Pouvoir

Description

Ne jamais prendre la moindre décision. Ne jamais penser. Ne jamais choisir. Toute une vie déléguée à d’autres : des manipulateurs et manipulatrices. Est-ce fantastique ou est-ce terrible ? Et que peut faire une marionnette qui joue sans cesse le même spectacle, un spectacle qu’elle n’aime pas ? Que peut-elle faire pour changer les choses ?

Elle décide donc de tenter le tout pour le tout et de prendre le pouvoir. De commander à son tour les marionnettistes.

Ne plus vivre par procuration. Décider par soi-même. Mais pour ça, il va falloir convaincre les marionnettistes, qui tiennent à leurs emplois. La marionnette fait des promesses. Mais chez les artistes, personne n’y croit vraiment. Alors on demande l’avis du public : “peut-on rêver d’un autre système ?”

Un chef d’œuvre de manipulations !

De et avec Cécile Maidon, Noémie Vincart et Michel Villée. Aide à la mise en scène et à l’écriture : Marion Lory. Regard dramaturgique et marionnettique : Pierre Tual. Création de la marionnette et scénographie : Valentin Périlleux. Costumes: Rita Belova. Lumière : Caspar Langhoff. Son : Alice Hebborn. Régie: Margaux Fontaine. Constructions : Corentin Mahieu et Simon Dalemans. Création magique : Andrea Fidelio. Diffusion: Pierre Ronti – Mes idées fixes.

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********** Français ********** Dans une montagne de papier blanc, elle s’assied, dans ses pensées, après des heures et des heures d’écriture. Tout peut arriver. Les lignes entre le désespoir et l’espoir, le rêve et la réalité commencent à s’estomper. Soudain, les papiers qui l’entourent se réveillent et commencent à bouger. Le soleil se lève dans l’univers de l’imagination. « Niyar » est un monde à l’intérieur d’un monde. Une histoire dans son histoire, il y est question d’amour de perte et de désir d’accomplissement. Travailler dur dans un monde imparfait nous rend tristes. Les sentiments d’amour rendent heureux. Dans « Niyar », la tristesse et le désespoir bouleversent une âme de papier. Cette poésie visuelle est aussi l'oeuvre de deux artistes Mayan Iungman et Philip Ruckenwill. ********** Nederlands ********** In een berg wit papier zit ze, diep in gedachten, na uren en uren schrijven. Alles kan gebeuren. De grenzen tussen wanhoop en hoop, droom en werkelijkheid, beginnen te vervagen. Plotseling worden de papieren om hem heen wakker en beginnen te bewegen. De zon komt op in de wereld van de verbeelding. "Niyar" is een wereld in een wereld. Een verhaal in een verhaal, het gaat over liefde, verlies en het verlangen naar vervulling. Hard werken in een onvolmaakte wereld maakt ons verdrietig. Gevoelens van liefde maken ons gelukkig. In 'Niyar' overweldigen verdriet en wanhoop een papieren ziel. Deze visuele poëzie is ook het werk van twee kunstenaars, Mayan Iungman en Philip Ruckenwill. ********** English ********** In a mountain of white paper, she sits, deep in thought, after hours and hours of writing. Anything can happen. The lines between despair and hope, dream and reality, begin to blur. Suddenly, the papers around him wake up and begin to move. The sun rises in the world of the imagination. "Niyar" is a world within a world. A story within a story, it's about love, loss and the desire for fulfilment. Hard work in an imperfect world makes us sad. Feelings of love make us happy. In 'Niyar', sadness and despair overwhelm a paper soul. This visual poetry is also the work of two artists, Mayan Iungman and Philip Ruckenwill.
