Voyage vers l'intérieur, l'exposition d'art abstrait d'Anna-Eva Bergman au Musée d'art moderne

Description

Découvrez l'artiste Anna-Eva Bergman et ses paysages visionnaires, dans cette exposition inédite organisée par le musée d'art moderne, du 31 mars au 16 juillet 2023.

Pour la première fois, le musée d'art moderne de Paris consacre une grande rétrospective à l'artiste norvégienne Anna-Eva Bergman. Cette peintre contemporaine, figure emblématique de l'après-guerre, est surtout connue pour ses paysages abstraits, réalisés à l'aide de feuilles d'or et d'argent.

Du 31 mars au 16 juillet 2023, venez rencontrer cette artiste et son univers unique, en visitant l'exposition Voyage vers l'intérieur. Malgré l'importance de son travail, Anna-Eva Bergman reste mal connue du public européen. Cette exposition devrait permettre de rectifier cette injustice, et de faire découvrir une peintre unique, qui a rejeté les normes de son époque pour créer des œuvres et un style novateur, reconnaissables entre tous.

Ainsi, l'artiste norvégienne se démarque par son utilisation de feuilles de métal (en or, en argent, en étain, en cuivre...) qui s'allient à la peinture pour créer des formes épurées. Anna-Eva Bergman a aussi ses thèmes de prédilection : à sa manière, elle magnifie la nature qui l'entoure, des montagnes du Nord en passant par les plages de la Méditerranée. Les éléments naturels, comme le feu et l'eau, rentrent également dans ses compositions, sous des formes abstraites : une ligne, un ensemble de couleurs suffisent à représenter ces sujets.

L'exposition du musée d'art moderne rassemble plus de 200 œuvres, dont plusieurs photographies, des dessins, des documents d'archives et des œuvres inédites. Cette collection exceptionnelle met en lumière les techniques de travail de l'artiste, son intérêt pour la caricature ou l'architecture...

Profitez de cette rétrospective inédite pour découvrir Anna-Eva Bergman et ses œuvres, une belle découverte pour les amateurs d'art abstrait et contemporain.

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Découvrez Jean Hélion, le peintre français qui a importé l'art abstrait aux Etats-Unis, dans une exposition organisée au Musée d'Art Moderne du 22 mars au 18 août 2024. Il est méconnu du grand public, à tort : l'œuvre et la carrière de Jean Hélion ont considérablement marqué le monde de l'art du XXe siècle. Pour redonner ses lettres de noblesse à ce peintre oublié, le Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris organise une grande rétrospective éponyme, à découvrir du 22 mars au 18 août 2024. Cette exposition rassemble plus de 150 œuvres réalisées par Jean Hélion, dont 103 peintures, 50 dessins, différents carnets et documents d'archives, rarement montrés au public. Le parcours chronologique nous offre une vue d'ensemble de la carrière de cet artiste, de ses débuts durant l'entre-deux-guerres à ses plus grands succès, en passant par ses différentes expérimentations artistiques. Dès les années 1920, Jean Hélion se tourne vers l'abstraction, tout jeune mouvement artistique qu'il découvre aux côtés de Piet Mondrian ou de Fernand Léger. Le peintre français part vivre aux Etats-Unis dans les années 1930, et apporte dans ses bagages cet art abstrait qui ne tarde pas à se développer outre-Atlantique. Cubisme, figuration et natures mortes abstractives : le style de Jean Hélion évolue au fil des décennies. Son art est poussé jusqu'à l'extrême, à tel point que les professionnels de l'art finissent par lui tourner le dos. Peu découragé par ce boycott, Jean Hélion persiste dans son art, cherchant à représenter sa vérité, sa vision du monde. Très populaire de son vivant, apprécié de ses confrères, Jean Hélion est aujourd'hui tombé dans l'oubli. Et si nous allions le redécouvrir au musée d'Art Moderne ?
