FBIA - Match Championnat 2023-2024 - Poussins Masqués VS Motus

Description

Pour cette saison 2023-2024 du championnat d’improvisation belge amateur; 7 équipes plus talentueuses les unes que les autres et venues des 4 coins de Bruxelles et de Namur reviennent avec pour seul but : séduire le public avec des spectacles uniques !


 A coups de personnages atypiques et d’histoires folles, les équipes tenteront d’accéder à la grande finale de la saison. Qui succèdera aux Motus sacrés champion en juin dernier ? C’est vous, public, qui décidez tout au long de la saison !


De septembre à juin, assistez à des matchs d’improvisation uniques à Bruxelles et en Wallonie pour votre plus grand bonheur ! Rien n’est répété, rien n’est prévu et c’est sous vos yeux ébahis (enfin, on espère) que le spectacle s’écrira…. Alors foncez vite et réservez vos places pour partager avec iels une soirée de folie !



A quoi devez-vous vous attendre ? 
 un spectacle unique de 2x45 minutes
 deux équipes talentueuses de 5 jouteurs et jouteuses
 à donner votre vote avec de supers cartons
 et, occasionnellement, jeter une pantoufle sur l'arbitre ! 
Un spectacle où VOUS participez et décidez du vainqueur tout au long de la saison !


 FBIA - Tout est possible ! 
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Au programme cette semaine :

Poussins Masqués VS Motus
Vendredi 29 mars 2024
 20h30
 Mercelis

Information sur la date

Le 29/03/202420:30-22:30

Billets

Info:

Standard : 12,00 €Carte prof / Réduit -26 ans : 6,00 €Gratuit : Enfants -8ans / Membre

