La Révolution Belge

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LA REVOLUTION BELGE

Voilà trente ans que José Géal a créé “La Révolution Belge de 1830”, une tragédie belge, épique, bombardante et patriotique, en huit tableaux, signée par Arthur et Elisabeth Fauquez.
Toone VII et Toone VIII ont remis ce morceau de bravoure dans leur programmation avec des décors de Raymond Goffin.
Tout Belge sait que c’est le refrain du fameux duo “Amour sacré de la Patrie”
lors du spectacle du 25 août 1830 de “La Muette de Portici” au Théâtre de
la Monnaie, qui a enflammé les coeurs de nos ancêtres pour bouter les
Hollandais hors de nos provinces.
Arthur et Elisabeth Fauquez se sont inspirés de ces faits historiques pour créer
leur fresque patriotique.
Woltje, le ketje de Bruxelles (le gamin), conduit au combat les illustres révolutionnaires tels que le comte Frédéric de Mérode, le baron d’Hoogvorst, les journalistes Louis de Potter et Charles Rogier, le Liégeois Charlier Jambe de bois...
Soutenus par la population, ils vont expulser Guillaume d’Orange, roi des keiskoppe
(têtes de fromage de Hollande) et ses troupes en leur envoyant un tas de
“brol” (objets), sur leur notje (tête).
Le prince de Saxe-Cobourg-Gotha, futur Roi des Belges sous le prénom de
Léopold Ier, se voit offrir une petite bricole... la colonne du Congrès !
Jules César, observateur de l’ONU, vient proclamer “de tous les peuples de la
Gaule, les Belges sont les plus braves.”
Van Campenhout, compositeur révolutionnaire, auteur de notre hymne national,
pousse la chansonnette pour stimuler les combattants.
Eddy Merckx, notre champion mondial dont le parler est légendaire, est l’estafette
cycliste des patriotes.
La Muette, une fameuse clapette (bavarde) qui ne peut cacher sa boentje
(béguin) pour Woltje, fait sauter les remparts d’Anvers avec un bloempanch
(gros boudin) explosif.
Manneken-Pis, plus vrai que nature, né des amours de la Muette et de Woltje,
remplit son impertinent devoir tandis que Saint-Michel, patron de Bruxelles, et
son Deuvel (diable) dégringolent de la tour de l’Hôtel de Ville pour contribuer
à la Révolution belge.

Datum informatie

2024-05-09: 20:30:00 - 22:30:00

2024-05-10: 20:30:00 - 22:30:00

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2024-06-01: 20:30:00 - 22:30:00

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2024-06-07: 20:30:00 - 22:30:00