********** Français ********** Théâtre d'objets et de petites formes: des marionnettes et des objets veulent jouer et ne plus poser derrière une vitre. Donnons-leur leurs 5 secondes de célébrité dans cette combinaison d'exposition, de défilé et de cabaret. Première en Belgique, par l'artiste slovaque Katanari (découverte de notre JEM festival en 2022). Spectacle sans parole. A partir de 4 ans. ********** Nederlands ********** Theater van objecten en kleine vormen: poppen en objecten willen spelen en niet langer poseren achter glas. Laten we ze hun 5 seconds of fame geven in deze combinatie van tentoonstelling, modeshow en cabaret. Belgische première, door de Slowaakse kunstenaar Katanari (ontdekt op ons JEM-festival in 2022). Non-verbal show. Vanaf 4 jaar. ********** English ********** Theatre of objects and small forms: puppets and objects want to play and no longer pose behind glass. Let's give them their 5 seconds of fame in this combination of exhibition, fashion show and cabaret. Belgian premiere, by Slovakian artist Katanari (discovered at our JEM festival in 2022). Non-verbal show. From 4 years
Louis et Rau doivent leur amitié de longue date à leur recherche commune d’un art du réel. « L'essence du théâtre est la même que celle de la littérature : il s’agit de montrer ce qui est difficile à montrer. Le théâtre ne doit pas être un lieu sûr », a écrit Louis à propos de la pièce Familie de Rau. Dans The Interrogation, les deux hommes présentent un texte profondément personnel sur le doute et l'échec. Écrit et conçu au printemps 2021 à la demande du Kunstenfestivaldesarts, de l'IIPM et du NTGent, il n’avait cependant jamais été créé. Aujourd'hui, il est enfin proposé au public. Interprété par Arne De Tremerie, un acteur de l'ensemble global du NTGent, The Interrogation offre une « démonstration de vulnérabilité », un moment d'immobilité poétique. L'art peut-il nous permettre d'échapper à notre biographie ou n'est-il que le résidu d'une libération ratée ? « Il s’agit d’une pièce profondément mélancolique, fragmentaire et tendre », expliquent Louis et Rau lors d'un entretien. Elle est un échange continu d'idées sur le théâtre et la réalité, l'échec et la transformation, la fiction et la vérité, le devenir et l'être.
Maryse Condé a attribué à Tituba une enfance, une adolescence et une fin de vie fictives dans son livre primé Moi, Tituba, sorcière noire de Salem, qui à son tour a engendré une réflexion de la philosophe Elsa Dorlin dans Moi, toi, nous ... Tituba ou l'ontologie de la trace. Quand Dorothée Munyaneza fait la connaissance d'Elsa et de son travail, aucun doute ne subsiste : elles vont consacrer un projet à Tituba. Dans ce nouveau solo en dialogue avec le musicien Khyam Allami, Dorothée Munyaneza cherche à faire revivre les vies et les rêves de Tituba. Des hommes et des femmes dont l'identité et l'existence ont été niées et écrasées par la traite négrière et le régime colonial. À travers les mots. À travers le corps. À travers l'espace occupé par la voix et les chants. Dorothée dépeint une archive corporelle capable de collectionner et d'honorer les souvenirs. Une archive vivante, sensible, physique et corporelle, dans laquelle les expériences sont rassemblées. Un solo conçu comme une pollinisation croisée, un espace hybride. L’Afrique, puis l’Amérique, l’Europe, les Caraïbes, dans un sens puis dans l’autre... Un espace plein de traces, de rêves et de violence.
Hiver 1917. Un hôpital de campagne juste derrière les lignes de front. Cent vingt-trois malades pour deux infirmières ! Les temps sont durs. Cependant, quatre femmes et un jeune garçon, réunis par les hasards de la guerre vont faire la fête malgré les urgences, les cris des blessés et le bruit du canon. La vie est plus forte que tout. Alors, à la guerre comme à la guerre, on fait ce qu’il faut et on rit, on dit des bêtises, on fume les dernières cigarettes et on chante. Oui on chante ! Parce qu’il faut bien chanter quand le canon tonne. Pour lui répondre qu’on est vivantes. Des femmes dans la guerre qui soignent ceux qui repartiront sitôt réparés. Des femmes qui se heurtent : patriotisme ou pacifisme ? Subir ou résister ? Tenir ou plier ? Un spectacle lumineux, pourtant. Car toujours, on espère. Toujours on se bat contre la violence avec les outils de la résistance : réparer, soulager, partager, ne pas faiblir, être debout, résister à la fatigue et à la peur. Et on invente la vie qui doit être plus forte que la mort, plus puissante que la destruction. Quand l’une flanche, l’autre la récupère. Et c’est de ça qu’elles sont fortes. Un spectacle pour toute la famille, drôle et tendre parce qu’elles sont épatantes ces femmes bourrées de l’énergie que provoquent l’espoir et la volonté. Car cette guerre-ci sera la Der, c’est sûr. Ce sera « la Der des Ders… » __________ De Dany Laurent / Mise en scène : Patricia Ide et Serge Demoulin / Avec : Laurence D’Amelio, Soazig De Staercke, Laure Godisiabois __________ UNE PRODUCTION DU THÉÂTRE LE PUBLIC. AVEC LE SOUTIEN DU TAX SHELTER DE L’ÉTAT FÉDÉRAL BELGE VIA BESIDE ET DE LA COMMUNAUTÉ FRANÇAISE.
