DEUX PIÈCES D’UN MÊME TABLEAU, DES MODES ET RYTHMES PROPRES À CHACUNE, DES
UNIVERS CONTRASTÉS, DES ÊTRES EN DEHORS, UNE MARGINALITÉ PLUS OU MOINS ENFOUIE,
INHÉRENTE OÙ COHABITENT DOULEUR ET JOUISSANCE INFINIE.
Nasha Moskva
Fin du 19e siècle : trois sœurs orphelines vivent dans une grande maison à
l’écart d’une ville qu’elles trouvent grossière et dont elles se sentent
étrangères. Elle rêvent de retrouver Moscou, lumière de leur enfance, paradis
originel où elles ont grandi.
Début du 21e siècle : Sabine, Edith et Bernard, trois êtres marginaux, sont
tellement épris de l’œuvre de Tchekhov qu’ils·elles s’y reconnaissent jusqu’à la
fusion.
Conception, mise en scène & interprétation Marie Bos, Estelle
Franco et Francesco Italiano – Création lumières Julie Petit-Etienne – Co-mise
en scène Guillemette Laurent – Mise en espace Nicolas
Mouzet-Tagawa Costumes Thijsje Strijpens – Direction technique et régie Lionel
Ueberschlag – photos Francesco Italiano et Hichem Dahes.
Résidence et création Théâtre Océan Nord.
Soutiens Compagnie du Vendredi, SACD, Wallonie-Bruxelles International, Théâtre
Océan Nord, avec l’aide à la reprise de la FWB – Service du Théâtre.
Todos Caerán
Un quatrième personnage débarque dans l’univers de ces trois êtres, il affirme
être un chevalier errant et se fait appeler Don Alfonso Quichano. Son cheval est
une brouette et sa dulcinée s’appelle Andy. C’est le début d’un roadtrip absurde
qui traverse des époques, des situations et des styles littéraires différents.
Texte Francesco Italiano Interprétation Renaud Cagna, Marie Bos, Estelle
Franco et Francesco Italiano – Création lumières Nelly Framinet – Création
sonore Maxime Bodson – Stagiaire son Némo Camus – Conseiller technique Lionel
Ueberschlag – Co-mise en scène Guillemette Laurent – Mise en espace Nicolas
Mouzet-Tagawa Costumes Thijsje Strijpens – Direction technique et régie Lionel
Ueberschlag
Coproduction La Coop asbl et Shelter Prod.
Résidence Théâtre Océan Nord / Création Théâtre de la Balsamine.
Theâtre Océan Nord
Lieu
Événements à venir
Événements passés
Brassant le plus largement possible, Pieuvre 1 explore, à partir d’un fait
divers – à moins qu’il ne s’agisse d’un événement dit « tragique » –, les
articulations entre l’intime, l’historique et le politique et tente, par
l’évocation de ses ondes de choc, de sortir ce fait divers de son caractère
individuel.
Dans Pieuvre 2 (Fantômes), ce même fait est à l’origine d’un questionnement
poétique sur la présence des morts auprès des vivants ainsi que sur notre besoin
de récits, de fiction et de représentation.
Le projet Pieuvre se déploie comme une recherche foisonnante et contrastée, ne
se privant d’aucune digression : Françoise Bloch est prête à envisager toutes
les « pattes » de la pieuvre qui s’offre à elle.
Conception, texte et jeu Françoise Bloch – Interlocutrice dramaturgique Elena
Doratiotto – Accompagnement technique Michel Delvigne – Assistanat Cécile
Lécuyer et Louise D’Ostuni – Construction et régie Marc Defrise – Développement
de projet Julien Sigard – Production exécutive Michel Van Slijpe –
Photos Isabelle Nouzha.
Une création de Zoo Théâtre, en partenariat avec le Théâtre des 13 vents, CDN de
Montpellier.
En coproduction avec le Théâtre Océan Nord, le Théâtre Les Tanneurs, La Coop
asbl et Shelter Prod.
Avec le soutien de MoDul, du Bocal, Taxshelter.be, ING et du Tax Shelter du
gouvernement fédéral belge.
La compagnie Zoo Théâtre est soutenue par la Fédération Wallonie Bruxelles,
Service de la création artistique.
La compagnie Zoo Théâtre est soutenue par la Fédération Wallonie – Bruxelles,
Service de la création.
Le Théâtre Océan Nord vous ouvre grand ses portes pour une après-midi festive et
théâtrale !
Au programme, deux spectacles, Jam session, jeux pour les enfants, visites du
théâtre, hot dogs (végé / hallal), thé et café à volonté avec les voisin·es et
les ami·es du Théâtre !
13h : ouverture des portes
13h30: Spectacle Les Brigands
[https://www.oceannord.org/2023/atelier-du-lycee-emile-max-2/] par les élèves du
Lycée Emile Max .
