Au cours de l’année 2024, la compagnie Narcisse crée un festival de solo de
danse, « Narcisse & Friends », répartis en trois soirées de danse
complémentaire.Chaque soir, deux danseurs mettent en scène et abordent des
thèmes actuels de la société. La musique et les mouvements accompagneront ces
six danseurs dans les interrogations de ce qui anime chacun quant à sa place
dans la société, dans le rythme que celle-ci impose à toute personne, en passant
par des points très intimes, tel que la solitude, l’amour, la question du genre
ou encore l’immigration.Comment chacun fait avec son corps, sa propre identité
pour trouver une place qui fait sens, qui s’inscrit comme stable dans une
société qui ne cesse de changer ? Est-ce qu’il y a un choix à faire ? Ces corps
qui s’approchent, se distancient sur un fond de musique, qui s’intensifie par
moment, tentent d’y apporter quelques réponses, pensées, émotions et…
Aili
Description
Aili, le duo belgo-japonais à l'origine de l'EP merveilleusement frais "Dansu", mélange harmonieusement Kosmische Musik, Acid House, Electronica, Disco et Leftfield Pop. Leur talent artistique unique se traduit par une fusion harmonieuse de compositions électroniques et de paroles japonaises expressives, ajoutant une dimension rafraîchissante au paysage musical.La chanteuse principale, Aili Maruyama, cherche à insuffler ses racines japonaises dans le projet, en favorisant une connexion entre les cultures occidentales et orientales à travers leurs mélodies. Cette union d'influences crée un collage vibrant qui accueille les auditeurs dans leur monde musical - un espace invitant où la créativité ne connaît pas de limites.L'ascension d'Aili a commencé en 2021 avec leur premier single contagieux "Dansu" qui a régné en maître à la première place de la liste VOX de Radio 1 pendant huit semaines. Leur musique a été saluée par des publications renommées telles que Rolling Stone, et ils sont devenus des habitués des stations de radio telles que KEXP et KCRW aux États-Unis.Leur premier album sortira en février 2023, et ils le présenteront pour la première fois dans notre club !ACHETEZ VOS BILLETS DÈS MAINTENANT ET VENEZ DANSU !
Information sur la date
Le 07/03/2024
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Info:
Infos & Contactsinfo@abconcerts.behttps://www.abconcerts.be/fr/agenda/aili/a105J0000071HEcQAM
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Événements suggérés
March On ! est un projet chorégraphique qui propose un traitement poétique et
sensible du phénomène migratoire. L'angle chorégraphique est le mouvement
universel, symbolique et politique : la marche.
Pour trois danseurs et un batteur, cette nouvelle création offre un langage brut
et énergique, traduction d'un état de révolte face à l'injustice et aux
stigmatisations que subissent « les migrants ». March On ! aborde la marche
comme symbole d'errance, de voyage, mais aussi de rupture et de transformation.
Avec ce geste puissant, vecteur à la fois d'empathie et de contestation, le
projet cherche à évoquer un mouvement de résistance et de solidarité. Sous les
contraintes d'effort et d'endurance, March On ! interroge le flux historique et
perpétuel de la migration comme mouvement instinctif de survie et d'évolution
des peuples. Avec Porteuse du projet Maria Eugenia Lopez
Chorégraphie et interprétation Louis Nam Le Van Ho, Noé Pellencin et Maria
Eugenia Lopez.
Musicien Etienne Plumer
Créateur lumières En recherche
Production Inouïe asbl
Coproduction Charleroi Danses. Centre chorégraphique de Wallonie - Bruxelles
Projet soutenu par le Théâtre Marni et par la Fédération Wallonie Bruxelles
Accompagné par le Grand Studio
********** English **********
A character – half dancer, half gymnast – will evolve throughout a physical
demonstration. On a stage where everything is transformable, from costume to
scenography to music, this is an opportunity to see the exceptional in simple
things and to appreciate the power of micro-evolutions.
Because this person, ordinary though she may be, went on stage with the
intention of setting it on fire. Witness the journey of this individual in her
performance, wanting to do well but not always succeeding. A mix of wanting to
excel and surrendering to the simple pleasure of dancing.
With this first solo work, Léa Dubois, dancer at Rosas (Anne Teresa De
Keersmaeker), among others, takes us on a journey of joy, backed by the musical
creativity of the Belgian duo Juicy.
14€ / 10€ / 6€
********** Français **********
Un personnage, mi danseuse, mi gymnaste, va évoluer tout au long de sa
démonstration physique. Sur une scène où tout est transformable, du costume à la
scénographie en passant par la musique, voici l’occasion de voir l’exceptionnel
dans les choses simples et d’apprécier la puissance des microévolutions.
