Dans Europe connexion, Alexandra Badea dépeint le trajet d’un lobbyiste qui met
tout en œuvre pour modifier les textes de lois votés au Parlement Européen afin
de servir les intérêts de l’agro- business. Le lobbyiste parle, il s’empare des
mots avec élégance les lisse au besoin sous d’autres plus fréquentables. Qui
pourrait douter de lui ? Pourtant derrière chacun de ses succès, réside un
désastre pour l’humanité…
Le G.I.E.C. crie. Le monde est sourd. Notre système économique engloutit le
vivant dans une boulimie démesurée. Nous sommes devenus nos propres prédateurs.
Les monstres mythologiques étaient censés inspirer au public « terreur et pitié
», les nôtres, devenus prescripteurs des normes et règles de nos vies, y
substituent « fiabilité et admiration », aidés du pouvoir de la rhétorique qui
transfigure le réel, et dont Alexandra Badea nous invite à disséquer les
mécanismes impitoyables, dans une écriture au scalpel aussi politique que
poétique qui glace par le réalisme de ses propos, ne nous laissant à son issue
qu’une rage salvatrice.
La reprise d’un succès en phase avec l’actualité qui, sans didactisme, nous nous
encourage à combattre l’inertie du temps.
Description
Avec Marche salope (1), Céline Chariot aborde le sujet du viol, interrogeant le mutisme qui entoure les agressions sexuelles. « La vraie question n’est pas de savoir pourquoi je parle, mais pourquoi je n’ai pas parlé » écrit-elle. Aujourd’hui, elle part de constats et de statistiques, pas d’une colère irrationnelle ; elle ne veut ni écrire de fiction édulcorée, ni chercher à raconter l’histoire des femmes et encore moins la sienne, ni à brûler les hommes, ni à faire justice.
En reconstituant une scène de crime, par le biais d’un geste accessible, fort, documenté et poétique, travaillant à un acte artistique qui puisse révéler une certaine beauté tout en pouvant transcender la douleur de gestes passés, Céline Chariot, qui n’est ni danseuse, ni actrice, mais photographe, aborde le viol via le regard, via des sensations qui ont pour but la réflexion, et rappelle que dans cette transgression odieuse qu’est le viol, le crime n’est pas uniquement celui du violeur mais surtout celui d’un corps social qui pointe la victime comme responsable de son sort.
Dans une forme originale où se mêlent texte, performance, silence, regard, reconstitution du réel et onirisme, le spectacle invite puissamment à la transformation des traumatismes du passé en une puissante frénésie d’en finir avec les inégalités de genre.
(1) La Slutwalk, ou « Marche des salopes », est une marche de protestation née en avril 2011 au Canada après qu’un officier de police ait déclaré : « Si vous voulez éviter de vous faire violer, il faut éviter de s’habiller comme une salope »
En reconstituant une scène de crime, par le biais d’un geste accessible, fort, documenté et poétique, travaillant à un acte artistique qui puisse révéler une certaine beauté tout en pouvant transcender la douleur de gestes passés, Céline Chariot, qui n’est ni danseuse, ni actrice, mais photographe, aborde le viol via le regard, via des sensations qui ont pour but la réflexion, et rappelle que dans cette transgression odieuse qu’est le viol, le crime n’est pas uniquement celui du violeur mais surtout celui d’un corps social qui pointe la victime comme responsable de son sort.
Dans une forme originale où se mêlent texte, performance, silence, regard, reconstitution du réel et onirisme, le spectacle invite puissamment à la transformation des traumatismes du passé en une puissante frénésie d’en finir avec les inégalités de genre.
(1) La Slutwalk, ou « Marche des salopes », est une marche de protestation née en avril 2011 au Canada après qu’un officier de police ait déclaré : « Si vous voulez éviter de vous faire violer, il faut éviter de s’habiller comme une salope »
Photographie
Performance
Drame
Documentaire
Billets
Info:
Tarif plein : 22€ I +65 ans : 17€ I -30 ans : 12€ I Demandeur d'emploi : 10€
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Événements suggérés
Mais pour partir à l’assaut des grands clubs européens, il faut payer. Sa
grand-mère se résout à s’endetter pour l’aider à réaliser son rêve. Une fois à
Paris, Mitri voit rapidement son rêve se transformer en cauchemar. Il se
retrouve abandonné sans un sou en poche et ne peut imaginer affronter la honte
du retour au village. Commence alors une période d’errance douloureuse. Mais son
rêve de foot le rattrapera au détour de belles rencontres.
