Description

8 mars - Journée internationale pour les droits des femmes. Pour la cinquième année consécutive, le Centre culturel de Waterloo met les femmes à l’honneur.


Elles sont des femmes « sans abri chroniques », « sdf », « victimes de violences », « victimes de la traite des êtres humains », « malades », « migrantes », « exilées », « toxicomanes », « alcooliques » ... Mais elles sont femmes avant tout. Des femmes avec, derrière elles, une vie et un parcours souvent traumatiques. Mais aussi et surtout avec un avenir, un horizon sur lequel il est encore possible d’agir de façon positive.

Trois ans après l’exposition au Parlement Européen, ‘Femmes’ fait son retour à l’Espace Bernier.


Vernissage : jeudi 14 mars de 18h à 20h en présence de la journaliste et autrice Anne-Cécile Huwart, du photographe documentaire Gael Turine et d’un responsable du Samusocial.

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Jusqu'au 31/03/202414:00-18:00

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Suggested events

NL / De Elsense geologe Marie Anne Maniet toont een reeks foto’s over de Maalbeekvallei. Met haar foto's wil ze de aanwezigheid van dit verdwenen water en de vallei opnieuw laten voelen. FR / La géologue ixelloise Marie Anne Maniet présente une série de photos sur la vallée de Maelbeek. Avec ses photos, elle souhaite faire sentir à nouveau la présence de cette eau évaporée et de la vallée. Vernissage 27.04 18:00 Gratis/Gratuit Expo: 27.04 > 31.05 Visits on weekdays 09:00-20:00
Explorez une exposition de photos de chercheurs et de matériel scientifique utilisé lors de leurs missions en Arctique (en Alaska et en Laponie suédoise) présentés en résonnance avec une sélection d’œuvres du musée. Découvrez l’Arctique en transition au fil des saisons face au défi du changement climatique.   Visite libre en accès libre aux heures d’ouverture du musée   Visite guidée par les chercheurs par les chercheurs Philippe Roux, Maëlle Villani, Eléonore du Bois d’Aische et Sophie Opfergelt : de 14h à 15h – de 16h à 17h Public : Tout public Prix : gratuit Réservation obligatoire :  www.museel.be [http://www.museel.be/] ou 010/47 48 41
No area of Belgium has undergone such a radical process of transformation as the North Sea coast. This transformation is a story of demolition, construction, reconstruction in an effort to withstand the elements and respond to the challenges of the economy, transport, fishing, and above all tourism. Ecological, economic and industrial challenges meet here with the amazement or admiration of visitors, the carefreeness of tourists, and the nostalgia of old settlers. In the rhythm of the tides, everything is connected by an endless tide, on a unique background where the border between the sea and the sky blurs.
Exposition collective témoignant de la volonté des artistes à se réapproprier le medium photographique lors de leur processus de création.Nicolas Andry (BE), Pepe Atocha (PE), Sylvie Bonnot (FR), Aliki Christoforou (BE), Dana Cojbuc(RO), Antoine De Winter (BE), Gundi Falk (AT), Marina Font (AR), Lior Gal (IL), Audrey Guttman(BE), Romane Iskaria (FR), Morvarid K (IR), Kíra Krász (HU), Douglas Mandry (CH), Alice Pallot(FR), Raphaëlle Peria (FR), Luc Praet (BE), Anys Reimann (DE), St
Les vitrines « Lire et écrire » mettent en scène des témoins de la naissance et du développement de l'écriture sur différents supports. Les objets qui y sont présentés ont tous une histoire à nous raconter avec pour fil conducteur la transmission de pensée, de savoirs, des cultures et de modes de vie... Venez découvrir la nouvelle sélection d'objets pour retracer le chemin de la route du papier à travers les mondes asiatique, arabe et occidental. Prix : 5 € / pers. (entrée au musée comprise) Réservation obligatoire : www.museel.be [http://www.museel.be] ou 010 47 48 41
