open Atelier ouvert

Description

Connais-tu les aventures du Chat botté, d’Aladin ou de la Belle au Bois dormant ? Il y a environ 100 ans, les enfants jouaient ces histoires et bien d’autres encore dans leur salon. Mais pour eux, il n’était pas question de télévision ou de tablette ! Avec des ciseaux, de la colle et du carton, ils construisaient avec leurs parents les plus fabuleux théâtres comme décors de leurs jeux. En visitant l’exposition Magical Theatres, tu découvriras comment ils s’y prenaient et à quoi ressemblaient ces théâtres de papier.
Tu es un peu fatigué et tu n’as pas trop envie de tout regarder ? Installe-toi dans le coin lecture ou à la table d’activité . Grâce à des décors et des personnages, tu pourras créer ta propre histoire et même la projeter sur un mur ! Mais si tu préfères jouer pour un public, le théâtre de marionnettes n’attend que toi et ton imagination !
Mais ce n’est pas tout ! Chaque premier dimanche du mois, tu pourras rejoindre l’atelier ouvert. Un animateur du musée t’attendra à la table d’activité et t’invitera à réaliser tes propres jouets avec du papier, du carton, de la feutrine, de la peinture… tout ce que tu peux imaginer. Chaque mois, une activité différente sera proposée : construction de petit théâtre, réalisation de différents types de marionnettes, création d’un récit, fabrication de jouets d’optique…

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Une soirée d’ouverture lancera le 12 avril la biennale saint-gilloise : après le vernissage de l’exposition « Marcel Broodthaers, la poésie et l’Art » prenant place à l’Hôtel de Ville de Saint-Gilles, le public sera invité à poursuivre les festivités au p-a-l-a-z-z-o, où se produira le duo performatif audiovisuel Vimure. Cette nocturne sera l’occasion de rencontrer les artistes dans leur atelier et de découvrir les expositions. Véritable pierre angulaire de l’événement, les ateliers – une centaine au total – seront encore ouverts au public durant les deux week-ends qui suivront. En parallèle, plusieurs expositions sur la thématique « Ce-qui-nous-lie » seront accessibles dans les lieux partenaires du Parcours. Parmi ceux-ci, on retrouve par exemple la Maison du Peuple, Pianofabriek, le Centre culturel Jacques Franck, la Maison Hannon ou encore le Musée Horta. Chaque pôle abordera à sa manière ce qui fait le lien entre artistes, créateurs et, plus largement, citoyens et êtres humains. Avec le projet « D’ici et d’ailleurs. From Here to Eslewhere », la curatrice a choisi le centre communautaire Pianofabriek pour mettre en valeur une série d’artistes d’origines étrangères ancrés dans la scène artistique contemporaine belge : Sabrina Montiel-Soto, Anna Safiatou Touré et Mostafa Saidi Rahmouni, tous habitant, travaillant à Bruxelles et représentant des communautés fortes dans la commune saint-gilloise. À l’Hôtel de Ville ou au Centre culturel Jacques Franck lors d’une projection de ses films, c’est Marcel Broodthaers qui sera mis à l’honneur. En effet, 2024 marque le centenaire de cet artiste de renommée internationale. Outre les expositions dans les lieux précités, l’inauguration d’une plaque commémorative sur la Place Marcel Broodthaers sera organisée. La Maison du Peuple, de son côté, accueillera une exposition de type « artiviste », avec une dimension politique en phase avec les questionnements de notre époque, qui présentera des œuvres d’Angel Vergara, Priscilla Beccari, Sandrine Morgante, Pascal Bernier, Joanie Lemercier, Karine Marenne et Léa Mayer. Divers interstices seront aussi exploités cette année : des performances ou des installations s’introduiront dans les lieux de passage de la commune comme à la vitrine 76,4 rue de Bosnie que l’artiste François Patoue investira. Enfin, le programme du Parcours est complété par la Nuit des Galeries, qui aura lieu le mercredi 17 avril dans une quinzaine de galeries et lieux hybrides saint-gillois (comme l’Espace photographique Contretype, les galeries Odradek Résidence, Chez Olivia, Stream Art ou encore Le Salon d’Art…). Soirée d’ouverture et nocturne des ateliers : 12.04.2024 - 18h à minuit 1er week-end : 13 & 14.04.2024 - 14h à 19h 2ème week-end : 20 & 21.04.2024 - 14h à 19h Nuit des Galeries : 17.04.2024 - 18h à 21h
