Nouvelle exposition gratuite de street art à Fluctuart ! Ce printemps, la
fameuse péniche parisienne convie 13 artistes issus la scène émergente polonaise
du graffiti et du street art pour nous offrir une plongée dans l’histoire de
l'art urbain en Europe de l'Est. C’est à ne pas manquer du 16 mai au 30 juin
2024.
Après avoir consacré des expositions à Seth, Nasty ou encore à Tania Mouraud,
Fluctuart nous emmène en voyage sur les traces de la scène émergente polonaise
du graffiti et du street art. Intitulée « Habitus de l’Est », cette nouvelle
installation gratuite, à voir sur la fameuse péniche parisienne dédiée à l’art
urbain, est à ne pas manquer du 16 mai au 30 juin 2024.
Au total, Fluctuart convie 13 artistes d’Europe de l’Est, parmi lesquels Finer
et son graffiti classique, Sepe et ses œuvres figuratives, Sicoer et son style
faisant honneur à la typographie, Natalia Magalska et ses créations engagées ou
encore Mariusz M-City Waras qui propose pour l’occasion une installation unique
réalisée in situ.
Toutes et tous en profiteront pour dévoiler à Paris leurs œuvres urbaines
inédites. L’occasion pour les amateurs d’art urbain de plonger dans l’histoire
du street art en Pologne et de découvrir toute la diversité et la richesse des
contenus stylistiques et thématiques de ces artistes originaires d’Europe de
l’Est.
Rendez-vous donc à Fluctuart du 16 mai au 30 juin 2024 pour admirer gratuitement
les œuvres proposées lors de cette exposition, véritable vitrine collective de
la création urbaine en Pologne ! Notez qu’un vernissage, ouvert à tous, est
prévu le mercredi 15 mai à partir de 18h.
Nuit des Musées 2024 au musée Guimet à Paris : le programme de cette édition
Description
Le musée Guimet participe à la Nuit des Musées 2024, le samedi 18 mai 2024. L'occasion de pousser les portes de ce musée dédié aux arts de l'Asie, et de découvrir le programme qui nous y attention pour l'occasion.
La Nuit des Musées 2024, c'est l'occasion pour les musées et les monuments de mettre en lumière leurs collections et de nous présenter leurs richesses sous un nouvel angle. Et pour les visiteurs, c'est l'occasion de s'amuser et de profiter de ces lieux magiques, sans débourser un sou ! Un vrai bon plan comme on les aime, à vivre cette année le samedi 18 mai 2024.
Lors de cette nouvelle édition, on file donc visiter le musée Guimet. Il conserve l’une des plus riches collections d’art asiatique au monde. Magnifiquement rénové, l'établissement offre à ses visiteurs un voyage initiatique en Asie, à la découverte de ses collections millénaires de l’Inde au Japon, en passant par la Chine et l'Asie du Sud-Est, sans oublier les collections textiles et photographiques, ainsi que l'art contemporain.
Fondé par Émile Guimet en 1889, le Musée National des Arts Asiatiques Guimet offre à voir 5 000 ans d’histoire de l’art asiatique dans 5 500 m² de galeries permanentes. Le musée se situe dans trois sites, le bâtiment principal place Iéna, l’hôtel d’Heidelbach et le musée d’Ennery.
Art
Museum
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Suggested events
Découvrez "Identité Artificielle", le solo show de l'artiste SKIO à la galerie
Goldshteyn-Saatort, qui explore la fascinante intersection entre l'art et
l'intelligence artificielle du 16 mai au 16 juillet 2024. Plongez dans un monde
où tradition artistique et innovation technologique se rencontrent pour
redéfinir la création contemporaine. Vernissage le 16 mai dès 18h, inscription
au vernissage obligatoire.
