Description

Tiryaki vous propose un voyage au cœur d’une Méditerranée intemporelle. Des parfums du palais ottoman, en passant par les rives de la mer noire jusqu’à leurs créations inspirées de la rencontre entre ces musiques orientales et la langue française.

Hande Topaloglu, Loïc Audry, Eden Gerber et Gilles Andrieux se sont rencontrés à Paris autour d’une passion commune pour les musiques d’Anatolie. Leur inspiration et leurs influences variées les ont amenés à proposer un répertoire qui se compose de pièces traditionnelles d’Istanbul, de chants turcs, mais aussi de compositions originales.

En turc, « Tiryaki » désigne celui qui est addict . Addict comme ce quartet aux musiques d’Anatolie, aux chansons tristes ou drôles, aux sons mystiques voire psychédéliques, à la poésie des aşiks, à celle de Yunus Emre, de Hafez, Abou-Nouwas, Cavafy mais aussi de Verlaine.

Tiryaki recrée un lien ancien et oublié entre la Turquie, la Grèce et la France, tous pays méditerranéens.

Hande Topaloglu : chant, bendir

Gilles Andrieux : chant, saz, kemençe roumi

Loïc Audry : oud . contrebasse

Eden Gerber : clarinette

Réservation obligatoire. Paiement sur place (espèces ou chèque). Tarifs : 17€ / 15€ (tarifs Ville de Paris)

