dit meeslepende, avontuurlijke werk, gepresenteerd in de indrukwekkende Hortahal, oorspronkelijk een tentoonstellingsruimte voor beeldhouwwerken. Weathering is een ode aan de onuitputtelijke fysieke kracht van queer lichamen.  Ticketverkoop 18 mei '24 - 22:30 19 mei '24 - 21:30 20 mei '24 - 21:30 21 mei '24 - 21:30
********** English ********** in FR surtitled in NL EN 75 min On 20.05 the performance is followed by an aftertalk. This story unfolds in the north of Lebanon, at Nahr el Bared, in a refugee camp hastily set up to shelter Palestinian families fleeing the Nakba of 1948. Years later, in 2007, war broke out between the Lebanese army and an infiltrated Islamist group, leading to the destruction of part of the camp. It was at that moment that the first traces appeared of Orthosia, an ancient Roman city, which vanished after being overwhelmed by a tsunami in 551 AD and which, despite 15 centuries of vain attempts to find it, no-one could ever have imagined finding there. But how best to deal with this major discovery, as excavations would mean a ‘second displacement’ for the refugee families? The filmmakers and artists Joana Hadjithomas and Khalil Joreige use photography, installations, video and cinema to question the account of the imagination and writing about the story. Through this performance, created for the festival, they uncover the palimpsest of constant cycles of construction and destruction, calling on the possible narratives about the underground worlds. A dizzying performance, full of (dis)continuities, upheavals and regeneration, which plunges us into a past that feels particularly close to the present. https://www.instagram.com/hadjithomasjoreigestudio discover the full programme of kunstenfestivaldesarts >>   — Presentation: Kunstenfestivaldesarts, Beursschouwburg A project by Joana Hadjithomas & Khalil Joreige Archaeologist: Hadi Choueri | Research: Maissa Maatouk Cinematography: Talal Khoury, Joe Saade, Julien Hirsch, Khalil Joreige Video editing: Tina Baz Animation: Laurent Brett Sound editing and mixing: Rana Eid - Studio DB Music: Charbel Haber Studio manager: Tara El Khoury Mikhael  Commissioned and produced by Kunstenfestivaldesarts Coproduction: Points communs – Nouvelle scène nationale de Cergy-Pontoise et du Val d’OiseThanks to Galerie In Situ, fabienne leclerc Image © Joana Hadjithomas & Khalil Joreige ********** Français ********** in FR surtitré en NL EN 75 min Le 20.05, la représentation est suivie d'un aftertalk. Cette histoire se déroule au nord du Liban, à Nahr el Bared, dans un camp de réfugié·es établi dans la hâte afin d’accueillir des familles palestiniennes fuyant la Nakba de 1948. Des années plus tard, en 2007, une guerre éclate entre l’armée libanaise et un groupe islamiste récemment infiltré, entraînant la destruction d’une partie du camp. C’est à ce moment-là que sont apparus les premiers vestiges d’Orthosia, une ancienne cité romaine disparue après avoir été ensevelie par un tsunami en 551 et que – cherchée en vain pendant 15 siècles – personne n’aurait pu imaginer trouver là. Mais comment faire face à cette découverte majeure, si y faire des fouilles implique un “second déplacement” des familles exilées en 1948 ? Les cinéastes et artistes Joana Hadjithomas et Khalil Joreige utilisent la photographie, les installations, la vidéo et le cinéma pour questionner la narration des imaginaires et l’écriture de l’histoire. Dans cette performance créée pour le festival, iels révèlent les cycles constants de constructions et de destructions, convoquant les narrations possibles de mondes souterrains. Une performance vertigineuse, pleine de (dis)continuités, de bouleversements et de régénérations, qui nous plonge dans un passé particulièrement proche du présent. https://www.instagram.com/hadjithomasjoreigestudio découvrez le programme complet du kunstenfestivaldesarts >> — Présentation : Kunstenfestivaldesarts, Beursschouwburg Un projet de Joana Hadjithomas & Khalil Joreige Archéologue : Hadi Choueri Recherche : Maissa Maatouk Image : Talal Khoury, Joe Saade, Julien Hirsch, Khalil Joreige Montage vidéo : Tina Baz Animation : Laurent Brett Montage Son et mixage : Rana Eid (Studio DB) Musique : Charbel Haber Studio manager : Tara El Khoury Mikhael Commandé et produit par Kunstenfestivaldesarts Coproduction: Points communs – Nouvelle scène nationale de Cergy-Pontoise et du Val d’Oise