Quand l'intelligence artificielle rencontre l'art... La galerie
Goldshteyn-Saatort vous propose de découvrir sa nouvelle exposition, autour des
œuvres de SKIO, intitulée Identité Artificielle, du 16 mai au 16 juillet 2024. À
travers cette exposition, SKIO questionne et explore les effets de l'IA sur
l'expression artistique, en offrant une perspective innovante sur le dialogue
entre nouvelles technologies et méthodes traditionnelles. Notez que le
vernissage se tient le 16 mai, de 18h à 22h, en présence de l'artiste.
Inscription au vernissage obligatoire (mail dans les infos pratiques).
SKIO, dont les racines artistiques plongent dans le néoclassicisme et le
Bauhaus, utilise ses influences pour créer un pont entre le passé artistique et
l'avenir numérique. Dans Identité Artificielle, ses œuvres manifestent un
équilibre impressionnant entre les lignes claires et fonctionnelles du Bauhaus
et la grandeur esthétique du néoclassicisme, tout en intégrant des éléments
d'intelligence artificielle. Cette combinaison donne naissance à des toiles qui
ne sont pas seulement des œuvres d'art, mais aussi des réflexions sur notre
relation avec la technologie dans le contexte de la création artistique.
L'approche de SKIO est résolument artisanale : chaque toile exposée à la galerie
Goldshteyn-Saatort est peinte à la main, ce qui accentue l'unicité et
l'authenticité de chaque pièce. Cette méthodologie artisanale enrichit ses
créations d'une dimension personnelle et introspective, invitant le spectateur à
une réflexion profonde sur l'évolution de l'art à l'ère numérique. Une
exposition qui se veut également être une plateforme pour débattre et méditer
sur les implications futures de l'intégration de l'intelligence artificielle
dans les disciplines créatives.
L'occasion de découvrir comment l'intelligence artificielle peut coexister avec
la créativité humaine pour former un nouveau domaine artistique. On passe y
faire un tour ?
Cette page peut contenir des éléments assistés par IA, plus d’information ici.
Le Goethe-Institut de Paris vous invite à découvrir sa nouvelle exposition
gratuite, intitulée The Next Renaissance – Le Goût de l'Invisible, du 13 mai au
27 août 2024. Explorez comment l'art, la technologie et la science se
rencontrent pour transformer notre perception du monde. Une exposition qui
promet une immersion dans les œuvres avant-gardistes, redéfinissant les
frontières entre les disciplines artistiques et scientifiques. Vernissage le 13
mai à 19h.
Quand l'art et les nouvelles technologies se rencontrent... Le Goethe-Institut
de Paris se transforme en un espace de réflexion et d'innovation artistique avec
l'exposition gratuite The Next Renaissance – Le Goût de l'Invisible, à découvrir
du 13 mai au 27 août 2024. Une manifestation qui invite les curieux et les
passionnés d'art à plonger dans une ère nouvelle où art, technologie et science
fusionnent pour révéler ce qui demeure habituellement invisible. Conçue par le
ZKM Karlsruhe en Allemagne, cette exposition est non seulement un hommage à
Peter Weibel et à son projet "Renaissance 3.0", mais elle pose également les
jalons d'un futur artistique révolutionnaire.
L'exposition puise dans les œuvres d'art initialement présentées à Karlsruhe et
y ajoute une sélection spécialement adaptée au contexte parisien. Les visiteurs
peuvent découvrir des pièces telles que les "Architectures Imaginaires" d’Otto
Beckman, qui interrogent l'évolution de l'art à travers le prisme des
technologies avancées. Des œuvres comme "93% Human" de Helen Pynor offrent une
méditation profonde sur le vivant, tandis que "METABOLICA Camp" de Thomas
Feuerstein entrelace directement la science et l'histoire de l'art avec des
éléments de science-fiction. Ces œuvres illustrent parfaitement l'idée de
transcender les conventions artistiques pour explorer de nouvelles forces
créatives et sensibilités.
Au-delà de son aspect artistique, The Next Renaissance est un carrefour
d'innovation culturelle et scientifique. Cette exposition illustre comment la
collaboration entre l'art et la science peut engendrer des changements profonds,
poussant notre société à repenser son avenir. En incarnant une "renaissance
3.0", elle s'inspire des bouleversements de la Renaissance italienne pour
stimuler une révolution dans notre compréhension et interaction avec le monde.