“The wound is the place where the Light enters you.” – Djalâl ad-Dîn Rûmî L’humanité, dans toute sa splendeur et sa complexité, est un chef-d’œuvre d’imperfections qui se tissent harmonieusement pour former une perfection singulière. C’est dans la nature même de l’Homme d’être imparfait, de porter en lui des fissures et des failles qui, loin d’être des défauts, sont les fils invisibles tissant la trame de sa grandeur. L’ambition de cette exposition est dans un premier temps de rendre hommage à des blessures qui ont tracées la vie de ces différents portraits, tout en faisant un parallèle avec le Kintsugi. Cet art Japonais ancestral qui invite à réparer un objet cassé en soulignant ses cicatrices de poudre d’or, au lieu de les cacher. Réparé, consolidé, embelli, il porte fièrement ses blessures, et il devient. Paradoxalement d’autant plus précieux qu’il a été brisé… En fin de compte, c’est la fragilité de l’humanité qui la rend riche et éternellement fascinante. Les imperfections ne sont pas des obstacles à la perfection, mais plutôt les éléments qui la définissent. C’est dans la danse délicate entre lumière et ombre que l’Homme trouve sa véritable splendeur, créant un chef-d’œuvre toujours en évolution, toujours inachevé, mais infiniment inestimable. D’origine marocaine et kabyle, Hinde Kebbache est née et a grandi à Bruxelles. Petite, elle collectionnait de nombreux souvenirs : tickets de concerts, de métros, objets trouvés… qui lui rappelaient un moment précis. Cet attrait nostalgique de sa personnalité se traduit aujourd’hui à travers sa photographie ; cet art qui capture de manière immuable des instants uniques dans le temps.
La nouvelle édition du Parcours d'artistes se déclinera autour d’une thématique simple et essentielle, intitulée « Ce qui nous lie ».En plus de ses œuvres sur toile, l'artiste dévoilera des épreuves petits formats de la série “Nuits blanches” exposées à la station de métro Porte de Hal à Bruxelles.Natacha Mercier présentera dans son atelier des nouvelles œuvres « presque-monochrome » sur toiles issues de sa thématique autour du nocturne dans le paysage et le portrait."Au fond, Natacha Mercier nous invite à une expérience phénoménologique de l’apparaître des images. Nimbées d’une sorte d’aura de lumière, l’artiste donne naissance à des apparitions évanescentes qui ne cessent de se constituer sous nos yeux. Le jeu des glacis et des entrelacs des plans induit une relation toute particulière avec la lumière et les données sensibles, spatiales et concrètes de l’espace réel. Dans cette articulation entre l’image qui surgit du fond et la lumière qui inonde la couche de vernis mat en surface, nous sommes "devant le temps", comme aurait pu dire Georges Didi-Huberman. C’est dans un rapport à la durée de contemplation que l’image se révèle peu à peu. (...) C’est dans un entrelacement du temps et de l’espace, un chiasme de la surface et de la profondeur, que l’œuvre de Natacha Mercier s’offre à nous." Texte de Jérôme Carrié (F), 2021.Natacha dévoilera également quelques œuvres préparatoires des portraits des travailleur-euses de nuit de la Stib et Bruxelles Mobilité avec qui elle a collaboré pour cette commande. Elle a souhaité rendre visible ce monde invisible pour le grand public, offrant ainsi une reconnaissance bien méritée à ces professions souvent méconnues."Les portraits présentés ici, « Nuits blanches », offrent une modulation particulière. Les travailleurs de nuit saisis par l’appareil-photo, homme comme femme, à parité, sont représentés seuls, à titre d’individu. Leur pose, non héroïsée, valorise l’intériorité.Retravaillées avec subtilité informatiquement, ces photographies semblent des peintures. L’artiste, qui les a pesées avec minutie, s’y adonne à la technique du clair-obscur dans la grande tradition de ce genre pictural. Son souci constant est d’installer dans le cadre des corps vivants, respectables, incarnés, impliqués dans leur tâche mais aussi soucieux d’eux-mêmes, en évitant l’idéalisation.Extrait du texte « Nuits Blanches » de Paul Ardenne, écrivain et historien de l’art français, 2024.Les visiteurs seront invités à aller découvrir la série « Nuits blanches » composée de dix portraits sur les quais de la station Porte de Hal (ligne 2-6) suite à la visite d'atelier.
