The World of Banksy

Description

The World of Banksy – Bruxelles est une exposition qui rassemble le plus grand nombre d’œuvres murales grandeur nature du street artiste de Bristol. Ces œuvres reconstituées ainsi que d’autres pièces relatant la riche carrière de Banksy ont été installées dans les locaux mythiques d’une ancienne maison de tissus au cœur de la ville de Bruxelles. La Place De Brouckère et la Place Sainte Catherine se trouvent à un jet de pierre de l’exposition. Elle est donc facilement accessible, en transport en commun ou en voiture (parking à 5 minutes).

Des murs pour les artistes

Banksy est sans aucun doute le street artiste le plus célèbre et le plus controversé du moment. L’exposition a pour vocation de présenter Banksy et son approche originale à travers les œuvres murales qu’il a peintes dans les rues du monde entier. Il n’était pas question pour l’équipe des commissaires de l’exposition de mettre Banksy sous cadre. Les visiteurs découvriront le maître du street art dans une expérience complète et immersive. Cette exposition donne un nouveau souffle aux créations de Banksy, car beaucoup d’entre elles ont disparu.

Et ce n'est pas tout

Une équipe d’artistes de rue internationaux (aussi anonymes que Banksy) a reçu les clés de ce lieu magique et l’a transformé en un voyage plein de surprises. Ils vous guideront à travers le monde en un seul endroit. Ne manquez pas cette exposition ! L’exposition présente également des reproductions de certains de ses travaux d’atelier, ainsi que des éléments visuels animés et des vidéos !!

