Battle Breakdance Rock the Block

Description

Entrez dans le cercle !

Participez à la Jam de Breaking de la Mons Street Party ! Vous dansez librement dans les cyphers, et les six danseur·ses invité·es sélectionneront ceux·elles qu’ils et elles veulent affronter sur scène.
 
Avec OverFlow
 
Sélections en accès libre : 14h30 → 16h
Phases finales : 16h30 → 17h30

Sam 27.04 – dès 14h30
Maison Folie Gratuit   Dans le cadre de la Mons Street Party, organisée les mercredi 24 et samedi 27 avril à la Maison Folie et au Théâtre le Manège.  

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Étoile du Kuchipudi, danse sacrée de l'Inde, Shantala Shivalingappa émerveille par sa force, sa grâce et sa précision. Aurélien Bory a composé pour et avec elle un solo-portrait sur mesure habité par Shiva, dieu créateur et destructeur du Panthéon hindou, dont la danse maintient l'univers en mouvement. La cendre qui couvre son corps dans les représentations inonde ici la scène, où Shantala lui rend hommage avant de se confondre avec lui. Comme un arc tendu entre ciel et terre, porté par les percussions de Loïc Schild, le corps pourtant frêle et gracieux de la danseuse incarne toute la puissance cosmique. Un solo hypnotique et envoûtant, librement inspiré par une gestuelle ancestrale, où tout disparaît et renaît dans un cycle sublime et parfait.
Corps, matière et mouvement s’entrecroisent dans l’art de Kyung-A Ryu, dont la recherche en cours, autour de la figure de l’oiseau, englobe les éléments, la position et le rôle de l’humain dans son environnement. La pièce à venir, pour un danseur-oiseau et deux musiciens, sera accessible dès 5 ans. Formée à la danse traditionnelle et contemporaine à Séoul, Kyung-A Ryu, Bruxelloise depuis 2002, a étudié les arts plastiques à la Cambre, tout en s’intéressant à la philosophie et au montage sonore. Son langage principal – le mouvement – entre en résonance avec la relation de l’individu à son environnement. Avec aussi la dualité de son identité, entre Europe et Corée, où la connexion à la nature s’opère avec humilité. En imaginant une danse dans un costume d’oiseau, la chorégraphe questionne cette figure, tant symbolique que réelle, dans diverses cultures, de l’Amérique du Nord à l’Extrême Orient. "Comment recréer du sacré et de l’écoute dans un espace où les corps, les images et les langages sont en perpétuel mouvement? Comment le folklore et la création contemporaine peuvent-ils fusionner? le réel et le fictionnel s’entrelacer?" Modulable, L'Oiseau que je vois pourra circuler de la boîte noire des théâtres aux écoles ou aux places publiques.
L'exposition Visites guidées de l'exposition permanente dans la pénombre a lieu dans le cadre de la Nuit des musées à Bavay 2024. Venez découvrir l'exposition permanente du musée dans une ambiance tamisée, propice à la contemplation et à la découverte des oeuvres. Plongez dans une atmosphère unique et laissez-vous guider à travers les différentes salles pour une expérience artistique inédite. Infos réservations : En ligne - http://forumantique.lenord.fr Par téléphone - 03 59 73 15 50
YES, WE DANCE propose des soirées safes où chacun.e peut venir danser de façon libre et décomplexée. Si toi aussi tu aimes bouger ton corps et partager ton énergie avec celle des autres sur la piste de danse, rejoins-nous !  Pas besoin de savoir suivre le rythme ou de connaitre de chorégraphie quelconque. Nous offrons des espaces safe où chacun.e est invité.e à explorer sa danse et ses mouvements de façon totalement libre et décomplexée, le tout sans consommation d’alcool ou de drogues.  Certaines de nos soirées se font en mixité, d’autres sont réservées aux personnes s’identifiant en tant que femme.
nspirée par la figure de Shiva, dieu de la danse aux mille noms, créateur et destructeur, Shantala Shivalingappa dessine l'espace avec une grâce magnétique et fulgurante. aSH clôt une trilogie de portraits de femmes initiée par le metteur en scène Aurélien Bory. Si la cendre est associée à la destruction, c'est aussi un excellent fertilisant : dans le symbole de mort réside la potentialité de vie. En Inde, la cendre est l'un des attributs de Shiva, seigneur aussi des lieux et des crémations. Jouant avec les formes et les matières, Shantala Shivalingappa sublime somptueusement l'ombre sur un sol recouvert de cendres : elle danse, entre traditions indiennes et occidentales, jusqu'à se faire déesse, jusqu'à faire danser l'espace. Site web : https://www.lephenix.fr/projects/ash-23-24/