Le Silex s’expose à l’Atelier TiPi ! Nous vous donnons rendez-vous le 12 avril 2024 de 18h à 22h pour le vernissage de la prochaine exposition des artistes du Silex. Cette nouvelle exposition collective, visible du 12 au 27 avril, présentera une sélection d'œuvres récentes réalisées par nos membres au sein de nos ateliers créatifs. L’occasion de (re)découvrir la richesse et la diversité artistique des talents du Silex et de célébrer ensemble l’art brut et la créativité sous toutes ses formes.
Le Silex s’expose à l’Atelier TiPi ! Venez découvrir les nouvelles œuvres des talents du Silex du 12 au 27 avril 2024, du mardi au samedi, de 11h à 17h à l’Atelier TiPi. L’occasion de s’émerveiller devant une sélection de pièces inédites fraîchement sorties de nos ateliers créatifs et de célébrer ensemble l’art brut et la créativité en amateur sous toutes ses formes.
********** English ********** From 11 April to 23 May, open your eyes to the Brussels museums! Every Thursday from 5pm to 10pm, the Nocturnes will introduce you to the exhibitions and collections of 42 exceptional venues - 6 to 8 museums per evening - with guided tours, artistic workshops and exclusive behind-the-scenes access. You can also discover the city's treasures through outdoor activities, all at a low price: just €6 per museum (€3 for under-26s). Full programme and tickets at nocturnes.brussels ********** Français ********** Du 11 avril au 23 mai, ouvrez l’œil sur les musées bruxellois ! Chaque jeudi de 17h à 22h, les Nocturnes vous font découvrir les expositions et collections de 42 lieux exceptionnels - 6 à 8 musées par soirée - avec des visites guidées, des ateliers artistiques et un accès exclusif aux coulisses. Découvrez également les trésors de la ville à travers des activités à l’extérieur, le tout à petit prix : seulement 6€ par musée (3€ pour les moins de 26 ans). Programme complet et tickets sur nocturnes.brussels ********** Nederlands ********** Hou van 11 april tot 23 mei de Brusselse musea in de gaten! Elke donderdag van 17u tot 22u laten de Nocturnes je kennismaken met de tentoonstellingen en collecties van 42 uitzonderlijke musea, 6 tot 8 per avond, met rondleidingen, artistieke workshops en exclusieve toegang achter de schermen. Je kunt de parels van de stad ook ontdekken via buitenactiviteiten, en dat alles voor een lage prijs: slechts €6 per museum (€3 voor kinderen onder de 26 jaar). Volledig programma en tickets op nocturnes.brussels
C'est un privilège perpétuel que de visiter l'atelier d'un artiste. Il n'en allait pas autrement lorsque je t’ai rendu visite à Borgerhout au début de l'année 2024. J'ai tout de suite repensé à notre première rencontre en 2008, à l’occasion de la préparation de l'exposition ‘ANYTH_ =’ au S.M.A.K. à Gand. Cette toute première visite m'a bouleversé. L'atelier était plus petit que ton lieu de travail actuel, mais les deux espaces respiraient la liberté, la recherche et le doute. Lors de ma dernière visite, un morceau de papier rouge affichait ton écriture vive, où l'on pouvait lire : « Faire du spectateur une partie du problème ». Peu importe que tu l'aie empruntée ou formulée toi-même, cette phrase nous mène au cœur de ton œuvre. Trois choses peuvent être distillées à partir de ces mots : le spectateur, le problème, et la participation du premier au second. Impliquer le spectateur, c'est le faire participer, c'est créer un entre-deux. C'est l'entraîner dans le défi improbable de peindre aujourd'hui, un défi hanté par l'histoire de l'art et menacé par la production d'images numériques. C'est à la fois un problème et une question. En quoi cela fait-il sens de peindre aujourd'hui ? L'on pourrait répondre