The New York Times calls Anuvab Pal 'India's Most Intelligent Comedian’.
The BBC call him India’s answer to British Wit.
As seen and on Amazon Prime, QI and the Big Asian Stand-up (BBC).
'Very clever, very funny’ The Guardian
'One of India's top comedians' ★★★★★EdFestMag
LES GLANDEURS NATURE.
Description
LES GLANDEURS NATURE.
29 et 30 mars 2024 à 20h
Fragiles, maladroits, imparfaits et non dépourvus d’une certaine forme de bêtise ordinaire, Néné (Franck Migeon) et Bichoko (Mohamed Bounouara), la petite quarantaine, sont deux
paumés.
Le premier est un binoclard maigrichon que sa maman trouve beau, que Bichoko trouve génial mais que ses profs qualifient de “parfait débile”.
Le second est un Rebeu à l’accent toulousain qui a toujours les mains au fond des poches de sa veste de survêt’, et que personne n’a jamais soupçonné d’intelligence - pas même lui.
Et pour tromper leur ennui, ces losers s’inventent une autre vie.
Gentils, attachants, les deux larrons provoquent l’empathie par leur obstination à vouloir s’en sortir, alors qu’ils ratent tout ce qu’ils entreprennent.
On voudrait les voir réussir, mais c’est quand ils échouent qu’ils nous font rire, comme Bip Bip que le Coyote ne parvient jamais à attraper…
Des dialogues drôles, des jeux de scène hilarants, pour une pièce à sketches rythmée et actuelle, absurde et percutante.
Avec Franck Migeon et Mohamed Bounouara.
Prix: 25€, sénior: 22€, étudiant/enfant/sans emploi: 12.5€
groupe>10 : 19€
Date info
Du 29/03/2024 au 30/03/202420:00
Tickets
Info:
àpd : 12.5
Info & Reservation
1 Picture
Suggested events
Le metteur en scène Ricard Soler Mallol, connu pour son approche
interculturelle et interdisciplinaire,et le percussionniste et artiste
multimédia Grey Filastine ont adapté l’épopée d’Ali – emblématique de celle
des nombreux migrants qui ont traversé continents et cultures avec le courage
du désespoir – en un opéra pour trois chanteurs, six danseurs, un acteur et
onze musiciens. Le livret a été écrit avec le protagoniste, tandis que la
composition réunit électronique, voix, synthétiseurs, analogiques,
instruments à cordes et à vent et percussions afin de reproduire le paysage
sonore du voyage d’Ali à travers l’enfer.
Une création de la Monnaie qui reçoit le soutien du réseau enoa.
LA VIE LITTÉRAIRE
Seul dans l’arène, Mathieu Arsenault livre un monologue ininterrompu. Avec son
écriture comme seul dispositif scénique, il critique l’industrie culturelle,
confronte le public à ses habitudes de consommation, mais dévoile aussi
l’inquiétude qui se trouve derrière notre époque, celle d’être oublié, effacé.
Avec la complicité de Christian Lapointe, qui avait révélé la puissance scénique
de son écriture en 2008 avec Vu d’ici, Arsenault vient maintenant se dévoiler à
titre de performeur.
LES DUOS CHORUS
Les duos Chœur(s), ce sont de longs courriers échangés entre des poètes et des
artistes audio de différents points au Canada, disséminés de la côte Est à la
côte Ouest. Les uns écrivent et créent en français, les autres en anglais. C’est
un principe de rencontre qui fut le moteur de ce projet: une rencontre
interdisciplinaire entre la poésie et les arts sonores qui a permis la création
d’assemblages où s’entremêlent les influences des poètes et artistes sonores.
Les ambiances sonores se réverbèrent aux mots des poètes pour offrir au public
une expérience unique d’écoute poétique.
Ça y est, la peinture est terminée ! Jan (Van Eyck) a travaillé longtemps.