Le Goethe-Institut, en collaboration avec l’EIT Culture & Creativity et le MSC,
offre ainsi une plateforme unique pour les acteurs du changement qui aspirent à
redéfinir les frontières entre les disciplines culturelles et scientifiques.
Avec la participation d'artistes internationaux tels que Rafael Lozano-Hemmer,
Manfred P. Kage et Joel Ong, The Next Renaissance – Le Goût de l'Invisible est
une expérience incontournable pour quiconque s'intéresse à la manière dont l'art
peut remodeler notre réalité. L'occasion également de voir comment l'art
médiatique scientifique peut ouvrir de nouvelles perspectives et influencer
notre société de façon durable.
Cette page peut contenir des éléments assistés par IA, plus d’information ici.
L'IA et l'art s'entremêlent au Grand Palais Immersif à Paris avec Artificial
Dreams, une exposition-performance mettant à l'honneur des oeuvres assistées par
l'intelligence artificielle qui nous attend du 16 mai au 8 juin 2024.
L'Intelligence Artificielle dans le monde l'art, c'est ce qui nous attend à
Paris, au Grand Palais Immersif, avec une exposition-performance. Artificial
Dream nous entraine au coeur de l'art numérique avec des oeuvres dont la
réalisation a été assistée par l'IA. Le rendez-vous nous est donné tous les
jeudis, vendredis et samedis soirs, du 16 mai au 8 juin 2024, pour aller à la
découverte des créations de 12 artistes, studios et collectifs internationaux.
À l'heure où les outils IA se multiplient, cette révolution technologique est
redoutée par les uns, adulée par d'autres. Tour à tour source de craintes et
d'opportunités, l'Intelligence Artificielle s'étend et montre l'impact qu'elle
peut avoir sur différents aspects de la société, qu'il s'agisse des réseaux
sociaux, du domaine médical, de l'information ou encore de l'éducation. Et quid
du monde des arts ? L'IA menace-t-elle la création ou peut-elle permettre d'en
repousser les limites ?L'exposition Artificial Dream devrait ainsi nous faire la
démonstration de ce que peut permettre l'intelligence artificielle lorsqu'elle
est au service de l'imaginaire. Au casting de ce rendez-vous onirique on
retrouve les artistes, collectifs et studios Markos Kay, Andy Thomas, Tryphème
& Ulysse Lefort, Ryoichi Kurokawa, IMMERSIVE ARTS SPACE/ZHdK, Mots, Daito
Manabe, MSHR, Sabrina Ratté, Justine Emard, Visual System, Emi Kusano, Iconem
et Niceaunties.
Cette exposition qui se déroule en nocturne promet une " projection immersive
spectaculaire" qui nous attend du côté de la grande salle, ainsi qu'un parcours
d'installations qui nous attend dans les étages. Plusieurs événements lives,
performances, conférences et table-rondes sont également prévues lors de ces
soirées au coeur de rêves artificiels.
Le Centre Culturel Coréen vous propose un tour d’horizon passionnant et ludique
de la Corée des jeux, du 18e siècle à nos jours, des jouets anciens aux jeux
vidéos, dans une exposition gratuite du 24 mai au 5 octobre 2024 !
Dans sa nouvelle exposition gratuite, le Centre Culturel Coréen plonge les
visiteurs dans le monde du divertissement coréen, à travers toutes les formes de
jeux existantes, du 18e siècle à aujourd'hui, l'occasion d'explorer tout ce que
peut signifier le terme "jeux", du 24 mai au 5 octobre 2024 ! Vieux de plusieurs
millénaires, jeux et jouets mêlent imagination, stratégie et activité physique,
et passionnent tous les âges, en tissant du lien et en apportant du plaisir.