********** English ********** Why…Not! is a quarterly photographic magazine, digital and printed, initiated by the ASBL Cultures & Publics. The magazine engages in co-creation on the subjects of Utopia, the urban landscape, the night, the body... And more generally on the impact of the photographic and literary medium in the construction of aesthetic and social relationships. With the release of No. 1, la Maison Commune presents an exquisite corpse of works around the theme “Siphoning minds”. Come discover the work of our contributors from Monday April 18 at 6 p.m. ! The exhibition, visible until May 7, will end with an evening of artistic and literary performances on from 6 p.m. to 10 p.m. ********** Français ********** Why…Not! est une revue photographique trimestrielle, numérique et imprimée, initiée par l’ASBL Cultures & Publics.  Projet protéiforme, la revue s’engage dans une co-création sur les sujets de l’Utopie, le paysage urbain, la nuit, le corps… Et plus globalement sur l’impact du médium photographique et littéraire dans la construction du lien esthétique et social. À l’occasion de la sortie du n°1, la Maison Commune, lieu d’occupation de Cultures & Publics, présente un cadavre exquis d’oeuvres autour du thème « Siphonner les esprits ».  Venez découvrir le travail de nos contributeurs à partir du lundi 18 avril à 18h ! L’exposition, visible jusqu’au 7 mai, se terminera sur une soirée de performances artistiques et littéraires de 18h à 22h.
NL/ Op 25 april 1974 maakte een vreedzame staatsgreep die uitgroeide tot een volksrevolutie een einde aan de dictatuur in Portugal en de koloniale oorlogen in Afrika. Kom de geschiedenis van de Portugese democratische transitie en het einde van de kolonisatie ontdekken via de tentoonstelling De Anjerrevolutie gezien vanuit België. FR/ Le 25 avril 1974 un coup d’état pacifique devenu révolution populaire, a mis fin à la dictature au Portugal et aux guerres coloniales en Afrique. Nous vous invitons à découvrir l’histoire de la transition démocratique du Portugal et de la fin de la colonisation à travers de l’exposition 'La Révolution des illets vue de Belgique'. EXPO 16.04>31.05 (visits weekdays 9:00-20:00) VERNISSAGE do/je 18.04 (19:00-23:00) - gratis/gratuit + 20:30 concert Ensemble 'A alma e o vento' (liederen die de strijd en het verzet van de Portugezen tegen de dictatuur illustreren / des chansons qui illustrent la lutte et la résistance des portugais à la dictature) Org. Federação Associações Portuguesas Bélgica
********** English ********** Together with architect Sébastien Tripod and graphic & floral designer Deborah Robbiano, choreographer and researcher Sara Manente is creating an installation around the fertile ruin, based on fungal imagery. Having previously created architectural fungi columns, they now aim to imagine an entire theatre in collaboration with fungi and molds. The theatre turns into a compost in which process equals products and things are not stable but rather in constant decay and regrowth. A situation creating space for questions, metaphors and images around contamination and finality. Is every encounter a form of contamination? Is every performance a ruin that could bring fruit?Manente invites makers and thinkers at a number of moments to activate the installation in different ways. Clara Lévy's and Victor Guaita's concert takes place on 17 May and further programming will be announced in the spring. Together with Pilar and VUB Crosstalks, Kaaitheater presents this exhibition as part of A Series of More-than-human Encounters. This project highlights different ways of being and alternative forms of knowledge. With the forest, the mountains and the deep sea as our thinking partners, we invite you to come and discover what is hidden behind the horizon of human knowledge.  Towards a Ruined Theater is also part of Pilar's KunstxScience programme and VUB Crosstalks. • Sara Manente studied dance and semiotics before coming to Brussels, where she works as an artist and researcher. Her projects start from the images and matter of living cultures and fungi in relation to performing arts. In different formats, she reflects on the possible contagion/transfer between pedagogy, research, performance and publication.• Deborah Robbiano is a multidisciplinary artist who works with found objects, both natural and man-made, to create vegetal sculptures, sets and installations. In her work, she lets chance encounters and the longevity of plants guide her process. Each element is abstracted from its original form and purpose. This shift allows her to celebrate the ephemerality in the many stages of vegetal transformation.