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 Avec sa lucidité coutumière, Caroline Lamarche aborde les enjeux contemporains de la biodiversité tout en déployant une « histoire de bêtes » aussi concrète qu’extraordinaire. Elle nous enjoint à la nécessité de protéger le vivant, elle nous dit la violence sous-jacente de notre monde, la difficulté à s’y faire une place, nous alerte du risque aussi d’avoir un jour un ciel sans volatiles ; son écriture ramifiée trouve en Gaëtan Lejeune l’interprète idéal d’une narration aérienne et précise. Un seul en scène sur le fil, intime et fluide, mais aussi vif et sauvage, sur les interdépendances de l’animal et l’humain, et leurs fragilités mutuelles. En prise constante avec la terre, Frou-Frou, une vie sauvage nous fait rêver très haut, sourire au cœur.
Entracte c’est une pause entre deux moments d’agitation, un arrêt qui offre une place à la divagation, et c’est ici le récit de deux solitudes : celles d’une actrice et d’un acteur, maquillés, costumés, accessoirisés, mais sans partenaire et sans public. Revêtus des habits des rôles shakespeariens qu’ils ont joués ou rêvés de jouer – ceux d’Elisabeth Ire, d’Henry V, de Macbeth, de Lady Macbeth, d’Hamlet, de Roméo, de Juliette -, usant d’eux comme d’un bouclier pour se protéger de leurs angoisses, ils cherchent, loin des théâtres éteints, à résister à l’étouffement de l’isolement, retrouver du sens à leurs destins et à ne pas tomber dans l’oubli. Reclus l’une et l’autre dans leur cabane respective, ils effectuent inlassablement les gestes du quotidien, qui, sans jamais perdre en force, s’atténuent au fil du temps et de l’usure des corps affaiblis, faute de n’expérimenter que le nécessaire : manger, dormir, se changer, se laver.
 Entracte c’est le pari audacieux de revivre l’enfermement pour mieux s’en libérer : Lady Macbeth renverse du ketchup et la voilà avec les mains ensanglantées, Hamlet coupe du saucisson et le voilà avec un poignard dans la main. Un spectacle qui n’hésite pas à tirer les ficelles de l’absurde et du poétique pour nous plonger dans un univers de fantaisie dans lequel Delphine Bibet et Alexandre Trocki excelleront à n’en pas douter.
Quand Leïla entame sa dernière année d’école primaire, elle ne s’attend pas à de tels bouleversements… Son corps change ; elle devient « femme ». Elle ne se pose pas de questions, mais le monde lui en pose. Comment désormais trouver sa place au sein de sa classe et à la maison ? À travers elle, ce sont les adultes, dont sa maitresse aussi étrange qu’inquiétante, qui viennent rendre compte des stéréotypes d’une société encore trop policée. Le sang des louves porte un regard attendri et plein d’humour sur l’identité et la transmission. Sabine Jean est comédienne, auteure, pédagogue et marraine du prix Armand Gatti (prix de la pièce contemporaine Jeune Public). Elle a co-traduit et mis en scène « Una historia de llaves » de Nathalie Akoun. « Le sang des louves » est sa première pièce. Le texte est édité chez l’Harmattan. Interprétation: Christel Pedrinelli Mise en espace: Stéphanie Van Vyve La lecture-spectacle est suivie d’un échange avec le public. À partir de 10 ans. Le MÉT (Magasin d'Écriture Théâtrales) bénéficie du soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles
« J’aime faire rire. Pour moi, c’est une politesse. » dit Léonard Berthet-Rivière. Quiconque a vu ou verra le spectacle qui plonge dans les arcanes d’une histoire abracadabradantesque, trouvera ce jeune homme et sa complice Muriel Legrand de fait immensément polis. Qu’on en juge un peu : soit un vaudeville à table (ou presque), quatre actes, treize personnages, un acteur et une actrice ; soit une vendetta ourdie par Gérard contre son concurrent Raymond, le jour où celui-ci vient enlever sa maîtresse, Inès, femme de Gérard, alors que Frédéric, le fils de Raymond vient demander la main de Sophie, la fille de Gérard, enceinte jusqu’au yeux… Tous les ingrédients d’un vaudeville roboratif et d’une folle journée réunis sous la plume magistrale de Roger Dupré dans laquelle s’engouffrent l’actrice et l’acteur surfant sur l’absurdité d’une partition frénétique où la fantaisie mène le bal, et dans lequel on passe de la lecture savoureuse à deux têtes à une danse endiablée à mille bras. Symbolique et poétique, loufoque mais jamais dingue, Le mystère du gant pousse la tradition vaudevillesque à son paroxysme, touche l’absurde et ne se refuse aucune astuce pour nous redonner goût aux histoires. Un pied de nez salutaire à la sériosité et à la morosité qui fait beaucoup de bien.