Le Bicolore, plateforme de l’art contemporain de la Maison du Danemark s'apprête à accueillir une exposition mode gratuite qui bouscule les codes tout en célébrant le recyclage, l'upcycling, et la fabrication artisanale. Du 22 mars au 19 mai 2024, direction l'institution, située au coeur des Champs-Élysées, pour découvrir les oeuvres de huit créateurs des pays nordiques qui redéfinissent le paysage de la mode. Vernissage le 21 mars ! La mode contemporaine nordique s'invite au Bicolore, Maison du Danemark, son fief des Champs-Élysées. Intitulée "Liminal Objects", cette exposition gratuite se déroulera du 22 mars au 19 mai 2024 au Bicolore, la plateforme dédiée à l'art danois et aux expériences culturelles, perché au 2e étage de l'institution. Découvrez un univers où la frontière entre la mode et l'art s'estompe pour laisser éclore une révolution de concepts et d'esthétiques. Sous la houlette de la curatrice Ane Lynge-Jorlén, "Liminal Objects" dévoile une cohorte de huit designers et artistes nordiques visionnaires, vivant à Paris, diplômés d'écoles de mode de la capitale ou défilant lors de la semaine de la mode parisienne. Jenny Hytönen, Ida-Simone Brerup, Fredrik Tjærandsen, Petra Fagerström, Ellen Hodakova, Cassie Augusta Jørgensen, Louise Lyngh Bjerregaard et Kristine Sehested-Blad bougent les lignes pour réinventer les canons de la créativité : ils interrogent les notions de matière, de fonction, de corps et d'identité dans la mode et l'art. Au coeur de cette exposition mode se trouve la notion de liminalité, une phase transitoire où les opposés coexistent en parfaite symbiose. Les pièces exposées défient les conventions et invitent à repenser les limites des disciplines, tout en célébrant le recyclage, l'upcycling et la fabrication artisanale. Ces créateurs novateurs redéfinissent le paysage de la mode en donnant une seconde vie à des objets délaissés, en expérimentant avec les matériaux et en repoussant les stéréotypes. L'avant-garde de la mode contemporaine nordique est en marche !
Les artistes de la Bourse de Commerce nous entraînent dans une spirale artistique étourdissante, avec l'exposition Vertiges, à découvrir du 20 mars au 23 septembre 2024. L'art questionne, bouleverse, change notre perception du monde... C'est en tout cas l'objectif de l'exposition événement de la Bourse de Commerce, organisée du 20 mars au 23 septembre 2024. Intitulée Vertiges, cette exposition s'étale à tous les étages de l'institution d'art contemporain, et nous embarque dans un périple étourdissant. Pour cette exposition, la Bourse de Commerce a puisé dans les trésors de la Collection Pinault : c'est ainsi que l'on peut admirer des œuvres signées Simon Hantaï, Franz West, Maurizio Cattelan, Agnes Martin, Bridget Riley, Fischli et Weiss, Anne Imhof et bien d'autres. Ces grands noms de l'art contemporain nous poussent à remettre en question nos sens, nos connaissances, notre propre identité, le monde qui nous entoure, le temps qui passe... Tant de questionnement qui nous font tourner la tête... Et nous donnent le vertige. Avec cette exposition étonnante, le centre d'art nous encourage à voir le monde autrement, à adopter de nouveaux points de vue, une nouvelle manière de penser. Les œuvres de ces artistes dressent un portrait sans concession de la réalité, remettant en question le passé comme le présent. Simples observateurs du monde, visionnaires ou philosophes, ces créateurs enfilent différentes casquettes, motivés par le besoin de déconstruire le monde, afin de mieux s'y imbriquer. Dans ce grand parcours, tableaux, sculptures, installations et dispositifs audiovisuels entament un dialogue fascinant, qui apporte un peu plus de profondeur encore à chacune des œuvres. Laissez-vous emporter par ce vertige de l'art, et filez à la Bourse de Commerce découvrir cette exposition inédite.