Remerciements : Galerie In Situ, fabienne leclerc Image © Joana Hadjithomas & Khalil Joreige ********** Nederlands ********** in FR boventiteld in NL EN 75 min Op 20.05 wordt de voorstelling gevolgd door een nagesprek. Dit verhaal speelt zich af in het noorden van Libanon, in Nahr el Bared, in een vluchtelingenkamp dat halsoverkop werd opgezet om Palestijnse families op te vangen die de Nakba van 1948 waren ontvlucht. Jaren later, in 2007, breekt er een oorlog uit tussen het Libanese leger en een geïnfiltreerde islamistische groepering, wat resulteert in de vernietiging van een deel van het kamp. Daarmee komen de eerste overblijfselen van Orthosia aan het licht, een oude Romeinse stad die verdween nadat ze in 551 n.C. door een tsunami was bedolven en waar 15 eeuwen lang tevergeefs naar werd gezocht. Maar hoe ga je om met zo’n belangrijke ontdekking, als opgravingen op die plek een ‘tweede ontheemding’ van vluchtelingenfamilies zou betekenen? Filmmakers en kunstenaars Joana Hadjithomas en Khalil Joreige gebruiken fotografie, installaties, video en film om geschiedschrijving in vraag te stellen. In deze performance, gecreëerd voor het festival, leggen ze de voortdurende cycli van opbouw en afbraak bloot, en roepen ze de mogelijke verhalen van ondergrondse werelden op. Een duizelingwekkende performance, vol omwentelingen en (dis)continuïteit, die ons onderdompelt in een verleden dat bijzonder dicht bij het heden blijkt te staan. https://www.instagram.com/hadjithomasjoreigestudio ontdek het volledige programma van kunstenfestivaldesarts >>   — Presentatie: Kunstenfestivaldesarts, Beursschouwburg Een project van Joana Hadjithomas & Khalil Joreige Archeologe: Hadi Choueri Onderzoek: Maissa Maatouk Beeld: Talal Khoury, Joe Saade, Julien Hirsch, Khalil Joreige Videomontage: Tina Baz Animatie: Laurent Brett Geluidsmontage en mixing: Rana Eid - Studio DB Muziek: Charbel Haber Studiomanager: Tara El Khoury Mikhael  In opdracht van en geproduceerd door Kunstenfestivaldesarts Coproductie: Points communs – Nouvelle scène nationale de Cergy-Pontoise et du Val d’Oise Met dank aan Galerie In Situ, fabienne leclerc Beeld © Joana Hadjithomas & Khalil Joreige
Avec Marche salope (1), Céline Chariot aborde le sujet du viol, interrogeant le mutisme qui entoure les agressions sexuelles. « La vraie question n’est pas de savoir pourquoi je parle, mais pourquoi je n’ai pas parlé » écrit-elle. Aujourd’hui, elle part de constats et de statistiques, pas d’une colère irrationnelle ; elle ne veut ni écrire de fiction édulcorée, ni chercher à raconter l’histoire des femmes et encore moins la sienne, ni à brûler les hommes, ni à faire justice. En reconstituant une scène de crime, par le biais d’un geste accessible, fort, documenté et poétique, travaillant à un acte artistique qui puisse révéler une certaine beauté tout en pouvant transcender la douleur de gestes passés, Céline Chariot, qui n’est ni danseuse, ni actrice, mais photographe, aborde le viol via le regard, via des sensations qui ont pour but la réflexion, et rappelle que dans cette transgression odieuse qu’est le viol, le crime n’est pas uniquement celui du violeur mais surtout celui d’un corps social qui pointe la victime comme responsable de son sort. Dans une forme originale où se mêlent texte, performance, silence, regard, reconstitution du réel et onirisme, le spectacle invite puissamment à la transformation des traumatismes du passé en une puissante frénésie d’en finir avec les inégalités de genre. (1) La Slutwalk, ou « Marche des salopes », est une marche de protestation née en avril 2011 au Canada après qu’un officier de police ait déclaré : « Si vous voulez éviter de vous faire violer, il faut éviter de s’habiller comme une salope »