Car cette personne, aussi ordinaire soit-elle, est montée sur scène dans le but
d’y mettre le feu. C’est la traversée de cet individu dans sa prestation, qui a
envie de bien faire mais qui n’y arrive pas toujours. Un mélange de dépassement
de soi et d’abandon au simple plaisir de danser.
Avec ce premier solo, Léa Dubois, entre autres danseuse chez Rosas (Anne Teresa
De Keersmaeker), nous embarque dans une course à la joie, épaulée à la création
musicale du duo belge Juicy ! Immanquable !
AUTOUR DU SPECTACLE
Atelier Le goût du drame (n'est jamais loin) pour toutes et tous, gratuit à
l'achat d'une place de spectacle, le mardi 16 avril 2024, 18h30 > 20h30 -
information ici.
14€ / 10€ / 6€
********** Nederlands **********
Een personage, half danseres, half turnster, zal evolueren tijdens haar fysieke
demonstratie. Op een podium waar alles veranderd kan worden, van de kostuums,
het decor tot de muziek, is dit een gelegenheid om het uitzonderlijke te zien in
eenvoudige dingen en de kracht van micro-evoluties te waarderen.
Want dit persoon, hoe gewoon ze ook is, is op het podium gekomen om het in vuur
en vlam te zetten. Het is de reis van deze persoon in haar voorstelling, die het
goed wil doen maar daar niet altijd in slaagt. Een mix tussen zichzelf willen
overtreffen en zich overgeven aan het simpele plezier van het dansen.
Met deze eerste solo neemt Léa Dubois, danseres bij Rosas (Anne Teresa De
Keersmaeker), ons mee in een wedloop naar de vreugde, ondersteund door het
muzikale werk van het Belgische duo Juicy! Niet te missen!
14€ / 10€ / 6€
********** English **********
Stillness is but an appearance. For this new creation, the artist duo Tumbleweed
presents a mid-air choreographic piece: an original way to continue their
explorations of the loss of points of reference, and the notion of territory.
Suspended above an upturned light, three dancers gradually move out into the
void. They bear witness to the impermanence of things, and drift together in
pursuit of an elsewhere that continues to merge and fade.
Dehors est blanc, meaning “It’s white outside”, is a reference to the term
"whiteout", an atmospheric optical phenomenon in which contrasts are nil and
everything seems enveloped in a uniform white glow. Observers can then discern
neither shadows nor the horizon, causing a loss of sense of depth and
orientation.
14€ / 10€ / 6€
********** Français **********
L’immobilité n’est qu’une apparence. Pour cette nouvelle création, le duo
d’artiste Tumbleweed propose une pièce chorégraphique en suspens : une manière
originale de poursuivre leurs explorations sur la perte des repères, et la
notion de territoire.
Suspendu·es au-dessus d’une lumière renversée, trois danseur·euse·s se déploient
graduellement dans le vide. Iels témoignent de l’impermanence des choses, et
dérivent ensemble à la poursuite d’un ailleurs, qui ne cesse de se fondre et de
s’effacer.
Dehors est blanc est une référence à l’expression « blanc dehors », un phénomène
optique atmosphérique dans lequel les contrastes sont nuls et où tout semble
enveloppé d’une lueur blanche et uniforme. L’observateur ne peut alors discerner
ni les ombres, ni l’horizon, provoquant une perte du sens de la profondeur et de
l’orientation.
14€ / 10€ / 6€
********** Nederlands **********
Immobiliteit is slechts schijn. Voor deze nieuwe creatie stelt het
kunstenaarsduo Tumbleweed een zwevende choreografie voor: een originele manier
om hun verkenningen over het verlies van referentiepunten en het begrip
territorium voort te zetten.
Hangend boven een omgekeerd licht ontvouwen drie dansers zich geleidelijk in de
leegte. Ze getuigen van de vergankelijkheid der dingen, en drijven samen op zoek
naar een andere plaats, dat nooit ophoudt te smelten en te vervagen.
Dehors est blanc verwijst naar de uitdrukking 'whiteout', een optisch
meteorologisch verschijnsel waarbij contrasten verdwijnen en alles gehuld lijkt
in een wit gloed. De toeschouwer kan dan noch schaduwen noch de horizon
onderscheiden, waardoor hij of zij elk gevoel van diepte en oriëntatie verliest.