2024-06-08: 16:00:00 - 18:00:00

2024-06-08: 20:30:00 - 22:30:00

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Cet été ! Une parodie de l’opéra "Faust" d’après Charles Gounod ! Comment Toone en est-il arrivé à Gounod ? Au temps où La Monnaie, maintenant Opéra National, disposait de privilèges écrasants par rapport aux autres théâtres de Bruxelles, Tôône-Dufeys (une autre dynastie de marionnettistes) se rendait régulièrement à l’Opéra pour y copier le plus fidèlement possible ces grands spectacles inaccessibles pour le peuple des Marolles et les présenter ensuite dans son théâtre. Les marionnettes traditionnelles étaient alors le seul moyen d’éducation populaire d’un public toujours prêt à s’enthousiasmer pour les plus grandes oeuvres. Toone VII à son tour se pencha sur l’opéra de Gounod pour en faire une adaptation parodique. « ... Tandis que le docteur Faust boit une dernière gueuze dans l’espoir d’une mort subite, un inquiétant personnage, le “Deuvel”, vient lui proposer des paquets de billets de mille et une belle “mokske” au doux nom de Marguerite, en échange de son âme. On fait un tour à la foire du midi, on passe (en coulisses) une nuit enchanteresse et... c’est le coup de foudre. Avec une conséquence pour Marguerite : “Des robes qui vont devenir trop courtes par devant”... Quiconque s’aventure dans le vaste univers que représente ce sujet comprendra, à travers l’humour, le sentiment de paix intérieure qui l’anime. On devine aisément ce que peuvent donner des mélodies telles que Salut, demeure chaste et pure ou Anges purs, anges radieux accommodées à la sauce bruxelloise... » (La Lanterne) Fidèle à la tradition, Toone fait toutes les voix et n’hésite pas à pousser le grand air des bijoux à l’égal de notre célèbre Castafiore. Les décors et costumes de Raymond Renard donnent à Marguerite toutes les raisons de se voir si belle en ce miroir.
Las Estumelinks, la Tropa presenta, « Extracto en Sezuan », adaptación de la obra ‘El Alma buena de Sezuan’ de Bertolt Brecht. Adaptada y dirigida por Marcela González Portales, con acompañamiento musical de Tonia Tamburi. Las Estumelinks explora el gesto social y el teatro épico de Brecht. Insertos en un sistema de consumo y de apariencias donde la violencia no está ausente. Brecht, el visionario dramaturgo alemán, es de absoluta actualidad y nos llama una vez más a mirar a nuestro alrededor y no quedar impávidos frente a la injusticia cotidiana. "Las Estumelinks, La Tropa", es una compañia teatral enraizada en Bruselas, Bélgica. Somos actores y actrices amateurs y profesionales, somos inmigrantes y expats en una ciudad de 180 nacionalidades distintas. Nos dedicamos a aprender la discimplina teatral bajo la dirección de Marcela González y creamos obras teatrales en español principalmente.
Bezef
03jul.
-15:30
« BEZEF » : c’est « trop » en argot, « trop » en arabe dialectal, « trop » dans quelques histoires extrêmes du répertoire arabo-persan sur le thème des désirs immodérés. D’abord un Slishkom de paresse, un Too much de cupidité, un Ziyaada d’ennui, un grand Chouia de méchanceté : le spectacle commence en douceur. Ce trop là passe au galop. Mais le vrai « BEZEF », le démesuré, l’exagéré, l’abusé, c’est quand la chance vous colle après comme une malédiction, comme un sparadrap dont on n’arrive pas à se défaire. Six fois le portefaix d’Ispahan subit l’immensité de l’imposture croissante que lui impose un destin propice. Notre plaisir talonne la démesure de son effroi. Plus grande est la supercherie, plus intense est notre plaisir. Ce spectacle se métisse sans cesse. Paroles et chants tricotent le spectacle, une histoire maghrébine s’habille d’une mélopée persane, une histoire égyptienne s’appuie sur un chant séfarade. Le récit le « plus mieux » décalé reste incontestablement l’histoire persane du faux devin d’Ispahan. Les personnages les plus importants – le faux devin, sa femme, le Shah – y sont caractérisés par les airs les plus connus de « La belle Hélène » d’Offenbach
Sur le manège des insatiables en tous genres tournent les gourmands, les assoiffés, les vengeurs, les envieux, les avares, les vaniteux, les ambitieux. Qu’ils viennent du Japon, d’Amazonie ou de Grèce, ils ont tous un point commun, l’absence de limite, et nous transmettent joyeusement une frustration intense. Éviter le vide évide ; tenter le trop, évide tout autant… Conteuse et musicien vous embarquent pendant plus d’une heure sur le manège des insatiables en tous genres. Entre résonances et oppositions, musique et récits d’une génération à l’autre, mère et fils entrelacent leurs mondes et se transmettent leurs enthousiasmes.
Fil Rouge
04jul.
-
06jul.
Si je vous dis “veste à capuche rouge » à quoi pensez-vous ? Si j’ajoute « panier, petit pot de beurre, galette » à quoi pensez-vous ? N’y a-t-il pas un loup dans cette histoire ? Donc c’est l’histoire du petit chaperon ? Qui quitte sa mère pour rejoindre sa grand-mère ? Ou alors c’est son enfance qu’elle quitte ? Ou alors, elle quitte sa mère pour rencontrer le loup et ensuite rejoindre sa grand-mère ? Ou alors…Bon on arrête, venez écouter c’est plus simple. Trois artistes un peu fêlées mais époustouflantes, un petit chaperon déjantée mais émouvant, une grand-mère énervée mais touchante, un fil rouge déroulé tout au long du festival.