Projection à l’attention des publics des structures culturelles, sociales,
éducatives et d’encadrement des jeunes et moins jeunes : services d’accueil et
d’aide à la jeunesse (MJ et AMO), maisons de quartiers, maisons de femmes ou
encore centres d’actions interculturelles ou d’insertion
socio-professionnelle...
L’objectif de l’opération est d’étendre au plus grand nombre de Bruxellois·es
une programmation de cinéma qui s’attache à encourager l’éducation citoyenne en
proposant une démarche réflexive sur la société - que ce soit à travers des
sujets liés à la diversité, l’éducation aux médias, le radicalisme religieux ou
politique, la Shoah, l’égalité des sexes, les inégalités socio-économiques ou
encore à la colonisation, l’homosexualité, la drogue mais aussi l’engagement, la
militance ou la résistance.
********** English **********
'Into Thin Air', contemporary dance (55 mins) | May 14, 2024 | 1 PM, 5 PM @
Korean Cultural Center
〈Into Thin Air〉 is a trash art based, real life inspired visual theater piece.
It is about emptiness. It deals with the disappearance of value and cause, the
loss of the present in the rush for a better future. Into Thin Air is set in a
world of commercial values and soap opera morals. The piece's dramatic aspects,
filled with dark humor, are derived from the true stories if there are 9
participants. As the piece unfolds, the dancers stretch their physical
boundaries, as the characters in the piece are stretching their realistic
boundaries to fit comics-like prototypes. Through rhythmical movement sections
and beautifully crude visual imagery, short stories emerge, exposing a vast
emotional field in which the 9 characters' virtuosity move around.
'Dance Speaks', contemporary dance (83 mins) | May 16, 2024 | 1 PM, 5 PM @
Korean Cultural Center
is a lecture performance featuring dancers from various fields, including
traditional Korean dance, contemporary dance, ballet, and street dance, who
reflect on contemporary dance through dance and narrative, focusing on the
specific body of the dancer. Dancers' bodies embody the illusion of beauty on
stage, but in reality, they are often injured or deformed as professionals who
use their bodies. In the performance, the dancers tell autobiographical stories
about their bodies and use their own experiences with health and injury to
critique the illusions that surround dance, and also show their dedication to
dance on stage.
'Dallae Story', non-verbal puppet show (70 mins) | June 6, 2024 | 1 PM, 5 PM @
Korean Cultural Center
is a story of three families who cherish the simple things in their lives
together. It is a story of childhood memories that everyone has, and how the
small pleasures of a happy and warm day can help us through the inevitable hard
times. The unique form of actors and puppets performing together uses a variety
of media, including objects, theater, mime, Korean dance, shadow play, and 3D
video. It is a non-verbal puppet theater that uses lyrical dance and implied
gestures to convey the content, making it easy for anyone to understand and
relate to.
********** Français **********
'Into Thin Air', danse contemporaine (55 minutes) | 14 mai, 2024 | 13h, 17h @
Centre Culturel Coréen
〈Into Thin Air〉 est une pièce de théâtre visuel inspirée de la vie réelle, basée
sur l'art de la récupération. Elle traite de la vacuité. Elle aborde la
disparition de la valeur et de la cause, la perte du présent dans la course vers
un avenir meilleur. Into Thin Air est située dans un monde de valeurs
commerciales et de morales de feuilleton. Les aspects dramatiques de la pièce,
empreints d'humour noir, sont tirés des véritables histoires de ses 9
participants. Au fur et à mesure que la pièce se déroule, les danseurs
repoussent leurs limites physiques, tout comme les personnages de la pièce
repoussent leurs limites réalistes pour correspondre à des prototypes de bande
dessinée. À travers des sections de mouvements rythmiques et des images
visuelles magnifiquement crues, des histoires courtes émergent, exposant un
vaste champ émotionnel dans lequel les 9 personnages virtuoses évoluent.
'Dance Speaks', danse contemporaine (83 minutes) | 16 mai, 2024 | 13h, 17h @
Centre Culturel Coréen
est une performance de conférence mettant en vedette des danseurs de divers
domaines, y compris la danse traditionnelle coréenne, la danse contemporaine, le
ballet et la danse de rue, qui réfléchissent à la danse contemporaine à travers
la danse et le récit, en mettant l'accent sur le corps spécifique du danseur.
