Les Téméraires

Description

Plongez dans le Moyen-Âge avec Bart Van Loo ! Au fil du spectacle, il vous entraînera de bûchers en banquets, de peste en tournois, de Jeanne d’Arc à Philippe le Bon. Vous découvrirez que les ducs de Bourgogne sont les pères fondateurs d’un nouvel État : les Plats Pays, le berceau de ce qui deviendra la Belgique et les Pays-Bas.

Avec son mélange indéfinissable d’humour et d’érudition, Bart transformera l’auditorium de KBR en… salle de classe ! Et cela à quelques mètres d’où sont conservés les plus beaux manuscrits des ducs de Bourgogne : le KBR museum. Un spectacle à ne pas manquer !


x Informations pratiques

Il sera possible de combiner le spectacle avec une visite du musée. En effet, le KBR museum sera ouvert le 17 décembre de 10h à 17h. Sur présentation de votre ticket pour le spectacle, vous bénéficierez du tarif réduit et vous ne payerez que 8€ pour votre ticket du musée.

Le jour de l’événement, vous aurez aussi l’opportunité d’acheter et/ou de faire dédicacer le livre de Bart Van Loo dans le shop à KBR.

Vous souhaitez bruncher avant le spectacle ? N’hésitez pas à réserver une table au restaurant a l b e r t ici.


"Lire Van Loo est déjà une expérience, le voir sur scène en est une autre. À ne pas rater !"

– Béatrice Delvaux, Le Soir


x Bart van Loo

Né en 1973 à Herentals, Bart Van Loo est un écrivain belge néerlandophone. Après des études de philologie romane, il s’est passionné pour l’histoire et la culture de la France, y consacrant plusieurs livres. Les Téméraires (2020), premier ouvrage traduit en français et déjà paru dans plusieurs pays européens, s’est vendu à 350 000 exemplaires dont plus de 50 000 dans sa version française. L’auteur est Commandeur de l’Ordre de la Couronne en Belgique et vient d’être nommé Chevalier des Arts et des Lettres en France.

Billets

Normal
17€

Organisateur

Vous organisez cet événement ?

Contactez-nous si vous souhaitez mettre à jour les informations et autres.