Vincent Dedienne se présente comme « un humoriste efféminé qui fait croire qu’il n’a pas besoin de piano ». Mais c’est faux ! S’il n’en joue pas vraiment, l’imposant instrument est cependant au centre de ce seul en scène inclassable, couronné du Molière de l’humour 2022. Pour l’occasion, smoking noir et chemise blanche, Dedienne sort le grand jeu ! Dans ce nouveau spectacle empreint d’humour et de nostalgie, il y a des personnages : des jeunes, des vieux, des gentils-comme-tout, des cinglés, des optimistes et des foutus. Des héros et des ordures… Bref, des gens, tous réunis dans des sketchs à l’ancienne joués par un Vincent Dedienne désopilant à souhait. Un bijou d’humanité qui parle du temps qui passe, de l’amour et du sens de l’existence. « Après avoir déjà fait le tour de mon nombril, j’ai décidé de tourner un peu autour du vôtre. Et si ça chatouille, tant mieux. » (Vincent Dedienne)
Louis est un homme un peu esseulé. Bénévole dans un centre de revalidation pour oiseaux, il croise une cane blessée, à l’œil vif mais fuyant, dont il va prendre soin chez lui et qu’il nomme Frou-Frou. Pourra-t-elle voler de nouveau ? Au prix de quelles péripéties ? Et dans cette rencontre lumineuse et poignante, qui aide l’autre finalement ? Premier texte du recueil Nous sommes à la lisière consacré aux alliances délicates entre la vie sauvage et le monde des humains, Frou-Frou, une vie sauvage, parabole d’une émancipation conjointe, étonne, bouscule et touche.
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Brassant le plus largement possible, Pieuvre 1 explore, à partir d’un fait divers – à moins qu’il ne s’agisse d’un événement dit « tragique » –, les articulations entre l’intime, l’historique et le politique et tente, par l’évocation de ses ondes de choc, de sortir ce fait divers de son caractère individuel.  Dans Pieuvre 2 (Fantômes), ce même fait est à l’origine d’un questionnement poétique sur la présence des morts auprès des vivants ainsi que sur notre besoin de récits, de fiction et de représentation.  Le projet Pieuvre se déploie comme une recherche foisonnante et contrastée, ne se privant d’aucune digression : Françoise Bloch est prête à envisager toutes les « pattes » de la pieuvre qui s’offre à elle. Conception, texte et jeu Françoise Bloch – Interlocutrice dramaturgique Elena Doratiotto – Accompagnement technique Michel Delvigne – Assistanat Cécile Lécuyer et Louise D’Ostuni – Construction et régie Marc Defrise – Développement de projet Julien Sigard – Production exécutive Michel Van Slijpe – Photos Isabelle Nouzha. Une création de Zoo Théâtre, en partenariat avec le Théâtre des 13 vents, CDN de Montpellier. En coproduction avec le Théâtre Océan Nord, le Théâtre Les Tanneurs, La Coop asbl et Shelter Prod. Avec le soutien de MoDul, du Bocal, Taxshelter.be, ING et du Tax Shelter du gouvernement fédéral belge. La compagnie Zoo Théâtre est soutenue par la Fédération Wallonie Bruxelles, Service de la création artistique. La compagnie Zoo Théâtre est soutenue par la Fédération Wallonie – Bruxelles, Service de la création.  
********** English ********** François Gremaud has undertaken to revisit three great tragic female figures of the classical performing arts: Phèdre (theatre), Giselle (ballet) and Carmen (opera). Carmen, one of the most famous opéras comiques, is about a rebellious and seductive young bohemian woman who is tragically murdered by her former lover. In keeping with his unique way of turning a lesson into an art form, the author/director offers us a ‘reduction’ of Bizet’s work, tailor-made for a single performer: Rosemary Standley, the singer of the group Moriarty, among others. On stage she will share with us not only the story of Carmen, but also the musical and textual aesthetics of this opera, the historical context of its creation.  Despite the tragic outcome of the story, there will be joy and wonder. These are emotions that the performing arts can release, arts which, against all odds, never cease to celebrate the profound happiness of being in the world. ********** Français ********** François Gremaud s’est attelé à revisiter trois grandes figures féminines tragiques des arts vivants classiques : Phèdre (théâtre), Giselle (ballet) et Carmen (opéra). Carmen, l’un des plus fameux opéras comiques, met en scène une jeune bohémienne rebelle et séductrice, qui finira tragiquement assassinée par son ancien amant.  Fidèle à sa manière unique d’ériger la pédagogie en art, l’auteur et metteur en scène nous propose une « réduction » de l’œuvre de Bizet écrite sur mesure pour une interprète seule : Rosemary Standley, chanteuse, entre autres, du groupe Moriarty. Celle-ci partage sur scène non seulement l’histoire de Carmen, mais aussi l’esthétique musicale et textuelle de cet opéra et le contexte historique de sa création.  Malgré l’issue tragique du récit, il y aura de la joie et de l’émerveillement. Des émotions que peuvent provoquer ces arts que l’on dit vivants et qui, envers et contre tout, ne cessent de célébrer le bonheur profond d’être au monde. ********** Nederlands ********** François Gremaud heeft drie grote tragische vrouwenfiguren uit de klassieke podiumkunsten opnieuw onder de loep genomen: Phèdre (theater), Giselle (ballet) en Carmen (opera). Carmen, een van de beroemdste komische opera’s, gaat over een rebelse en verleidelijke jonge zigeunerin die op tragische wijze door haar ex-minnaar wordt vermoord. Trouw aan zijn unieke manier om pedagogie tot kunst te verheffen, biedt de auteur/regisseur ons een “reductie” van Bizets werk die op maat werd geschreven voor één enkele vertolkster: Rosemary Standley, zangeres van onder andere de groep Moriarty. Zij deelt op het toneel niet alleen het verhaal van Carmen, maar ook de muzikale en tekstuele esthetiek van deze opera, de historische context van zijn creatie.  