Les corps des danseurs incarnent l'illusion de la beauté sur scène, mais en
réalité, ils sont souvent blessés ou déformés en tant que professionnels
utilisant leurs corps. Dans la performance, les danseurs racontent des histoires
autobiographiques sur leurs corps et utilisent leurs propres expériences en
matière de santé et de blessures pour critiquer les illusions qui entourent la
danse, et montrent également leur dévouement à la danse sur scène.
'Dallae Story', spectacle de marionnettes non verbal (70 minutes) | 6 juin, 2024
| 13h, 17h @ Centre Culturel Coréen
est l'histoire de trois familles qui chérissent les choses simples de leur vie
ensemble. C'est une histoire de souvenirs d'enfance que tout le monde a, et
comment les petits plaisirs d'une journée heureuse et chaleureuse peuvent nous
aider à traverser les moments difficiles inévitables. La forme unique d'acteurs
et de marionnettes travaillant ensemble utilise une variété de médias, y compris
des objets, du théâtre, du mime, de la danse coréenne, du théâtre d'ombres et de
la vidéo 3D. C'est un théâtre de marionnettes non verbal qui utilise la danse
lyrique et des gestes implicites pour transmettre le contenu, le rendant facile
à comprendre et à se rapporter pour tout le monde.
********** Nederlands **********
'Into Thin Air', hedendaagse dans (55 minuten) | 14 mei, 2024 | 13.00 uur, 17.00
uur @ Koreaans Cultureel Centrum
〈Into Thin Air〉 is een visueel theaterstuk geïnspireerd op het echte leven,
gebaseerd op de kunst van het recyclen. Het gaat over de leegte. Het besproken
het verdwijnen van waarde en oorzaak, het verlies van het heden in de haast naar
een betere toekomst. Into Thin Air speelt zich af in een wereld van commerciële
waarden en soapachtige moraal. De dramatische aspecten van het stuk, doorspekt
met zwarte humor, zijn gebaseerd op de ware verhalen van de 9 deelnemers.
Beweeglijke het stuk zich ontvouwt, verleggen de dansers hun fysieke grenzen,
net zoals de personages in het stuk hun realistische grenzen verleggen om bij
stripachtige prototypen te passen. Door ritmische bewegingssecties en prachtige
regel van visuele beelden komen korte verhalen naar voren, waarin een
uitgestrekt overdekt veld wordt blootgelegd waarin de 9 personages zich virtuoos
bewegen.
'Dance Speaks', hedendaagse dans (83 minuten) | 16 mei, 2024 | 13.00 uur, 17.00
uur @ Koreaans Cultureel Centrum
is een lezing-performance met dansers uit verschillende disciplines, waaronder
traditionele Koreaanse dans, hedendaagse dans, ballet en straatdans, die
reflecteren op hedendaagse dans door middel van dans en verhaal, met de nadruk
op het specifieke lichaam van de danser. Hoewel de lichamen van de dansers op
het podium de illusie van schoonheid belichamen, maar in werkelijkheid zijn ze
vaak voorkomend of misvormd als professionals hun lichaam gebruiken. In de
voorstelling vertellen de dansers autobiografische verhalen over hun lichamen en
gebruiken ze hun eigen ervaringen met gezondheid en blessures om de illusies
rondom dans te bekritiseren, en tonen ze ook hun toewijding aan dans op het
podium.
'Dallae Story', woordeloze poppenshow (70 minuten) | 6 juni, 2024 | 13.00 uur,
17.00 uur @ Koreaans Cultureel Centrum
is het verhaal van drie families die de eenvoudige dingen in hun leven
koesteren. Het is een verhaal van jeugdherinneringen die iedereen heeft, en hoe
de kleine geneugten van een gelukkige en warme dag ons kunnen helpen door de
lastige tijden heen te komen. De unieke vorm van acteurs en poppen die samen
optreden maakt gebruik van een verscheidenheid aan media, waaronder objecten,
theater, mime, Koreaanse dans, schimmenspel en 3D-video. Het is een woordeloos
poppentheater dat gebruik maakt van lyrische dans en impliciete gebaren om de
inhoud over te brengen, waardoor het voor iedereen gemakkelijk te begrijpen en
te relateren is.
AVANT PREMIERE LE 15 ARVIL EN PRESENCE DE L'EQUIPE DU FILMLe palais de justice
ouvre ses portes. Des êtres en quête de liberté, de reconnaissance, d’amour et
de pardon s’y engouffrent. Ils sont en transit dans la salle des pas perdus.