Hiver 1917. Un hôpital de campagne juste derrière les lignes de front. Cent vingt-trois malades pour deux infirmières ! Les temps sont durs. Cependant, quatre femmes et un jeune garçon, réunis par les hasards de la guerre vont faire la fête malgré les urgences, les cris des blessés et le bruit du canon.La vie est plus forte que tout. Alors, à la guerre comme à la guerre, on fait ce qu’il faut et on rit, on dit des bêtises, on fume les dernières cigarettes et on chante. Oui on chante ! Parce qu’il faut bien chanter quand le canon tonne. Pour lui répondre qu’on est vivantes. Des femmes dans la guerre qui soignent ceux qui repartiront sitôt réparés. Des femmes qui se heurtent : patriotisme ou pacifisme ? Subir ou résister ? Tenir ou plier ? Un spectacle lumineux, pourtant. Car toujours, on espère. Toujours on se bat contre la violence avec les outils de la résistance : réparer, soulager, partager, ne pas faiblir, être debout, résister à la fatigue et à la peur.Et on invente la vie qui doit être plus forte que la mort, plus puissante que la destruction. Quand l’une flanche, l’autre la récupère. Et c’est de ça qu’elles sont fortes.Un spectacle pour toute la famille, drôle et tendre parce qu’elles sont épatantes ces femmes bourrées de l’énergie que provoquent l’espoir et la volonté. Car cette guerre-ci sera la Der, c’est sûr. Ce sera « la Der des Ders… »__________De Dany Laurent / Mise en scène : Patricia Ide et Serge Demoulin / Avec : Laurence D’Amelio, Soazig De Staercke, Laure Godisiabois__________UNE PRODUCTION DU THÉÂTRE LE PUBLIC. AVEC LE SOUTIEN DU TAX SHELTER DE L’ÉTAT FÉDÉRAL BELGE VIA BESIDE ET DE LA COMMUNAUTÉ FRANÇAISE.
********** English ********** Louis and Rau are long-time friends, a friendship which arose from their shared search for an art of reality. “The existential core of theatre is the same as that of literature: to show what is difficult to show. Theatre should not be a safe space,” Louis wrote about Rau’s play Familie. With The Interrogation, Rau and Louis present a very personal text about doubt and failure. The play was written in the spring of 2021, at the time commissioned by Kunstenfestivaldesarts, IIPM & NTGent, but it never premiered. Now, it finally takes to the stage. Performed by NTGent ensemble actor Arne De Tremerie, The Interrogation is a ‘demonstration of vulnerability’, a moment of poetic stillness. Can art help us escape our biography, or is art merely a reflection of a failed escape? “It’s a deeply melancholic play, a fragmentary play, a tender play,” said Louis and Rau in an interview – a constant exchange of thoughts about theatre and reality, failure and transformation, fiction and truth, about becoming and being. ********** Français ********** Louis et Rau doivent leur amitié de longue date à leur recherche commune d’un art du réel. « L'essence du théâtre est la même que celle de la littérature : il s’agit de montrer ce qui est difficile à montrer. Le théâtre ne doit pas être un lieu sûr », a écrit Louis à propos de la pièce Familie de Rau.  Dans The Interrogation, les deux hommes présentent un texte profondément personnel sur le doute et l'échec. Écrit et conçu au printemps 2021 à la demande du Kunstenfestivaldesarts, de l'IIPM et du NTGent, il n’avait cependant jamais été créé. Aujourd'hui, il est enfin proposé au public. Interprété par Arne De Tremerie, un acteur de l'ensemble global du NTGent, The Interrogation offre une « démonstration de vulnérabilité », un moment d'immobilité poétique. L'art peut-il nous permettre d'échapper à notre biographie ou n'est-il que le résidu d'une libération ratée ? « Il s’agit d’une pièce profondément mélancolique, fragmentaire et tendre », expliquent Louis et Rau lors d'un entretien. Elle est un échange continu d'idées sur le théâtre et la réalité, l'échec et la transformation, la fiction et la vérité, le devenir et l'être. ********** Nederlands ********** Louis en Rau zijn al lang vrienden, een vriendschap die ontstond uit hun gedeelde zoektocht naar een kunst van het reële. “De wezenskern van theater is dezelfde als in literatuur: tonen wat moeilijk te tonen is. Theater moet geen veilige plek zijn”, schreef Louis over Rau's toneelstuk Familie.  