=> Gratuit, sur réservation ( billetterie@oceannord.org )
14h30 > 17h00 : plein d’activités à venir, rencontre avec nos associations
partenaires, activités
jeux et dessins pour les enfants, visites guidées… et à manger, à boire et
danser !
18h00 : Spectacle Les Brigands – d’Isabelle Gyselinx
[https://www.oceannord.org/2023/les-brigands/]
=>Gratuit pour les habitant.es de la rue.
=>Réservations aux tarifs affichés pour tous les autres.
Le Théâtre Océan Nord a fait sienne la mission de faciliter l’accès à la culture
pour tou·te·s les élèves.
Un accompagnement est proposé à chaque enseignant·e souhaitant emmener sa classe
au théâtre.
Des projets plus conséquents comme celui avec le Lycée Émile Max sont aussi
envisageables, permettant aux jeunes de découvrir et d’approfondir leur lien
avec le médium théâtre et sa dimension poétique et politique.
Depuis 15 ans, le Théâtre Océan Nord donne l’opportunité à la classe de rhéto du
Lycée Émile Max (de Martine Mabille), école à encadrement différencié, de mettre
les pieds dans la pratique professionnelle du théâtre.
Nous avons le plaisir de présenter cette année une création élaborée par les
artistes Laure Lapel et Sam Darmet avec les élèves, autour du texte LES
BRIGANDS, de Isabelle Gyselinx.
Bruno a vécu toute son adolescence dans un home pour enfants du juge. Battu par
son père, il a fui le foyer familial et s’est rendu lui-même à la police. À dix
ans, Bruno a découvert Michel-Ange au cinéma, accompagné de sa grand-mère
polonaise. À quinze ans, il a découvert les sculptures de l’artiste lors d’un
voyage scolaire à Florence. Et puis ses poèmes et sa correspondance. La
rencontre avec le maître italien et le placement de Bruno ont été des éléments
déclencheurs pour échapper à la violence paternelle.
Le récit de Bruno est une fiction basée sur des faits réels. Il nous est
nécessaire pour tenter de comprendre cette fameuse énigme de la lutte des
classes. Bruno a grandi en artiste autodidacte avec l’obsession de ne pas
devenir RIEN.
Aujourd’hui, quelle est donc la place de l’ART dans notre éducation ? À quoi
sert-il ? Sert-il à être plus grand que soi ? Serions-nous comme la pierre
martelée par Michel-Ange, déterminé·es à une certaine destinée ?
Tout part d’un constat et d’une foule de questions.
Le constat : née de père inconnu, orpheline dès 3 ans, ma mère ne nous a pas
raconté, à ma soeur et à moi, la même histoire concernant son père et sa mère.
S’ensuit la foule de questions, et des hypothèses en masse. Ma mère ne m’aidera
pas : elle est morte.
J’ai la sensation qu’il y a là-derrière quelque chose qui dépasse ma petite
histoire personnelle, et j’ai l’envie de partager cette chose encore à
découvrir.
J’explore, je m’interroge, j’écris…je m’y perds. C’est trop pour une seule
femme. Je fais alors appel à des acteurices dont j’apprécie l’intelligence, les
qualités de jeu et le rapport au théâtre. Ensemble nous cheminons dans la
matière, nous en creusons, nous en inventons la théâtralité. Et voilà, nous y
sommes : Comme un poisson sans bicyclette, inspiré du slogan féministe : « Une
femme sans homme, c’est comme un poisson sans bicyclette ».
Depuis plusieurs années, le Théâtre Océan Nord organise, en partenariat avec
"Les Amis d’Aladdin", un rendez-vous festif en décembre pour les enfants du
quartier et leur famille. Au programme : un spectacle judicieusement choisi par
notre partenaire "Pierre de Lune", un goûter et la visite de Saint-Nicolas.
Quand on arrive dans le monde, on n’y connait rien, on doit tout découvrir !
Apprivoiser son corps, se confronter à son image et se construire une identité́.
Quelle porte faut-il ouvrir, quelle couleur choisir, quel genre adopter ? Qui
veut-on devenir ? Comment se définir sans être rangé.e dans une case ou finir
dans un tiroir étriqué́ ? Et que faire lorsque son propre reflet décide de s’en
meuler ?
QUAND ON ARRIVE DANS LE MONDE,
ON N’Y CONNAIT RIEN,
ON DOIT TOUT DÉCOUVRIR !
Depuis plusieurs années, nous organisons, en partenariat avec Les Amis
d’Aladdin, un rendez-vous festif en décembre pour les enfants du quartier et
leur famille. Au programme : un spectacle judicieusement choisi par notre
partenaire Pierre de Lune [https://www.pierredelune.be/], un goûter et la visite
de Saint-Nicolas.
Quand on arrive dans le monde, on n’y connait rien, on doit tout découvrir !
Apprivoiser son corps, se confronter à son image et se construire une identité́.