********** English ********** Respublika is a total theatre experience, brought to you by a collective of actors, performers and stage managers who engage in an attempt to question their relationship to work, and, by extension, ours. Can creating music and organising a dance party be considered a form of resistance? Could the idea of a republic based on alternative economic principles give rise to a new raison d'être? Respublika is a new theatrical experience, directed by Polish artist Łukasz Twarkowski, in which the public is invited to form part of a community that shares food, stories and even a sauna. An immersive 6-hour experience which we invite you to join in. Come and discover the Grande Halle as you’ve never seen it before, transformed for the occasion into a temporary city where possibilities are redefined. 34€ / 30€ / 26€ ********** Français ********** Respublika est une expérience de théâtre totale, portée par un collectif d’acteur·ices, de performeur·euses et de régisseur·es techniques qui s’engagent dans une tentative de questionner leur relation au travail, et, par rebond, la nôtre. Est-ce que créer de la musique et organiser une dance party peut être considéré comme une forme de résistance ? Est-ce que l’idée d’une république basée sur des principes économiques autres peut donner naissance à une nouvelle raison d’être ? Respublika est une nouvelle expérience théâtrale mise en scène par l’artiste polonais Łukasz Twarkowski, dans laquelle le public est invité à faire partie d’une communauté, qui partage de la nourriture, des histoires et même un sauna. Une expérience immersive d’une durée de 6 heures à laquelle nous vous invitons à participer. Venez découvrir la Grande Halle comme vous ne l’avez jamais vue, transformée pour l’occasion en ville temporaire où les possibles sont redéfinis. 34€ / 30€ / 26€ ********** Nederlands ********** Respublika is totaaltheater uitgevoerd door een collectief van acteurs, performers en technische regisseurs die een poging ondernemen om hun relatie tot het werk, en bij uitbreiding dat van ons, in vraag te stellen. Kan muziek maken en een danceparty organiseren beschouwd worden als een vorm van verzet? Kan het idee van een republiek die gebaseerd is op andere economische principes aanleiding geven tot een nieuwe bestaansreden? Respublika is een nieuwe theaterbeleving geregisseerd door de Poolse kunstenaar Łukasz Twarkowski, waar het publiek wordt uitgenodigd om deel uit te maken van een gemeenschap die voedsel, verhalen en zelfs een sauna deelt. Een immersieve ervaring van 6 uur waarbij u wordt uitgenodigd om deel te nemen. Ontdek de Grote Hal zoals u ze nog nooit hebt gezien. Ze werd voor de gelegenheid omgetoverd tot een tijdelijke stad waar mogelijkheden worden geherdefinieerd. 34€ / 30€ / 26€
********** English ********** As the daughter of the child who was left in the home, Greene traces her family story along the matrilinear line, and the resulting film enters into the gaps in memory and record. Máthair offers a fragmented and elliptical account of a search for knowledge in the face of institutional oppression and obfuscation; the film resists linear narrative and documentary modes, offering us an intense and revelatory encounter with a shared family trauma. Scant records and redacted documents describe the negation and erasure of those who passed through the church’s homes for unmarried mothers. The sensory lives of these ungraspable women are embodied in choreographed phrases performed by four dancers, whose costumed movements both gesture towards and subvert the constrictive clothing regulations of Catholic institutions and the forced female labour in the church’s laundries. Glimpses of this performance are threaded between a chaotic collage of archival material and present-day online chat rooms; the only respite is found in the holding space of the landscape and the bodies of water between England and Ireland. The silences of the archive are countered by a dissonant sound score, a pulsing polyphonic composition dense with complex sensory impressions, and a chorus of unvoiced voices compelling us to stay with the problem.     Keira Greene is an artist working across film, photography, performance and text. Her work is preoccupied with the social and organic life and landscape of specific environments. Her work is produced through a collaborative and conversational practice of looking, writing and forming enduring relationships. Recent works are concerned with ideas of the body and the experience of emotion, in dialogue with an embodied filmmaking practice. http://keiragreene.com/ ********** Français ********** En 1954, une femme Irlandaise se rend en Angleterre pour donner naissance à un enfant illégitime. En 2024, sa petite-fille – la réalisatrice – retrace son parcours en reconstituant les fragments de son histoire. Máthair (Mère) s'appuie sur un réseau complexe d'informations obfusquées, provenant d'agences administratives d'adoption, des dossiers d'un foyer catholique pour mères et bébés et de conversations en ligne entre des inconnu·e·s suivant les mêmes traces d'archives. Máthair interroge les institutions religieuses, le concept de maternité et le sentiment d'appartenance à un lieu.   