Taste of love

Description

Ferme les yeux... relaxe-toi… et pense à des histoires, à des histoires d’amour plus précisément. Aux tiennes peut-être ?Ou bien à celles qui te font rêver ? Quelle est la première image qui te traverse l’esprit ? Pour qui ou pour quoi serais-tu prêt/e à perdre la tête? Préfères-tu la passion pimentée à l’adrénaline ou un sentiment plus tendre et apaisant? Sais-tu vraiment ce qui te fait mal et ce qui te fait du bien? 

Après Taste of FriendshipTaste of Love est une pièce contemporaine qui met en scène deux danseurs : Luca Arrigoni et Thibaut Verspreet dans une mise en scène et chorégraphie de Luca Arrigoni.

La compagnie Narcisse explore le champ des amours possibles. Le personnage éponyme admire son reflet à l’infini et sa plus belle histoire d’amour c’est lui. La recherche de sa propre réalité dans les yeux de ses amants n’est-elle que futile et vaniteuse? À l’opposé d’une vraie rencontre et d’un chemin de découverte de l’autre ?  Ou ces deux quêtes peuvent-elles coexister ? Trouver l’autre en se trouvant soi...


Information sur la date

Le 02/03/202420:00

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Info:

Standard Parterre : 25,00 €Standard Balcon : 20,00 €Under 21 Parterre : 18,00 €Under 21 Balcon : 15,00