Quelle porte faut-il ouvrir, quelle couleur choisir, quel genre adopter ? Qui
veut-on devenir ? Comment se définir sans être rangé.e dans une case ou finir
dans un tiroir étriqué́ ? Et que faire lorsque son propre reflet décide de s’en
meuler ?
Scénario et mise en scène Ariane Buhbinder (inspirée par les premières
recherches avec Léonard Berthet- Rivière) – Scénographie Sylvianne Besson –
Costumes Samuel Dronet avec l’aide d’Odile Dubucq, Isabelle Airaud & Françoise
Van Thienen – Conception sonore Josselin Moinet – Mouvements Caroline Cornelis
Maquillage Rebecca Flores-Martinez – Construction décor, aménagements,
peinture Yves Hauwaert, Sylvianne Besson, Miette Leslie De Geyter – Aide décors
& accessoires Daniel Tison – Interprétation Jules et Gaspard Rozenwajn en
alternance – Régie de plateau et machiniste Miette Leslie De Geyter – Éclairages
et régie Nicolas Fauchet – Diffusion Pierre Ronti – Mes idées fixes –
Photos Gregory Navarra – Teaser et images vidéo Maxime Jennes – Graphisme et
illustrations Loic Gaume – Avec la participation des élèves de 3e année
de l’école communale de Saint-Vaast et de leur institutrice Mme Laurence.
L’Anneau en coproduction avec La Coop.
Soutiens Tax Shelter.be, shelterprod, ING et le Tax shelter du gouvernement
fédéral belge, Le service de la création de la Fédération Wallonie-Bruxelles, le
service de la diffusion, les tournées Art et Vie et Spectacles à l’école.
Le spectacle a été accueilli en résidence par La Roseraie, Ekla pour tous, le
Monty, Le Columban.
Oï et Sakko – des prénoms « justecommeça » – parlent mal, mélangeant argot des
banlieues et clichés de blockbusters américains. Rejetés jusqu’aux frontières de
la langue, seuls comptent les jeux qu’ils inventent pour essayer d’être
ensemble, jouer à la Mercedes.
Dans cet Eden équivoque surgit soudain l’Homme à l’Auto, figure énigmatique,
dinosaure d’un temps révolu, peut-être déjà mort.
Ici, le temps n’est plus lié au travail, avec des espoirs trop riches et des
mots trop pauvres, ils sont voués à tout expérimenter – amour, drogue, meurtre –
pour trouver une raison de vivre.
Scènes de la vie conjugale (Ingmar Bergman / Myriam Saduis)
12september 2023
-23september 2023
En 1973, Ingmar Bergman réalise pour la télévision les six épisodes des Scènes.
Il y dresse la cartographie d’une conjugalité « idéale », jetée dans le feu de
la rupture. Hagai Levi duplique la série en 2020, avec les mêmes mouvements,
mais en inversant les rôles : cette fois ce n’est plus l’homme qui part, mais la
femme qui jette la foudre.
"Scènes de la vie conjugale" alterne et superpose les deux situations,
convoquant le spectateur au cœur d’un infernal laboratoire : toute la palette
des idéologies genrées est décodée à travers le clignotement des places.
Adaptation & mise en scène Myriam Saduis – Avec Nicolas Arancibia, Marion Eudes,
Mathilde Marsan, Yoann Zimmer, Laure Valentinelli et la participation de
Valentina et Isadora Padilla Olivares Birgé (les enfants)– Assistanat à la mise
en scène Murielle Texier – Lumières Nathanaël Docquier – Création sonore
Jean-Luc Plouvier – Images Marie-Françoise Plissart – Mouvement Sarah Deppe –
Ingénieur son Florent Arsac – Scénographie & costumes Irma Morin – Conseillère
dramaturgique Valérie Battaglia Chargé de production Patrice Bonnafoux – Photos
Marie-Françoise Plissart.
La pièce de Ingmar Bergman est représentée par l’agence Drama – Suzanne Sarquier
– www.dramaparis.com
Coproduction Compagnie Défilé, Théâtre Océan Nord, La Coop asbl et Shelter Prod,
Maison de la culture de Tournai.
Soutiens Fédération Wallonie-Bruxelles, service Théâtre, Taxshelter.be, ING,
Tax-Shelter du Gouvernement fédéral belge, Centre des arts scéniques, COCOF
(Fonds d’Acteurs), Maison de la culture de Tournai.
Une Ville
À l’heure où nous écrivons ces lignes, nous choisissons la pièce qui sera
présentée en avril 2023. Si le texte est l’outil principal de la création, il
sera complété par des matériaux supplémentaires : écritures personnelles,
chants, danses, vidéos… autant de propositions initiées par les participant·e·s.
Sur scène, ce sont iels que nous découvrirons ; autant de personnalités et de
singularités qui constituent ce groupe : comme un rappel à celles et ceux qui
traversent la ville.