Au coeur de la péninsule coréenne, certains divertissements étaient autrefois
réservés à la noblesse ! Divisée en trois parties représentant le passé, le
présent et le futur, l'exposition nous plonge d'abord dans la tradition, avec
des reproductions et animations digitales de peinture anciennes, datant du 18e
siècle, où l'on voit de jeunes nobles coréens s’adonnant à diverses distractions
en bonne compagnie. Des vidéos animées, des jeux interactifs, des reproductions
de scènes de jeux folkloriques ou des réinterprétations de jeux traditionnels
comme le cerf-volant viennent compléter ce pan de la culture coréenne.
Rasa - littéralement "sève" - est un concept fondamental qui gouverne toute la
théorie esthétique de l’expression des sentiments dans les arts classiques de la
performance en Inde.
Depuis 2015, Rasa présente le répertoire traditionnel des Rāgas et Tālas, et le
duo est aujourd’hui concidéré comme une référence en Europe dans
l’interprétation et l’enseignement de la musique classique de l’Inde du Nord.
Rasa s’est produit dans des centaines de concerts en Europe et dans le monde
dans des lieux prestigieux tels que l'Auditorium du Musée Rietberg de Zurich
(Suisse), le Festival "les Sacrées Journées" de Strasbourg, l’Auditorium du
Musée des Confluences à Lyon, le National Museum of Ethnology de Leiden
(Pays-Bas), la Bibliothèque Vallicelliana de Rome (ISAS - Italie), l'Institut de
France à Bucharest (Namaste India - Roumanie), le Musée des Arts Asiatiques de
Nice, ou encore l'AMR de Genève, le Festival "Jardin des ADEM" à Genève (concert
radiodiffusé retransmis sur la RTS Suisse)... Rasa possèdent deux LP à son actif
- "Rasa" (2015), "Mishra Ragas" (2019). Rasa propose régulièrement des
masterclass et ateliers pédagogiques en conservatoire nationaux et régionaux, et
des concerts commentés dans de nombreuses médiathèques en France et en Europe.
Toujours à la recherche d'horizons nouveaux, Rasa a aussi initié de nombreuses
expériences autour de la musique et des arts traditionnels de l’Inde, à travers
des collaborations qui ont débouché sur des représentations ou des
enregistrements. En 2021, Confluence - Concerto pour sitar, tabla et orchestre à
cordes, composé par N. Delaigue - a été créé au Kraznoyarsk Philharmonic Concert
Hall (Russie) sous la direction de Rasa et d'Igor Polesitsky et est depuis
proposé à de nombreux ensembles à cordes en Europe.
Nicolas Delaigue au Sitar, et Nihar Mehta au Tabla interpretent la riche
tradition de la musique d'Inde du nord - Rāgas et Tālas - dans des genres
classiques et semi-classiques. Le sitar est le luth emblématique de la musique
classique d'Inde du nord et le tabla est la percussion traditionnelle la plus
populaire en Inde, tant dans la musique savante que populaire. Le temps d'un
concert, les spectateurs goûteront un moment à chaque fois unique et improvisé.
Les émotions, les couleurs et les sensations les entraîneront alors dans une
danse de l'esprit, se mêlant à une expérience spirituelle et extatique...
Réservation obligatoire. Paiement sur place (espèces ou chèque). Tarifs : 17€ /
15€ (tarifs Ville de Paris)
Evénement en partenariat avec l'Ambassade d'Inde en France et l'association
Saptak India.
Le Petit Palais met ses collections permanentes à l'honneur, et relie sport et
art avec une exposition inédite : découvrez gratuitement "Le corps en mouvement"
du 15 mai au 17 novembre 2024.
Le Petit Palais se met à l'heure des Jeux olympiques et paralympiques de Paris
2024 ! Le musée des Beaux-Arts présente sa nouvelle exposition, Le corps en
mouvement, du 15 mai au 17 novembre 2024. Ce parcours inédit mêle sport et art,
grâce à la participation de plusieurs "art-thlètes", qui nous parlent de leur
sport à travers les collections du Petit Palais.