Met de voorstelling The Interrogation  presenteren de twee nu een zeer persoonlijke tekst over twijfelen en falen. Het stuk werd geschreven en gemaakt door Louis en Rau in het voorjaar van 2021, oorspronkelijk in opdracht van het Kunstenfestivaldesarts, IIPM & NTGent, maar ging nooit in première. Nu is het eindelijk live te zien. Gespeeld door Arne De Tremerie, een acteur uit het globale ensemble van NTGent, is The Interrogation een “demonstratie voor kwetsbaarheid”, een moment van poëtische stilstand.  Kunnen we via de kunst ontsnappen aan onze biografie, of is kunst slechts de neerslag van een mislukte bevrijding? “Het is een diep melancholisch toneelstuk, een fragmentarisch toneelstuk, een teder toneelstuk”, zo vertelden Louis en Rau in een interview –  een voortdurende gedachtewisseling over theater en werkelijkheid, mislukking en transformatie, fictie en waarheid, over worden en zijn.
Deux marionnettistes donnent vie à … un ballon. Mais il ne s’agit pas de n’importe quel ballon ! C’est monsieur Fragile ! Mr Fragile est coloré, brillant, gonflé à bloc mais tellement… fragile. Un seul faux bond et toute sa vie explose. Alors Mr Fragile grandit en osant à peine bouger. Nous le suivons sur le chemin de la vie. Un chemin rempli de dangers et de défis, où le cœur et la tête ne prennent pas toujours la même direction… Soudain quelque chose se passe. Quelque chose de totalement imprévu. Quelque chose de beau mais quelque chose de terriblement dangereux !
********** Nederlands ********** Programma: Jacques Prévert (1900-1977, Fr) : Le contrôleur; Sur le champ; Ne craignez rien; Cœur de rubis; Le soleil aime la terre; Il ne faut pas laisser les intellectuels; Tant de forêts arrachées; Aphorismes; Arthur Rimbaud (1854-1891, Fr) : Sensations; Une saison en enfer – extrait; Lettre du voyant; Henri Michaux (1899-1984, Be) : Un homme paisible; Contre; Le Grand Combat; Nausée; Emportez-moi; Pierre Albert Birot (1876-1967, Fr) : Grabinoulor – extrait 1 et 2; Jean Tardieu (1903-1995, Fr) : Monsieur, Monsieur; L’homme qui n’y comprend rien; Molinet (1435-1507, Fr) : Madame qui mon cœur avez; Rabelais (1490-1553, Fr) : Gargantua-extrait; Florian (1755-1794, Fr) : Le chien et le chat; Ibn El Muqafa (VIIe s., Perse) : L’homme à la cruche; L’homme qui fuyait la mort. ********** Français ********** Programme du spectacle : Jacques Prévert (1900-1977, Fr) : Le contrôleur; Sur le champ; Ne craignez rien; Cœur de rubis; Le soleil aime la terre; Il ne faut pas laisser les intellectuels; Tant de forêts arrachées; Aphorismes; Arthur Rimbaud (1854-1891, Fr) : Sensations; Une saison en enfer – extrait; Lettre du voyant; Henri Michaux (1899-1984, Be) : Un homme paisible; Contre; Le Grand Combat; Nausée; Emportez-moi; Pierre Albert Birot (1876-1967, Fr) : Grabinoulor – extrait 1 et 2; Jean Tardieu (1903-1995, Fr) : Monsieur, Monsieur; L’homme qui n’y comprend rien; Molinet (1435-1507, Fr) : Madame qui mon cœur avez; Rabelais (1490-1553, Fr) : Gargantua-extrait; Florian (1755-1794, Fr) : Le chien et le chat; Ibn El Muqafa (VIIe s., Perse) : L’homme à la cruche; L’homme qui fuyait la mort.