Il a marqué l'histoire de l'art avec ses sculptures originales et fascinantes : le Centre Pompidou dédie une exposition à l'artiste Constantin Brancusi, du 27 mars au 1er juillet 2024. C'est l'un des grands noms de l'art contemporain, et plus particulièrement du monde de la sculpture : Constantin Brancusi est considéré comme un précurseur, un véritable maître dans son domaine. Rien d'étonnant, donc, que le Centre Pompidou organise une exposition rétrospective en son honneur, du 27 mars au 1er juillet 2024. Nommée "Brancusi, l'art ne fait que commencer", cette exposition rassemble près de 200 sculptures, photographies, dessins, films et documents d'archives. On peut ainsi admirer l'ensemble de la carrière de cet artiste si influent et novateur, de ses débuts à ses grands succès, en passant par ses œuvres plus controversées. Après différentes formations en Europe et à Paris, le sculpteur trouve finalement son style, son identité qui le rendra unique, admiré comme critiqué. Des courbes, des lignes pures, des formes simples et minimaliste, pour des sujets poussés à l'abstrait : Brancusi est devenu la référence en matière de sculpture abstraite, et il a jeté les bases d'un art surréaliste et minimaliste. En perfectionnant son art, le créateur cherche à se détacher de la matière, pour donner vie à des symboles purs. L'exposition du Centre Pompidou retrace ce long parcours artistique, en mettant en valeur le processus créatif de l'artiste. Le parcours de la rétrospective nous permet notamment de découvrir l'atelier du sculpteur, reconstitué pour les besoins de l'exposition. Là, on peut explorer ce lieu de vie, de rencontre, de création, de contemplation, tel qu'il a été conçu par Brancusi. Amateurs de sculpture, d'art abstrait et contemporain, ne manquez pas cette grande rétrospective consacrée à l'un des artistes les plus importants de son époque !
Le Musée du Louvre présente une exposition remarquable autour de la restauration de La Vierge du chancelier Rolin de Van Eyck. Du 20 mars au 17 juin 2024, Aile Sully, 1er étage, salle de la Chapelle. La salle de la Chapelle du Musée du Louvre se transforme en un écrin d'exception pour accueillir : Revoir Van Eyck. La Vierge du chancelier Rolin. Du 20 mars au 17 juin 2024, cette exposition, placée sous le commissariat de Sophie Caron, conservatrice au département des Peintures, s'articule autour de la restauration historique du seul tableau de Jan van Eyck conservé par le musée parisien. Pour la première fois depuis son entrée au Louvre en 1800, l'œuvre a subi une restauration majeure au Centre de recherche et de restauration des musées de France. Cette intervention a permis d'alléger les couches de vernis oxydé qui assombrissaient la peinture, révélant ainsi la splendeur originelle de cette œuvre majeure de l'art occidental. L'exposition propose une immersion profonde dans l'œuvre de Van Eyck. Elle se compose d'une soixantaine d'éléments : panneaux peints, manuscrits, dessins, bas-reliefs et objets d'orfèvrerie, tous choisis avec soin pour enrichir la compréhension du tableau et explorer ses multiples facettes. Des interrogations guident les visiteurs à travers cette exposition : Pourquoi un paysage si minutieusement détaillé se retrouve-t-il presque dissimulé à l'arrière-plan ? Quelle est l'histoire derrière les deux personnages discrets dans le jardin ? Comment se manifestent les liens entre cette œuvre et l'art de l'enluminure ainsi que les bas-reliefs funéraires sculptés ? Comment les contemporains de Van Eyck percevaient-ils cette œuvre ? Ce tableau, au-delà de sa valeur esthétique, est un témoin clé des tensions et innovations de l'art flamand au début du XVe siècle. L'exposition met en lumière la manière dont Van Eyck s'est inscrit dans son époque tout en se démarquant par son approche unique et révolutionnaire. Pour les connaisseurs comme pour les novices en art, cette exposition au Louvre offre une occasion unique de plonger dans l'univers de Van Eyck et d'apprécier la complexité et la beauté de son œuvre. C'est un rendez-vous incontournable pour tous ceux qui souhaitent explorer les profondeurs de l'art flamand et redécouvrir un trésor du patrimoine artistique mondial, aujourd'hui magnifiquement restauré et prêt à dévoiler ses mystères. Cette page peut contenir des éléments assistés par IA, plus d’information ici.