Nous contacter

1 Photo

Événements suggérés

8 août Eli subit son premier contrôle au faciès. Plongés dans la mémoire de cet événement aussi banal que violent, nous découvrons quelles sont les premières procédures d’un système oppressif. Dans ce premier solo, le chorégraphe a su transformer la violence systémique qu’il a subi en un matériau performatif fort et singulier développé à l’aide de la technique « De Caelo ». Cette dernière, conceptualisée par l’artiste lui-même, consiste à laisser une place importante à l’intelligence émotionnelle, au savoir situé et à l’improvisation. Mais aussi à convoquer les outils de l’astrologie, les cartes du ciel et à percevoir la manière dont les étoiles peuvent nous renseigner sur nos corps.
Comment souder nos rages, et regrouper nos corps pour passer à l’action ? La nuit venue, trois jeunes femmes se faufilent dans le noir. Ce qu’elles s’apprêtent à faire est interdit. Pourtant, rien ne peut les arrêter. Ni la police, qui rôde dans la ville. Ni cette peur, qui fait trembler leurs jambes. Ni le danger, qui n’est jamais bien loin. Ensemble, elles ne se dérobent pas. Elles tiennent bon, se protègent, se réchauffent. Elles soudent leurs destins pour passer à l’action. Elles avancent, corps furtifs bravant l’obscurité, jusqu’à ce mur immense qui leur servira de page blanche, pour écrire leur colère en lettres capitales. Dénoncer l’injustice, qui écrase leur monde et engourdit leurs muscles, en inscrivant des mots que chacun·e pourra lire, partager, peupler de ses propres peines, de ses propres désirs. Des mots qui résonneront, qui réveilleront l’espoir et la puissance inouïe qui fait vibrer les corps lorsqu’ils se mettent en lutte. Des mots qui feront foule, lorsque le jour viendra … Que faire de notre rage, dans une société qui fait passer sa violence structurelle pour un mécanisme d’auto-défense, et considère les élans de résistance populaire comme un poison séditieux à combattre sur-le-champ ? Tirant son inspiration de l’engagement des colleuses d’affiches féministes et nourri d’échanges avec des adolescent·es lors d’ateliers de recherche, Puissant·es nous entraîne sur les traces de trois jeunes héroïnes contemporaines, aux prises avec la brutalité du monde. Rassemblées dans l’espace public, elles décident de rompre avec l’impuissance et de faire converger leurs combats pour mener une action considérée comme illégale : inscrire leur révolte sur les murs de la ville. Un groupe solidaire qui les renforce, et au sein duquel ces figures opprimées vont peu à peu mettre leurs corps en jeu. Des corps à nouveau habités, instinctifs et agiles, qui fusent, se soulèvent, courent, escaladent les obstacles et déchirent les interdits. Des gestes qui résistent et se déploient, porteurs d’une force insoupçonnée qui transforme leur rapport au monde et leur sert de tremplin pour retrouver la joie.   Sur le plateau, les comédiennes Annette Gatta, Sophie Linsmaux et Coralie Vanderlinden, qui signe également la mise en scène de cette nouvelle création de la Compagnie 3637, tissent un imaginaire lumineux et combattif, d’une immense liberté, qui mobilise aussi bien les jeunes spectateur·ices que les publics adultes. Entourées de leur équipe, elles incarnent ce récit porteur d’alternative, qui s’infiltre dans les brèches de notre époque pour documenter une forme contemporaine de militantisme et questionner nos espoirs et nos indignations. Entre poésie brute et images fortes, passages musicaux et chorégraphies des corps en lutte, Puissant·es nous plonge au cœur d’une expérience intime et sensorielle, qui ravive en nous une envie certaine d’émancipation.
« Je peux me consumer de tout l’enfer du monde Jamais je ne perdrai cet émerveillement du langage » Louis Aragon « Mon cœur à plus d’amour que vous n’avez d’oubli… » Victor Hugo Divertissement ? Exaltation des mots ? Récital ? Fantaisie musicale ? Hommage aux grands hommes ? Tout à la fois et plus encore… Aboutissement d'un travail de plus de quinze années, cette création produite et interprétée par Gérard-André est un spectacle hors normes croisant textes et chansons d'après une sélection des œuvres des deux poètes et écrivains majeurs du XIXème et XXème siècle. Dix neuf poèmes chantés (musique de Gérard-André pour dix sept d'entre eux, un par Patrick Vasori, un