Méticuleusement. Il a cherché les meilleures couleurs, la plus belle
composition. Et aujourd’hui, le nouveau chef-d’œuvre est terminé. Prêt à être
admiré par tous : Tadam ! L’agneau de Jan ! Mais que se passe-t-il? Il y a un
trou dans le tableau ! L’agneau a disparu ! Avec sa bouille et ses expressions
inimitables, un personnage loufoque mène l’enquête. Une bulle de poésie visuelle
où les enfants rencontrent le beau, la dérision et l’intelligence de l’art dès
le plus jeune âge.
Trois représentatins scolaires sont également programmées le mardi 23 à 9h30 et
à 11h et le mercredi 24 à 9h30. Réservation: 02/374 64 84 – reservation@ccu.be
Une femme innocente, virtuose du piano, est envoyée en prison.
Quelques années plus tard, la justice l'acquitte mais, brisée, elle n'a qu'une
seule ambition, se venger à tout prix.
DUREE - 1h30
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Je ne sais pas si je veux me confronter aux blessures de mes parents. Pourtant
je sens l’effet de ces fêlures battre dans mes veines. Je me contente de ce que
je peux observer. Ou parfois après être parvenu à vaguement formuler une
question, face à leurs hésitations, j’avorte bien vite ma quête.
Ilyas Mettioui
Une jeune femme apprend la mort d’un père inconnu alors qu’un embryon grandit
dans son ventre. Deux événements qui l’amènent à se repositionner. Sept
performeur·euse·s rassemblé·e·s autour de ce même récit questionnent leur
rapport au destin : Est-ce qu’un destin, ça se choisit ? Et qu’est-ce qu’on fait
quand on n’aime pas le nôtre ? Si l’on considère l’état présent de l’Univers
comme l’effet de son état antérieur, et comme la cause de celui qui va suivre,
quelles sont nos marges d’action ?
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Fougueuse Deborah Rouach. […] Des scènes mémorables, des éclats de tendresse
indescriptibles, des incursions nécessaires dans ce qui nous forge tous. *** Le
Soir, Catherine Makereel, 15.06.22
Une belle dose d’humour et une plume savoureuse. […] Comme une onde mousseuse
qui apaise. Focus Vif, Estelle Spoto, 16.06.22
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Dans une soif d’aventures célébrant les révoltes, les joies et les peurs, le
dyptique Ecume explore ce qui circule d’un être à l’autre, d’une génération à
l’autre, d’un voyage à l’autre. Avec pour cap, un questionnement : Est-ce qu’un
destin, ça se choisit ? Et qu’est-ce qu’on fait quand on n’aime pas le nôtre ?
Quelles sont nos marges d’action ?
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AFTER SCENE - Je 25.04 après la représentation. Avec l’équipe du spectacle.
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Mise en scène, texte et chorégraphie Ilyas Mettioui - Avec Annette Baussart,
Habib Ben Tanfous, Benoît Gob, Mustapha El Hamel, Cecilia Kankonda, Deborah
Rouach, David Scarpuzza – Assistant à la mise en scène Alice Valinducq -
Scénographie Aurélie Borremans avec l’aide de Pélagie Couroyer - Création sonore
Guillaume Istace - Création lumières Christian François - Régie lumière Suzanna
Bauer - Régie son Manuel Viallet - Soutien à l'écriture chorégraphique Lila
Magnin - Dramaturges
Zoé Janssens, Tatjana Pessoa et Nedjma Hadj Benchelabi - Costumière Nina Juncker
- Photos de spectacle Laurent Poma et Vincenzo Chiavetta - Teaser Dragan
Goolaerts et LiquidSky.
Une création de la compagnie Le Boréal / Juin 2022. Production Le Rideau.
Coproduction Le Boréal, l'atelier 210, le Central et la Coop asbl. Avec le
soutien du Théâtre de l'Ancre, le Théâtre de Namur, le Théâtre de Liège et le
Théâtre Marni. Avec l'aide de Shelterprod, Taxshelter.be, ING et du Tax-Shelter
du gouvernement fédéral belge, la Fédération Wallonie-Bruxelles - Direction du
Théâtre et de la bourse à l’écriture de la SACD.