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« Je peux me consumer de tout l’enfer du monde Jamais je ne perdrai cet émerveillement du langage » Louis Aragon « Mon cœur à plus d’amour que vous n’avez d’oubli… » Victor Hugo Divertissement ? Exaltation des mots ? Récital ? Fantaisie musicale ? Hommage aux grands hommes ? Tout à la fois et plus encore… Aboutissement d'un travail de plus de quinze années, cette création produite et interprétée par Gérard-André est un spectacle hors normes croisant textes et chansons d'après une sélection des œuvres des deux poètes et écrivains majeurs du XIXème et XXème siècle. Dix neuf poèmes chantés (musique de Gérard-André pour dix sept d'entre eux, un par Patrick Vasori, un par le guitariste Philippe Darees). Neuf textes dits, mêlant la puissance visionnaire, la force littéraire, la modernité d'Hugo et d'Aragon. Conseillé par le comédien et metteur en scène Yves Prunier, et par Amélie Prévost, comédienne et metteur en, scène, pour l’adaptation 2018 Gérard-André relève un défi à la hauteur de son admiration pour le génie de ses maîtres privilégiés. Un exceptionnel florilège qui voyage dans l'univers étrangement proche des deux auteurs en trouvant l'accord subtil entre parole, musique, mise en espace et mise en lumière. Qui croira reconnaître l'un pourra fort bien se retrouver saisi par l'autre dans le dialogue installé entre les deux voix magistrales auxquelles Gérard-André prête sa chair et son souffle avec inspiration, ferveur et conviction. Les orchestrations et les arrangements de Patrick Vasori sont complices des textes dits et chantés. Un rendez-vous d'une heure trente, inoubliable.
Comment souder nos rages, et regrouper nos corps pour passer à l’action ? La nuit venue, trois jeunes femmes se faufilent dans le noir. Ce qu’elles s’apprêtent à faire est interdit. Pourtant, rien ne peut les arrêter. Ni la police, qui rôde dans la ville. Ni cette peur, qui fait trembler leurs jambes. Ni le danger, qui n’est jamais bien loin. Ensemble, elles ne se dérobent pas. Elles tiennent bon, se protègent, se réchauffent. Elles soudent leurs destins pour passer à l’action. Elles avancent, corps furtifs bravant l’obscurité, jusqu’à ce mur immense qui leur servira de page blanche, pour écrire leur colère en lettres capitales. Dénoncer l’injustice, qui écrase leur monde et engourdit leurs muscles, en inscrivant des mots que chacun·e pourra lire, partager, peupler de ses propres peines, de ses propres désirs. Des mots qui résonneront, qui réveilleront l’espoir et la puissance inouïe qui fait vibrer les corps lorsqu’ils se mettent en lutte. Des mots qui feront foule, lorsque le jour viendra … Que faire de notre rage, dans une société qui fait passer sa violence structurelle pour un mécanisme d’auto-défense, et considère les élans de résistance populaire comme un poison séditieux à combattre sur-le-champ ? Tirant son inspiration de l’engagement des colleuses d’affiches féministes et nourri d’échanges avec des adolescent·es lors d’ateliers de recherche, Puissant·es nous entraîne sur les traces de trois jeunes héroïnes contemporaines, aux prises avec la brutalité du monde. Rassemblées dans l’espace public, elles décident de rompre avec l’impuissance et de faire converger leurs combats pour mener une action considérée comme illégale : inscrire leur révolte sur les murs de la ville. Un groupe solidaire qui les renforce, et au sein duquel ces figures opprimées vont peu à peu mettre leurs corps en jeu. Des corps à nouveau habités, instinctifs et agiles, qui fusent, se soulèvent, courent, escaladent les obstacles et déchirent les interdits. Des gestes qui résistent et se déploient, porteurs d’une force insoupçonnée qui transforme leur rapport au monde et leur sert de tremplin pour retrouver la joie.   Sur le plateau, les comédiennes Annette Gatta, Sophie Linsmaux et Coralie Vanderlinden, qui signe également la mise en scène de cette nouvelle création de la Compagnie 3637, tissent un imaginaire lumineux et combattif, d’une immense liberté, qui mobilise aussi bien les jeunes spectateur·ices que les publics adultes. Entourées de leur équipe, elles incarnent ce récit porteur d’alternative, qui s’infiltre dans les brèches de notre époque pour documenter une forme contemporaine de militantisme et questionner nos espoirs et nos indignations. Entre poésie brute et images fortes, passages musicaux et chorégraphies des corps en lutte, Puissant·es nous plonge au cœur d’une expérience intime et sensorielle, qui ravive en nous une envie certaine d’émancipation.
Le Rideau à l’atelier 210 DUREE - A confirmer _______________________________________________________ Macc(h)abées parle de la mort, non pas de manière métaphorique, mais de manière très directe, corporelle. Le spectacle parle du deuil, de l’adieu, du rapport compliqué au corps de moins en moins « productif », du choix de la mort, et il parle donc nécessairement de la vie et du sens qu’on donne à cette vie, à travers nos expériences et nos engagements. Basé sur une longue période de recherches préliminaires (notamment sur la question de l’euthanasie), d’expériences immersives, troublantes mais nécessaires (le soin des morts), de rencontres bouleversantes (avec des médecins, des patients, des psychologues, des « professionnel-le-s » de la mort), Macc(h)abées raconte l’histoire de cette impossible rencontre avec la mort. Une partie du texte du spectacle se base sur deux livres du docteur Dirk Van Duppen : Ainsi s’est écoulé le temps qu’il m’était compté et L’homme est un loup pour l’homme : fondements scientifiques de la solidarité co-écrit avec Johan Hoebeke. _______________________________________________________ Conception, écriture, mise en scène, interprétation Sophie Warnant - Ecriture, création musicale, interprétation Romain David - Création sonore et musicale, dessin Wim Lots - Assistanat à la mise en scène et costumes Esther Denis - Régie Philippe Kariger - Scénographie Léo De Nijs - Collaboration artistique corps dansant Marco Labellarte et Lisi Estaràs - Soutien dramaturgique Karel Vanhaesebrouck - Partenaires de route Renelde Pierlot, Romain Vaillant – Photo visuel WimLots. Production la compagnie du Sujet Barré, production déléguée de l’atelier 210. Coproduction le Rideau, le théâtre de la Joliette de Marseille, le Théâtre Jean-Vilar de Vitry-sur-Seine, la COOP asbl et Shelter Prod. Soutiens et résidences Quai 41, le CORRIDOR, la compagnie Point Zéro, le Kopergietery, le théâtre des DOMS, la Geste, le théâtre La Cité / Marseille, le théâtre Varia, la maison de la culture de Tournai. Avec l’aide de Théâtre&public. Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Service général de la Création artistique, de taxshelter.be, ING et du tax-shelter du gouvernement fédéral belge. Merci à (par ordre chronologique) : Yannick Cossard pour l’Association Régionale de Concertation sur les Soins Palliatifs du Hainaut Occidental ARCSPHO, les infirmières du service de soins palliatifs et du service oncologie du Chapwi (centre hospitalier de Wallonie Picarde), la docteur Dopchie, Sophie, l’équipe de psychologues et les accompagnateur·rice·s de la plate-forme prévention suicide, Yoan Cecco, Karine - Thanatopractrice, docteur Wim Distelmans, docteur Luc Sauveur, docteur François Damas. Merci à Berlinde De Bruyckere. Merci à (par ordre alphabétique) Françoise Bloch, Serafina Cutaia, Camille de Leu, Isabelle Gyselinx, Gorges Ocloo, Alain Platel, Raven Ruëll, Frouke Van Gheluwe et Yaël Steinmann, Brigitte van den Bosch.
********** Français ********** Dans un quartier résidentiel aux abords d’une ville, nous suivons les trajectoires d’une dizaine de personnages à travers des nœuds de tensions multiples et des conflits sociaux générationnels. Ce microcosme au quotidien tranquille se découvre de nouvelles peurs et angoisses à la suite d’un événement extraordinaire. Véhiculant échecs, fantasmes et souvenirs, cet épisode va bouleverser la vie du voisinage. Chacun·e devra négocier avec plus ou moins de réussite la finitude de son existence. Poursuivant le travail collectif de mise en scène entamé dans leurs précédents spectacles, la compagnie Fany Ducat développe pour ce nouveau projet une dramaturgie plus cadrée avec un texte écrit à six mains. "Harmony" permet de faire coexister une multiplicité de lieux dans un même espace scénique au service d’un récit rythmé. Le spectacle mélange les codes et les genres, souhaite surprendre en articulant son histoire autour de sujets contemporains comme la paranoïa, le complotisme et la sécurité, mais aussi à l’aide de sujets plus intimes tels que la famille, le passage à la vie adulte, la séparation amoureuse… En traitant ces sujets sociétaux et intimes de manière absurde mais sans cynisme, le spectacle nous permet de rire de ces conflits. ********** Nederlands ********** Geïnspireerd op de wereld van grafische romans, stelt de compagnie Fany Ducat in "Harmony" een mozaïekvormig verhaal voor. De voorstelling dompelt ons onder in de dagelijkse mechanismen van een groep individuen tot een gebeurtenis hun gewoonten overhoop haalt. ********** English ********** Inspired by the universe of graphic novels, the company Fany Ducat proposes in "Harmony" a mosaic narrative. The show transports us to the daily mechanisms of a group of individuals before an event upsets their habits.
« J’aime faire rire. Pour moi, c’est une politesse. » dit Léonard Berthet-Rivière. Quiconque a vu ou verra le spectacle qui plonge dans les arcanes d’une histoire abracadabradantesque, trouvera ce jeune homme et sa complice Muriel Legrand de fait immensément polis. Qu’on en juge un peu : soit un vaudeville à table (ou presque), quatre actes, treize personnages, un acteur et une actrice ; soit une vendetta ourdie par Gérard contre son concurrent Raymond, le jour où celui-ci vient enlever sa maîtresse, Inès, femme de Gérard, alors que Frédéric, le fils de Raymond vient demander la main de Sophie, la fille de Gérard, enceinte jusqu’au yeux… Tous les ingrédients d’un vaudeville roboratif et d’une folle journée réunis sous la plume magistrale de Roger Dupré dans laquelle s’engouffrent l’actrice et l’acteur surfant sur l’absurdité d’une partition frénétique où la fantaisie mène le bal, et dans lequel on passe de la lecture savoureuse à deux têtes à une danse endiablée à mille bras. Symbolique et poétique, loufoque mais jamais dingue, Le mystère du gant pousse la tradition vaudevillesque à son paroxysme, touche l’absurde et ne se refuse aucune astuce pour nous redonner goût aux histoires. Un pied de nez salutaire à la sériosité et à la morosité qui fait beaucoup de bien.
Ne jamais prendre la moindre décision. Ne jamais penser. Ne jamais choisir. Toute une vie déléguée à d’autres : des manipulateurs et manipulatrices. Est-ce fantastique ou est-ce terrible ? Et que peut faire une marionnette qui joue sans cesse le même spectacle, un spectacle qu’elle n’aime pas ? Que peut-elle faire pour changer les choses ? Elle décide donc de tenter le tout pour le tout et de prendre le pouvoir. De commander à son tour les marionnettistes. Ne plus vivre par procuration. Décider par soi-même. Mais pour ça, il va falloir convaincre les marionnettistes, qui tiennent à leurs emplois. La marionnette fait des promesses. Mais chez les artistes, personne n’y croit vraiment. Alors on demande l’avis du public : “peut-on rêver d’un autre système ?” Un chef d’œuvre de manipulations ! De et avec Cécile Maidon, Noémie Vincart et Michel Villée. Aide à la mise en scène et à l’écriture : Marion Lory. Regard dramaturgique et marionnettique : Pierre Tual. Création de la marionnette et scénographie : Valentin Périlleux. Costumes: Rita Belova. Lumière : Caspar Langhoff. Son : Alice Hebborn. Régie: Margaux Fontaine. Constructions : Corentin Mahieu et Simon Dalemans. Création magique : Andrea Fidelio. Diffusion: Pierre Ronti – Mes idées fixes.
Depuis un an et demi, Lisa Tonelli et Emeline Marcour ont sillonné la commune d’Ixelles à la rencontre de restaurateurs. Elles ont récolté des histoires de goûts, de dégouts, de goûts nostalgiques, oubliés, obsessionnels ou réconfortants, de goût du quotidien, de goûts festifs….et avec tout ça, elles ont composé leur grand « Frichti » * : Un spectacle théâtral, culinaire, intimiste et participatif.
 