Keira Greene est une artiste qui travaille à la frontière du film, de la photographie, de la performance et du texte. Son travail se concentre sur la vie sociale et organique au sein de paysages spécifiques. Son travail est produit par une pratique collaborative et conversationnelle du regard, de l'écriture et par la formation de relations durables. Ses œuvres récentes s'intéressent aux corps et à l'émotion, en dialogue avec une pratique cinématographique incarnée. http://keiragreene.com/ ********** Nederlands ********** In 1954 reisde een Ierse vrouw naar Engeland om te bevallen van een buitenechtelijk kind. In 2024 volgt haar kleindochter, de filmmaker, haar reis door fragmenten van haar verhaal bij elkaar te zoeken. Máthair (Mother) is gebaseerd op een complex web van verdoezelde informatie van adoptiebureaus, verslagen van een katholiek tehuis voor moeders en baby's, en chatgesprekken tussen vreemden die hetzelfde archiefspoor volgen. Máthair bevraagt de instellingen van religie, noties van moederschap en een gevoel van plaats.   Keira Greene is een kunstenaar die werkt met film, fotografie, performance en tekst. Haar werk houdt zich bezig met het sociale en organische leven en landschap van specifieke omgevingen. Haar werk wordt gemaakt door middel van een collaboratieve en conversationele praktijk van kijken, schrijven en het vormen van duurzame relaties. Recente werken houden zich bezig met het lichaam en de ervaring van emotie, in dialoog met een belichaamde filmpraktijk. http://keiragreene.com/
********** English ********** Can we understand someone’s oeuvre without knowing her personal life? At the invitation of the festival, theatre makers Carolina Bianchi – who caused a furore at last year’s Festival d’Avignon – and Carolina Mendonça enter into conversation with filmmaker and writer Chantal Akerman. Why are we so obsessed with finding out the truth about someone? In Ma mère rit, Akerman wrote: “I don’t have a life, I’ve never learned how to make one for myself”. According to Bianchi and Mendonça, the personal lives of female artists are often scrutinised to the point of eclipsing their work. Now, they propose a dialogue with Akerman, about sexuality, heredity and the autobiographical writing process. With this venture, Bianchi and Mendonça continue their investigation on women artists of previous generations and on an expanded form of motherhood, two crucial concepts in their artistic path. They bring together fragments of Ma mère rit – in which Akerman wrote her memoirs while caring for her ailing mother – and references to Les Rendez-vous d’Anna, a movie in which she spent a night with her mother in a hotel close to the Gare du Midi. A layered reading performance inspired by Akerman’s mood and language, in an abandoned cinema, some streets away from that very hotel room. ********** Français ********** Peut-on comprendre l’œuvre d’un·e artiste sans connaître son récit personnel ? Pour cette commande du festival, les metteuses en scène Carolina Bianchi – qui a marqué le dernier Festival d'Avignon – et Carolina Mendonça ont engagé une conversation avec l’œuvre de la cinéaste et écrivaine Chantal Akerman. Pourquoi sommes-nous si intéressé·es par le vécu d’autres personnes ? Dans Ma mère rit, Akerman citait « Ma vie, je n’ai pas de vie. Je n’ai pas su m’en faire une ». Selon Bianchi et Mendonça, la vie personnelle des femmes artistes est souvent scrutée au point d’éclipser leur travail. Le processus d’écriture autobiographique, la sexualité et l’hérédité sont le point de départ du dialogue qu'elles entreprennent avec Akerman, mais aussi d’une enquête sur les femmes artistes de générations précédentes et sur une vision élargie des relations maternelles, deux concepts cruciaux dans leurs parcours artistiques. Présentée dans un cinéma abandonné, cette performance intime associe des passages de Ma mère rit, les mémoires rédigés par Akerman lorsqu’elle prenait soin de sa mère malade, avec des références au film Les Rendez-vous d’Anna, dans lequel elle passe une nuit avec sa mère dans un hôtel près de la gare du Midi. Une performance inspirée par la figure d’Akerman, présentée à quelques rues de cette même chambre d’hôtel.
