Un soir, Corentin assiste à un concert de rock. Alors qu’il pensait voir des
septuagénaires fatigués, il tombe sous le charme de ces papys rockeurs et de
leur surprenante énergie.
Sous l’effet de l’émotion et de quelques shots de tequila, il envoie un mail à
leur manager américain pour filmer ce groupe – The Sonics – durant leur tournée
européenne.
Trois jours plus tard, le manager lui répond : « OK ! ».
Corentin se réjouit. Mais problème : il n’est pas réalisateur. Il n’a jamais
fait un film, il n’a même pas de caméra !
Porté par ce coup de folie et par son courage, il décide envers et contre tout
de prendre la route pour vivre quelque chose de plus grand que lui, quelque
chose qui le dépasse.
Entre ciné-concert, stand-up et road-movie sur scène, Corentin nous raconte
cette histoire passionnante et touchante. Avec une bonne dose d’humour, il nous
emmène avec lui dans cette aventure intergénérationnelle. Une merveilleuse
épopée qui nous rappelle qu’il n’est jamais trop tard pour réaliser ses rêves.
"En 2015, j’ai pris la route pour filmer un groupe de rockers américains. Des
jeunes gens de 70 ans en moyenne, tout droit sortis d’un cube de glace des
années 60. De Londres à Berne, de Prague à Amsterdam, de Paris à Bologne, des
milliers de kilomètres pour capturer l’essence de leur énergie dingue de
septuagénaires ! Les traces de leur deuxième vie. Pour capter ce dernier
souffle, ce dernier défi à la vie. Qu’ils ont eux-mêmes choisi de partager avec
des milliers de gamins.
Ce groupe n’existe pas, ce groupe n’existait plus. Seulement dans la mémoire de
quelques-un·e·s, sur les sillons de quelques vinyles. Sans le savoir, ces
gars-là ont inventé le garage rock en 1965, le punk 15 ans avant l’heure. En
2007, ils se sont reformés. Car pour eux, il n’est jamais trop tard. Ce groupe,
c’est les Sonics." (Corentin Skwara)
Le Dieu du Carnage
Description
Une dent cassée, et Reza déroule le fil de nos paradoxes : la politesse de façade et la brutalité rentrée, tout le dérisoire des grandes déclarations altruistes qui s’effondrent à la moindre anicroche. Et surtout, sous le vernis, la rage. On se croirait sur les réseaux sociaux.
Au square, Ferdinand attaque Bruno à coups de bâton qui laisse quelques dents sur le béton !
Urbains, cordiaux, les parents se donnent rendez-vous pour régler le litige à l’amiable, entre personnes civilisées !
Mais très vite les sourires se craquèlent et l’atmosphère s’envenime.
Rencontre au sommet entre parents énervés, qui pètent un plomb dès qu’on touche à leur progéniture, leurs habitudes, leurs petites certitudes ou leurs réputations.
La tension va progressivement venir à bout de toutes les bonnes intentions et les digues vont lâcher. C’est la débandade, le chacun pour soi, le conflit ouvert, la guerre de tranchées.
« On vient dans leur maison pour arranger les choses et on se fait insulter, et brutaliser, et imposer des cours de citoyenneté planétaire, notre fils a bien fait de cogner le vôtre, et vos droits de l’homme je me torche avec! » (Etxrait)
Date info
20:45:00 - 22:15:00
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