14€ / 10€ / 6€
Le Mini D Festival a été créé en 2017 par le Marni, Pierre de Lune, Centre
Scénique Jeunes Publics de Bruxelles et le Service Culture d’Ixelles pour rendre
la danse contemporaine destinée aux enfants plus visible. Tant à l’école qu’en
famille. Depuis, le cirque y a naturellement trouvé sa place et l’envie s’est
propagée parmi les partenaires, notamment de programmer en plein air.
Lieux partenaires : Marni, Théâtre Mercelis, place Fernand Cocq, Charleroi danse
/ La Raffinerie, la Maison des Cultures de Molenbeek, Le Senghor, centre
culturel Jacques Franck.
De Ahmed Ayed / Collectif Illicium
Création chorégraphique qui joint intime et universel, …And Nobody Else évoque
la recherche d’une identité en constante transformation, une quête d’un « soi »
libre dans une enveloppe étriquée.
Ahmed Ayed, accompagné du chorégraphe et danseur Hamza Damra et du batteur et
chanteur Timothée Philippe, explore ses questionnements identitaires, questionne
la liberté d’être soi au- delà des masques qu’on s’impose.
Est-ce que nous arrivons à atteindre pleinement notre identité profonde ou
vivons-nous d’une série de compromis qui nous façonnent malgré nous ? Comment
être nous-mêmes quand nous ne faisons que jouer des rôles que nous ne
choisissons pas ? A travers le mouvement, la métamorphose constante du corps et
de l’espace et la pulsation brute d’une batterie, …And Nobody Else nous emmène
dans un voyage initiatique à la rencontre de différentes versions de soi-même.
Une performance aux accents rock qui explore la frontière entre nos identités et
la réalité qui nous entoure.
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Conception, mise en scène et chorégraphie : Ahmed Ayed / Chorégraphie et
interpretation : Hamza Damra / Performance musicale et composition : Timothée
Philippe / Assistanat à la mise en scène : Amber Kemp / Dramaturge : Patrick
Michel / Création lumières : Suzanna Bauer / Costumes : Aswad El Masrahi /
Direction technique et régie lumière : Arnaud Lhoute / Régie son : Zoé Verdique
/ Ingénieur son : Arthur Wouters / Making of et Teaser : Alice Khol / Production
déléguée : Théâtre de la Vie (Manon Di Romano).
Une production déléguée du Théâtre de la Vie (Manon Di Romano), en coproduction
avec La Coop asbl et Shelter Prod, Les Halles de Schaerbeek, Les Brigittines et
C’est Central La Louvière, avec le soutien de taxshelter.be, ING et du tax
shelter du gouvernement fédéral belge, de la COCOF, SABAM et SACD. Diffusion :
La Charge du Rhinocéros.
********** English **********
Guided by Bruce Lee’s allusion to an old Zen Buddhist wisdom in his seminal film
Enter the Dragon, “Don’t concentrate on the finger or you will miss all that
heavenly glory!”, she proposes to move with what we cannot fathom. To disappear
in order to preserve the words that precede us, that never left us. To transform
in order to keep what came before us.
In close collaboration with an invited group af artists, they dance nearby the
guardians of words and rhythms of persisting, still vibrant but disregarded
worlds and invites us to listen to images of encounters in the moment of their
sounding. In close relation with the elliptical drive of the moon, they
challenge the possibility to sense the remnants of a language inwardly, so that
the deeper they go into their bodies, the wider they go into its dismembered but
enduring vocabularies and grammars, without ever seizing or claiming them.
********** Français **********
Dans le sillage d’une ancienne sagesse du bouddhisme zen à laquelle Bruce Lee
fait allusion dans son film innovateur Enter the Dragon, « Quand le sage désigne
la lune, l’idiot regarde le doigt », Moya Michael propose de suivre le mouvement
de ce qu’on ne peut pas concevoir, de disparaître pour conserver les mots qui
nous précèdent et ne nous ont jamais quittés, de transformer pour sauvegarder ce
qui nous a précédés.
En étroite collaboration avec un groupe d’artistes invités, elle danse au plus
près des gardiens des mots et des rythmes de mondes inflexibles, toujours
vivants mais oubliés ou négligés, et nous invite à écouter les images de
rencontres au moment où elles résonnent. En relation intime avec l’élan orbital
de la lune, iels remettent en question la possibilité de ressentir
intérieurement les vestiges d’une langue, de sorte que plus on se meut en
profondeur dans notre corps, plus on s’immerge dans ses vocabulaires et sa
grammaire, fragmentés mais durables, sans jamais les saisir ou les revendiquer.