Cette exposition est donc constituée de 50 œuvres : peintures, sculptures,
objets anciens, dessins et estampes évoquent les liens entre l'art, le sport, et
les mouvements du corps. Des interviews d'athlètes complètent cette sélection.
Le parcours évoque les couleurs de l'olympisme, et est divisé en sept chapitres.
On commence en Grèce antique, aux premiers Jeux, avec des œuvres qui illustrent
les sports de l'époque : lancer de javelot, de disque, course... Ensuite, c'est
le corps qui est étudié, le corps du héros, la musculature du sportif, les
subtilités de l'anatomie humaine qui se dévoilent dans des peintures, des
dessins et des croquis d'artistes, qui ont analysé ce corps dans ses moindres
détails.
L'exposition accorde une place particulière la danse, et aux nombreuses œuvres
que cette activité a inspiré aux artistes. Peintres et sculpteurs ont tenté
d'immortaliser ces mouvements plein de grâce, cette étincelle de beauté qui
prend vie sur les parquets de danse, et sur les toiles des créateurs. Figer le
mouvement sans l'éteindre, c'est toute la difficulté du défi que les sculpteurs
ont souhaité relever dans la suite du parcours. Un défi hautement compliqué,
mais pas impossible, comme le montrent les œuvres exposées.
Le Petit Palais évoque aussi l'aspect social du sport, avec l'émancipation des
femmes et le contrôle de leurs corps par le sport et la compétition. Les enfants
aussi sont de la partie : sur les œuvres des artistes, on les voit s'amuser et
se dépenser avec les jeux et sports de leur temps.
On termine cette aventure chronologique avec les Jeux modernes, les sports qui
se démocratisent au XXe siècle, et les pratiques d'aujourd'hui. Une longue
épopée qui nous entraîne à la rencontre de plusieurs athlètes olympiques et
paralympiques, qui expliquent en vidéo l'importance de leur sport, et la place
du corps dans cette discipline.
Tout au long du parcours, on peut admirer les créations de grands artistes, tels
que Rembrandt, Dürer, Léon Comerre, Youriévitch... Des artistes d'époques, de
style, de pays différents, réunis dans cette exposition inédite à découvrir au
Petit Palais.
Tous les enfants les connaissent : ces Drôles de petites bêtes sont les amis des
plus petits depuis près de 30 ans. La galerie Gallimard met Antoon Krings et ses
créations à l'honneur dans une exposition gratuite à voir du 24 mai au 13
juillet 2024.
Mireille l'abeille, Léon le bourdon, Marie la fourmi, Loulou le pou... Tous ces
petits personnages que vous connaissez bien sont à l'honneur à la galerie
Gallimard, du 24 mai au 13 juillet 2024. Dans une exposition gratuite, le lieu
d'art nous incite à replonger en enfance, en donnant la part belle à ces
créatures qui ont enchanté de nombreux enfants.
Après son exposition consacrée à Martine, la galerie Gallimard se tourne vers
d'autres héros de nos jeunes années. La galerie organise ainsi l'exposition Les
drôles de petites bêtes d'Antoon Krings, dans son espace situé dans le 7e
arrondissement de Paris. Le parcours met en lumière ces célèbres personnages qui
sont apparus en 1994 dans les albums illustrés pour enfants, et qui ont pris vie
dans la série animée diffusée en 2001.
L'exposition rassemble 30 ans d'histoires, de personnages, d'imagination à
travers divers dessins et croquis de l'artiste. Les petits visiteurs comme les
grands devraient apprécier ces œuvres qui retracent l'évolution de cette série,
la création de chaque personnage emblématique. C'est l'occasion de redécouvrir
des personnages oubliés, et de mettre en lumière la littérature enfantine, bien
plus complexe qu'il n'y paraît.
Une jolie exposition à voir gratuitement en famille pendant ces beaux jours ! Et
après votre visite, pourquoi ne pas aller dans un parc ou un jardin de la
capitale, pour tenter d'apercevoir de drôles de petites bêtes ?