Mais pas pour longtemps. Aujourd’hui, ils vont faire un choix qui fera basculer
leurs vies et découvriront que la quête de soi n’est pas sans conséquence…
Tempi duri per i pigri e i poco mondani: non è più tollerata alcuna forma di
ozio o di privacy, e oggi anche l’elettrauto sotto casa deve fare show business.
Quindi manteniamo la calma e confrontiamoci con i temi che tediano le nostre
pause pranzo: crisi climatica, iper-esposizione mediatica, ex compagni delle
elementari riesumati come venditori di NFT, valutare se intraprendere la
professione di neurologo o quella di streamer, la nostalgia di epoche vissute
l’altro ieri, la suscettibilità estrema e il lavoro non retribuito dell’offeso
telematico, la casa in campagna come unica possibilità residenziale, la
motivazione dei guru disperati, la necessità di sentirsi un eroe e poi la
speranza che, nonostante tutto, l’intelligenza artificiale possa risolvere tutti
i nostri problemi, compreso quello della sua esistenza. Le certezze sono sempre
meno ma, in un’epoca in cui siamo tutti chiamati a essere performanti, l’unico
lusso al quale ambire è il tempo perso.
BIO EDOARDO FERRARIO
Edoardo Ferrario inizia la sua carriera televisiva nel 2012, quando Sabina
Guzzanti lo coinvolge nel cast e come collaboratore ai testi di “Un, Due, Tre,
Stella!” su La7. L’anno seguente collabora con Caterina Guzzanti ne “La prova
dell’otto” su Mtv e dà vita al suo primo spettacolo di Stand-up comedy: “Temi
Caldi”, che nel 2019 diventerà il primo Comedy Special su Netflix realizzato da
un italiano.
La sua carriera di autore prosegue con progetti quali “Esami - La serie” e con
il sequel “Post-Esami”. Nel 2015 lavora al programma “Staiserena” su Radio2. Nel
2016 è nel cast di “Quelli che il calcio” su Rai2 e si esibisce con lo
spettacolo ’“Edoardo Ferrario Show”. In radio dal 2017 è uno dei conduttori di
Black Out, lo storico programma di Enrico Vaime su Rai Radio2.
Nel 2020 è su Rai Play (e Rai 3) con il suo nuovo spettacolo “Diamoci un tono”,
già portato in scena nei più importanti teatri italiani e comedy club europei
(Londra, Berlino, Amsterdam) e poi è ancora su Rai Play con lo show satirico
“Paese Reale”. Nello stesso anno scrive il libro di racconti edito da Mondadori
“Siete persone cattive - Storie comiche di mostri italiani” e conduce con Luca
Ravenna il podcast “Cachemire - Un podcast morbidissimo”, cui è seguito
nell’estate dello stesso anno il trionfale “Cachemire Summer Tour” che ha
toccato tutte le maggiori città italiane.
Nel 2022 è tra i comici protagonisti della prima stagione di “Prova Prova Sa
Sa”, il game show condotto da Frank Matano su Prime Video incentrato
sull'improvvisazione, mentre al cinema presta la voce nel film d’animazione
“Troppo Cattivi” e al personaggio di Butt-head in “Beavis e Butt-Head alla
conquista dell’universo” su Paramount+. In seguito interpreta Arnold Flass
nell’audio serie originale Spotify “Batman – Un’autopsia”. In primavera è in
tournée con lo spettacolo di stand-up comedy “Il dittatore sanitario” che
registra il tutto esaurito, in Italia e nei club di Amsterdam, Berlino, Londra,
Bruxelles e Parigi.
Nel 2023 è il comico novità della nuova stagione della Gialappa’s Show su TV8,
protagonista ogni settimana della rubrica “Bad Talk” e nei panni del motivatore
Maicol Pirozzi, ed è nel cast della seconda stagione di Prova Prova Sa Sa su
Prime Video. Sempre per Prime Video, nel 2024 è tra i protagonisti di “LOL 4 –
Chi ride è fuori”, mentre per Sky nella serie “Hanno ucciso l’uomo ragno – La
vera storia degli 883” per la regia di Sidney Sibilla interpreta il ruolo del
produttore Pier Paolo Peroni. Infine nel 2024 è tra i protagonisti della nuova
serie tv italiana di Prime Video “No Activity - Niente da segnalare”.