En 1874, la première exposition impressionniste se tenait à Paris. Le musée d'Orsay revient sur cet art novateur et ses grands maîtres, dans une exposition inédite à voir du 26 mars au 14 juillet 2024. Le musée d'Orsay fête un anniversaire très spécial, qui devrait parler à de nombreux amateurs d'art : le 15 avril 1874, la première exposition impressionniste était organisée à Paris. Refusant les normes et les traditions de leur époque, Monet, Degas, Pissaro, Renoir, Cézanne, Morisot et bien d'autres décidaient de créer leur propre exposition, mettant en avant leur mouvement artistique novateur, l'impressionnisme. Du 26 mars au 14 juillet 2024, 150 ans après ce coup d'éclat, le musée d'Orsay revient sur ce moment charnière dans l'histoire de l'art. L'exposition Paris 1874, inventer l'impressionnisme rassemble 130 œuvres de ces grands maîtres pour raconter et expliquer cette période d'évolution et d'innovation en France. Au début des années 1870, à peine remise de la guerre contre la Prusse, d'importants conflits perturbent la France : plusieurs Communes ont lieu dans les grandes villes du pays, et des affrontements sanglants opposent les citoyens. Dans ce contexte de violences et d'incertitudes, de nombreux artistes décident de laisser derrière eux les règles du passé, pour créer un style plus adapté à ce monde en perpétuel changement. Cette jeune génération de créateurs rejette l'académisme conservateur, et choisit de s'intéresser aux scènes du quotidien, à la vie moderne telle qu'ils la voient, aux paysages, aux peintures en plein air, aux couleurs claires et aux techniques plus oniriques. Émotions, sensations, instant présent : les mots d'ordre de ces artistes ne manquent pas de faire grincer quelques dents. Pour cette exposition, le musée d'Orsay met donc en lumière des grands noms du genre, quelques œuvres phares de cette période, mais aussi des artistes tombés aujourd'hui dans l'oubli. Le parcours propose une petite reconstitution historique intéressante : d'un côté, on peut admirer certaines des toiles et sculptures présentées en 1874, lors de la première exposition impressionniste. Juste en face, le musée dévoile également des œuvres montrées au même moment au Salon officiel, la manifestation artistique de l'Académie des Arts. Avec ce face-à-face, le choc de l'ancien et du moderne, de la tradition et de l'innovation ressort avec force. On peut presque rejouer les querelles qui opposaient les artistes de l'époque, en découvrant ainsi leurs différences, mais aussi leurs points communs. Avec cette grande exposition événement, le musée d'Orsay sait séduire tous les amoureux de l'impressionnisme et de l'art. À ne pas manquer !