Orchestre : Orchestre Hélios
Direction : Matthieu Cabanes
Chœur : Hélios Éphémère
Le Requiem de Verdi, un « opéra de la mort » ?
Le 22 mai 1873, le poète Alessandro Manzoni meurt. Verdi est bouleversé par la
disparition du poète, à qui il avait adressé une dédicace en 1867 « je vous
estime et vous vénère autant qu’on peut estimer et vénérer sur cette terre, et
comme homme et comme incarnant le véritable honneur de notre patrie tourmentée
». Ainsi le compositeur républicain écrit-il dès le lendemain à son éditeur « je
suis profondément affligé par la mort de ce Grand Homme. Peut-être, après avoir
pesé et réfléchi mes forces, vous proposerai-je quelque chose pour honorer sa
mémoire. ».
Le 22 mai 1874 a lieu la création de la Messa da Requiem en l’église San-Marco
de Milan, exécution ne nécessitant pas moins de cent-vingt choristes, cent
instrumentistes et un quatuor vocal, le tout sous la baguette exigeante de
Verdi. Si la majorité des critiques et l’ensemble du public semblent apprécier
l’œuvre de Verdi, certaines lui reproche de recourir à un langage musical
relevant de l’opéra pour une œuvre religieuse, rapprochant son Requiem d’un «
opéra de la mort ».
Pour autant, cette théâtralité fit le bonheur de certains, à l’image de Bizet :
« quand un tempérament passionné, violent, brutal même, quand un Verdi dote
l’art d’une œuvre vivante et forte, pétrie d’or et de boue, de fiel et de sang,
n’allons pas lui dire froidement : ‘Mais, cher Monsieur, cela manque de goût,
cela n’est pas distingué !’ Est-ce que Michel-Ange, Homère, Dante, Shakespeare,
Beethoven, Cervantès et Rabelais sont distingués ? ».
Dynamique et éclectique, l’orchestre Hélios s’est imposé depuis sa création en
2014.
Son directeur artistique, Paul Savalle, favorise l’insertion professionnelle des
jeunes musiciens par la pratique d’orchestre. Ainsi, de jeunes diplômés se
mêlent aux musiciens d’orchestre, aux chefs et aux solistes expérimentés, dans
des conditions de travail optimales.
De la musique baroque à la musique contemporaine, les programmes sont variés.
Quant au répertoire, il est à la fois symphonique et choral, l’orchestre
s’associant aux chœurs départementaux et régionaux.
Grâce à la collaboration de différents chefs, les musiciens abordent un
répertoire très riche en élargissant leur palette d’interprétation. Ils sont
tous issus des grands conservatoires français, certains appartenant à un
orchestre national.
Du quatuor à cordes à l’orchestre symphonique, en passant par l’ensemble de
cuivres, l’orchestre élargit toujours son audience en modulant sa composition.
La formation « cordes » se produit dans des endroits pittoresques qui ne
sauraient accueillir un orchestre symphonique, ce qui permet au public de
découvrir un patrimoine architectural très riche.
En somme, grâce à sa formation à géométrie variable, l’orchestre Hélios aborde
le répertoire le plus large avec une curiosité passionnée.
Depuis la nuit des temps, la course est utilisée pour des questions pratiques,
et notamment comme porteuse de message, comme l'évoque le Musée de la Poste dans
sa nouvelle exposition, qui aura lieu pendant les Jeux Olympiques !
Le musée de la Poste se met aux couleurs des Jeux Olympiques de Paris 2024, avec
une exposition autour de la course et du marathon, du 15 mai au 15 septembre
2024. Le marathon, en tant que discipline olympique, a été inventé par
l’académicien Michel Breal, ami de Pierre de Coubertin, pour les premiers Jeux
Olympiques modernes à Athènes en 1896. Elle s’inspire de la légende du
coureur de Marathon, l'ancêtre du facteur, en 490 av. J.-C !