********** English **********
Professeure de français dans une école laïque bruxelloise, Amal encourage ses
élèves à cultiver la passion de la lecture, revendiquer la liberté d'expression
et prôner l’acceptation de l’autre. Mais son franc-parler dérange la communauté
musulmane, qui s’oppose à ses méthodes pédagogiques avec virulence. Pourtant,
Amal résiste et ne se laisse pas envahir par la peur. Surtout lorsqu’elle doit
venir en aide à l’une de ses étudiantes, la discrète Monia, qui, soupçonnée
d’être homosexuelle, est agressée, harcelée et menacée. Séance événementielle du
23/04 à 18h30 en collaboration avec la ligue de l'enseignement et le centre
d'Action Laïque: projection du film sera suivie d'un débat en présence du
réalisateur Jawad RhalibATTENTION : la séance du 23/04 est complète. plus de
réservation possible et il n'y a pas de liste d'attente. Merci pour votre
compréhension
********** Nederlands **********
Amal, een lerares op een Brusselse school, moedigt haar leerlingen aan om een
liefde voor lezen en vrijheid van meningsuiting te cultiveren, zelfs als dat
betekent dat ze zichzelf in gevaar brengen. Haar gedurfde manier van lesgeven
zal het leven van haar leerlingen veranderen.
********** English **********
Réalisé par le cinéaste visionnaire Luca Guadagnino, Challengers met en vedette
Zendaya dans le rôle de Tashi Duncan, une ancienne prodige du tennis devenue
entraîneuse et une force de la nature qui ne s'embarrasse pas d'excuses pour son
jeu sur le court et en dehors. Mariée à un champion en perte de vitesse (Mike
Faist - West Side Story), la stratégie de Tashi pour la rédemption de son mari
prend une tournure surprenante lorsqu'il doit affronter Patrick (Josh O'Connor -
The Crown), son ancien meilleur ami et l'ancien petit ami de Tashi. Alors que
leur passé et leur présent s'entrechoquent et que les tensions sont à leur
comble, Tashi doit se demander ce qu'il lui en coûtera de gagner.
********** Nederlands **********
Tashi is een sterke vrouw die zowel op als buiten de tennisbaan haar mannetje
staat en getrouwd is met een tenniskampioen die een wat mindere periode
doormaakt (Mike Faist - "West Side Story"). Tashi's pogingen haar man er weer
bovenop te helpen nemen een verrassende wending wanneer hij het moet opnemen
tegen de uitgerangeerde Patrick (Josh O'Connor - "The Crown"), zijn voormalige
beste vriend en de ex van Tashi. Als zaken uit hun verleden er vervolgens toe
leiden dat de spanningen hoog oplopen, wordt Tashi gedwongen zich af te vragen
welke prijs er voor de winst zal moeten worden betaald.
********** English **********
In this double bill, we are asked to rethink the relationship with our hands and
reflect on their role in the present, past and future.
By touching, we create relationships of proximity while distancing ourselves
from the rest of our surroundings. But our touch is increasingly mediated by
technologies that change how we experience ourselves and others. In Begüm
Erciyas’ performance Hands Made, the hands of the audience will take centre
stage. Accompanied by a soundtrack, spectators are asked to observe their hand
and that of their neighbour, creating an effect of intimacy and alienation.
Separated from the rest of the body, our hands become the focus of a reflection
on handwork and touch. What have these hands been busy with? Who or what will
they touch in the future?
Nothing But Fingers is the other half of this double bill, a performance by
visual artist Moe Satt. He became fascinated by the role of hand gestures in
South African hunting communication as well as traditional dance in Myanmar and
Southeast Asia, where human gestures can take animal forms. With dancer Liah
Frank, he explores the expressive potential of hands and their ability to direct
energy flows in the body, an extraordinary choreography in which the hands
dictate the rest of the body until the final surrender.
********** Français **********
Deux performances, proposées ensemble dans un même programme, invitent à
repenser la relation à nos mains et à réfléchir à leur rôle dans le présent, le
passé et le futur.
Dans Hands Made de Begüm Erciyas, les mains du public occupent une place
centrale : guidé·es par une bande sonore, les spectateur·ices observent une de
leur main et celle de leurs voisin·es, ce qui leur permet d’explorer des
sentiments d’intimité et d’aliénation. Isolées du reste du corps, nos mains
deviennent le centre d’une réflexion sur le travail manuel et le toucher. À quoi
s’affairent-elles ? Qui ou quoi toucheront-elles à l’avenir ? En attirant notre
attention sur notre toucher, de nouveaux rapports de proximité s’installent et
la perception de ce qui nous entoure en sort modifiée.