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"The Vessel", c'est aussi une "performance" née de la présence de sculptures, d'objets, de masques et de marionnettes. Des rencontres pour voyager avec les marionnettes et de la musique (Jean-Jacques Duerinckx), pour découvrir l'espace de jeu, le théâtre de jeu des objets, des masques et des marionnettes. 2 happenings exceptionnels, le dimanche 19 à 19h et le lundi 20 mai à 18h. Avec Matt Jackson, Ruben Mardulier et Jean-Jacques Duerinckx. Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles, l'Image de Bruxelles, de la Loterie Nationale et de la Commune d'Ixelles.
En reconstituant une scène de crime, par le biais d’un geste accessible, fort, documenté et poétique, travaillant à un acte artistique qui puisse révéler une certaine beauté tout en pouvant transcender la douleur de gestes passés, Céline Chariot, qui n’est ni danseuse, ni actrice, mais photographe, aborde le viol via le regard, via des sensations qui ont pour but la réflexion, et rappelle que dans cette transgression odieuse qu’est le viol, le crime n’est pas uniquement celui du violeur mais surtout celui d’un corps social qui pointe la victime comme responsable de son sort. Dans une forme originale où se mêlent texte, performance, silence, regard, reconstitution du réel et onirisme, le spectacle invite puissamment à la transformation des traumatismes du passé en une puissante frénésie d’en finir avec les inégalités de genre. (1) La Slutwalk, ou « Marche des salopes », est une marche de protestation née en avril 2011 au Canada après qu’un officier de police ait déclaré : « Si vous voulez éviter de vous faire violer, il faut éviter de s’habiller comme une salope ».
Aujourd’hui, elle part de constats et de statistiques, pas d’une colère irrationnelle ; elle ne veut ni écrire de fiction édulcorée, ni chercher à raconter l’histoire des femmes et encore moins la sienne, ni à brûler les hommes, ni à faire justice. En reconstituant une scène de crime, par le biais d’un geste accessible, fort, documenté et poétique, travaillant à un acte artistique qui puisse révéler une certaine beauté tout en pouvant transcender la douleur de gestes passés, Céline Chariot, qui n’est ni danseuse, ni actrice, mais photographe, aborde le viol via le regard, via des sensations qui ont pour but la réflexion, et rappelle que dans cette transgression odieuse qu’est le viol, le crime n’est pas uniquement celui du violeur mais surtout celui d’un corps social qui pointe la victime comme responsable de son sort. Dans une forme originale où se mêlent texte, performance, silence, regard, reconstitution du réel et onirisme, le spectacle invite puissamment à la transformation des traumatismes du passé en une puissante frénésie d’en finir avec les inégalités de genre. (1) La Slutwalk, ou « Marche des salopes », est une marche de protestation née en avril 2011 au Canada après qu’un officier de police ait déclaré : « Si vous voulez éviter de vous faire violer, il faut éviter de s’habiller comme une salope »
Avec Marche salope (1), Céline Chariot aborde le sujet du viol, interrogeant le mutisme qui entoure les agressions sexuelles. « La vraie question n’est pas de savoir pourquoi je parle, mais pourquoi je n’ai pas parlé » écrit-elle. Aujourd’hui, elle part de constats et de statistiques, pas d’une colère irrationnelle ; elle ne veut ni écrire de fiction édulcorée, ni chercher à raconter l’histoire des femmes et encore moins la sienne, ni à brûler les hommes, ni à faire justice. En reconstituant une scène de crime, par le biais d’un geste accessible, fort, documenté et poétique, travaillant à un acte artistique qui puisse révéler une certaine beauté tout en pouvant transcender la douleur de gestes passés, Céline Chariot, qui n’est ni danseuse, ni actrice, mais photographe, aborde le viol via le regard, via des sensations qui ont pour but la réflexion, et rappelle que dans cette transgression odieuse qu’est le viol, le crime n’est pas uniquement celui du violeur mais surtout celui d’un corps social qui pointe la victime comme responsable de son sort. Dans une forme originale où se mêlent texte, performance, silence, regard, reconstitution du réel et onirisme, le spectacle invite puissamment à la transformation des traumatismes du passé en une puissante frénésie d’en finir avec les inégalités de genre. (1) La Slutwalk, ou « Marche des salopes », est une marche de protestation née en avril 2011 au Canada après qu’un officier de police ait déclaré : « Si vous voulez éviter de vous faire violer, il faut éviter de s’habiller comme une salope »