********** Français ********** C’est l’histoire de trois personnages : Josef, La Fillette et l’Accumulateur . Josef vit seul dans son petit appartement, il mène une existence routinière. Tous les jours sont les mêmes : un peu de gym, aller au boulot à vélo, pousser des caisses et des caisses, rentrer à la maison . La Fillette vit seule aussi. Plus inquiétant pour une fillette. Elle vit au milieu de conteneurs abandonnés. Mais dans cet amoncellement, elle joue, elle saute : elle est chez elle, bien vivante au milieu de ce no man’s land. Un jour, toute occupée qu’elle est à imiter une mouette, elle découvre un bébé dans un conteneur. Consciente qu’il ne pourra pas s’en sortir si on le laisse là, elle part chercher Josef pour qu’il vienne l’aider à trouver une solution. Entre temps, hélas, le conteneur dans lequel se trouve le bébé disparaît. La Fillette n’aura alors de cesse de le retrouver. ********** Nederlands ********** Dit is het verhaal van drie personages: Josef, Het Meisje en De Accumulator. Josef woont alleen in zijn kleine flat en leidt een routinematig bestaan. Elke dag is hetzelfde: een beetje fitnessen, naar het werk fietsen, dozen en dozen duwen, thuiskomen. Het kleine meisje woont ook alleen. Nog meer zorgen voor een klein meisje. Ze woont midden tussen verlaten containers. Maar in deze hoop speelt ze, springt ze: ze is thuis, springlevend midden in dit niemandsland. Op een dag, terwijl ze een zeemeeuw nadoet, ontdekt ze een baby in een container. Ze is zich ervan bewust dat de baby het niet zal halen als ze hem daar achterlaat en gaat op zoek naar Josef. Josef om haar te helpen een oplossing te vinden. Helaas is ondertussen de container met de baby verdwenen. Het kleine meisje zal nooit stoppen met proberen hem te vinden. Elders, parallel, is er de Accumulator. Het kruist nooit anderen. De Accumulator is ook alleen. Alleen met zijn computer. De Accumulator is een hoofd en vingers. En de hele dag is hij opdrachten. En hij ontvangt. En hij beveelt opnieuw en opnieuw. Tot hij totdat hij is opgeslokt door alle orders, alle dozen die zijn geleverd. Un Conteneur spreekt over onze wereld, de wereld van overconsumptie werk en het leven dat verspild wordt aan het verdienen ervan. Het gaat over de mensen die het maken en degenen die worden uitgesloten. Het gaat over degenen die hebben en zij die niets hebben, en omgekeerd. Het gaat over degenen Het gaat over degenen die ondergedoken leven en die we niet hopen te zien. Maar Un Conteneur gaat ook over de onherleidbare vreugde van de kindertijd, vriendschap en de kracht van het collectief. ********** English ********** This is the story of three characters: Josef, The Girl and The Accumulator. Josef lives alone in his small flat, leading a routine existence. Every day is the same: a bit of gym, cycling to work, pushing boxes and boxes, coming home. The little girl lives alone too. More worrying for a little girl. She lives in the middle of abandoned containers. But in this heap, she plays, she jumps: she's at home, very much alive in the middle of this no-man's-land. One day, busy imitating a seagull, she discovers a baby in a container. in a container. Aware that the baby won't make it if it's left there, she sets off to find Jose. Josef to come and help her find a solution. Unfortunately, in the meantime, the container containing the baby has disappeared. The little girl will never stop trying to find him. Elsewhere, in parallel, there is the Accumulator. It never crosses others. The Accumulator is alone too. Alone with his computer. The Accumulator is a head and fingers. And all day long, he's commands. And he receives. And he orders again and again. Until he until he's swallowed up by all the orders, all the boxes that have been delivered. Un Conteneur speaks of our world, the world of over-consumption stultifying work, and the life wasted on earning it. It's about the people who make it and those who are excluded. It speaks of those who have and those who have nothing, and vice versa. It speaks of those It's about those who live in hiding and whom we hope not to see. But Un Conteneur is also about the irreducible joy of childhood, friendship and the strength of the collective.