Nothing But Fingers est une performance du plasticien Moe Satt, qui a développé
une recherche sur les gestes de mains utilisés dans la communication de chasse
en Afrique du Sud et dans la danse traditionnelle de Birmanie et d’Asie du
Sud-Est, où les gestes humains peuvent adopter des formes animales. Avec la
danseuse Liah Frank, il explore le potentiel expressif des mains et leur faculté
à diriger l’énergie à travers le corps. Une chorégraphie délicate, dans laquelle
les mains commandent le reste du corps jusqu’à l’abandon total.
********** Nederlands **********
In deze double bill worden we uitgenodigd om onze relatie tot onze handen te
heroverwegen en stil te staan bij hun rol in heden, verleden en toekomst.
Door aan te raken, creëren we relaties van nabijheid waardoor we uit onze
omgeving treden. In toenemende mate worden onze aanrakingen echter beïnvloed
door technologieën die de manier waarop we onszelf en anderen waarnemen,
veranderen. In Hands Made van Begüm Erciyas spelen de handen van het publiek de
hoofdrol. Begeleid door een soundtrack observeren de toeschouwers hun hand en
die van hun buur, wat tegelijk een effect van intimiteit en vervreemding tot
stand brengt. Geïsoleerd van de rest van het lichaam worden onze handen het
middelpunt van een reflectie over handwerk en tastzin. Waar zijn deze handen mee
bezig geweest, en wie of wat zullen ze in de toekomst aanraken?
Nothing But Fingers is een performance van beeldend kunstenaar Moe Satt. Hij
raakte gefascineerd door de rol van handgebaren in Zuid-Afrikaanse
jachtcommunicatie en in traditionele dans in Myanmar en Zuidoost-Azië, waarbij
menselijke gebaren dierlijke vormen kunnen aannemen. Samen met danseres Liah
Frank onderzoekt hij hun expressieve potentieel en vermogen om energiestromen in
het lichaam te sturen. Een bijzondere choreografie waarin de handen de rest van
het lichaam dicteren, tot de finale overgave.
********** English **********
How do we feel the impact of events which are so much larger than us, yet move
through us, and animate and activate our bodies all the time? Ten performers
enact a glacially morphing tableau vivant on a mobile raft-like stage. Their
voices create a score that grows larger and resonates as they clutch, careen and
cleave in a space too small to contain them, spilling off the edges. The scenes
shown reference at times images from classical iconography. Tenderness and
violence, sensuality and brute force cohabitate. The audience sits all around as
if watching a boxing match, embanking the performers, close enough to smell
their sweat and feel the steam of the spiralling scenes.
Celebrated American choreographer Faye Driscoll returns to the festival with a
multi-sensory flesh and breath sculpture made of bodies, sounds, scents, liquids
and objects. She pushes her performers to their limits in this compelling,
adventurous work, presented in the impressive Horta Hall, originally an
exhibition space for sculptures. Weathering is an ode to the inexhaustible
physical power of queer bodies.
Ticket sale
18 May '24 - 22:30
19 May '24 - 21:30
20 May '24 - 21:30
21 May '24 - 21:30
********** Français **********
Comment ressentons-nous l’impact d’événements qui, malgré le fait qu’ils nous
dépassent, parviennent à nous traverser, nous animer et activer nos corps ? Sur
un plateau rotatif qui ressemble à un radeau, dix performeur·euses, en constante
évolution, composent des images qui ressemblent à des tableaux vivants issus
d’un univers queer. Leurs voix génèrent une partition qui va crescendo et
résonne à mesure qu’iels s’agrippent mutuellement, se balancent et se repoussent
sur une surface trop petite pour les contenir, menaçant de déborder. Par
moments, des images issues de l’iconographie classique semblent se dessiner.
Tendresse, violence, sensualité et force brute cohabitent. Assis autour de la
scène comme s’il assistait à un match de boxe, le public peut ressentir la sueur
et l’ardeur de scènes étourdissantes.