********** Français ********** C’est l’histoire de trois personnages : Josef, La Fillette et l’Accumulateur . Josef vit seul dans son petit appartement, il mène une existence routinière. Tous les jours sont les mêmes : un peu de gym, aller au boulot à vélo, pousser des caisses et des caisses, rentrer à la maison . La Fillette vit seule aussi. Plus inquiétant pour une fillette. Elle vit au milieu de conteneurs abandonnés. Mais dans cet amoncellement, elle joue, elle saute : elle est chez elle, bien vivante au milieu de ce no man’s land. Un jour, toute occupée qu’elle est à imiter une mouette, elle découvre un bébé dans un conteneur. Consciente qu’il ne pourra pas s’en sortir si on le laisse là, elle part chercher Josef pour qu’il vienne l’aider à trouver une solution. Entre temps, hélas, le conteneur dans lequel se trouve le bébé disparaît. La Fillette n’aura alors de cesse de le retrouver. ********** Nederlands ********** Dit is het verhaal van drie personages: Josef, Het Meisje en De Accumulator. Josef woont alleen in zijn kleine flat en leidt een routinematig bestaan. Elke dag is hetzelfde: een beetje fitnessen, naar het werk fietsen, dozen en dozen duwen, thuiskomen. Het kleine meisje woont ook alleen. Nog meer zorgen voor een klein meisje. Ze woont midden tussen verlaten containers. Maar in deze hoop speelt ze, springt ze: ze is thuis, springlevend midden in dit niemandsland. Op een dag, terwijl ze een zeemeeuw nadoet, ontdekt ze een baby in een container. Ze is zich ervan bewust dat de baby het niet zal halen als ze hem daar achterlaat en gaat op zoek naar Josef. Josef om haar te helpen een oplossing te vinden. Helaas is ondertussen de container met de baby verdwenen. Het kleine meisje zal nooit stoppen met proberen hem te vinden. Elders, parallel, is er de Accumulator. Het kruist nooit anderen. De Accumulator is ook alleen. Alleen met zijn computer. De Accumulator is een hoofd en vingers. En de hele dag is hij opdrachten. En hij ontvangt. En hij beveelt opnieuw en opnieuw. Tot hij totdat hij is opgeslokt door alle orders, alle dozen die zijn geleverd. Un Conteneur spreekt over onze wereld, de wereld van overconsumptie werk en het leven dat verspild wordt aan het verdienen ervan. Het gaat over de mensen die het maken en degenen die worden uitgesloten. Het gaat over degenen die hebben en zij die niets hebben, en omgekeerd. Het gaat over degenen Het gaat over degenen die ondergedoken leven en die we niet hopen te zien. Maar Un Conteneur gaat ook over de onherleidbare vreugde van de kindertijd, vriendschap en de kracht van het collectief. ********** English ********** This is the story of three characters: Josef, The Girl and The Accumulator. Josef lives alone in his small flat, leading a routine existence. Every day is the same: a bit of gym, cycling to work, pushing boxes and boxes, coming home. The little girl lives alone too. More worrying for a little girl. She lives in the middle of abandoned containers. But in this heap, she plays, she jumps: she's at home, very much alive in the middle of this no-man's-land. One day, busy imitating a seagull, she discovers a baby in a container. in a container. Aware that the baby won't make it if it's left there, she sets off to find Jose. Josef to come and help her find a solution. Unfortunately, in the meantime, the container containing the baby has disappeared. The little girl will never stop trying to find him. Elsewhere, in parallel, there is the Accumulator. It never crosses others. The Accumulator is alone too. Alone with his computer. The Accumulator is a head and fingers. And all day long, he's commands. And he receives. And he orders again and again. Until he until he's swallowed up by all the orders, all the boxes that have been delivered. Un Conteneur speaks of our world, the world of over-consumption stultifying work, and the life wasted on earning it. It's about the people who make it and those who are excluded. It speaks of those who have and those who have nothing, and vice versa. It speaks of those It's about those who live in hiding and whom we hope not to see. But Un Conteneur is also about the irreducible joy of childhood, friendship and the strength of the collective.