********** English ********** An invitation for physical bodies and life narratives to cross paths, to encounter and to restructure our active and sensitive present experiences, through dance improvisation. ********** Français ********** Une invitation pour les corps physiques et les récits de vie à se croiser, à se rencontrer et à restructurer nos expériences actives et sensibles du présent, rencontrer et restructurer nos expériences actives et sensibles du présent, par le biais de la danse improvisée. ********** Nederlands ********** Een uitnodiging om fysieke lichamen en levensverhalen paden te laten kruisen, om onze actieve en gevoelige huidige ervaringen te ontmoeten en te herstructureren, door middel van dansimprovisatie.
It’s just a phase Performed by Jacob Bousset, Samuele Baschieri and Rünno Tammela Choreographed by Nicolas Dang with the collaboration of the performers There are, as appears, three white cis men sitting, staring at the audience. Their behavior towards us and each other is concealed by the repetitive Piano Phase of Steve Reich. With the music reflecting the repetition and performativity of societal norms, this vicious circle both in soundscape and in social settings sees three individuals' passage through moments of violence and vulnerability. This work draws to question the notion of masculinity perpetuated through the presence of gender norms and, consequently, the state of internalised homophobia. Using a play of contradictions and observing moments of sensuality and susceptibility, as the music of Reich begins to shift in conjunction with shifting power dynamics, we begin to see an abstraction of experiences and a transformation of these norms. In Piano Phase, Steve Reich employs the compositional process of phasing or phase shifting. In unison two pianos play a loop, as one slightly accelerates, they progressively fall out of phase, creating an echo. It then becomes a new melody when the superposed loops are back in phase with a delay. It’s just a phase is a play between the 'phases’ in the musical score and the misconception of queerness as 'a phase’. > TW : sensual content, homophobia, mention of m@sturbation. Nicolas Dang A French performing arts creator based in Brussels who focuses on creating new representations and challenging norms. They use diverse artistic expressions to embody intimate and political subjects. Currently studying in P.A.R.T.S. they present their work within and outside the community.
********** Nederlands ********** De schreeuw die bevriest, De schreeuw die kalmeert, Van blokkade tot beweging, dit stuk neemt de vorm aan van een ritueel, tussen duisternis en licht, tussen wat gezegd wordt en wat niet gezegd wordt. De onrust is groot, De spanning is voelbaar, De woorden zwijgen. Opgesloten in een lichaam in doodsangst, is er geen rede meer. Niets is onder controle. Een gelukzalige, stomme mond, er komt geen geluid uit. De emotie is te sterk. Te heftig. De gebaren worden intenser. Het gevecht groeit. Het materialiseert. Het lichaam vindt betekenis. De beweging wordt krachtiger. Tot de laatste confrontatie, Loslaten, Hij geeft zichzelf op. Het lichaam loslatend in een laatste adem. De schreeuw bereikt ons. Hoorbaar. Verwarring, chaos en kwelling worden gesublimeerd. Het lichaam is verlaten. Het stuk neemt je mee naar een wereld van rauwe emoties en intense sensaties, gedragen door de aanstekelijke tribale bewegingen van Corentin Milosevic. ********** Français ********** Le cri qui glace, Le cri qui soulage, Du blocage à la remise en mouvement, cette pièce prend la forme d’un rituel, entre obscurité et lumière, entre ce qui se dit et ne se dit pas. Le malaise est grand, La tension palpable, Les mots sont tus. Enfermés dans un corps à l’agonie, la raison n’est plus. Plus rien n’est maîtrisé. Une bouche béate et muette, aucun son ne sort. L’émotion est trop forte. Trop violente. Les gestes s’intensifient. Le combat croit. Se matérialise. Le corps trouve un sens. Le mouvement, plus puissant. Jusqu’à l’ultime affrontement, Le lâcher-prise, Il s’abandonne. Libérant le corps dans un dernier souffle. Le cri nous parvient. Audible. Le désarroi, le chaos et les tourments sont ainsi sublimés. Le corps est à l’abandon. La pièce vous entraînera dans un monde d’émotions brutes et de sensations intenses, porté par le mouvement tribal contagieux de Corentin Milosevic. ********** English ********** The cry that freezes, The cry that soothes, From blockage to movement, this piece takes the form of a ritual, between darkness and light, between what is said and not said. The unease is great, The tension is palpable, Words are silent. Locked up in a body in agony, reason is no more. Nothing is under control. A blissful, mute mouth, no sound comes out. The emotion is too strong. Too violent. Gestures intensify. The fight grows. Materializes. The body finds meaning. Movement, more powerful. Until the ultimate confrontation, letting go, He surrenders. Releasing the body in a final breath. The cry reaches us. Audible. Disarray, chaos and torment are sublimated. The body is abandoned. The piece takes you into a world of raw emotions and intense sensations, carried by Corentin Milosevic's infectious tribal movement.
