DISQUIET - sensational aesthetics of a technokin

Description

DISQUIET digs in to the tendencies for disruption and dystopia that permeate trough some of the different subgenres of hardcore techno like gabber, hardstyle, jungle and drum ‘n bass.  All these sounds are marked by an intensified bass and drum, a minimum speed of 160 BPM and a tendency for disruption of the flow.Focussing on these sonic ruptures, pauses and bursts, DISQUIET explores how they can inform and stimulate the body. Dancing hardcore is presented as a break from structure, looking for a disquieted elsewhere.

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Le 09/02/202420:30

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« J’aime faire rire. Pour moi, c’est une politesse. » dit Léonard Berthet-Rivière. Quiconque a vu ou verra le spectacle qui plonge dans les arcanes d’une histoire abracadabradantesque, trouvera ce jeune homme et sa complice Muriel Legrand de fait immensément polis. Qu’on en juge un peu : soit un vaudeville à table (ou presque), quatre actes, treize personnages, un acteur et une actrice ; soit une vendetta ourdie par Gérard contre son concurrent Raymond, le jour où celui-ci vient enlever sa maîtresse, Inès, femme de Gérard, alors que Frédéric, le fils de Raymond vient demander la main de Sophie, la fille de Gérard, enceinte jusqu’au yeux… Tous les ingrédients d’un vaudeville roboratif et d’une folle journée réunis sous la plume magistrale de Roger Dupré dans laquelle s’engouffrent l’actrice et l’acteur surfant sur l’absurdité d’une partition frénétique où la fantaisie mène le bal, et dans lequel on passe de la lecture savoureuse à deux têtes à une danse endiablée à mille bras. Symbolique et poétique, loufoque mais jamais dingue, Le mystère du gant pousse la tradition vaudevillesque à son paroxysme, touche l’absurde et ne se refuse aucune astuce pour nous redonner goût aux histoires. Un pied de nez salutaire à la sériosité et à la morosité qui fait beaucoup de bien.
« J’aime faire rire. Pour moi, c’est une politesse. » dit Léonard Berthet-Rivière. Quiconque a vu ou verra le spectacle qui plonge dans les arcanes d’une histoire abracadabradantesque, trouvera ce jeune homme et sa complice Muriel Legrand de fait immensément polis. Qu’on en juge un peu : soit un vaudeville à table (ou presque), quatre actes, treize personnages, un acteur et une actrice ; soit une vendetta ourdie par Gérard contre son concurrent Raymond, le jour où celui-ci vient enlever sa maîtresse, Inès, femme de Gérard, alors que Frédéric, le fils de Raymond vient demander la main de Sophie, la fille de Gérard, enceinte jusqu’au yeux… Tous les ingrédients d’un vaudeville roboratif et d’une folle journée réunis sous la plume magistrale de Roger Dupré dans laquelle s’engouffrent l’actrice et l’acteur surfant sur l’absurdité d’une partition frénétique où la fantaisie mène le bal, et dans lequel on passe de la lecture savoureuse à deux têtes à une danse endiablée à mille bras. Symbolique et poétique, loufoque mais jamais dingue, Le mystère du gant pousse la tradition vaudevillesque à son paroxysme, touche l’absurde et ne se refuse aucune astuce pour nous redonner goût aux histoires. Un pied de nez salutaire à la sériosité et à la morosité qui fait beaucoup de bien.
********** Français ********** Dans un quartier résidentiel aux abords d’une ville, nous suivons les trajectoires d’une dizaine de personnages à travers des nœuds de tensions multiples et des conflits sociaux générationnels. Ce microcosme au quotidien tranquille se découvre de nouvelles peurs et angoisses à la suite d’un événement extraordinaire. Véhiculant échecs, fantasmes et souvenirs, cet épisode va bouleverser la vie du voisinage. Chacun·e devra négocier avec plus ou moins de réussite la finitude de son existence. Poursuivant le travail collectif de mise en scène entamé dans leurs précédents spectacles, la compagnie Fany Ducat développe pour ce nouveau projet une dramaturgie plus cadrée avec un texte écrit à six mains. "Harmony" permet de faire coexister une multiplicité de lieux dans un même espace scénique au service d’un récit rythmé. Le spectacle mélange les codes et les genres, souhaite surprendre en articulant son histoire autour de sujets contemporains comme la paranoïa, le complotisme et la sécurité, mais aussi à l’aide de sujets plus intimes tels que la famille, le passage à la vie adulte, la séparation amoureuse… En traitant ces sujets sociétaux et intimes de manière absurde mais sans cynisme, le spectacle nous permet de rire de ces conflits. ********** Nederlands ********** Geïnspireerd op de wereld van grafische romans, stelt de compagnie Fany Ducat in "Harmony" een mozaïekvormig verhaal voor. De voorstelling dompelt ons onder in de dagelijkse mechanismen van een groep individuen tot een gebeurtenis hun gewoonten overhoop haalt. ********** English ********** Inspired by the universe of graphic novels, the company Fany Ducat proposes in "Harmony" a mosaic narrative. The show transports us to the daily mechanisms of a group of individuals before an event upsets their habits.