Salut à tou·te·s, c’est Apollinaire ! Avant le Festival Interculturel du Conte de Bruxelles, que j'ai l'honneur de créer, je vous invite à découvrir "Welcome Home" au Monde des Histoires. Rejoignez-moi pour une soirée où je partagerai mon expérience de vie entre l'Afrique et la Belgique, entre rires et émotions profondes. Nous explorerons ensemble l'impact de ces deux cultures riches qui ont façonné mon identité. Billets disponibles : Ne manquez pas cette occasion de me soutenir, réservez votre place dès maintenant ici : https://www.mondedeshistoires.be Ce spectacle est parfait pour toutes et tous, celles et ceux qui cherchent à comprendre la richesse de la diversité culturelle. Venez seul·e, en famille ou avec des ami·e·s pour une expérience enrichissante et divertissante. Venez vivre avec moi ce voyage émotionnel où chaque éclat de rire nous rapproche d'un sentiment universel de 'chez nous'
Olivier Kalabasi est originaire de Kinshasa (RD Congo) dans la commune de Ngaba, rue Manzengele n° 89. Il réside actuellement à Paris (France) où il sert son Dieu dans la louange et l'adoration dans le groupe « El Bethel ». Dès son plus jeune âge, Olivier s'est fait remarquer dans les rues comme percussionniste, il a également fait partie de la chorale de l'apôtre Tambu Lukoki. Passionné de musique, dès son arrivée à Paris, Olivier devient l'incontournable des musiciens chrétiens. Il débute comme batteur. Mais à cette époque Olivier Kalabasi n'est pas reconnu de tous. Peu de temps après, il rejoint le groupe « Le Prince De La Paix » dirigé par René Lokua. Dès lors, il ne s'appelle plus Olivier mais Olibass car il confirme ses talents de bassiste au sein du groupe. Très talentueux "Olibass" évolue à un rythme effréné, il arrange plusieurs albums chrétiens (Dior Vanga, Sype Masiala, etc.). Olibass avait écrit la chanson « Natondi Yo » dans l'album « La Grâce » du groupe Le Prince De La Paix. Auteur-compositeur il compte aujourd’hui 7 albums à son effigie, dont plusieurs chansons phares tel que : « Lelo eza Lelo » ou encore « L’Elu de mon coeur ». Très investit dans ses compositions musicales il sait faire voyager son public sur des rythmes diversifiés et tient a toujours véhiculer un message d’amour et de grâce. il a sous sa tutelle son groupe El Bethel , avec lequel il fait voyager ses fans dans des mélodies cadencées et joyeuses. Après plusieurs années d’absence sur la scène Européenne, Olivier Kalabasi fait son grand retour pour la première fois en concert live en Belgique tant attendu, pour rendre se moment mémorable près de son chaleureux public, il vous fera découvrir en exclusivité première une chanson de son prochain album « PREMIUM VOL 2 ».