La Galerie Carré d’Artistes, située rue Lulli à Marseille, a le plaisir
d’accueillir André Raphaël, un artiste talentueux de la région, pour une journée
exceptionnelle de performance en live et échanges artistiques. Au cours de cet
événement, l’artiste créera une grande toile sur place, offrant ainsi au public
l’occasion unique d’observer son processus créatif en temps réel et de plonger
dans son univers artistique.
Le travail d’André Raphaël se distingue par un dialogue visuel vibrant, riche en
couleurs et en symboles. Il marie habilement les éléments des sculptures
classiques avec la dynamique et l’énergie du graffiti urbain moderne, créant
ainsi une fusion artistique unique et captivante.
Le vernissage, qui se tiendra en soirée, permettra aux participants de discuter
avec l’artiste et d’autres amateurs d’art dans une ambiance conviviale. Cet
événement offre une opportunité précieuse de partage et d’échanges, créant une
expérience artistique immersive et enrichissante.
Publié par : Office de Tourisme des Loisirs et des Congrès de Marseille
Le Grand bain ou comment bien se (dé)vêtir au soleil 1940 - 2000
28juni
-05januari 2025
4 Avenue Du Parc Borely, 13008 Marseille, France
Description
Longtemps élitiste, la mer, en tant que loisir, se démocratise avec l’accroissement des voies de communication, la mise en place des congés payés de 1936 et le développement des sports nautiques. Elle attire aujourd’hui des millions de baigneurs venus sacrifier au rite de la plage, théâtre des dernières tendances «beachwear».
Du justaucorps unisexe et fonctionnel des années 1930 aux créations «couture», parfois décalées de stylistes contemporains, l’exposition « Le grand bain » permet de suivre l’évolution des mœurs et des goûts de la société à travers l’histoire du maillot – ou comment bien se (dé)vêtir au soleil !
Exposition labellisée «Olympiade culturelle», programme mis en place par le Comité international olympique qui permet au pays hôte de faire dialoguer sport et culture sur tout son territoire, avant les Jeux et jusqu’à leur clôture.
Date info
Du vendredi 28 juin 2024 au dimanche 5 janvier 2025
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Suggested events
Exposition temporaire.
Le Paris Print Club est un lieu de création artisanale et artistique dédié à
l’image et à l’édition d’objets imprimés. Dans cet espace de 400m2 au cœur du
18e arrondissement, se regroupent les ateliers de graveurs, de sérigraphes,
typographes, éditeur·ices, designers, graphistes, photographes et artistes. Ces
espaces de production sont articulés avec une galerie donnant directement sur la
rue.
L’atelier Morsure est au sein du Paris Print Club le pôle de gravure et de
typographie. C’est la réunion d’encres, de machines et de personnes qui mènent
des projets artistiques d’estampes et de livres conçus par et pour ces
techniques.
Publié par : Office de Tourisme des Loisirs et des Congrès de Marseille
Le Phare est une installation lumineuse in situ qui transforme la tour du Fanal
en un phare poétique. Réalisée par le duo d'artistes Brognon Rollin, cette
oeuvre inclusive rend hommage aux pionniers de la culture hip-hop tout en
soutenant les patients atteints de maladies chroniques. Jusqu'en juillet 2024,
une conversation visuelle éclairera le ciel et la terre par intermittence,
offrant des moments d'épiphanies muettes à Marseille.
Des ateliers de pratiques artistiques, encadrés par l’artiste plasticien Mickaël
Elma, sont proposés pour aboutir à la création d’une œuvre monumentale qui
reprendra les valeurs et la symbolique des jeux olympiques. Plusieurs pratiques
artistiques seront abordées : l’art de l’ornementation, la sculpture sur papier
et l’initiation à la gravure. Les ateliers seront accompagnés de temps de
sensibilisation à l’histoire des jeux olympiques et aux valeurs qui y sont
associées.
Programme détaillé :
* 10 juillet :
Inauguration de la sculpture à 16h30 au parc de Bagatelle
* 31 juillet et 7 août de 9h30 à 17h30 :
2 journées de jeux et d’ateliers avec l’Ideas box dans le parc de Bagatelle.
Des ateliers d’expressions écrites, plastiques et numériques seront organisés
lors de deux journées de médiation culturelle autour des jeux olympiques et de
ses valeurs, avec le déploiement de l’Ideas Box dans le Parc Bagatelle, une
médiathèque portative conçue par Bibliothèques Sans Frontières.
Plusieurs espaces seront disponibles pendant ces 2 jours :
1) Espace bibliothèque géante : Lecture détente et écoute d’histoires
Sur le parvis de la mairie 6&8
2) Espace atelier créatif : Création écrite et/ou plastique autour des Jeux
Olympiques et de ses valeurs
Sur la pelouse
3) Espace multimédia : Proposition de jeux numériques collectifs : quiz sur le
thème du sport
Sur la pelouse
4) Espace accueil/information et médiation : Présentation du projet et
invitation à compléter un livret-jeux pédagogique et ludique distribué
Autour de la sculpture
Publié par : Office de Tourisme des Loisirs et des Congrès de Marseille
Photographies des collections de la modernité des années 1930 aux années 2000.