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Suggested events

Orchestre Hélios Chœur : Hélios Éphémère Direction : Marc Hajjar Le Boléro De Ravel Le Boléro est l’œuvre de musique classique la plus jouée dans le monde avec une représentation toutes les 15 minutes. Lors de sa création, le compositeur avait donné les droits d’auteur à son jardiner sans prévoir son succès auprès du grand public. Cette œuvre est l’archétype de l’ostinato. La mélodie est reprise à tour de rôle par les différents instruments de l’orchestre sur une formule rythmique à la percussion. Le Requiem de Mozart Les circonstances particulières de commande de cette œuvre, et les conditions en quelque sorte tragiques de son écriture, sur le lit de mort de son auteur, en alimentent la légende. En juillet 1791, le comte Walsegg-Stuppach, sous le sceau du secret, commanda un Requiem à Mozart pour sa femme, morte en février. Le travail fut différé en octobre, dû au surmenage que connaissait le compositeur pris par la Clémence de Titus et par la Flûte Enchantée. A la mort de Mozart, le Requiem restait une œuvre inachevée. Dans la phase finale de sa maladie, Mozart avait écrit l’intégralité du « Requiem aeternam » : du Kyrie au Confutatis, seules les parties vocales et la basse continue était écrites. Pour le Lacrimosa, seulement les huit premières mesures de la voix et deux premières mesures des parties de violon et d’alto. Des esquisses de pièces supplémentaires ont été perdues. Alors qu’il était alité, des amis viennent chanter les parties du Requiem à son chevet. Dynamique et éclectique, l’orchestre Hélios s’est imposé depuis sa création en 2014. Son directeur artistique, Paul Savalle, favorise l’insertion professionnelle des jeunes musiciens par la pratique d’orchestre. Ainsi, de jeunes diplômés se mêlent aux musiciens d’orchestre, aux chefs et aux solistes expérimentés, dans des conditions de travail optimales. De la musique baroque à la musique contemporaine, les programmes sont variés. Quant au répertoire, il est à la fois symphonique et choral, l’orchestre s’associant aux chœurs départementaux et régionaux. Grâce à la collaboration de différents chefs, les musiciens abordent un répertoire très riche en élargissant leur palette d’interprétation. Ils sont tous issus des grands conservatoires français, certains appartenant à un orchestre national. Du quatuor à cordes à l’orchestre symphonique, en passant par l’ensemble de cuivres, l’orchestre élargit toujours son audience en modulant sa composition. La formation « cordes » se produit dans des endroits pittoresques qui ne sauraient accueillir un orchestre symphonique, ce qui permet au public de découvrir un patrimoine architectural très riche. En somme, grâce à sa formation à géométrie variable, l’orchestre Hélios aborde le répertoire le plus large avec une curiosité passionnée.
Walid Ben Selim, voix Marie-Marguerite Cano, harpe Ici et maintenant, entre les débris du chose et du rien nous vivant dans les faubourgs de l’Éternité » Darwich. Dans un choc des cultures fondateur, Walid Ben Selim se fait le porte-voix des plus grands noms de la poésie soufie. À travers cet Orient mythique, mystique et millénaire, celui-ci cherche à percer la vibration première dans un souffle épique et méditatif. Accompagné par la virtuose harpiste classique, Marie-Marguerite Cano, il fonde un espace de spiritualité musicale, une forme d’échange entre la langue parlée arabe et la langue inaccessible et symbolique de la harpe. Un fief poétique semé d’amour et de joie
Rasa - littéralement "sève" - est un concept fondamental qui gouverne toute la théorie esthétique de l’expression des sentiments dans les arts classiques de la performance en Inde. Depuis 2015, Rasa présente le répertoire traditionnel des Rāgas et Tālas, et le duo est aujourd’hui concidéré comme une référence en Europe dans l’interprétation et l’enseignement de la musique classique de l’Inde du Nord. Rasa s’est produit dans des centaines de concerts en Europe et dans le monde dans des lieux prestigieux tels que l'Auditorium du Musée Rietberg de Zurich (Suisse), le Festival "les Sacrées Journées" de Strasbourg, l’Auditorium du Musée des Confluences à Lyon, le National Museum of Ethnology de Leiden (Pays-Bas), la Bibliothèque Vallicelliana de Rome (ISAS - Italie), l'Institut de France à Bucharest (Namaste India - Roumanie), le Musée des Arts Asiatiques de Nice, ou encore l'AMR de Genève, le Festival "Jardin des ADEM" à Genève (concert radiodiffusé retransmis sur la RTS Suisse)... Rasa possèdent deux LP à son actif - "Rasa" (2015), "Mishra Ragas" (2019). Rasa propose régulièrement des masterclass et ateliers pédagogiques en conservatoire nationaux et régionaux, et des concerts commentés dans de nombreuses médiathèques en France et en Europe. Toujours à la recherche d'horizons nouveaux, Rasa a aussi initié de nombreuses expériences autour de la musique et des arts traditionnels de l’Inde, à travers des collaborations qui ont débouché sur des représentations ou des enregistrements. En 2021, Confluence - Concerto pour sitar, tabla et orchestre à cordes, composé par N. Delaigue - a été créé au Kraznoyarsk Philharmonic Concert Hall (Russie) sous la direction de Rasa et d'Igor Polesitsky et est depuis proposé à de nombreux ensembles à cordes en Europe. Nicolas Delaigue au Sitar, et Nihar Mehta au Tabla interpretent la riche tradition de la musique d'Inde du nord - Rāgas et Tālas - dans des genres classiques et semi-classiques. Le sitar est le luth emblématique de la musique classique d'Inde du nord et le tabla est la percussion traditionnelle la plus populaire en Inde, tant dans la musique savante que populaire. Le temps d'un concert, les spectateurs goûteront un moment à chaque fois unique et improvisé. Les émotions, les couleurs et les sensations les entraîneront alors dans une danse de l'esprit, se mêlant à une expérience spirituelle et extatique... Réservation obligatoire. Paiement sur place (espèces ou chèque). Tarifs : 17€ / 15€ (tarifs Ville de Paris) Evénement en partenariat avec l'Ambassade d'Inde en France et l'association Saptak India.
Un moment de magie, de rire et d'émotions à partager. Adrien Wild présente, avec un brin d'humour, un spectacle autobiographique à la fois drôle et émouvant dans lequel il invite le public à découvrir la vraie vie d'un magicien, illustrée par des numéros d'illusions. Il revisite des classiques, notamment la femme coupée en deux, qu'il présente avec des boîtes transparentes. Il reprend les numéros qui ont fait son succès au plus grand cabaret du monde de Patrick Sébastien.
Artiste contemporain d’origine néerlandaise, Levi van Veluw vous propose de venir découvrir son monde intérieur lors d’une exposition personnelle intitulée « We do not remember ». C’est à découvrir gratuitement à la galerie Les Filles du Calvaire à Paris du jeudi 2 mai au samedi 8 juin 2024. Levi van Veluw, vous connaissez ? Artiste contemporain et pluridisciplinaire, Levi van Veluw est à l’origine de plusieurs œuvres comprenant des photographies, des vidéos, des sculptures, des installations ou encore des dessins. Né en 1985, l’artiste néerlandais a déjà reçu plusieurs prix dont celui du photographe de l'année aux IPA International Photo Awards aux États-Unis, ainsi que le prix du public De Volkskrant Beeldende Kunst prijs au Stedelijk Museum Schiedam. Ce printemps, la galerie Les Filles du Calvaire lui offre sa première exposition personnelle à Paris. A découvrir dans le 3e arrondissement de la capitale du jeudi 2 mai au samedi 8 juin 2024, cet événement artistique entend plonger le visiteur dans le monde intérieur de Levi van Veluw, retranscrit à travers des installations monumentales et insolites ainsi que des sculptures intimistes. Avec cette exposition gratuite, intitulée "We do not remember", Levi van Veluw entend surprendre les passants en transformant la vitrine de la galerie en une œuvre d'art, réalisée à partir de 120 répliques de sa propre effigie.Un peu plus loin dans la galerie Les Filles du Calvaire, au centre plus exactement, Levi van Veluw a imaginé une installation monumentale prenant la forme d’un objet cylindrique de 6 mètres de haut et traversant les deux étages de la galerie. Sur les murs de cette pièce, des étagères dévoilent des centaines de têtes, du haut jusqu'en bas. Outre ces deux installations insolites, Levi van Veluw compte également exposer des sculptures, des dessins ou encore des films autobiographiques, directement inspirés de ses souvenirs d'enfance. À travers ses différentes œuvres, qui remettent en question notre logique humaine, Levi Van Veluw interpelle et nous invite à nous interroger notamment sur l’obsession du contrôle et la recherche d’infini. Rendez-vous du 2 mai au 8 juin 2024 à la Galerie Les Filles du Calvaire à Paris pour découvrir ces œuvres et installations signées Levi van Veluw.
Venez assister au concert de Viktorija Gecyte Duo au Café Laurent à Paris 6e. Découvrez un moment musical unique avec Viktorija Gecyte à la voix et Daniel Gassin au piano. Plongez dans l'univers envoûtant du jazz et du blues lors de cette soirée exceptionnelle.
Le Duo Ruut ou la rencontre de deux jeunes musiciennes estoniennes, réunies autour d'un kannel, variation de la cithare. Ann-Lisett Rebane et Katarina Kivi déploient leur univers mélancolique et envoûtant dans un opus ethno folk qui parvient à faire le pont entre musiques populaires d'hier et sonorités de demain.
Ce printemps, les mélodies des films de Hayao Miyazaki vont résonner dans la petite salle de la MPAA/Saint-Germain située dans le 6e arrondissement de Paris, grâce au duo Izanami formé par Marie Ishii et Guillaume Masson. Avis aux amateurs des musiques de film de Hayao Miyazaki ! Alors que l’immense Joe Hisaishi doit donner ce printemps deux représentations exceptionnelles et archi complètes à Paris La Défense Arena, une petite salle parisienne mettra à l’honneur les iconiques musiques des films de Hayao Miyazaki à l’occasion d’un concert intimiste et dans les nuages intitulé « Dans les rêves de Miyazaki ». Ces deux représentations, à vivre le jeudi 2 mai 2024 à 19h30 et à 21h30, sont à découvrir au sein de la MPAA/Saint-Germain. Située dans le 6e arrondissement de la capitale, la MPAA est la Maison des Pratiques Artistiques Amateurs. Le 2 mai prochain, elle ouvre donc ses portes au duo Izanami pour un voyage musical à la découverte des mythiques musiques des films de Miyazaki. L’occasion, on l’espère, d’entendre les mélodies de « Princesse Mononoké », « Mon Voisin Totoro », « Le Vent se lève », « Le Château ambulant », « Kiki la petite sorcière », « Ponyo sur la falaise », « Le Voyage de Chihiro » ou encore « Le Château dans le Ciel ». Formé par Marie Ishii à la flûte traversière et Guillaume Masson au piano, le duo Izanami se produira sur une scène formée de nuages afin de vous transporter dans les rêves de Miyazaki pendant environ 1h de show. Si vous souhaitez vivre cet instant musical annoncé comme "suspendu hors du temps", alors ne tardez pas à réserver vos places.