La célèbre chorégraphe états-unienne Faye Driscoll revient au festival avec une
sculpture multisensorielle faite de chair et de souffle, de corps, de sons,
d’odeurs, de fluides et d’objets. Elle pousse ses performeur·euses jusqu’à leurs
limites dans un spectacle fascinant et aventureux, présenté dans
l’impressionnant Hall Horta, qui était à l’origine conçu comme une salle
d’exposition pour sculptures. Weathering est une ode à l’inépuisable puissance
physique des corps queer et à leurs évolutions.
Achat de tickets
18 mai '24 - 22:30
19 mai '24 - 21:30
20 mai '24 - 21:30
21 mai '24 - 21:30
********** Nederlands **********
Hoe voelen we de impact van gebeurtenissen die onze lichamen bewegen en
bezielen, maar tegelijk veel groter zijn dan onszelf? Tien performers verbeelden
een steeds veranderende tableau vivant op een ronddraaiend vlot-achtig platform.
Hun stemmen vormen een partituur die crescendo’s en resonanties laat horen
terwijl ze elkaar vastgrijpen, wegduwen, en heen en weer slingeren over een
oppervlak dat te klein is voor hen allen en uit zijn voegen dreigt te barsten.
De getoonde scènes refereren bij momenten aan beelden uit de klassieke
iconografie. Tederheid en geweld, sensualiteit en brute kracht worden met elkaar
verzoend. Het publiek zit rondom, als bij een bokswedstrijd, kan de performers
bijna aanraken, hun zweet ruiken en de stomende scènes proeven.
De gevierde Amerikaanse choreografe Faye Driscoll keert terug naar het festival
met een multisensoriële levende sculptuur van vlees en adem, van lichamen,
geluiden, geuren en objecten. Ze drijft haar performers tot het uiterste in dit
meeslepende, avontuurlijke werk, gepresenteerd in de indrukwekkende Hortahal,
oorspronkelijk een tentoonstellingsruimte voor beeldhouwwerken. Weathering is
een ode aan de onuitputtelijke fysieke kracht van queer lichamen.
Ticketverkoop
18 mei '24 - 22:30
19 mei '24 - 21:30
20 mei '24 - 21:30
21 mei '24 - 21:30
********** English **********
in FR surtitled in NL EN
75 min
On 20.05 the performance is followed by an aftertalk.
This story unfolds in the north of Lebanon, at Nahr el Bared, in a refugee camp
hastily set up to shelter Palestinian families fleeing the Nakba of 1948. Years
later, in 2007, war broke out between the Lebanese army and an infiltrated
Islamist group, leading to the destruction of part of the camp. It was at that
moment that the first traces appeared of Orthosia, an ancient Roman city, which
vanished after being overwhelmed by a tsunami in 551 AD and which, despite 15
centuries of vain attempts to find it, no-one could ever have imagined finding
there. But how best to deal with this major discovery, as excavations would mean
a ‘second displacement’ for the refugee families? The filmmakers and artists
Joana Hadjithomas and Khalil Joreige use photography, installations, video and
cinema to question the account of the imagination and writing about the story.
Through this performance, created for the festival, they uncover the palimpsest
of constant cycles of construction and destruction, calling on the possible
narratives about the underground worlds. A dizzying performance, full of
(dis)continuities, upheavals and regeneration, which plunges us into a past that
feels particularly close to the present.
https://www.instagram.com/hadjithomasjoreigestudio
discover the full programme of kunstenfestivaldesarts >>
—
Presentation: Kunstenfestivaldesarts, Beursschouwburg
A project by Joana Hadjithomas & Khalil Joreige
Archaeologist: Hadi Choueri | Research: Maissa Maatouk
Cinematography: Talal Khoury, Joe Saade, Julien Hirsch, Khalil Joreige
Video editing: Tina Baz
Animation: Laurent Brett
Sound editing and mixing: Rana Eid - Studio DB
Music: Charbel Haber
Studio manager: Tara El Khoury Mikhael
Commissioned and produced by Kunstenfestivaldesarts
Coproduction: Points communs – Nouvelle scène nationale de Cergy-Pontoise et du
Val d’OiseThanks to Galerie In Situ, fabienne leclerc
Image © Joana Hadjithomas & Khalil Joreige
********** Français **********
in FR surtitré en NL EN
75 min
Le 20.05, la représentation est suivie d'un aftertalk.