Le musée Delacroix met en face-à-face Ingres et Delacroix, dans une exposition qui lève le voile sur l'intimité des artistes. A découvrir du 20 mars au 10 juin 2024. Que disent nos objets de nous ? Quelle personnalité se cache derrière une veste ou un bibelot ? Pour répondre à cette question, il faudrait être détective... Ou commissaire d'exposition. Le musée Delacroix explore l'univers et l'intimité de deux grands artistes du XIXe siècle à travers leurs objets personnels et leurs peintures. Du 20 mars au 10 juin 2024, découvrez Ingres et Delacroix, objets d'artistes, une exposition inédite qui nous permet d'entrer dans le quotidien des artistes, pour mieux connaître l'homme qui se cache derrière le pinceau. Le violon d'Ingres (le fameux), un pot à tabac de Delacroix, un encrier d'enlumineur, une palette de peintre, des objets de décoration, des souvenirs de voyage, des cadeaux, du matériel de travail... Cette exposition rassemble de nombreux objets ayant appartenu à Ingres et Delacroix. Derrière la plus simple babiole peut se cacher une histoire, une anecdote qui raconte la vie de l'artiste, ses rêves, ses inspirations, ses amours. Plusieurs tableaux complètent le parcours de visite. L'exposition met ainsi en évidence des liens entre la vie intime, personnelle des peintres, et leurs œuvres. Tel un portrait chinois, ce parcours dresse par touche un portrait nouveau, insolite des deux artistes. Ingres et Delacroix se font face dans cette exposition, et ce n'est pas par hasard. De leur vivant, les deux peintres se sont souvent opposés dans les salons d'art, l'un représentant le Néoclassicisme et le cadre des anciens, l'autre la passion du Romantisme. Les objets exposés prolongent cette rivalité : on voit les goûts, les intérêts opposés des artistes, leurs réseaux sociaux différents... Bien que des liens inattendus peuvent se trouver parfois, au détour d'une boîte de peinture ou d'un objet personnel. Pour en savoir plus sur Ingres et Delacroix, une seule solution : venez visiter l'exposition inédite du musée Delacroix à Paris.
Quand le surréalisme et l'art contemporain se rencontrent... Cela donne l'exposition "Cyber Surréalisme" à la Galerie Goldshteyn-Saatort, à découvrir du 14 mars au 24 avril 2024. Une exposition réunissant de nombreux artistes internationaux, dont Fin Dac, Sandra Chevrier ou encore Insane51, explorant la convergence de l'art urbain contemporain avec la technologie. Vernissage le 14 mars 2024, SUR INSCRIPTION UNIQUEMENT ! Dans un élan artistique avant-gardiste, la galerie Goldshteyn-Saatort ouvre ses portes à l'exposition Cyber Surréalisme, à découvrir du 14 mars au 24 avril 2024. Une exposition qui se tient à l'occasion des 100 ans de la publication du "Manifeste du Surréalisme) et qui se présente comme une véritable immersion dans l'intersection de la technologie et de l'imagination, sous le prisme du surréalisme adapté à notre ère numérique. Située dans le 7e arrondissement, la galerie devient le théâtre d'une exploration sans précédent, où l'art urbain contemporain se réinvente en puisant dans les racines du mouvement surréaliste, promettant une expérience transcendantale pour les amateurs d'art et les curieux. L'exposition Cyber Surréalisme est une invitation à naviguer à travers des dimensions où le réel et l'imaginaire fusionnent. Avec la participation de douze artistes de renommée internationale, venant de dix pays différents, cette exposition s'annonce comme un carrefour de diversité et d'innovation. Des artistes tels que Fin Dac, Insane51, Ruben Carrasco, Mathieu Questel ou encore Sandra Chevrier, pour n'en citer que quelques-uns, présentent leurs œuvres où les techniques avant-gardistes rencontrent des technologies de pointe, créant ainsi des œuvres qui défient notre perception du réel et nous plongent dans des univers où les limites traditionnelles de l'art sont transcendées. Au-delà de la simple exposition, Cyber Surréalisme se veut être une réflexion profonde sur la manière dont l'innovation s'entrelace avec la tradition artistique, offrant une vision futuriste où le passé, le présent et l'avenir se rencontrent. Concernant le vernissage, rendez-vous le 14 mars 2024 de 18h à 22h pour découvrir les oeuvres des artistes, sur inscription uniquement (mail dans les infos pratiques en bas de l'article). Belle visite, les amis ! Cette page peut contenir des éléments assistés par IA, plus d’information ici.