par le guitariste Philippe Darees). Neuf textes dits, mêlant la puissance visionnaire, la force littéraire, la modernité d'Hugo et d'Aragon. Conseillé par le comédien et metteur en scène Yves Prunier, et par Amélie Prévost, comédienne et metteur en, scène, pour l’adaptation 2018 Gérard-André relève un défi à la hauteur de son admiration pour le génie de ses maîtres privilégiés. Un exceptionnel florilège qui voyage dans l'univers étrangement proche des deux auteurs en trouvant l'accord subtil entre parole, musique, mise en espace et mise en lumière. Qui croira reconnaître l'un pourra fort bien se retrouver saisi par l'autre dans le dialogue installé entre les deux voix magistrales auxquelles Gérard-André prête sa chair et son souffle avec inspiration, ferveur et conviction. Les orchestrations et les arrangements de Patrick Vasori sont complices des textes dits et chantés. Un rendez-vous d'une heure trente, inoubliable.
Le Rideau à l’atelier 210 DUREE - A confirmer _______________________________________________________ Macc(h)abées parle de la mort, non pas de manière métaphorique, mais de manière très directe, corporelle. Le spectacle parle du deuil, de l’adieu, du rapport compliqué au corps de moins en moins « productif », du choix de la mort, et il parle donc nécessairement de la vie et du sens qu’on donne à cette vie, à travers nos expériences et nos engagements. Basé sur une longue période de recherches préliminaires (notamment sur la question de l’euthanasie), d’expériences immersives, troublantes mais nécessaires (le soin des morts), de rencontres bouleversantes (avec des médecins, des patients, des psychologues, des « professionnel-le-s » de la mort), Macc(h)abées raconte l’histoire de cette impossible rencontre avec la mort. Une partie du texte du spectacle se base sur deux livres du docteur Dirk Van Duppen : Ainsi s’est écoulé le temps qu’il m’était compté et L’homme est un loup pour l’homme : fondements scientifiques de la solidarité co-écrit avec Johan Hoebeke. _______________________________________________________ Conception, écriture, mise en scène, interprétation Sophie Warnant - Ecriture, création musicale, interprétation Romain David - Création sonore et musicale, dessin Wim Lots - Assistanat à la mise en scène et costumes Esther Denis - Régie Philippe Kariger - Scénographie Léo De Nijs - Collaboration artistique corps dansant Marco Labellarte et Lisi Estaràs - Soutien dramaturgique Karel Vanhaesebrouck - Partenaires de route Renelde Pierlot, Romain Vaillant – Photo visuel WimLots. Production la compagnie du Sujet Barré, production déléguée de l’atelier 210. Coproduction le Rideau, le théâtre de la Joliette de Marseille, le Théâtre Jean-Vilar de Vitry-sur-Seine, la COOP asbl et Shelter Prod. Soutiens et résidences Quai 41, le CORRIDOR, la compagnie Point Zéro, le Kopergietery, le théâtre des DOMS, la Geste, le théâtre La Cité / Marseille, le théâtre Varia, la maison de la culture de Tournai. Avec l’aide de Théâtre&public. Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Service général de la Création artistique, de taxshelter.be, ING et du tax-shelter du gouvernement fédéral belge. Merci à (par ordre chronologique) : Yannick Cossard pour l’Association Régionale de Concertation sur les Soins Palliatifs du Hainaut Occidental ARCSPHO, les infirmières du service de soins palliatifs et du service oncologie du Chapwi (centre hospitalier de Wallonie Picarde), la docteur Dopchie, Sophie, l’équipe de psychologues et les accompagnateur·rice·s de la plate-forme prévention suicide, Yoan Cecco, Karine - Thanatopractrice, docteur Wim Distelmans, docteur Luc Sauveur, docteur François Damas. Merci à Berlinde De Bruyckere. Merci à (par ordre alphabétique) Françoise Bloch, Serafina Cutaia, Camille de Leu, Isabelle Gyselinx, Gorges Ocloo, Alain Platel, Raven Ruëll, Frouke Van Gheluwe et Yaël Steinmann, Brigitte van den Bosch.
Depuis un an et demi, Lisa Tonelli et Emeline Marcour ont sillonné la commune d’Ixelles à la rencontre de restaurateurs. Elles ont récolté des histoires de goûts, de dégouts, de goûts nostalgiques, oubliés, obsessionnels ou réconfortants, de goût du quotidien, de goûts festifs….et avec tout ça, elles ont composé leur grand « Frichti » * : Un spectacle théâtral, culinaire, intimiste et participatif.
 