• Sébastien Tripod graduated from the Joint Masters in Architecture of the University of Applied Sciences and Arts of Western Switzerland and the Luca School of Arts in Ghent. He collaborates with various groups for projects in residence, advocating environmental and social ecology. Closely associated with the knowledge of craftsmanship, interested in traditional building techniques and the use of low technology, he works as an independent architect, based in Lausanne since 2018. ********** Français ********** Avec l'architecte Sébastien Tripod et la designeuse graphique et florale Deborah Robbiano, la chorégraphe et chercheuse Sara Manente crée une installation autour de la fécondité des ruines basée sur des images de moisissures. Après avoir créé des colonnes de champignons architecturales, iels veulent imaginer un théâtre entier avec le concours de champignons et de moisissures. Le théâtre se transforme en un compost dans lequel le processus est égal aux produits et où les choses ne sont pas stables, mais plutôt en constante décomposition et repousse. Cette situation crée un espace propice à susciter des questions, métaphores et images autour de la contamination et de la finitude. Chaque rencontre est-elle une forme de contamination ? Chaque performance est-elle une ruine féconde ? Manente invite les créateur·ices et les penseur·euses à activer l'installation de différentes manières. Le 17 mai, vous pourrez assister au concert Repetition/Erosion de Clara Lévy et Victor Guaita. Le 22 mai, l'expo sera clôturé avec The Performance of Funga, une conversation entre Giuliana Furci, Sara Manente, Augusto Corrieri et Eylül Fidan Akıncı.En collaboration avec Pilar et VUB Crosstalks, le Kaaitheater présente cette exposition dans le cadre de A Series of More-than-human Encounters. Ce programme met en lumière différentes manières d'être et des formes alternatives de connaissance. En utilisant la forêt, les montagnes et les profondeurs de la mer comme partenaires de réflexion, nous vous invitons à venir découvrir ce qui se cache derrière l'horizon de la connaissance humaine. Towards a Ruined Theater fait également partie du programme KunstxScience de Pilar et de VUB Crosstalks. • Sara Manente a étudié la danse et la sémiotique avant de s'installer à Bruxelles, où elle travaille comme artiste et chercheuse. Ses projets partent des images et de la matière des cultures vivantes ainsi que des moisissures, qu’elle met en lien avec les arts de la scène. Sa réflexion porte sur la contagion/ transfert potentielle entre la pédagogie, la recherche, la performance et la publication, et ce sous différents formats. • Deborah Robbiano est une artiste pluridisciplinaire qui travaille avec des objets trouvés, naturels ou fabriqués par l'homme, pour créer des sculptures, des décors et des installations végétales. Dans son travail, elle se laisse guider par le hasard des rencontres et la longévité des plantes. Chaque élément est abstrait de sa forme et de sa fonction d'origine. Ce décalage lui permet de célébrer l'éphémère dans les multiples étapes de la transformation végétale.• Sébastien Tripod est diplômé du Master commun en architecture de la Haute école des sciences appliquées et des arts de Suisse occidentale et de la Luca School of Arts de Gand. Il collabore avec divers groupes pour des projets en résidence, prônant l'écologie environnementale et sociale. Étroitement associé à la connaissance de l'artisanat, intéressé par les techniques de construction traditionnelles et l'utilisation des basses technologies, il travaille en tant qu'architecte indépendant, basé à Lausanne depuis 2018. ********** Nederlands ********** Samen met architect Sébastien Tripod en grafisch & floral designer Deborah Robbiano maakt choreograaf en onderzoeker Sara Manente een installatie rond de vruchtbare ruïne, op basis van schimmelbeelden. Nadat ze eerder al architecturale zwammenzuilen maakten, willen ze nu een volledig theater verbeelden in samenwerking met zwammen en schimmels. Het theater verandert in een compost waarin het proces gelijk is aan het product en de dingen niet stabiel zijn, maar in voortdurend verval en wedergroei. Deze situatie creëert ruimte voor vragen, metaforen en beelden rond besmetting en eindigheid. Is elke ontmoeting een vorm van besmetting? Is elke performance een vruchtbare ruïne? Manente nodigt op een aantal momenten makers en denkers uit om de installatie op verschillende manieren te activeren. Op 17 mei kan je er het concert Repetition/Erosion van Clara Lévy en Victor Guaita bijwonen. Op 22 mei sluiten we de expo af met The Performance of Funga, een gesprek tussen Giuliana Furci, Sara Manente, Augusto Corrieri en Eylül Fidan Akıncı.Samen met Pilar en VUB Crosstalks presenteert Kaaitheater deze tentoonstelling in het kader van A Series of More-than-human Encounters. Dit