Ce week-end, découvrez une exposition et vente d'aquarelles, de pastels, de fusains et sculptures, d'œuvres originales et tirages d'art au profit de l'Institut Curie aux « Pianos » : un Bar-Restaurant-Jazz à Montreuil ! Philippe BLANCHARD est décédé d’un cancer le 16 février 2023. Aquarelliste amateur, il avait projeté d’organiser une exposition vente de ses oeuvres au profit de Curie en compagnie de quelques amis, artistes amateurs également. La maladie ne lui en a pas laissé le temps. Au moment du premier anniversaire de sa mort, ses amis ont souhaité concrétiser ce projet comme un hommage à sa personne qui profiterait également au combat mené par les chercheurs contre cette maladie. L’établissement « Les Pianos » à Montreuil a bien voulu accueillir ce projet dans une de ses salles du 22 au 25 mars 2024 et l’Institut Curie y apporte son soutien dans le cadre de sa campagne « Une jonquille contre le cancer ».Si une oeuvre vous plaît et que vous envisagez de l’acquérir, sachez que l’ensemble de sa valeur sera reversé directement à l’Institut Curie. Les artistes font un don total de leurs oeuvres à cette cause. Pour ce faire, il est indispensable de payer par chèque à l’ordre de l’Institut Curie. C’est le seul moyen pour que vous puissiez bénéficier de la déduction fiscale auquel votre geste vous donne droit. Ce projet sera l’occasion de mélanger l'art et la fête dans le bar-restaurant "Les Pianos" offrant de belles opportunités de convivialité à l’occasion d’un moment de jazz le samedi 23 ou autour d’un verre ou d’un plat! Les bénéfices générés par les ventes de l'exposition seront intégralement reversés à l'Institut Curie, afin de soutenir sa recherche fondamentale et clinique contre le cancer.
Le Maif Social Club organise une exposition collective autour du corps, de l'intime et des identités. Du 30 mars 2024 au 4 janvier 2025, visitez gratuitement Faisons corps. Le corps est une entité ambivalente : il est à la fois très personnel, et symbole d'une collectivité. Il est intime, politique, religieux, scientifique, social, il définit un individu ou tout un peuple... Le Maif Social Club a invité une quinzaine d'artistes contemporains, pour nous parler de ces corps et de ce qu'ils représentent. Du 30 mars 2024 au 4 janvier 2025, le centre culturel nous présente l'exposition gratuite Faisons corps. Découpée en différents chapitres, le parcours explore les nombreux sujets qui touchent à notre corps, grâce à des peintures, des sculptures, des installations, des photographies... Le corps est une entité naturelle, scientifique. Il est le produit de milliards d'années d'évolution, un lien qui nous rapproche de nos ancêtres, récents ou éloignés. C'est un mystère qui se dévoile chaque jour un peu plus aux yeux des scientifiques, une machine qu'un grain de sable peut faire dérailler. Les artistes s'intéressent à la santé physique et mentale de ces enveloppes qui abritent notre conscience, cet élément palpable qui forme l'être humain. Le corps est un engin hautement sophistiqué, qui bouge dans l'espace, interagit avec son environnement. Mouvements, couleurs, sons peuvent changer notre corps, et la façon dont il est perçu. Dans l'art, comme dans le sport, le corps est un formidable outil pour se révéler, communiquer et créer des liens avec les autres. Le corps est unique : chacun comporte des particularités, plus ou moins cachées. Les handicaps peuvent changer le regard que l'on porte sur une personne, et imposent un rapport différent au quotidien, à la société. Pour faire évoluer la vision du handicap, et recréer du lien entre les personnes, les artistes mettent en valeur ces corps différents, et les prothèses et objets qui viennent soutenir les personnes handicapées. Le corps est un symbole. En se connectant, en s'ajoutant à celui des autres, il devient un groupe, une communauté qui doit faire face à de nombreux défis. Migrants, travailleurs précaires, droits sanitaires et droits des femmes, dangers du changement climatiques : le corps doit être défendu et protégé. De sa partie la plus fondamentale et naturelle, aux défis sociétaux du présent, en passant par l'identité intime ou collective, le corps inspire sans cesse les artistes. Découvrez l'exposition fascinante du Maif Social Club.