Rencontre entre la musique baroque et des artistes phares des cultures urbaines, FugaCités crée un cocktail détonant avec le champion du monde de beatbox Tiko, le fameux slameur Mehdi Krüger et le danseur hip-hop Jérôme Oussou chorégraphié par l'incontournable Mourad Merzouki Imaginé par Franck-Emmanuel Comte et scénographié par la metteuse en scène Bérénice Collet, FugaCités met en regard trois variations poétiques et interdisciplinaires aux multiples inspirations, dans un dialogue créatif entre les instrumentistes du Concert de l'Hostel Dieu et des étoiles phares des cultures urbaines. Éclairé par Pauline Vauchez et accompagné par le contrepoint vidéo de Christophe Waksman, ce spectacle met en lumière trois métissages artistiques dans lesquels les mélodies baroques se jouent des siècles qui les séparent. Site web : https://www.lephenix.fr/projects/fugacites-23-24/
********** English ********** When an illustrated bestiary metamorphoses those who flip through its pages... That's the story Julie and Johann invent while in the midst of moving, soon joined by Barthélémy. The trio explores the palette of emotions universally shared by the animal kingdom, humans included. Social relationships and the animal world captivate Barthélémy Manias and Johann Fourrière, alias Barjo&Cie. With Julie Querre in the team, the company relies on the work of psychologists and ethologists to unfold a physical language of emotional states. Involving both the face and the body, their choreographic lexicon magnifies everyday gestures, evokes the bestiary of various cultures, dares pure abstraction, and borrows some gimmicks from pantomime. "Human beings are animals like any other, and like all species, we share, feel, and express different universal emotions." Similarities and differences in behavior thus become "an inexhaustible source to develop a clear and imaginative movement language." Famous or unknown - from Rameau to Gottschalk, from Rossini to Saint-Saëns - "animal scores" form the soundtrack of "Bas les pattes." ********** Français ********** Quand un bestiaire illustré métamorphose celles et ceux qui le feuillettent... C’est l’histoire que s’inventent Julie et Johann, en plein déménagement, bientôt rejoints par Barthélémy. Le trio explore la palette des émotions universellement partagées par le règne animal, humains compris. Les relations sociales et le monde animal passionnent Barthélémy Manias et Johann Fourrière, alias Barjo&Cie. Avec ici Julie Querre, l’équipe s’appuie sur des travaux de psychologues et d’éthologues pour déployer un langage physique des états émotionnels. Impliquant tant le visage que le corps, leur lexique chorégraphique place sous la loupe des gestes du quotidien, évoque le bestiaire de diverses cultures, ose l’abstraction pure, voire emprunte à la pantomime certains de ses gimmicks. "L’être humain est un animal comme les autres, et comme toutes les espèces, nous partageons, ressentons, et exprimons différentes émotions universelles." Similitudes et différences de comportements deviennent ainsi "une mine d’or inépuisable pour développer une gestuelle claire et imagée". Célébrissimes ou méconnues – de Rameau à Gottschalk, de Rossini à Saint-Saëns –, des partitions animalières" forment la bande-son de Bas les pattes. ********** Nederlands ********** Wanneer een geïllustreerd bestiarium degenen die het doorbladeren metamorfoseert... Dat is het verhaal dat Julie en Johann verzinnen tijdens hun verhuizing, al snel vergezeld door Barthélémy. Het trio verkent het scala aan emoties die universeel worden gedeeld door het dierenrijk, inclusief mensen. De sociale relaties en de dierenwereld fascineren Barthélémy Manias en Johann Fourrière, alias Barjo&Cie. Met Julie Querre in het team steunt het gezelschap op het werk van psychologen en ethologen om een fysieke taal van emotionele toestanden te ontwikkelen. Hun choreografische lexicon omvat zowel het gezicht als het lichaam en onderzoekt alledaagse gebaren, roept het dierenrijk op uit verschillende culturen, waagt zich aan pure abstractie en ontleent zelfs enkele gimmicks aan de pantomime. "De mens is een dier zoals alle anderen, en net als alle soorten delen, voelen en uiten we verschillende universele emoties." Overeenkomsten en verschillen in gedrag worden zo "een onuitputtelijke bron om een duidelijke en beeldende bewegingstaal te ontwikkelen." Zowel beroemde als onbekende "dierenpartituren" - van Rameau tot Gottschalk, van Rossini tot Saint-Saëns - vormen de soundtrack van "Bas les pattes."