que cela a du sens tant qu'il y a des spectateurs. Mais ton œuvre singulière, composée de dessins et de peintures, nous prouve qu'il s'agit de plus que cela. La Renaissance a vu naître l'idée du tableau comme une fenêtre sur le monde. Dans les dessins et les peintures de Werner Mannaers, l'œuvre est une fenêtre sur elle-même et sur celui qui la regarde. L'œuvre de Werner Mannaers nous invite à élastiquer notre regard, à déplacer légèrement nos expériences (et nos attentes) visuelles en scrutant un dessin ou une peinture. Chaque œuvre consiste en une accumulation d'événements de forme et de couleur, certains maîtrisés, d'autres laissés au hasard. Le pigment de Werner Mannaers n'est pas seulement la couleur, mais aussi la connaissance de l'histoire de l'art. Sans faire de lui un artiste-citation, il lui permet d’amalgamer sa connaissance et son admiration pour l'histoire de l'art. Il est merveilleux de constater qu'en allemand, le mot Maler (peintre) s’apparente au mot Mahlen (moudre). Indépendamment de l'exactitude de cette étymologie spéculative, elle a l’avantage de nous rapprocher de ce que fait Werner Mannaers. Chaque œuvre est un broyage condensé d'influences propres et externes, sans perdre de vue l'interaction particulière entre la vie de l'artiste et son œuvre. Et puis, il y a son intérêt pour la musique. Ce qui m'amène sans détour à souligner la puissance et la signification méconnues de l'improvisation. Dans le free jazz et la musique improvisée, tout tourne autour de l'instant présent, du moment, de la capacité à réagir à l'immédiateté de l'environnement, qu'il soit sonore ou non. Et cela aussi, c'est Werner Mannaers. Ce qui m’évoque une citation remarquable du géant musical Steve Lacy : « Dans la composition classique, on dispose de tout le temps nécessaire pour décider de ce que l'on veut dire en 15 secondes, dans l'improvisation, on dispose de 15 secondes ». Werner Mannaers rejoint cette idée : la franchise de son travail s’apparente à la musicalité d'une improvisation de Steve Lacy, disons, sur son saxophone soprano. Ses dessins (et ses peintures) constituent une exploration sans trêves de la forme, du rythme, de la répétition, de la superposition, de l'imagination, de la nuance, du jeu… Vous aurez peut-être remarqué que je me suis gardé d'employer le mot « abstrait ». Pour pousser le bouchon un peu plus loin (et dans n'importe quelle direction), j'irais jusqu'à dire que Werner Mannaers est un peintre figuratif. Ceci pour démontrer que la catégorisation d'un langage visuel n’est toujours que la simplification d’une réalité artistique. Bien sûr, le travail de l'artiste s'inscrit davantage dans une tradition de peintres dits « abstraits ». Mais je m'en éloigne délibérément. Car le travail de Werner Mannaers est aussi une manière d'être au monde, la conviction que le dessin et la peinture sont des formes de résistance, une réponse à l'instrumentalisation du monde, et par extension, à l'instrumentalisation de l'art. Werner Mannaers est peut-être un artiste dont la devise serait : « Faire du problème une partie du spectateur ». - Philippe Van Cauteren (S.M.A.K. Directeur Artistique), Berlin, le 14 janvier 2024