********** Nederlands **********
Geleid door Bruce Lee’s toespeling op een oude Zen Boeddhistische wijsheid in
zijn baanbrekende film Enter the Dragon, “Focus niet op de vinger of je mist al
die hemelse glorie!”, stelt ze voor om mee te bewegen met wat we niet kunnen
bevatten. Te verdwijnen om de woorden te behouden die ons voorafgaan, die ons
nooit hebben verlaten. Te transformeren om wat ons voorafging te bewaren.
In hechte samenwerking met een groep genodigde artiesten, danst ze dichtbij de
bewakers van woorden en ritmes van onbuigzame, nog levendige maar in de wind
geslagen werelden en nodigt ze ons uit om te luisteren naar beelden van
ontmoetingen op het moment dat ze weerklinken. In nauwe relatie met de
elliptische impuls van de maan dagen zij de mogelijkheid uit om de
overblijfselen van een taal innerlijk aan te voelen, zodat hoe dieper ze zich in
hun lichaam bewegen, hoe breder ze zich begeven in haar versnipperde maar
duurzame woordenschatten en grammatica, zonder ze ooit vast te grijpen of op te
eisen.
Un sincère partage de l'intime, inspiré de la vie d'artiste, de ses rêves et de
ses cauchemars. Un point de vue particulier d'une vie, qui a changé de 99 cm
entre le premier contact avec le monde extérieur et aujourd'hui. Ici,
maintenant, elle est là, prête, ou presque prête à partager ses délires, envies
et fantaisies. Mais entre les attentes et la réalité, il y a parfois des
décalages et des surprises. Les choses ne se passent pas vraiment comme on les
avait imaginées...
Entourée d'objets et d'éléments du quotidien détournés de leur fonction, ce
spectacle invite le public à découvrir les coulisses de la vie d'une artiste à
travers l'univers circassien. Iara Gueller est brésilienne, de la grande ville
de São Paulo. Elle passe toute son enfance dans le milieu artistique. Après une
longue formation en danse classique, elle obtient son diplôme en danse
contemporaine à l'UNICAMP (Brésil-2014) ; et développe en parallèle sa formation
en cirque. En 2014 elle traverse l'océan pour tenter les écoles de cirque en
Europe. Elle rentre à l'ESAC où elle se spécialise en Cerceau aérien.
Une artiste touchée par l'absurde, l'univers qui accueille ses créations. En
utilisant le cirque - qui permet d'amener le corps humain dans l'absurdité -
mélangé à la danse, elle crée son propre monde qui, en fin de compte, n'est pas
si loin de la réalité. Avec Création et interprétation Iara Gueller
Technicien.ne Suzon Gheur
Lumneiro Salva Salve / Xian Vancanneyt
Regard dramaturgique Aurelia Brailowsky, Alejo Gamboa
Regard extérieur Sander de Cuyper, Luciana Viacava
Création structure Ulrich Weigel Accompagnement à la diffusion Louison Chartrain
Co-production UP- Circus & Performing Arts (BE)
Accueil en résidence Centre Culturel Wolubilis (BE) / Circo Zanni (BR) /
Cirqu'conflex (BE) / La Bau (ES) / La Roseraie (BE) / Les Baladins du miroir
(BE) / Maison Culturelle d'Ath (BE) / Maison de la Création (BE) /
iaragueller.com
Le Breakomaton est une installation numérique interactive de rue, qui se
présente sous la forme d'une grande cabine de danse logée sur une remorque (ou
installée sous une tente). Les participant.e.s qui s'introduisent dans
l'installation font la rencontre d'un professeur numérique présenté sous la
forme d'un avatar vidéo qui va les guider dans la réalisation d'une courte
phrase chorégraphique. Accessible à tout un chacun, les participants découvrent
ainsi les différentes techniques de breakdance en vue de créer un clip vidéo.
Les chorégraphies produites sont ensuite mises bout à bout pour former un clip
vidéo mélangé et monté à partir de boucles pour créer une véritable
chorégraphie, basée sur une musique commune, sous la forme d'une mosaïque
collective.
Depuis un écran placé en dehors de la cabine, le public peut suivre la
construction de l'oeuvre et encourager les audacieux candidats, tout comme
l'interaction peut se faire da cabine vers l'extérieur.
A raw performance: one performer, no props, no music equipment, no lighting
design, no special costume. Nothing than body movement and sound in its full
in-ex-tension of being.
SSS2 is David Zambrano’s new project to support improvisation research. He has
invited more than 18 artists to create a solo performance in one week, by using
only their bodies as a full manifestation of their imagination. It’s a series of
improvisation creation residencies happening at Tictac Art Centre all throughout
2024.
A very raw solo performance, improvised or set, will be presented for the
general public on the Friday of each residency week.