 * Un "Frichti" est un repas simple et souvent improvisé, généralement préparé avec le ingrédients que l’on a sous la main. 
 
 Avant la semaine de spectacles : 
 Samedi 6 avril « Atelier de cuisine saupoudré de poésie » animé par Nadjad. 14h00 (durée 1h30) Mercredi 10 Avril Atelier Slam: « Tambouille familiale » animé par Nadjad. 19H00 (durée 2h)  
 
 Pendant la semaine de spectacles : 
 Le 16 avril : la première à 20h Le 17 avril : Spectacle à 19h Le 17 avril scène slam sur la thématique de la cuisine / Gratuit 20h45 Le 18 avril : Spectacle à 20h + diffusion du 1er podcast Le 19 avril : Spectacle à 20h + diffusion du 2ème podcast Le 20 avril : Spectacle à 20h + diffusion du 3ème&4èmepodcasts Thématiques des podcast: Des frères et des sœurs, le rapport à la table et à la nourriture : réflexions, histoires, souvenirs à satiété, partage nourrissant et succulentes anecdotes.
Ne jamais prendre la moindre décision. Ne jamais penser. Ne jamais choisir. Toute une vie déléguée à d’autres : des manipulateurs et manipulatrices. Est-ce fantastique ou est-ce terrible ? Et que peut faire une marionnette qui joue sans cesse le même spectacle, un spectacle qu’elle n’aime pas ? Que peut-elle faire pour changer les choses ? Elle décide donc de tenter le tout pour le tout et de prendre le pouvoir. De commander à son tour les marionnettistes. Ne plus vivre par procuration. Décider par soi-même. Mais pour ça, il va falloir convaincre les marionnettistes, qui tiennent à leurs emplois. La marionnette fait des promesses. Mais chez les artistes, personne n’y croit vraiment. Alors on demande l’avis du public : “peut-on rêver d’un autre système ?” Un chef d’œuvre de manipulations ! De et avec Cécile Maidon, Noémie Vincart et Michel Villée. Aide à la mise en scène et à l’écriture : Marion Lory. Regard dramaturgique et marionnettique : Pierre Tual. Création de la marionnette et scénographie : Valentin Périlleux. Costumes: Rita Belova. Lumière : Caspar Langhoff. Son : Alice Hebborn. Régie: Margaux Fontaine. Constructions : Corentin Mahieu et Simon Dalemans. Création magique : Andrea Fidelio. Diffusion: Pierre Ronti – Mes idées fixes.
« J’aime faire rire. Pour moi, c’est une politesse. » dit Léonard Berthet-Rivière. Quiconque a vu ou verra le spectacle qui plonge dans les arcanes d’une histoire abracadabradantesque, trouvera ce jeune homme et sa complice Muriel Legrand de fait immensément polis. Qu’on en juge un peu : soit un vaudeville à table (ou presque), quatre actes, treize personnages, un acteur et une actrice ; soit une vendetta ourdie par Gérard contre son concurrent Raymond, le jour où celui-ci vient enlever sa maîtresse, Inès, femme de Gérard, alors que Frédéric, le fils de Raymond vient demander la main de Sophie, la fille de Gérard, enceinte jusqu’au yeux… Tous les ingrédients d’un vaudeville roboratif et d’une folle journée réunis sous la plume magistrale de Roger Dupré dans laquelle s’engouffrent l’actrice et l’acteur surfant sur l’absurdité d’une partition frénétique où la fantaisie mène le bal, et dans lequel on passe de la lecture savoureuse à deux têtes à une danse endiablée à mille bras. Symbolique et poétique, loufoque mais jamais dingue, Le mystère du gant pousse la tradition vaudevillesque à son paroxysme, touche l’absurde et ne se refuse aucune astuce pour nous redonner goût aux histoires. Un pied de nez salutaire à la sériosité et à la morosité qui fait beaucoup de bien.
« J’aime faire rire. Pour moi, c’est une politesse. » dit Léonard Berthet-Rivière. Quiconque a vu ou verra le spectacle qui plonge dans les arcanes d’une histoire abracadabradantesque, trouvera ce jeune homme et sa complice Muriel Legrand de fait immensément polis. Qu’on en juge un peu : soit un vaudeville à table (ou presque), quatre actes, treize personnages, un acteur et une actrice ; soit une vendetta ourdie par Gérard contre son concurrent Raymond, le jour où celui-ci vient enlever sa maîtresse, Inès, femme de Gérard, alors que Frédéric, le fils de Raymond vient demander la main de Sophie, la fille de Gérard, enceinte jusqu’au yeux… Tous les ingrédients d’un vaudeville roboratif et d’une folle journée réunis sous la plume magistrale de Roger Dupré dans laquelle s’engouffrent l’actrice et l’acteur surfant sur l’absurdité d’une partition frénétique où la fantaisie mène le bal, et dans lequel on passe de la lecture savoureuse à deux têtes à une danse endiablée à mille bras. Symbolique et poétique, loufoque mais jamais dingue, Le mystère du gant pousse la tradition vaudevillesque à son paroxysme, touche l’absurde et ne se refuse aucune astuce pour nous redonner goût aux histoires. Un pied de nez salutaire à la sériosité et à la morosité qui fait beaucoup de bien.
Brèches
18apr.
-
27apr.
Comment recomposer la mémoire de nos corps et réparer les fissures qu’ils renferment? Face à un choc émotionnel trop intense, il arrive à notre cerveau de disjoncter. C’est ce qu’on appelle la dissociation. Partant de cette expérience, Medea Anselin co-signe avec Alice Valinducq un premier spectacle, dans lequel quatre personnes AFAB (assigné·es au genre féminin à la naissance) disjonctent et se retrouvent dans une brèche spatio-temporelle. Pour recréer du lien avec le monde réel, les personnages questionnent la perception de leur propre corps et réalité. Entre l’imaginaire collectif dans lequel i·els baignent et les traumatismes vécus qui affectent leurs sensations, que faire de leur corps ? Comment colmater les brèches qu’i·els portent en ell·eux, pour leur réinsuffler une capacité d’agir ? Porté par une écriture collective, Brèches agence des fragments de vie que les interprètes, en français et en catalan, déposent au creux d’un récit collectif, une fiction qui les relie l’un·e à l’autre. Tantôt frondeuses, tantôt réparatrices, et souvent les deux à la fois, ces voix intimes nous surprennent par l’humour ravageur qu’elles déploient, afin que l’insurrection puisse se produire. Comme le disait déjà Monique Wittig, « Le cheval n’est pas l’arme toute entière mais il permet d’ouvrir des brèches pour que d'autres débarquent et commencent à travailler les consciences. » Brèches est une expérience sensorielle, qui ouvre au fond de nos imaginaires de nouveaux sentiers de révolte et d’émancipation.
Quatre comédiens pour 25 personnages vous racontent les d’Artagnan(s). Celui d’Alexandre Dumas mais aussi le véritable mousquetaire dévoué à Louis XIV. C’est donc un spectacle musical en deux parties. La première est une adaptation revisitée des « Trois Mousquetaires », la seconde partie nous fait traverser le royaume de France de Paris à St Jean de Luz, de Lupiac à Pignerolles au gré des aventures qui ont jalonné la vie de Charles de Batz de Castelmore. Coproducteur : La Compagnie du Baluchon (Tarbes – 65) D’après « Les trois mousquetaires » d’Alexandre Dumas et la vie du vrai D’Artagnan Mise en scène : Patrick Lode Création musicale : Roland Abadie & Victor Campa