programma belicht verschillende manieren van zijn en alternatieve vormen van kennis. Met het bos, de bergen en de diepzee als onze denkgenoten nodigen we je uit om te komen ontdekken wat er achter de horizon van de menselijke kennis verborgen ligt.Towards a Ruined Theater maakt ook deel uit van het KunstxWetenschap-programma van Pilar en VUB Crosstalks. • Sara Manente studeerde dans en semiotiek voor ze naar Brussel kwam, waar ze werkt als kunstenaar en onderzoeker. Haar projecten vertrekken vanuit de beelden en materie van levende culturen en schimmels in relatie met podiumkunsten. In verschillende formats reflecteert ze over de mogelijke besmetting/overdracht tussen pedagogie, onderzoek, performance en publicatie. • Deborah Robbiano is een multidisciplinair kunstenaar die met zowel natuurlijke als door de mens gemaakte gevonden voorwerpen, werkt aan vegetale sculpturen, decors en installaties. In haar werk laat ze toevallige ontmoetingen en de levensduur van planten haar proces leiden. Elk element wordt geabstraheerd van zijn oorspronkelijke vorm en doel. Deze verschuiving maakt het mogelijk om de vluchtigheid in de vele stadia van vegetale transformatie te vieren. • Sébastien Tripod studeerde af aan de Gezamenlijke Master in Architectuur van de Universiteit voor Toegepaste Wetenschappen en Kunsten van West-Zwitserland en de Luca School of Arts in Gent. Hij werkt samen met verschillende groepen voor residentieprojecten, waarbij hij milieu- en sociale ecologie bepleit. Sébastien voelt zich nauw verbonden met de kennis van vakmanschap, is geïnteresseerd in traditionele bouwtechnieken en in het gebruik van lage technologie. Hij werkt als zelfstandig architect en is gevestigd in Lausanne sinds 2018.
L’humanité, dans toute sa splendeur et sa complexité, est un chef-d’œuvre d’imperfections qui se tissent harmonieusement pour former une perfection singulière. C’est dans la nature même de l’Homme d’être imparfait, de porter en lui des fissures et des failles qui, loin d’être des défauts, sont les fils invisibles tissant la trame de sa grandeur. L’ambition de cette exposition est dans un premier temps de rendre hommage à des blessures qui ont tracées la vie de ces différents portraits, tout en faisant un parallèle avec le Kintsugi. Cet art japonais ancestral qui invite à réparer un objet cassé en soulignant ses cicatrices de poudre d’or, au lieu de les cacher. Réparé, consolidé, embelli, il porte fièrement ses blessures, et il devient. Paradoxalement d’autant plus précieux qu’il a été brisé… En fin de compte, c’est la fragilité de l’humanité qui la rend riche et éternellement fascinante. Les imperfections ne sont pas des obstacles à la perfection, mais plutôt les éléments qui la définissent. C’est dans la danse délicate entre lumière et ombre que l’Homme trouve sa véritable splendeur, créant un chef-d’œuvre toujours en évolution, toujours inachevé, mais infiniment inestimable. D’origine marocaine et kabyle, Hinde Kebbache est née et a grandi à Bruxelles. Petite, elle collectionnait de nombreux souvenirs : tickets de concerts, de métros, objets trouvés… qui lui rappelaient un moment précis. Cet attrait nostalgique de sa personnalité se traduit aujourd’hui à travers sa photographie ; cet art qui capture de manière immuable des instants uniques dans le temps.
Kom langs voor een babbel en een drankje in aanwezigheid van fotografe Marlies Van Wielendaele. Marlies Van Wielendaele (1990) is een analoge fotografe die in Brussel woont maar met regelmaat de oceaan in binnen- en buitenland opzoekt. De zee is bij uitstek haar veilige haven. Ze duikt diep met haar analoge Nikonos V camera uit de jaren 80 en tegelijkertijd speelt ze aan de oppervlakte met reflecties en de vormen die het bewegende water aannemen. Ze is geïnspireerd door zowel de verschillende kleuren en patronen van die gekke vissen en koralen als de relatie tussen mensen en zo’n watermassa. Omgeven door water voelt Marlies zich op een fijne manier klein én deel van iets groots. Daarnaast levert een watersessie met haar Nikonos V gegarandeerd een grote glimlach op voor de rest van de dag." FR - En mars-avril, une exposition de Marlies Van Wielendaele occupera nos fenêtres de la Rue du Cornet et de la Rue du Clocher. Elle est une photographe analogique qui vit à Bruxelles mais qui visite régulièrement la mer, sa source d'inspiration. Rejoignez-nous le 10 mai pour une papote et un verre en compagnie de la photographe Marlies.