 * Un "Frichti" est un repas simple et souvent improvisé, généralement préparé avec le ingrédients que l’on a sous la main. 
 
 Avant la semaine de spectacles : 
 Samedi 6 avril « Atelier de cuisine saupoudré de poésie » animé par Nadjad. 14h00 (durée 1h30) Mercredi 10 Avril Atelier Slam: « Tambouille familiale » animé par Nadjad. 19H00 (durée 2h)  
 
 Pendant la semaine de spectacles : 
 Le 16 avril : la première à 20h Le 17 avril : Spectacle à 19h Le 17 avril scène slam sur la thématique de la cuisine / Gratuit 20h45 Le 18 avril : Spectacle à 20h + diffusion du 1er podcast Le 19 avril : Spectacle à 20h + diffusion du 2ème podcast Le 20 avril : Spectacle à 20h + diffusion du 3ème&4èmepodcasts Thématiques des podcast: Des frères et des sœurs, le rapport à la table et à la nourriture : réflexions, histoires, souvenirs à satiété, partage nourrissant et succulentes anecdotes.
« J’aime faire rire. Pour moi, c’est une politesse. » dit Léonard Berthet-Rivière. Quiconque a vu ou verra le spectacle qui plonge dans les arcanes d’une histoire abracadabradantesque, trouvera ce jeune homme et sa complice Muriel Legrand de fait immensément polis. Qu’on en juge un peu : soit un vaudeville à table (ou presque), quatre actes, treize personnages, un acteur et une actrice ; soit une vendetta ourdie par Gérard contre son concurrent Raymond, le jour où celui-ci vient enlever sa maîtresse, Inès, femme de Gérard, alors que Frédéric, le fils de Raymond vient demander la main de Sophie, la fille de Gérard, enceinte jusqu’au yeux… Tous les ingrédients d’un vaudeville roboratif et d’une folle journée réunis sous la plume magistrale de Roger Dupré dans laquelle s’engouffrent l’actrice et l’acteur surfant sur l’absurdité d’une partition frénétique où la fantaisie mène le bal, et dans lequel on passe de la lecture savoureuse à deux têtes à une danse endiablée à mille bras. Symbolique et poétique, loufoque mais jamais dingue, Le mystère du gant pousse la tradition vaudevillesque à son paroxysme, touche l’absurde et ne se refuse aucune astuce pour nous redonner goût aux histoires. Un pied de nez salutaire à la sériosité et à la morosité qui fait beaucoup de bien.
Voie 3, trois amis se retrouvent pour aller profiter des derniers jours de beau temps à la traditionnelle foire aux cucurbitacés de “Bougnette-lez-Camoulasse”: Une destination pittoresque, idéale pour y danser, chanter, pique-niquer mais – “Pour votre sécurité, le trafic est momentanément interrompu.” Cette gare devient alors une prison à ciel ouvert, un no man’s land clos par un pouvoir impalpable celui d’une voix qui veille pour votre sécurité. Emprisonnés par la peur, face à leur impuissance, nos trois amis déconfits tentent de sauver les apparences. Mais les personnages de ce joli tableau incarnent peu à peu les ombres de leurs propres angoisses.  Voie 3 se dessine alors un champ de bataille où dans l’attente éclate une guerre territoriale. Another Brick, une immersion poétique au coeur de la sauvagerie ordinaire.
8 août Eli subit son premier contrôle au faciès. Plongés dans la mémoire de cet événement aussi banal que violent, nous découvrons quelles sont les premières procédures d’un système oppressif. Dans ce premier solo, le chorégraphe a su transformer la violence systémique qu’il a subi en un matériau performatif fort et singulier développé à l’aide de la technique « De Caelo ». Cette dernière, conceptualisée par l’artiste lui-même, consiste à laisser une place importante à l’intelligence émotionnelle, au savoir situé et à l’improvisation. Mais aussi à convoquer les outils de l’astrologie, les cartes du ciel et à percevoir la manière dont les étoiles peuvent nous renseigner sur nos corps.