Cette histoire se déroule au nord du Liban, à Nahr el Bared, dans un camp de
réfugié·es établi dans la hâte afin d’accueillir des familles palestiniennes
fuyant la Nakba de 1948. Des années plus tard, en 2007, une guerre éclate entre
l’armée libanaise et un groupe islamiste récemment infiltré, entraînant la
destruction d’une partie du camp. C’est à ce moment-là que sont apparus les
premiers vestiges d’Orthosia, une ancienne cité romaine disparue après avoir été
ensevelie par un tsunami en 551 et que – cherchée en vain pendant 15 siècles –
personne n’aurait pu imaginer trouver là. Mais comment faire face à cette
découverte majeure, si y faire des fouilles implique un “second déplacement” des
familles exilées en 1948 ? Les cinéastes et artistes Joana Hadjithomas et Khalil
Joreige utilisent la photographie, les installations, la vidéo et le cinéma pour
questionner la narration des imaginaires et l’écriture de l’histoire. Dans cette
performance créée pour le festival, iels révèlent les cycles constants de
constructions et de destructions, convoquant les narrations possibles de mondes
souterrains. Une performance vertigineuse, pleine de (dis)continuités, de
bouleversements et de régénérations, qui nous plonge dans un passé
particulièrement proche du présent.
https://www.instagram.com/hadjithomasjoreigestudio
découvrez le programme complet du kunstenfestivaldesarts >>
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Présentation : Kunstenfestivaldesarts, Beursschouwburg
Un projet de Joana Hadjithomas & Khalil Joreige
Archéologue : Hadi Choueri
Recherche : Maissa Maatouk
Image : Talal Khoury, Joe Saade, Julien Hirsch, Khalil Joreige
Montage vidéo : Tina Baz Animation : Laurent Brett
Montage Son et mixage : Rana Eid (Studio DB)
Musique : Charbel Haber
Studio manager : Tara El Khoury Mikhael Commandé et produit par
Kunstenfestivaldesarts
Coproduction: Points communs – Nouvelle scène nationale de Cergy-Pontoise et du
Val d’Oise
Remerciements : Galerie In Situ, fabienne leclerc
Image © Joana Hadjithomas & Khalil Joreige
********** Nederlands **********
in FR boventiteld in NL EN
75 min
Op 20.05 wordt de voorstelling gevolgd door een nagesprek.
Dit verhaal speelt zich af in het noorden van Libanon, in Nahr el Bared, in een
vluchtelingenkamp dat halsoverkop werd opgezet om Palestijnse families op te
vangen die de Nakba van 1948 waren ontvlucht. Jaren later, in 2007, breekt er
een oorlog uit tussen het Libanese leger en een geïnfiltreerde islamistische
groepering, wat resulteert in de vernietiging van een deel van het kamp. Daarmee
komen de eerste overblijfselen van Orthosia aan het licht, een oude Romeinse
stad die verdween nadat ze in 551 n.C. door een tsunami was bedolven en waar 15
eeuwen lang tevergeefs naar werd gezocht. Maar hoe ga je om met zo’n belangrijke
ontdekking, als opgravingen op die plek een ‘tweede ontheemding’ van
vluchtelingenfamilies zou betekenen? Filmmakers en kunstenaars Joana Hadjithomas
en Khalil Joreige gebruiken fotografie, installaties, video en film om
geschiedschrijving in vraag te stellen. In deze performance, gecreëerd voor het
festival, leggen ze de voortdurende cycli van opbouw en afbraak bloot, en roepen
ze de mogelijke verhalen van ondergrondse werelden op. Een duizelingwekkende
performance, vol omwentelingen en (dis)continuïteit, die ons onderdompelt in een
verleden dat bijzonder dicht bij het heden blijkt te staan.
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Presentatie: Kunstenfestivaldesarts, Beursschouwburg
Een project van Joana Hadjithomas & Khalil Joreige
Archeologe: Hadi Choueri
Onderzoek: Maissa Maatouk
Beeld: Talal Khoury, Joe Saade, Julien Hirsch, Khalil Joreige
Videomontage: Tina Baz
Animatie: Laurent Brett
Geluidsmontage en mixing: Rana Eid - Studio DB
Muziek: Charbel Haber
Studiomanager: Tara El Khoury Mikhael
In opdracht van en geproduceerd door Kunstenfestivaldesarts
Coproductie: Points communs – Nouvelle scène nationale de Cergy-Pontoise et du
Val d’Oise
Met dank aan Galerie In Situ, fabienne leclerc
Beeld © Joana Hadjithomas & Khalil Joreige