Un drapeau qui sert d’écran de projection à des vidéos d’archives familiales,
des noyaux, la voix de leur mère, dans Okhty, Lina et Sarah se retrouvent sur
scène pour mettre en commun les souvenirs qui permettent de renouer avec leurs
origines algériennes, entre deux cultures et deux territoires : le Bassin Minier
du Pas-de-Calais où iels sont né·es et ont grandi et l’Algérie de leurs racines
où leur père est enterré. Il est question de retracer le fil d’une histoire
faite de silences, d’une langue qu’on ne parle plus pour raconter ce qui est
nécessaire à se comprendre soi : ce que ça fait d’être Arabe en France.
Comment recomposer la mémoire de nos corps et réparer les fissures qu’ils
renferment?
Face à un choc émotionnel trop intense, il arrive à notre cerveau de disjoncter.
C’est ce qu’on appelle la dissociation. Partant de cette expérience, Medea
Anselin co-signe avec Alice Valinducq un premier spectacle, dans lequel quatre
personnes AFAB (assigné·es au genre féminin à la naissance) disjonctent et se
retrouvent dans une brèche spatio-temporelle. Pour recréer du lien avec le monde
réel, les personnages questionnent la perception de leur propre corps et
réalité. Entre l’imaginaire collectif dans lequel i·els baignent et les
traumatismes vécus qui affectent leurs sensations, que faire de leur corps ?
Comment colmater les brèches qu’i·els portent en ell·eux, pour leur réinsuffler
une capacité d’agir ?
Porté par une écriture collective, Brèches agence des fragments de vie que les
interprètes, en français et en catalan, déposent au creux d’un récit collectif,
une fiction qui les relie l’un·e à l’autre. Tantôt frondeuses, tantôt
réparatrices, et souvent les deux à la fois, ces voix intimes nous surprennent
par l’humour ravageur qu’elles déploient, afin que l’insurrection puisse se
produire. Comme le disait déjà Monique Wittig, « Le cheval n’est pas l’arme
toute entière mais il permet d’ouvrir des brèches pour que d'autres débarquent
et commencent à travailler les consciences. » Brèches est une expérience
sensorielle, qui ouvre au fond de nos imaginaires de nouveaux sentiers de
révolte et d’émancipation.
Dans le sillage d’une ancienne sagesse du bouddhisme zen à laquelle Bruce Lee
fait allusion dans son film innovateur Enter the Dragon, « Quand le sage désigne
la lune, l’idiot regarde le doigt », Moya Michael propose de suivre le mouvement
de ce qu’on ne peut pas concevoir, de disparaître pour conserver les mots qui
nous précèdent et ne nous ont jamais quittés, de transformer pour sauvegarder ce
qui nous a précédés.
En étroite collaboration avec un groupe d’artistes invités, elle danse au plus
près des gardiens des mots et des rythmes de mondes inflexibles, toujours
vivants mais oubliés ou négligés, et nous invite à écouter les images de
rencontres au moment où elles résonnent. En relation intime avec l’élan orbital
de la lune, iels remettent en question la possibilité de ressentir
intérieurement les vestiges d’une langue, de sorte que plus on se meut en
profondeur dans notre corps, plus on s’immerge dans ses vocabulaires et sa
grammaire, fragmentés mais durables, sans jamais les saisir ou les revendiquer.
***
de Thierry JANSSEN
d’après le personnage de Johnston McCulley
Voilà plus de 15 ans que Don Diego de la Vega s’est juré de ne plus porter le
masque de Zorro.
Mais alors qu’en ville, les préparatifs pour la Fête des Morts vont bon train,
les discordes avec son adolescente de fille, l’arrivée d’un nouveau Gouverneur
aux desseins machiavéliques, la tension ravivée avec les Apaches et la mort de
Bernardo, son fidèle complice muet, vont contraindre Don Diego à enfiler une
nouvelle fois son costume de justicier. D’autant plus qu’un faux Zorro a fait
son apparition dans la région. Tout se règlera à grands coups d’épée, de courses
échevelées et de feux d’artifice ! Nous vous convions à un spectacle haut en
couleur, où l’humour le plus délirant côtoie combats grandioses et
rebondissements.