********** Français ********** Libre adaptation du conte « la petite fille aux allumettes » (Andersen), – Spectacle écrit pour la rue, une marionnette portée, trois acteurs-musiciens et une caravane « pop up » – Comme un cri de colère poétique… Spectacle à partir de 5 ans. Théâtre-installation. ********** Nederlands ********** Een vrije bewerking van Andersen's sprookje "Het meisje met de lucifers" - Een voorstelling geschreven voor de straat, met een pop, drie acteur-muzikanten en een pop-up caravan - Als een poëtische schreeuw van woede... Vanaf 5 jaar. Theaterinstallatie. ********** English ********** A free adaptation of Andersen's fairy tale "The Little Match Girl" - A show written for the street, with a puppet, three actor-musicians and a pop-up caravan - Like a poetic cry of anger... For ages 5 and up. Theatre-installation.
********** English ********** In Уя (‘Nest’), we observe a corridor of a small apartment in Bishkek, as if from the room next door, while several characters pass by: a girl who works in the Kyrgyz clubbing scene, a boy whose father left to fight with ISIS, an elderly woman who created an orphanage at home, a far-right nationalist and a feminist activist. Theater 705, one of the few independent theatres in Kyrgyzstan and a feminist voice in Central Asia, created Уя (Nest) from recorded interviews with real people in Kyrgyzstan who answered the same question: what is home for you? Chagaldak Zamirbekov and his actors weave together these stories in a cinematographic, hyper-realistic style that reproduces not just the words of each respondent, but also their pauses and intonations. The characters in the same space do not seem to see each other, evoking a sense of loneliness and bewilderment in Kyrgyz society, fertile ground increasingly used to affirm nationalist ideology. Maybe this house, this nest, is the nation itself, a place where people can be merely present in the same space or truly live together. Уя (Nest) paints a portrait of Kyrgyz society on the cusp of hyperbole and realism. It’s a rare opportunity to confront the intimate revelations of a region absent from the festival for too long. ********** Français ********** Уя (« Nid ») nous immerge dans le couloir d’un appartement de Bichkek. Comme si nous étions témoin·tes de scènes depuis une pièce voisine, nous observons des personnages traverser l’espace : une fille qui travaille dans le milieu du clubbing kirghize, un garçon dont le père combat avec Daech, une femme âgée qui a fondé un orphelinat chez elle, un nationaliste d’extrême droite et une activiste féministe. Chagaldak Zamirbekov et Theater 705, l’un des rares théâtres kirghizes indépendants et une voix féministe d’Asie centrale, ont créé Уя (Nest) à partir d’entretiens faits avec des Kirghizes ayant tous·tes répondu à la même question : qu’est-ce que la maison pour vous ? Leurs récits, jusqu’à leurs mots et intonations, sont reproduits par les acteur·ices dans un style cinématographique hyperréaliste. Les personnages partagent un même espace sans sembler se voir, évoquant un certain sentiment de solitude et de désarroi de la société kirghize – un terreau fertile pour l’idéologie nationaliste. Cette maison, ce nid, pourrait-elle être la nation au sein de laquelle nous pourrions coexister ou vivre véritablement ensemble ? Уя (Nest) dépeint un portrait de la société kirghize au croisement entre l’hyperbole et le réalisme. Une occasion rare de tendre l’oreille aux révélations intimes d’une région trop longtemps absente du festival. ********** Nederlands ********** Met Уя (‘Nest’) kijken we binnen in de gang van een appartementje in Bishkek waar verschillende personages de revue passeren: een meisje dat in het Kirgizische nachtleven werkt, een jongen wiens vader is vertrokken om voor IS te vechten, een oudere vrouw die weeskinderen opvangt, een extreemrechtse nationalist en een feministische activiste. Theater 705, één van de weinige onafhankelijke theaters in Kirgizië en een feministische stem in Centraal-Azië, creëerde Уя (Nest) op basis van interviews met Kirgiziërs. Ze beantwoordden telkens de vraag: wat is ‘een thuis’ voor jou? In een cinematografische, hyperrealistische stijl weeft Chagaldak Zamirbekov deze verhalen tot een geheel. Niet alleen de woorden, maar ook pauzes en intonaties worden trouw gereproduceerd. De personages delen dezelfde ruimte maar lijken elkaar niet te zien, wat een gevoel van eenzaamheid en vervreemding oproept, sterk aanwezig in de Kirgizische samenleving en een vruchtbare bodem voor nationalistische ideologieën. Misschien is dit huis, dit nest, wel de natie zelf; een plek waar mensen naast elkaar aanwezig kunnen zijn, of écht kunnen samenleven. Уя (Nest) schetst een portret van de Kirgizische samenleving op de grens van hyperbool en realisme.