Ne jamais prendre la moindre décision. Ne jamais penser. Ne jamais choisir. Toute une vie déléguée à d’autres : des manipulateurs et manipulatrices. Est-ce fantastique ou est-ce terrible ? Et que peut faire une marionnette qui joue sans cesse le même spectacle, un spectacle qu’elle n’aime pas ? Que peut-elle faire pour changer les choses ? Elle décide donc de tenter le tout pour le tout et de prendre le pouvoir. De commander à son tour les marionnettistes. Ne plus vivre par procuration. Décider par soi-même. Mais pour ça, il va falloir convaincre les marionnettistes, qui tiennent à leurs emplois. La marionnette fait des promesses. Mais chez les artistes, personne n’y croit vraiment. Alors on demande l’avis du public : “peut-on rêver d’un autre système ?” Un chef d’œuvre de manipulations ! De et avec Cécile Maidon, Noémie Vincart et Michel Villée. Aide à la mise en scène et à l’écriture : Marion Lory. Regard dramaturgique et marionnettique : Pierre Tual. Création de la marionnette et scénographie : Valentin Périlleux. Costumes: Rita Belova. Lumière : Caspar Langhoff. Son : Alice Hebborn. Régie: Margaux Fontaine. Constructions : Corentin Mahieu et Simon Dalemans. Création magique : Andrea Fidelio. Diffusion: Pierre Ronti – Mes idées fixes.
Quatre comédiens pour 25 personnages vous racontent les d’Artagnan(s). Celui d’Alexandre Dumas mais aussi le véritable mousquetaire dévoué à Louis XIV. C’est donc un spectacle musical en deux parties. La première est une adaptation revisitée des « Trois Mousquetaires », la seconde partie nous fait traverser le royaume de France de Paris à St Jean de Luz, de Lupiac à Pignerolles au gré des aventures qui ont jalonné la vie de Charles de Batz de Castelmore. Coproducteur : La Compagnie du Baluchon (Tarbes – 65) D’après « Les trois mousquetaires » d’Alexandre Dumas et la vie du vrai D’Artagnan Mise en scène : Patrick Lode Création musicale : Roland Abadie & Victor Campa
Voie 3, trois amis se retrouvent pour aller profiter des derniers jours de beau temps à la traditionnelle foire aux cucurbitacés de “Bougnette-lez-Camoulasse”: Une destination pittoresque, idéale pour y danser, chanter, pique-niquer mais – “Pour votre sécurité, le trafic est momentanément interrompu.” Cette gare devient alors une prison à ciel ouvert, un no man’s land clos par un pouvoir impalpable celui d’une voix qui veille pour votre sécurité. Emprisonnés par la peur, face à leur impuissance, nos trois amis déconfits tentent de sauver les apparences. Mais les personnages de ce joli tableau incarnent peu à peu les ombres de leurs propres angoisses.  Voie 3 se dessine alors un champ de bataille où dans l’attente éclate une guerre territoriale. Another Brick, une immersion poétique au coeur de la sauvagerie ordinaire.
La presse en parle... "Une vraie prouesse théâtrale, seul sur scène, Luca Franceschi ne cesse de faire un va-et-vient époustouflant entre un personnage espiègle, amoureux de l’œuvre de Shakespeare et un comédien instable qui se demande s’il doit être ou « ne pas pas être." Le Comtadin "Une tragi-comédie aussi désopilante qu’acide. On rit de la tragédie et réfléchit avec la comédie. Les spectateurs sous le charme ne peuvent qu’applaudir cet exploit théâtral. Du jamais vu." Midi Libre « Lorsque la commedia dell’arte rencontre le théâtre de Shakespeare… nous nous retrouvons alors dans une tragédie contemporaine, une pure tragi-comédie, touchant au rire et à l’émotion… » La Gazette
8 août Eli subit son premier contrôle au faciès. Plongés dans la mémoire de cet événement aussi banal que violent, nous découvrons quelles sont les premières procédures d’un système oppressif. Dans ce premier solo, le chorégraphe a su transformer la violence systémique qu’il a subi en un matériau performatif fort et singulier développé à l’aide de la technique « De Caelo ». Cette dernière, conceptualisée par l’artiste lui-même, consiste à laisser une place importante à l’intelligence émotionnelle, au savoir situé et à l’improvisation. Mais aussi à convoquer les outils de l’astrologie, les cartes du ciel et à percevoir la manière dont les étoiles peuvent nous renseigner sur nos corps.
La Compagnie des Nouveaux Disparus débarquent à la Place De Brouckère en avril 2024 pour présenter son nouveau spectacle "Le Songe" ! Les représentations sont organisées dans le cadre de son projet transnational La Nomad House, un centre culturel itinérant conçu autour de la question migratoire qui voyagera à travers 6 pays pendant 4 mois, en commençant par la Belgique. Du 12 au 20 avril 2024, "Le Songe" sera joué pour 6 représentations publiques sur la mythique Place De Brouckère au cœur de Bruxelles. Le Songe est une ré-imagination de la pièce "Le Songe d’une nuit d’été" de William Shakespeare qui utilise la question migratoire comme point focal du récit. Dans cette version revisitée, une troupe de théâtre en pleine répétition de la célèbre pièce voit sa journée prendre une tournure inattendue lorsqu’une partie du groupe accueille incognito dans le théâtre… des migrant·es en détresse. Pensée comme une comédie dramatique, les spectateur·rices vont autant rire que s’émouvoir et en ressortiront avec un élan d’espoir. En parallèle, le public pourra assister à une exposition photo réalisée par la photo-journaliste Selena Magnolia, ainsi qu'à une conférence organisée en collaboration avec l'Université de Liège portant sur "les représentations des migrant·es et de la migration dans les pratiques culturelles". Toutes les activités sont gratuites, mais une réservation est requise pour "Le Songe" et la conférence en raison d'une capacité limitée. Vous pourrez réserver vos places via le site www.lanomadhouse.com [www.lanomadhouse.com] une fois que celles-ci seront ouvertes.