Ondanks de tragische afloop van het verhaal zal er vreugde en verwondering zijn. Emoties die kunnen worden opgeroepen door deze “levende” kunsten die, ondanks alles, nooit ophouden met het diepe geluk te vieren om in deze wereld te mogen vertoeven.
Dans "Othello" de Shakespeare, il y a : le racisme, la guerre, la jalousie, les manipulations, les jeux de pouvoirs... et l'amour aussi. Dans "La question qui fauche (ou l'autre Othello)" il y a les mêmes thèmes, le même canevas. À ceci près qu'on se situe dans une société d'anticipation, dont le système néo-fascisante est post-pandémique. Ça se passe en 2028 : on retrouve Othello, Iago, Desdémone, Émilia, Myckael, Branbantia, Montana, Rodrique, Ludovic, Bianca... Mais il n'est pas nécessaire d'avoir lu "L'Othello" originel avant. On peut venir les mains dans les poches et se laisser bercer par la narratrice Guillemette - clin d'œil à Will - qui nous livrera secrets, méandres et dénouements en commentaires, tandis que nos personnages heurtent leur condition humaine à l'incapacité d'aimer ; quoique... et si tout à coup le pardon arrivait d'on-ne-sait-oû, pour se poser sur la personne qui s'y attend le moins ? « Mais avançons, parce que pendant ce temps, Iago a déjà dix coups d’avance sur sa vengeance. Et il regarde Myckael Cassiel avec un mélange de pitié et de dégoût. Mais personne ne le voit. L’art de feindre est si aiguisé chez Iago, qu’il vient de faire exprès de perdre au poker. » Remerciements chaleureux à : - La Comédie Claude Volter pour son soutien précieux - L'Académie Royale de langue et de littérature françaises pour la nomination du texte en tant que finaliste au "Grand Prix des Arts du spectacle 2022" - Le Carnet et les Instants - Les Amis Mots de compagnie Asbl et Les Oiseaux de nuit Editions de théâtre belge francophone ___________ TARIFS Tarifs libres 8€ / 12€ / 16€ / 20€ Tarif de soutien à partir de 25€ Places individuelles : CHOOSE CE QUE TU BETAALT (tarif libre) C'est vous qui choisissez le prix que vous souhaitez mettre, en fonction de vos moyens et de vos valeurs. À l'exception des Lundi-Théâtre qui restent à 6€ pour tout le monde, nous vous indiquons un prix conseillé qui permet une rémunération juste pour les artistes et une gestion optimale pour le fonctionnement du théâtre, mais à vous de décider ! Payez ce que vous pouvez, ce que vous voulez, ce qui vous fait plaisir, ce qui vous paraît juste, indispensable, équitable et acceptable ! Vous êtes en mesure de payer un peu plus pour le billet? Vous permettez de la sorte que d'autres paient un peu moins. Merci de contribuer à un accès à la culture pour tou.te.s! PREVENTE : en réservant et payant vos places à l'avance, vous évitez le supplément de 2€ pour les achats le soir-même. Vous êtes étudiant.es en Arts du spectacle ou bénéficiaire des tickets Article 27? Ces tarifs restent valables! ___________ HORAIRES mercredi 10/04 - 19h00 jeudi 11/04 - 20h30 vendredi 12/04 - 20h30 lundi 15/04 20h30 mercredi 17/04 - 19h00 jeudi 18/04 - 20h30 vendredi 19/04 - 20h30 mercredi 24/04- 19h00 jeudi 25/04 - 20h30 vendredi 26/04 - 20h30
Ayur
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12apr.
Le chorégraphe Radouan Mriziga présente le deuxième volet de son triptyque sur la connaissance des Amazighs, premier·es habitant·es de l'Afrique du Nord. Ayur est un solo créé pour la danseuse Sondos Belhassen, inspiré par l'ancienne déesse de la lune carthaginoise Tanit. Telle la gardienne d'une sagesse perdue depuis longtemps, elle danse dans et à travers un dôme extraordinaire, récitant des textes de la poétesse Lili Ben Romdhane et du rappeur Mahdi Chammen. Dans un tissage de danse, de texte et d'architecture aux touches argentées, elle évoque le passé à la recherche d'un avenir plus inclusif. • Radouan Mriziga est un chorégraphe originaire de Marrakech vivant à Bruxelles. Après avoir étudié à P.A.R.T.S., il crée sa première oeuvre 55 (2014), suivie de 3600 (2016), 7 (2017) et de la série 0. (2019) dans laquelle il aborde la danse à travers le prisme de l'architecture. Depuis 2019, il développe un nouveau triptyque inspiré de la culture et de l'histoire amazighes. Il sera artiste en résidence chez deSingel à Anvers jusqu’en 2025. • Sondos Belhassen est une actrice, danseuse et chorégraphe tunisienne. Elle a enseigné à El Teatro, à l'École nationale du cirque et à l'École nationale du théâtre de Tunisie. Avec Malek Sebaï et Patricia Triki, elle a créé les spectacles Manel wu Sawssen (2007) et La prison des délits de cœur (2010) pour le festival Dream City à Tunis.