In deze double bill worden we uitgenodigd om onze relatie tot onze handen te heroverwegen en stil te staan bij hun rol in heden, verleden en toekomst. Door aan te raken, creëren we relaties van nabijheid waardoor we uit onze omgeving treden. In toenemende mate worden onze aanrakingen echter beïnvloed door technologieën die de manier waarop we onszelf en anderen waarnemen, veranderen. In Hands Made van Begüm Erciyas spelen de handen van het publiek de hoofdrol. Begeleid door een soundtrack observeren de toeschouwers hun hand en die van hun buur, wat tegelijk een effect van intimiteit en vervreemding tot stand brengt. Geïsoleerd van de rest van het lichaam worden onze handen het middelpunt van een reflectie over handwerk en tastzin. Waar zijn deze handen mee bezig geweest, en wie of wat zullen ze in de toekomst aanraken? Nothing But Fingers is een performance van beeldend kunstenaar Moe Satt. Hij raakte gefascineerd door de rol van handgebaren in Zuid-Afrikaanse jachtcommunicatie en in traditionele dans in Myanmar en Zuidoost-Azië, waarbij menselijke gebaren dierlijke vormen kunnen aannemen. Samen met danseres Liah Frank onderzoekt hij hun expressieve potentieel en vermogen om energiestromen in het lichaam te sturen. Een bijzondere choreografie waarin de handen de rest van het lichaam dicteren, tot de finale overgave. Uren: 14u / 15u / 17u /18u
"Les relations mère-fille peuvent être magnifiquement compliquées". Car si le lien qui les unit est unique, il est aussi et surtout complexe. Cette relation l'auteure a souhaité la décomplexer en proposant une pièce théâtrale aussi drôle qu'émouvante. La comédienne nous explique : " On parle ici d'une mère particulière parce qu'elle est encombrante, étouffante, castratrice voire destructrice même. C'est un personnage très théâtral, ce qui me permet de l'imiter et d'en faire rire, mais aussi d'être dans l'émotion car elle peut être touchante et se révéler d'une fragile flamboyance". Un spectacle poignant !
DUREE - 55min _______________________________________________________ « Le spectacle des Belges qui veulent simplifier la langue française » : tout est faux dans cette phrase. Pas « simplifier » mais faire preuve d’esprit critique. Pas « des Belges », mais des passionnés qui veulent partager les découvertes des linguistes. Pas même la langue, seulement son orthographe. Car l’orthographe, c’est pas la langue, juste le code graphique qui permet de la retranscrire. Une approche pop et iconoclaste, pour dédramatiser un débat et aussi parce qu’il faut bien avouer que l’Académie Française a un vrai potentiel comique... Notez que tout n’est pas faux : il s’agit bien d’un spectacle... Et drôle en plus. C'est quand la dernière fois que vous avez changé d’avis ? _______________________________________________________ Conférence ludique, instructive, interactive. La Libre Belgique, Guy Duplat, 28.09.16 Le tout agrémenté de fautes légendaires – le fameux « Omar m’a tuer » – et flagrants délits humoristiques. Le Soir, Catherine Makereel, 16.09.16 Une vraie gourmandise intellectuelle. L’Humanité, Caroline Constant, 22.11.19 Erudit, drôle, bien menée, La Convivialité est un objet scénique atypique qui titille les méninges. Le Monde, Sandrine Blanchard, 18.11.19 _______________________________________________________ VOIR LE TEASER : https://vimeo.com/236903278 AFTER SCENE - Je 25.05 après la représentation. Avec l’équipe du spectacle. _______________________________________________________ Conception et écriture Arnaud Hoedt et Jérôme Piron - Jeu Philippe Couture, Arnaud Hoedt, Jérôme Piron, Antoni Severino (en alternance) - Direction technique Charlotte Plissart - Régie Charlotte Plissart, Clément Papin, Aurélie Perret (en alternance) - Co-mise en scène Dominique Bréda, Arnaud Pirault et Clément Thirion - Création vidéo Kévin Matagne - Conseiller technique Nicolas Callandt. Conseiller artistique Antoine Defoort - Assistanat à la mise en scène Anaïs Moray – Photo visuel Kévin Matagne - Développement et diffusion Habemus Papam. Une création de la compagnie Chantal & Bernadette. En coproduction avec le Théâtre National/Bruxelles et L’Ancre/Charleroi et Hypothalamus renforcé. Avec le soutien du Théâtre La Cité/Marseille, de La Bellone/Bruxelles, de la compagnie La Zouze/Marseille et du Service de la Langue française de la Fédération Wallonie-Bruxelles et du Centre culturel de Braine L’Alleud. Avec l’aide du Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles (Service du théâtre).