De l'autre côté - Spectacle familial conté et chanté

Description

Nous ne nous en lassons pas! Quel spectacle! Que d'émotions! Vu le succès des représentations précédentes, nous vous re-proposons "De l'autre côté" le samedi 20 avril.
Prunelle, dix ans, apprend que sa maman vient de mourir. Une succession d’émotions fortes et de questions vont l’envahir : Comment vivre sans ma maman ? Qui sera là pour me consoler ? Elle rencontre la Grande Faucheuse, une vieille dame pleine d’empathie et de tendresse qui souhaite aider Prunelle à se relever. Elle vous fera même rire !
« Nous espérons que ce spectacle sera perçu comme si votre maman vous prenait dans les bras (quel que soit votre âge) pour vous raconter la plus belle des histoires : celle de la Vie. Avec du sourire parfois mais surtout avec beaucoup de tendresse car ce texte se veut avant tout positif. »
Pour les âmes d'enfants de 8 à 88 ans.

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********** Nederlands ********** Programma: Jacques Prévert (1900-1977, Fr) : Le contrôleur; Sur le champ; Ne craignez rien; Cœur de rubis; Le soleil aime la terre; Il ne faut pas laisser les intellectuels; Tant de forêts arrachées; Aphorismes; Arthur Rimbaud (1854-1891, Fr) : Sensations; Une saison en enfer – extrait; Lettre du voyant; Henri Michaux (1899-1984, Be) : Un homme paisible; Contre; Le Grand Combat; Nausée; Emportez-moi; Pierre Albert Birot (1876-1967, Fr) : Grabinoulor – extrait 1 et 2; Jean Tardieu (1903-1995, Fr) : Monsieur, Monsieur; L’homme qui n’y comprend rien; Molinet (1435-1507, Fr) : Madame qui mon cœur avez; Rabelais (1490-1553, Fr) : Gargantua-extrait; Florian (1755-1794, Fr) : Le chien et le chat; Ibn El Muqafa (VIIe s., Perse) : L’homme à la cruche; L’homme qui fuyait la mort. ********** Français ********** Programme du spectacle : Jacques Prévert (1900-1977, Fr) : Le contrôleur; Sur le champ; Ne craignez rien; Cœur de rubis; Le soleil aime la terre; Il ne faut pas laisser les intellectuels; Tant de forêts arrachées; Aphorismes; Arthur Rimbaud (1854-1891, Fr) : Sensations; Une saison en enfer – extrait; Lettre du voyant; Henri Michaux (1899-1984, Be) : Un homme paisible; Contre; Le Grand Combat; Nausée; Emportez-moi; Pierre Albert Birot (1876-1967, Fr) : Grabinoulor – extrait 1 et 2; Jean Tardieu (1903-1995, Fr) : Monsieur, Monsieur; L’homme qui n’y comprend rien; Molinet (1435-1507, Fr) : Madame qui mon cœur avez; Rabelais (1490-1553, Fr) : Gargantua-extrait; Florian (1755-1794, Fr) : Le chien et le chat; Ibn El Muqafa (VIIe s., Perse) : L’homme à la cruche; L’homme qui fuyait la mort.
********** English ********** European decolonial day. Women born during the Belgian Colony dance, sing and question decolonisation. A performance with exchange moments with the audience. ********** Français ********** Journée Européenne de la décolonisation. Des femmes nées au Congo belge, dansent, chantent, disent et questionnent la décolonisation. ********** Nederlands ********** Europese dag van de dekolonisatie. Vrouwen geboren in Belgisch Congo, zingen, dansen, dragen voor en bevragen de dekolonisatie.
Louis et Rau doivent leur amitié de longue date à leur recherche commune d’un art du réel. « L'essence du théâtre est la même que celle de la littérature : il s’agit de montrer ce qui est difficile à montrer. Le théâtre ne doit pas être un lieu sûr », a écrit Louis à propos de la pièce Familie de Rau. Dans The Interrogation, les deux hommes présentent un texte profondément personnel sur le doute et l'échec. Écrit et conçu au printemps 2021 à la demande du Kunstenfestivaldesarts, de l'IIPM et du NTGent, il n’avait cependant jamais été créé. Aujourd'hui, il est enfin proposé au public. Interprété par Arne De Tremerie, un acteur de l'ensemble global du NTGent, The Interrogation offre une « démonstration de vulnérabilité », un moment d'immobilité poétique. L'art peut-il nous permettre d'échapper à notre biographie ou n'est-il que le résidu d'une libération ratée ? « Il s’agit d’une pièce profondément mélancolique, fragmentaire et tendre », expliquent Louis et Rau lors d'un entretien. Elle est un échange continu d'idées sur le théâtre et la réalité, l'échec et la transformation, la fiction et la vérité, le devenir et l'être.
Maryse Condé a attribué à Tituba une enfance, une adolescence et une fin de vie fictives dans son livre primé Moi, Tituba, sorcière noire de Salem, qui à son tour a engendré une réflexion de la philosophe Elsa Dorlin dans Moi, toi, nous ... Tituba ou l'ontologie de la trace. Quand Dorothée Munyaneza fait la connaissance d'Elsa et de son travail, aucun doute ne subsiste : elles vont consacrer un projet à Tituba. Dans ce nouveau solo en dialogue avec le musicien Khyam Allami, Dorothée Munyaneza cherche à faire revivre les vies et les rêves de Tituba. Des hommes et des femmes dont l'identité et l'existence ont été niées et écrasées par la traite négrière et le régime colonial. À travers les mots. À travers le corps. À travers l'espace occupé par la voix et les chants. Dorothée dépeint une archive corporelle capable de collectionner et d'honorer les souvenirs. Une archive vivante, sensible, physique et corporelle, dans laquelle les expériences sont rassemblées. Un solo conçu comme une pollinisation croisée, un espace hybride. L’Afrique, puis l’Amérique, l’Europe, les Caraïbes, dans un sens puis dans l’autre... Un espace plein de traces, de rêves et de violence.
Hiver 1917. Un hôpital de campagne juste derrière les lignes de front. Cent vingt-trois malades pour deux infirmières ! Les temps sont durs. Cependant, quatre femmes et un jeune garçon, réunis par les hasards de la guerre vont faire la fête malgré les urgences, les cris des blessés et le bruit du canon.La vie est plus forte que tout. Alors, à la guerre comme à la guerre, on fait ce qu’il faut et on rit, on dit des bêtises, on fume les dernières cigarettes et on chante. Oui on chante ! Parce qu’il faut bien chanter quand le canon tonne. Pour lui répondre qu’on est vivantes. Des femmes dans la guerre qui soignent ceux qui repartiront sitôt réparés. Des femmes qui se heurtent : patriotisme ou pacifisme ? Subir ou résister ? Tenir ou plier ? Un spectacle lumineux, pourtant. Car toujours, on espère. Toujours on se bat contre la violence avec les outils de la résistance : réparer, soulager, partager, ne pas faiblir, être debout, résister à la fatigue et à la peur.Et on invente la vie qui doit être plus forte que la mort, plus puissante que la destruction. Quand l’une flanche, l’autre la récupère. Et c’est de ça qu’elles sont fortes.Un spectacle pour toute la famille, drôle et tendre parce qu’elles sont épatantes ces femmes bourrées de l’énergie que provoquent l’espoir et la volonté. Car cette guerre-ci sera la Der, c’est sûr. Ce sera « la Der des Ders… »__________De Dany Laurent / Mise en scène : Patricia Ide et Serge Demoulin / Avec : Laurence D’Amelio, Soazig De Staercke, Laure Godisiabois__________UNE PRODUCTION DU THÉÂTRE LE PUBLIC. AVEC LE SOUTIEN DU TAX SHELTER DE L’ÉTAT FÉDÉRAL BELGE VIA BESIDE ET DE LA COMMUNAUTÉ FRANÇAISE.
Hiver 1917. Un hôpital de campagne juste derrière les lignes de front. Cent vingt-trois malades pour deux infirmières ! Les temps sont durs. Cependant, quatre femmes et un jeune garçon, réunis par les hasards de la guerre vont faire la fête malgré les urgences, les cris des blessés et le bruit du canon. La vie est plus forte que tout. Alors, à la guerre comme à la guerre, on fait ce qu’il faut et on rit, on dit des bêtises, on fume les dernières cigarettes et on chante. Oui on chante ! Parce qu’il faut bien chanter quand le canon tonne. Pour lui répondre qu’on est vivantes. Des femmes dans la guerre qui soignent ceux qui repartiront sitôt réparés. Des femmes qui se heurtent : patriotisme ou pacifisme ? Subir ou résister ? Tenir ou plier ? Un spectacle lumineux, pourtant. Car toujours, on espère. Toujours on se bat contre la violence avec les outils de la résistance : réparer, soulager, partager, ne pas faiblir, être debout, résister à la fatigue et à la peur. Et on invente la vie qui doit être plus forte que la mort, plus puissante que la destruction. Quand l’une flanche, l’autre la récupère. Et c’est de ça qu’elles sont fortes. Un spectacle pour toute la famille, drôle et tendre parce qu’elles sont épatantes ces femmes bourrées de l’énergie que provoquent l’espoir et la volonté. Car cette guerre-ci sera la Der, c’est sûr. Ce sera « la Der des Ders… » __________ De Dany Laurent / Mise en scène : Patricia Ide et Serge Demoulin / Avec : Laurence D’Amelio, Soazig De Staercke, Laure Godisiabois __________ UNE PRODUCTION DU THÉÂTRE LE PUBLIC. AVEC LE SOUTIEN DU TAX SHELTER DE L’ÉTAT FÉDÉRAL BELGE VIA BESIDE ET DE LA COMMUNAUTÉ FRANÇAISE.
Sprookjesachtig theater voor, soms tussen en samen met peuters en kleuters. Geruggesteund door sprookjesachtige illustraties en bewegende animatiebeelden, neemt Wim de peutertjes mee naar Grasland, een wereld vol lieve krioelende beestjes en verhalen. Tussen vrolijk fladderende vlinders en kleurrijke bloemen, maken we kennis met een schuchtere schildpad, een slijmerig slakje, een olijke olifant en vooral een heel lief lieveheersbeestje. We loeren in het koffertje van de schildpad, kietelen de slak tot ze giert van het lachen en schuiven samen met de heersbeestjes van de lange nek van de giraf. Onder begeleiding van mevrouw olifant en het plaatselijke eekhoorntjesorkest, toeteren we een lied voor kleine egel en dansen we samen met het hele lieveheersbeestje de stippen van ons lijf!
Rien n’est ce qu’il paraît, dans le vieux manoir anglais de Bly. La nouvelle gouvernante reçoit une consigne importante : ne jamais laisser les enfants seuls ! Elle comprend bien vite pourquoi, après avoir fait la rencontre effrayante des fantômes de la précédente gouvernante et d’un certain Peter Quint. Tandis que protéger les enfants devient de plus en plus difficile, des questions inquiétantes s'accumulent : quelles horreurs se sont-elles produites précédemment ? Les enfants sont-ils vraiment innocents ? Ce que vous voyez est-il bien réel ?Sur la base d’une intrigante ghost story de Henry James, Benjamin Britten a composé, avec The Turn of the Screw, un thriller psychologique sous forme d’opéra de chambre. La metteure en scène Andrea Breth préserve le mystère et fait de House Bly un labyrinthe où les personnages ne sont pas les seuls à s’égarer. Avec l’aide du chef d’orchestre Antonio Méndez, elle desserre complètement les vis de votre imagination... Vous avez moins de 30 ans ? Assistez à cet opéra lors de la soirée « Young Opera » (10.5.2024) et profitez d’une réception gratuite ainsi que d’une introduction exclusive.
********** English ********** Louis and Rau are long-time friends, a friendship which arose from their shared search for an art of reality. “The existential core of theatre is the same as that of literature: to show what is difficult to show. Theatre should not be a safe space,” Louis wrote about Rau’s play Familie. With The Interrogation, Rau and Louis present a very personal text about doubt and failure. The play was written in the spring of 2021, at the time commissioned by Kunstenfestivaldesarts, IIPM & NTGent, but it never premiered. Now, it finally takes to the stage. Performed by NTGent ensemble actor Arne De Tremerie, The Interrogation is a ‘demonstration of vulnerability’, a moment of poetic stillness. Can art help us escape our biography, or is art merely a reflection of a failed escape? “It’s a deeply melancholic play, a fragmentary play, a tender play,” said Louis and Rau in an interview – a constant exchange of thoughts about theatre and reality, failure and transformation, fiction and truth, about becoming and being. ********** Français ********** Louis et Rau doivent leur amitié de longue date à leur recherche commune d’un art du réel. « L'essence du théâtre est la même que celle de la littérature : il s’agit de montrer ce qui est difficile à montrer. Le théâtre ne doit pas être un lieu sûr », a écrit Louis à propos de la pièce Familie de Rau.  Dans The Interrogation, les deux hommes présentent un texte profondément personnel sur le doute et l'échec. Écrit et conçu au printemps 2021 à la demande du Kunstenfestivaldesarts, de l'IIPM et du NTGent, il n’avait cependant jamais été créé. Aujourd'hui, il est enfin proposé au public. Interprété par Arne De Tremerie, un acteur de l'ensemble global du NTGent, The Interrogation offre une « démonstration de vulnérabilité », un moment d'immobilité poétique. L'art peut-il nous permettre d'échapper à notre biographie ou n'est-il que le résidu d'une libération ratée ? « Il s’agit d’une pièce profondément mélancolique, fragmentaire et tendre », expliquent Louis et Rau lors d'un entretien. Elle est un échange continu d'idées sur le théâtre et la réalité, l'échec et la transformation, la fiction et la vérité, le devenir et l'être. ********** Nederlands ********** Louis en Rau zijn al lang vrienden, een vriendschap die ontstond uit hun gedeelde zoektocht naar een kunst van het reële. “De wezenskern van theater is dezelfde als in literatuur: tonen wat moeilijk te tonen is. Theater moet geen veilige plek zijn”, schreef Louis over Rau's toneelstuk Familie.  Met de voorstelling The Interrogation  presenteren de twee nu een zeer persoonlijke tekst over twijfelen en falen. Het stuk werd geschreven en gemaakt door Louis en Rau in het voorjaar van 2021, oorspronkelijk in opdracht van het Kunstenfestivaldesarts, IIPM & NTGent, maar ging nooit in première. Nu is het eindelijk live te zien. Gespeeld door Arne De Tremerie, een acteur uit het globale ensemble van NTGent, is The Interrogation een “demonstratie voor kwetsbaarheid”, een moment van poëtische stilstand.  Kunnen we via de kunst ontsnappen aan onze biografie, of is kunst slechts de neerslag van een mislukte bevrijding? “Het is een diep melancholisch toneelstuk, een fragmentarisch toneelstuk, een teder toneelstuk”, zo vertelden Louis en Rau in een interview –  een voortdurende gedachtewisseling over theater en werkelijkheid, mislukking en transformatie, fictie en waarheid, over worden en zijn.
In 1568 werd Graaf van Egmont onthoofd op de Grote Markt van Brussel. De terechtstelling van de populaire Egmont wakkerde de grote onvrede van de bevolking aan met het repressieve bewind van Filips II en luidde de bloedige Tachtigjarige Oorlog in. Sinds zijn dood symboliseert Egmont gematigdheid en tolerantie in woelige en polariserende tijden. Zijn levensverhaal inspireerde vele volgende generaties en zindert ook vandaag nog door. Zo liet Goethe zich aan het einde van de 18de eeuw inspireren door het verhaal van Egmont. Beethoven schreef muziek bij Goethes toneelstuk. Het Banket, I SOLISTI en Vlaams Radiokoor brengen de hoofdrolspelers van die dramatische en bloedige episode uit onze geschiedenis terug tot leven met nieuwe dialogen en met een combinatie van oude en hedendaagse muziek. Ze laten de toeschouwer mee huiveren bij de bloedstollende wendingen in Egmonts leven, dat leest als een spannend jongensboek.