Dans le cadre du renouvellement de son accrochage, le musée présente une
exposition-dossier de ses fonds photographiques ainsi que du musée d’art
contemporain [mac].
En février 1968, le musée Cantini présentait sa première exposition de
photographies L’(OEIL OBJECTIF), réunissant Doisneau, Brihat, Clergue et Sudre.
Dans ce même temps, Gautrand recevait le Grand prix de la Ville de Marseille
consacré à la photographie. Aux côtés de la Bibliothèque nationale et du musée
Réattu, l’institution endosse alors un rôle précurseur en créant une collection
constituée en échos aux évènements régionaux tels les Rencontres d’Arles ou le
festival d’Avignon.
À travers les fonds du musée Cantini, du [mac] et du Fonds communal d’art
contemporain (Fcac), L’(ŒIL) OBJECTIF dresse un panorama renouvelé des
collections ; des jeux d’optiques de la Nouvelle Vision à la pratique
documentaire de Valérie Jouve, en passant par les mises en scène de Man Ray,
l’exposition propose une approche élargie de la photographie et la diversité de
regards qui en émanent.
Cette exposition fait partie de la programmation des Rencontres d’Arles dans le
cadre du Grand Arles Express.
AUTOUR DE L’EXPOSITION
> Visite commentée
Durant toute la durée de l’exposition chaque samedi à 15h
[Tarifs adultes : entrée gratuite + 3 € (+1,50 € tarif réduit) / Tarifs enfants
de 12 à 18 ans : entrée gratuite + 1,50€ / Tarifs enfants de moins de 12 ans :
gratuit]
► Afin d’être certain(e) de pouvoir bénéficier de la visite complète de toutes
nos salles d’exposition, nous vous invitons à contacter le Musée avant votre
visite.
► Toutes les visites et activités autour de l’exposition sont disponibles sur le
site des musées.
Publié par : Ville de Marseille
L'?il Objectif - Photographies dans les collections est une exposition
captivante présentée au Musée Cantini à Marseille. Découvrez une sélection
unique de photographies allant de la modernité des années 1930 aux années 2000.
Plongez dans l'univers artistique de Doisneau, Brihat, Clergue, Sudre et bien
d'autres. L'exposition offre un regard renouvelé sur la photographie, mettant en
lumière la diversité des styles et des approches artistiques. Ne manquez pas
cette occasion de vous immerger dans l'histoire visuelle captivante de ces
oeuvres uniques.
Un nouvel engouement se manifeste depuis quelques années pour les pratiques de
nudité dans la nature, engouement qui va de pair avec la recherche d’une
alimentation saine, végétarienne, le recours aux thérapeutiques naturelles, à la
méditation ou au yoga en plein air. Ces modes de vie, mais aussi le rejet des
diktats qui pèsent sur nos corps, sont autant de clés de lectures contemporaines
pour comprendre les enjeux des naturismes d’hier et d’aujourd’hui. La France est
aujourd’hui la première destination touristique au monde pour les naturistes :
son climat tempéré et la présence de trois mers ont facilité l’installation de
véritables communautés, qui – excepté en Suisse – ont peu de véritables
équivalents ailleurs en Europe, où le naturisme se pratique de manière plus
libre, hors de communautés constituées. Mais d’autres raisons, historiques,
culturelles, juridiques, expliquent la singularité et la longévité des
communautés installées en France. Il était normal pour le Mucem, musée de
société implanté à Marseille, cité méditerranéenne autour de laquelle plusieurs
lieux naturistes importants se sont développés, de chercher à explorer ce
phénomène de société singulier et fédérateur qu’est le naturisme, ou plutôt les
naturismes, car ils sont pluriels.
Alors, vivre nu en communauté pour communier avec la nature serait-il le secret
du bonheur et de la santé ? Naturisme et nudisme, est-ce la même chose ?
Pourquoi et comment la France est-elle devenue ce « paradis naturiste » ?
L’exposition « Paradis naturistes » se propose de partir à la découverte des
tous premiers naturismes, allemands et suisses, puis français, de rentrer dans
l’histoire des communautés naturistes pionnières, qui s’implantèrent en France
et en Suisse dès les années 1920 mais aussi de découvrir comment se vit et se
pratique le naturisme aujourd’hui.
Dans une scénographie solaire conçue par l’agence lyonnaise Trafik, l’exposition
réunit 600 items : photographies, films, revues, objets quotidiens mais aussi
peintures, dessins, livres, estampes et sculptures.