LaVallée, lieu emblématique de la scène artistique bruxelloise, est fière d'annoncer le vernissage de l'exposition collective "Cracked Perspective, mettant en lumière le travail de quatre artistes résidents. L'exposition se tiendra du 12 au 28 avril 2024. Ammo est illustrateur et affichiste. Elzo, artiste numérique. Hell’O est un duo d'artistes peintres composé de Jérôme Meynen et Antoine Détaille. Studio Biskt, duo multidisciplinaire associant la céramiste Charlotte Gigan au designer industriel Martin Duchesne. Portés par leur amitié et leur passion commune, Charlotte, Martin, Ammo, Jérôme, Antoine et Elzo unissent leurs forces pour donner naissance à une exposition d'envergure. Une ode à l'art, à l’amitié révélant ainsi l'harmonie cachée entre leurs univers distincts. Le lien entre ces quatre artistes est d’avantage de l'ordre du concept, des influences : végétal, psychédélisme, motifs géométriques, .. se ressemblant surtout dans leur façon d'entreprendre et de vivre ce travail artistique. Chacun de ces artistes maîtrise parfaitement son moyen d'expression, offrant au public une diversité d'univers artistiques contemporains.Les visiteurs seront transportés à travers des transitions et des installations scénographiques innovantes, perturbant leur perception pour les plonger dans les univers uniques créés par chaque artiste. 
The Royal Museums of Fine Arts of Belgium are inaugurating an extraordinary international touring exhibition conceived in close collaboration with the Centre Pompidou (Paris). From Giorgio De Chirico to Jackson Pollock, Salvador Dalí, Joan Miró, Meret Oppenheim, Dora Maar, René Magritte…, explore the poetry of the world's most famous surrealists through themes such as the dream, the labyrinth, metamorphosis, the unknown and the subconscious.
À l’heure où la CENTRALE [https://centrale.brussels/a-propos/centrale-expositions-art-contemporain-bruxelles/] s’engage dans un important processus de transformation de ses espaces dédiés à l’accueil de ses expositions et de ses publics, réaffirmant, de fait, sa nouvelle identité, Maren Dubnick (artiste plasticienne) et Clémentine Davin (curatrice) réactivent la fonction initiale du lieu, dans le but de proposer une traversée sociale et historique du centre d’art, autrefois 1ère centrale électrique de la Ville de Bruxelles. Via une installation qui prend place au sein de la CENTRALE | vitrine, le duo pose un regard sur l’évolution des usages de l’électricité et de leur impact sur nos sociétés contemporaines, tel un trait d’union métaphorique entre les vies passée et future de la CENTRALE. Le duo artiste-commissaire Maren Dubnick [https://maren-dubnick.com/], plasticienne & Clémentine Davin [https://www.clementine-davin.com/], historienne de l’art et critique d’art, se sont rencontrées à Bruxelles en 2018. Depuis, elles collaborent de manière régulière au développement de leurs projets respectifs, et plus spécifiquement sur les questions relatives à la médiation et à la place de l’art dans la société. Leurs préoccupations communes sont multiples mais, avant tout, elles partagent un intérêt marqué pour les démarches artistiques collaboratives qui visent à démocratiser l’art. En 2021, elles travaillent ensemble à l’élaboration d’un projet de résidence-laboratoire intitulé « Axis-Mundi de l’ancrage au Monde », soutenu par la Fédération Wallonie-Bruxelles dans le cadre de son appel à projets Un Futur pour la Culture 2021-22. Maren DUBNICK (°1972, BE/DE) met en œuvre et en espace des stratégies d’empilement et d’enroulement qui visent à questionner notre rapport au temps. Telle une représentation de l’infinité, sa pratique s’exerce selon un procédé répétitif voire méditatif qui requiert à la fois maîtrise et patience. Clémentine DAVIN (°1985, FR) travaille depuis de nombreuses années aux côtés des artistes en participant activement à la réalisation de leurs expositions et projets. Par ailleurs, elle est une contributrice régulière des revues d’actualité artistique l’art même et Flux News et, depuis 2022, membre du conseil d’administration de Fédération des Arts Plastiques (FAP).   Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles