Danse Macabre

Beschrijving

Des films catastrophes aux faits divers tragiques, des tueries de masse au tourisme morbide : qu'est-ce que l'attrait pour la mort et la destruction révèle de nous ? Nous, spectateur·ices, observateur·ices tapi·es dans l’ombre, sommes démasqué·es par l’aveu singulier et téméraire du comédien. Après nous avoir enchanté·es avec son spectacle Norman, c’est comme normal, à une lettre près et de remarquables prestations en tant qu’acteur dans Stanley et George de Molière, Clément Thirion convie Godzilla, les zombies et les morts à se réveiller au plateau, sur des rythmes électro.  Par le mouvement et la danse, Clément Thirion traduit avec une ironie grinçante ce rapport inexplicable que nous entretenons avec les forces destructrices à l'œuvre autour et en nous. Son travail chorégraphique précis porte la parole, l’auteur se démultiplie : son corps est pris dans la polyphonie des voix et des échos qui dialoguent avec lui. Le texte se mêle au documentaire catastrophe et aux pages Wikipédia. Le paradoxe saisissant entre une chambre d’enfant et le déferlement du chaos répond au mariage étrange du sublime et de l’obscène. Sur le plateau, vidéos et marquages au sol composent la scène bien organisée d’un crime, au son de Björk ou sur la symphonie de Camille Saint-Saëns. Ça hurle, ça gicle, ça spasme. Le décor fait maison et sommaire est pensé pour s’effacer dans le récit. Comme une carte évolutive de lieux imaginaires et réels, il nous immerge dans des univers chaque fois différents. Les volumes changent d'échelle, les couleurs explosent, métamorphosant l'espace tantôt en lieu de massacre, tantôt en ville fantôme. Danse Macabre : Les matières sombres est une danse théâtrale, une sorte de messe teintée d’humour noir qui touche l’espace indéfini où le Beau et l’Horreur se mêlent, comme aux tréfonds d’une âme humaine insondable. C’est un espace de libération comme dans une salle de cris. Clément Thirion, artiste partenaire du Varia, incarne le mal avec grâce et une certaine dérision.

Datum informatie

2024-10-08: 19:30:00

2024-10-09: 19:30:00

2024-10-10: 20:30:00

2024-10-11: 20:30:00

2024-10-12: 18:00:00

2024-10-15: 19:30:00

2024-10-16: 19:30:00

2024-10-17: 20:30:00

2024-10-18: 20:30:00

2024-10-19: 18:00:00

Tickets

Pay what you can 4
12€
Pay what you can 3
16€
Pay what you can 2
21€
Pay what you can 1
26€

Organisator

Organiseert u dit evenement?

Neem contact met ons op als u informatie en dergelijke wilt bijwerken

Ons contacteren

1 foto

Voorgestelde evenementen

Luca, 50 ans, d’origine italienne, vit à Bruxelles, avec sa femme et ses enfants jusqu’au jour où il apprend que sa maison de famille en Italie fait l’objet d’un avis de démolition. Porca Strada ! c’est l’histoire d’un homme qui ne veut pas voir son enfance disparaitre sous les gravats parce que des édiles locaux corrompus prétendent construire une route inutile. C’est le récit, drôle et haut en couleur, d’un homme qui va se battre de toutes ses forces pour conserver la terre de ses aïeux. C’est l’éternelle histoire du pot de terre contre le pot de fer. Celle d’un citoyen qui va devoir affronter un système où les magouilles au profit de quelques-uns l’emportent trop souvent sur l’intérêt de tous. Mais aucun combat ne laisse indemne celui qui le porte, et au contact de personnages aussi truculents que douteux, des questionnements vont bientôt agiter l’esprit de Luca. D’où est-il vraiment ? Quel est son rapport au passé, à ses origines, à la transmission ? A-t-il l’âme d’un super héros ou la réalité le poussera-t-elle à courber l’échine ? Co-écrit par Giuseppe Santoliquido (L’audition du docteur Fernando Gasparri et de L’été sans retour) et Fabrizio Rongione, Porca Strada ! est une comédie douce-amère à l’italienne, un voyage initiatique et cocasse, entre un présent fait d’engagements et un passé teinté de nostalgie et de soleil d’Italie. __________ De Fabrizio Rongione et Giuseppe Santoliquido / Mise en scène : Gabriel Alloing / Avec : Fabrizio Rongione / Assistante à la mise en scène : Sandra Raco / Dramaturgie : Giuseppe Santoliquido / Scénographie : Gabriel Alloing et Fanfan Rahir / Lumière : Alain Collet __________ UNE PRODUCTION DU THÉÂTRE LE PUBLIC. AVEC L'AIDE DE LA FÉDÉRATION WALLONIE-BRUXELLES - DIRECTION DU THÉÂTRE, ET LE SOUTIEN DU TAX SHELTER DE L’ÉTAT FÉDÉRAL BELGE VIA BESIDE.
Dans Parti en fumée, Othmane Moumen tente de déchiffrer l'énigme de son père. Il y a sept ans, on lui a diagnostiqué un cancer des poumons en stade 4… le stade terminal. Depuis, il ne lui reste qu'un poumon. Pourtant, son père est toujours là. Comme un sursis inespéré. Et il continue à fumer clope sur clope. Le poumon, c'est l'organe de la tristesse chez les Chinois, paraît-il. Alors, je me demande… Pourquoi il s'inflige ça ? Pourquoi il n'arrête pas ? Les questions affluent dans ma tête, face à ce papa qui ne parle pas. Pourquoi a-t-il migré un jour ? Pourquoi ne bouge-t-il plus aujourd'hui ? Pourquoi refuse-t-il de repartir ? Ce n'est pas facile de lui tirer les vers du nez. La pudeur des pères, quoi ! Mais je suis allé l'interroger. Je l'ai enregistré. J'ai sa voix. Elle est là, dans la boîte, prête à être utilisée. Lors d'un workshop de marionnettes avec Natacha Belova, Othmane Moumen construit de ses propres mains un double de son père, pour le faire parler. Ce temps gagné sur la mort est une occasion pour lui d'approfondir l'enquête, de laisser son père se raconter par l'intermédiaire de la marionnette, vite, avant qu'il ne parte définitivement en fumée… Othmane Moumen livre un dialogue attendrissant et non dénué d'humour, entre un fils et son père. Génie du mime et du jeu corporel, Othmane Moumen s'efface cette fois derrière la frêle silhouette de son père, ce qui ne l'empêche pas de lui insuffler son énergie vitale. Outre une marionnette à taille réelle qui vous bluffe de réalisme, le créateur a aussi conçu une minuscule marionnette articulée, métaphore de ce père aujourd'hui diminué par la maladie. Catherine Makereel, Le Soir Othmane ne prononce pas un mot, mais nous donne à voir tout un monde. Il ne « dit » rien, pourtant il dit tout de par sa présence sur scène. Nous entrons dans son intimité, il met ses tripes sur la table afin de rendre hommage à un homme pourtant toujours vivant. Ce choix de mise en scène nous permet de nous interroger sur la volonté de garder une trace tant de la voix que des traits d'une personne : montrer pour toujours se souvenir ? Camille Mayenez, Le Suricate Magazine https://www.rtbf.be/article/parti-en-fumee-la-voix-dun-pere-le-souffle-bleu-dune-vie-11346311 Avec Écriture, jeu et conception Othmane Moumen Mise en scène Jasmina Douieb Assistanat à la mise en scène Sophie Jallet Collaboratrice artistique Isabelle Darras Création sonore Guillaume Istace Création lumière Charlotte Persoons Scénographie et costume Thibaut De Coster Dramaturgie Amel Benaïssa Regards bienveillants le Kholektif Zouf (Monia Douieb, Hakim Louk'man et Myriem Akheddiou) Conception marionnettes Othmane moumen Conception d'objets et marionnettes Joachim Jannin et Jean-Raymond Brassine Régie générale Lorenzo Berodes Aide manipulation et régie plateau Sandrine Hooge Accompagnement en production et diffusion Ad Lib – Support d'artistes Production déléguée de la création Théâtre les Tanneurs Production déléguée des tournées Cie Entre Chiens et Loups Une création d'Othmane Moumen En coproduction avec le Théâtre les Tanneurs, le Théâtre de Liège, le Théâtre le Public, la Maison de la Culture de Tournai,la Cie Entre Chiens et Loups, PAN (la compagnie !), la COOP asbl et Shelter Prod. Avec l'aide de la Région Bruxelles-Capitale / Be_Talky et de la SACD Avec le soutien de le Festival Mondial des Théâtres de Marionnettes (FR), le Centre de la Marionnette de la Fédération Wallonie-Bruxelles, la Maison des Cultures et de la Cohésion Sociale de Molenbeek, l'Espace Magh, le Théâtre Royal du Parc, taxsheleter.be, ING, le tax-shelter du gouvernement fédéral belge.
Le lendemain d’une soirée difficile, Edouard, 20 ans, se réveille avec une inconnue de 38 ans dans son lit. Edouard, qui vit toujours chez ses parents, très conservateurs de surcroît, doit trouver une solution pour faire sortir Alice discrètement de chez lui…. L’humour règne en maître dans ce vaudeville. Un texte ciselé, servi par des comédiens excellents, rythme la pièce et emporte le public de gags en quiproquos…
Dans Parti en fumée, Othmane Moumen tente de déchiffrer l'énigme de son père. Il y a sept ans, on lui a diagnostiqué un cancer des poumons en stade 4… le stade terminal. Depuis, il ne lui reste qu'un poumon. Pourtant, son père est toujours là. Comme un sursis inespéré. Et il continue à fumer clope sur clope. Le poumon, c'est l'organe de la tristesse chez les Chinois, paraît-il. Alors, je me demande… Pourquoi il s'inflige ça ? Pourquoi il n'arrête pas ? Les questions affluent dans ma tête, face à ce papa qui ne parle pas. Pourquoi a-t-il migré un jour ? Pourquoi ne bouge-t-il plus aujourd'hui ? Pourquoi refuse-t-il de repartir ? Ce n'est pas facile de lui tirer les vers du nez. La pudeur des pères, quoi ! Mais je suis allé l'interroger. Je l'ai enregistré. J'ai sa voix. Elle est là, dans la boîte, prête à être utilisée. Lors d'un workshop de marionnettes avec Natacha Belova, Othmane Moumen construit de ses propres mains un double de son père, pour le faire parler. Ce temps gagné sur la mort est une occasion pour lui d'approfondir l'enquête, de laisser son père se raconter par l'intermédiaire de la marionnette, vite, avant qu'il ne parte définitivement en fumée… Othmane Moumen livre un dialogue attendrissant et non dénué d'humour, entre un fils et son père. Génie du mime et du jeu corporel, Othmane Moumen s'efface cette fois derrière la frêle silhouette de son père, ce qui ne l'empêche pas de lui insuffler son énergie vitale. Outre une marionnette à taille réelle qui vous bluffe de réalisme, le créateur a aussi conçu une minuscule marionnette articulée, métaphore de ce père aujourd'hui diminué par la maladie. Catherine Makereel, Le Soir Othmane ne prononce pas un mot, mais nous donne à voir tout un monde. Il ne « dit » rien, pourtant il dit tout de par sa présence sur scène. Nous entrons dans son intimité, il met ses tripes sur la table afin de rendre hommage à un homme pourtant toujours vivant. Ce choix de mise en scène nous permet de nous interroger sur la volonté de garder une trace tant de la voix que des traits d'une personne : montrer pour toujours se souvenir ? Camille Mayenez, Le Suricate Magazine Entretien avec Othmane Moumen, par François Caudron, Musiq'3 Avec Écriture, jeu et conception Othmane Moumen Mise en scène Jasmina Douieb Assistanat à la mise en scène Sophie Jallet Collaboratrice artistique Isabelle Darras Création sonore Guillaume Istace Création lumière Charlotte Persoons Scénographie et costume Thibaut De Coster Dramaturgie Amel Benaïssa Regards bienveillants le Kholektif Zouf (Monia Douieb, Hakim Louk'man et Myriem Akheddiou) Conception marionnettes Othmane moumen Conception d'objets et marionnettes Joachim Jannin et Jean-Raymond Brassine Régie générale Lorenzo Berodes Aide manipulation et régie plateau Sandrine Hooge Accompagnement en production et diffusion Ad Lib – Support d'artistes Production déléguée de la création Théâtre les Tanneurs Production déléguée des tournées Cie Entre Chiens et Loups Une création d'Othmane Moumen En coproduction avec le Théâtre les Tanneurs, le Théâtre de Liège, le Théâtre le Public, la Maison de la Culture de Tournai,la Cie Entre Chiens et Loups, PAN (la compagnie !), la COOP asbl et Shelter Prod. Avec l'aide de la Région Bruxelles-Capitale / Be_Talky et de la SACD Avec le soutien de le Festival Mondial des Théâtres de Marionnettes (FR), le Centre de la Marionnette de la Fédération Wallonie-Bruxelles, la Maison des Cultures et de la Cohésion Sociale de Molenbeek, l'Espace Magh, le Théâtre Royal du Parc, taxsheleter.be, ING, le tax-shelter du gouvernement fédéral belge.
Théâtre Marionnettes "Othmane Moumen entre dans le costume de son père et retrace le parcours d’un homme frêle et balayé par les vents entre le Maroc et le Tarmac de Zaventem. Des urgences découlent les plus beaux projets." rtbf.be Tout public dès 15 ans Dans Parti en fumée, Othmane Moumen tente de déchiffrer l’énigme de son père. Il y a sept ans, on lui a diagnostiqué un cancer des poumons en stade 4… le stade terminal. Depuis, il ne lui reste qu’un poumon. Pourtant, son père est toujours là. Comme un sursis inespéré. Et il continue à fumer clope sur clope. Le poumon, c’est l’organe de la tristesse chez les Chinois, paraît-il. Alors, je me demande… Pourquoi il s’inflige ça ? Pourquoi il n’arrête pas ? Les questions affluent dans ma tête, face à ce papa qui ne parle pas. Pourquoi a-t-il migré un jour ? Pourquoi ne bouge-t-il plus aujourd’hui ? Pourquoi refuse-t-il de repartir ? Ce n’est pas facile de lui tirer les vers du nez. La pudeur des pères, quoi ! Mais je suis allé l’interroger. Je l’ai enregistré. J’ai sa voix. Elle est là, dans la boîte, prête à être utilisée. Lors d’un workshop de marionnettes avec Natacha Belova, Othmane Moumen construit de ses propres mains un double de son père, pour le faire parler. Ce temps gagné sur la mort est une occasion pour lui d’approfondir l’enquête, de laisser son père se raconter par l’intermédiaire de la marionnette, vite, avant qu’il ne parte définitivement en fumée… Othmane Moumen livre un dialogue attendrissant et non dénué d’humour, entre un fils et son père. Écriture, jeu et conception Othmane Moumen Mise en scène Jasmina Douieb Assistanat à la mise en scène Sophie Jallet Collaboratrice artistique Isabelle Darras Création sonore Guillaume Istace Création lumière Charlotte Persoons Scénographie et costume Thibaut De Coster Dramaturgie Amel Benaïssa
Après Les trois mousquetaires et avant Le masque de fer, Thierry Debroux nous propose le chef-d’œuvre absolu d’Alexandre Dumas et c’est Itsik Elbaz, entouré d’une quinzaine de comédiens, qui incarnera le célèbre Edmond Dantès. Injustement condamné, Edmond s’évade après 14 ans de bagne. Sa vengeance sera impitoyable, mais deviendra pour lui comme une seconde prison. Spectacle avec entracte
La Tournée des châteaux fait halte à Wolubilis avec une comédie férocement drôle, mise en scène par Martine Willequet ! Entraînée par son ami avec qui elle vient de se disputer, Patricia arrive furieuse à un dîner «entre amis» où elle ne connaît personne. Comme elle ne dit pas un mot, on la prend pour une étrangère. Elle ne résiste pas au plaisir d’entretenir le malentendu en s’inventant une langue et un pays imaginaires. Un quiproquo de plus en plus délirant qui va pimenter la soirée. PRODUCTION Théâtre Royal des Galeries
Anna a 18 ans. Depuis qu’elle est petite, elle suit un traitement pour soigner ses troubles psychiatriques. Mais elle n’en veut plus ; les médicaments nuisent à son très grand potentiel artistique. Car Anna écrit ; et plutôt bien… Alors, elle arrête tout. Advienne que pourra… Victime et bourreau, prodige de fantaisie et d’énergie, Anna est une sorte d’astre noir qui vampirise tous ceux qui l’approchent et désespère ceux qui tentent de l’aider : sa mère, son mec et sa pédopsychiatre qui a du mal à respecter la distance thérapeutique. Comment aimer une jeune adulte en grande difficulté psychique ? Comment la protéger, sans confondre au passage notre propre besoin d’être rassuré ? Comment préserver la part vibrante de son être, anéantie par des traitements lourds ? Telles sont les questions posées dans Jamais, toujours, parfois. Chacune, chacun, a ses raisons dans Jamais, toujours, parfois où l’on se gardera bien de porter sur les personnages un regard trop idéalisé. Construit comme une suite de duels entre ceux-ci, il sera difficile pour le spectateur de prendre parti. C’est à une sorte, sinon d’éloge, du moins de réhabilitation du risque que se livre l'australienne Kendall Feaver en s'efforçant de redonner à Anna un libre arbitre et un avenir possible.
Geniet van humor en drankjes in de bar van Kontakt! De Raiders Comedy Club stelt een line-up van beginnende stand-up comedians aan ons voor. GC Kontakt invites the Raiders Comedy Club for a line-up of upcoming stand-up comedians. Enjoy drinks and laughs at our pub!