Ils sont issus des archives des communautés, de collections privées et publiques
françaises et suisses, parmi lesquelles : le Musée National d’Art Moderne
MNAM/CCI Centre Pompidou, le musée du Louvre, la Bibliothèque Nationale de
France, le musée Bourdelle, le musée des Beaux-Arts de Rennes, le musée de
l’Éphèbe et d’archéologie sous-marine d’Adge, le musée des Beaux-Arts de Dole,
la cinémathèque de Paris, l’INA, les archives départementales des Yvelines, les
archives municipales d’Agde, le syndicat d’administration d’Heliopolis – Île du
Levant, la Fondation Henri Cartier-Bresson, la galerie Georges-Philippe et
Nathalie Vallois, la Bibliothèque Nationale Suisse à Bern, le Bündner
Kunstmuseum à Chur, la cinémathèque de Bern, la Fondazione Monte Verita à
Ascona.
Commissariat :
– Amélie Lavin, conservatrice en chef au Mucem, responsable du pôle Corps,
apparences, sexualités.
– Bernard Andrieu, philosophe, professeur au sein de l’Institut des Sciences du
Sport et de la Santé de Paris, Université Paris Cité.
– David Lorenté, ingénieur des systèmes et techniques audiovisuels et multimédia
à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et doctorant, Université Paris Cité.
– Jean-Pierre Blanc, directeur de la Villa Noailles.
Commissaires associés :
– Julie Liger, directrice adjointe de la Villa Noailles.
– Thomas Lequeu, associé à la direction artistique pour la Villa Noailles.
Scénographie : agence Trafik
Publié par : Office de Tourisme des Loisirs et des Congrès de Marseille
La galerie Bonne Espérance de Paris présente à Marseille une exposition pop-up,
« Kalahari San », de peintures de 2013 et de photographie de 1959.
Les San, autrefois connus sous le nom de « Bushmen », sont les premiers
habitants de l’Afrique australe et ont vécu dans la région des dizaines de
milliers d’années avant l’arrivée d’autres Africains et d’Européens. Les San
sont les créateurs de l’art rupestre en Afrique australe. Bonne Espérance
présente la première exposition à Marseille de la peinture San contemporaine.
Bonne Espérance présente des peintures réalisées en 2013 par des artistes
autodidactes appartenant à un collectif d’artistes San, The Kuru Art Project,
basé dans un village du désert du Kalahari au Botswana. Bonne Espérance présente
également des photos en noir et blanc prises en 1959 par le photographe
sud-africain Jürgen Schadeberg d’une danse rituel de guérison San, la danse
transe, pratiquée par des San depuis des siècles et souvent réprésentée dans
l’art rupestre San. Les œuvres des artistes du collectif Kuru Art Project et de
M Schadeberg font partie de nombreuses collections permanentes des musées autour
du monde, notamment la Smithsonian Institution, le Victoria & Albert, le Art
Institute of Chicago, le Tate, la Maison Européenne de la Photographie et
d’autres.
Publié par : Office de Tourisme des Loisirs et des Congrès de Marseille
Cette exposition bilingue, conçue par l’association Arkaeos dans le cadre de
l’Olympiade culturelle, présente un pan spécifique de l’archéologie,
l’archéologie navale expérimentale, à travers plusieurs exemples de répliques
navigantes d’embarcations.
L’objectif de ces projets est de retrouver les formes anciennes des embarcations
et les gestes disparus de ceux qui les ont construites et utilisées. Des études
scientifiques, de la fouille des épaves à la construction des navires, ont réuni
des équipes interdisciplinaires qui ont fait dialoguer les chercheurs,
historiens, archéologues, spécialistes des arbres, maîtres charpentiers, etc.
Avec cette exposition, vous voyagerez depuis une barque de pêche de la deuxième
génération des Grecs de Marseille au VIe siècle avant notre ère jusqu’à une
chaloupe baleinière basque coulée au Canada au XVIe siècle. Deux voiliers
marchands grec et romain, une barque de pêche ou de service de la côte
ragusaine, un navire de guerre viking vous accompagneront également dans cette
navigation à travers le temps.
Musée d’Histoire de Marseille, parcours permanent des collections, séquence 1
Publié par : Ville de Marseille
En collaboration avec Marseille Capitale de la mer, une exposition de panneaux
présentera différentes répliques archéologiques d’épaves fouillées en France et
en Europe (Grèce, Danemark, Espagne, Croatie, Allemagne).
Cette exposition tournera dans différents lieux, notamment à la vieille consigne
sanitaire sur le Vieux-Port.
L’association Arkaeos a également proposé des ateliers d’initiation autour du
patrimoine maritime sur l’archéologie navale expérimentale lors des Journées du
Patrimoine 2023.
L’association Arkaeos œuvre pour le développement de l’archéologie sous-marine
et subaquatique. Elle se consacre à la conduite d’opérations de fouilles
archéologiques ainsi qu’à la valorisation du patrimoine maritime. L’association
s’occupe notamment du chantier de réparation et d’entretien du Gyptis, réplique
navigante de l’épave Jules Verne 9.
L’Olympiade Culturelle à Marseille.
Publié par : Office de Tourisme des Loisirs et des Congrès de Marseille