"The Vessel", c'est aussi une "performance" née de la présence de sculptures,
d'objets, de masques et de marionnettes. Des rencontres pour voyager avec les
marionnettes et de la musique (Jean-Jacques Duerinckx), pour découvrir l'espace
de jeu, le théâtre de jeu des objets, des masques et des marionnettes.
2 happenings exceptionnels, le dimanche 19 à 19h et le lundi 20 mai à 18h.
Avec Matt Jackson, Ruben Mardulier et Jean-Jacques Duerinckx.
Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles, l'Image de Bruxelles, de la
Loterie Nationale et de la Commune d'Ixelles.
Narcisse & Friends - Festival de danse
Description
Chaque soir, deux danseurs mettent en scène et abordent
des thèmes actuels de la société. La musique et les mouvements
accompagneront ces six danseurs dans les interrogations de ce qui anime chacun
quant à sa place dans la société, dans le rythme que celle-ci impose à toute
personne, en passant par des points très intimes, tel que la solitude, l’amour,
la question du genre ou encore l’immigration.
Comment chacun fait avec son corps, sa propre identité
pour trouver une place qui fait sens, qui s’inscrit comme stable dans une
société qui ne cesse de changer ? Est-ce qu’il y a un choix à faire ?
Ces corps qui s’approchent, se distancient sur un fond de musique, qui
s’intensifie par moment, tentent d’y apporter quelques réponses, pensées,
émotions et…
Information sur la date
Le 12/04/202420:00Le 13/04/202420:00Le 14/04/202415:00
Billets
Info:
Standard Parterre : 25,00 €Standard Balcon : 20,00 €Under 21 Parterre : 18,00 €Under 21 Balcon : 15,00
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Événements suggérés
En reconstituant une scène de crime, par le biais d’un geste accessible, fort,
documenté et poétique, travaillant à un acte artistique qui puisse révéler une
certaine beauté tout en pouvant transcender la douleur de gestes passés, Céline
Chariot, qui n’est ni danseuse, ni actrice, mais photographe, aborde le viol via
le regard, via des sensations qui ont pour but la réflexion, et rappelle que
dans cette transgression odieuse qu’est le viol, le crime n’est pas uniquement
celui du violeur mais surtout celui d’un corps social qui pointe la victime
comme responsable de son sort.
Dans une forme originale où se mêlent texte, performance, silence, regard,
reconstitution du réel et onirisme, le spectacle invite puissamment à la
transformation des traumatismes du passé en une puissante frénésie d’en finir
avec les inégalités de genre.
(1) La Slutwalk, ou « Marche des salopes », est une marche de protestation née
en avril 2011 au Canada après qu’un officier de police ait déclaré : « Si vous
voulez éviter de vous faire violer, il faut éviter de s’habiller comme une
salope ».
Aujourd’hui, elle part de constats et de statistiques, pas d’une colère
irrationnelle ; elle ne veut ni écrire de fiction édulcorée, ni chercher à
raconter l’histoire des femmes et encore moins la sienne, ni à brûler les
hommes, ni à faire justice. En reconstituant une scène de crime, par le biais
d’un geste accessible, fort, documenté et poétique, travaillant à un acte
artistique qui puisse révéler une certaine beauté tout en pouvant transcender la
douleur de gestes passés, Céline Chariot, qui n’est ni danseuse, ni actrice,
mais photographe, aborde le viol via le regard, via des sensations qui ont pour
but la réflexion, et rappelle que dans cette transgression odieuse qu’est le
viol, le crime n’est pas uniquement celui du violeur mais surtout celui d’un
corps social qui pointe la victime comme responsable de son sort.
Dans une forme originale où se mêlent texte, performance, silence, regard,
reconstitution du réel et onirisme, le spectacle invite puissamment à la
transformation des traumatismes du passé en une puissante frénésie d’en finir
avec les inégalités de genre.
(1) La Slutwalk, ou « Marche des salopes », est une marche de protestation née
en avril 2011 au Canada après qu’un officier de police ait déclaré : « Si vous
voulez éviter de vous faire violer, il faut éviter de s’habiller comme une
salope »
Avec Marche salope (1), Céline Chariot aborde le sujet du viol, interrogeant le
mutisme qui entoure les agressions sexuelles. « La vraie question n’est pas de
savoir pourquoi je parle, mais pourquoi je n’ai pas parlé » écrit-elle.
Aujourd’hui, elle part de constats et de statistiques, pas d’une colère
irrationnelle ; elle ne veut ni écrire de fiction édulcorée, ni chercher à
raconter l’histoire des femmes et encore moins la sienne, ni à brûler les
hommes, ni à faire justice.
En reconstituant une scène de crime, par le biais d’un geste accessible, fort,
documenté et poétique, travaillant à un acte artistique qui puisse révéler une
certaine beauté tout en pouvant transcender la douleur de gestes passés, Céline
Chariot, qui n’est ni danseuse, ni actrice, mais photographe, aborde le viol via
le regard, via des sensations qui ont pour but la réflexion, et rappelle que
dans cette transgression odieuse qu’est le viol, le crime n’est pas uniquement
celui du violeur mais surtout celui d’un corps social qui pointe la victime
comme responsable de son sort.
Dans une forme originale où se mêlent texte, performance, silence, regard,
reconstitution du réel et onirisme, le spectacle invite puissamment à la
transformation des traumatismes du passé en une puissante frénésie d’en finir
avec les inégalités de genre.
(1) La Slutwalk, ou « Marche des salopes », est une marche de protestation née
en avril 2011 au Canada après qu’un officier de police ait déclaré : « Si vous
voulez éviter de vous faire violer, il faut éviter de s’habiller comme une
salope »
********** English **********
In Уя (‘Nest’), we observe a corridor of a small apartment in Bishkek, as if
from the room next door, while several characters pass by: a girl who works in
the Kyrgyz clubbing scene, a boy whose father left to fight with ISIS, an
elderly woman who created an orphanage at home, a far-right nationalist and a
feminist activist. Theater 705, one of the few independent theatres in
Kyrgyzstan and a feminist voice in Central Asia, created Уя (Nest) from recorded
interviews with real people in Kyrgyzstan who answered the same question: what
is home for you? Chagaldak Zamirbekov and his actors weave together these
stories in a cinematographic, hyper-realistic style that reproduces not just the
words of each respondent, but also their pauses and intonations. The characters
in the same space do not seem to see each other, evoking a sense of loneliness
and bewilderment in Kyrgyz society, fertile ground increasingly used to affirm
nationalist ideology. Maybe this house, this nest, is the nation itself, a place
where people can be merely present in the same space or truly live together. Уя
(Nest) paints a portrait of Kyrgyz society on the cusp of hyperbole and realism.
It’s a rare opportunity to confront the intimate revelations of a region absent
from the festival for too long.
********** Français **********
Уя (« Nid ») nous immerge dans le couloir d’un appartement de Bichkek. Comme si
nous étions témoin·tes de scènes depuis une pièce voisine, nous observons des
personnages traverser l’espace : une fille qui travaille dans le milieu du
clubbing kirghize, un garçon dont le père combat avec Daech, une femme âgée qui
a fondé un orphelinat chez elle, un nationaliste d’extrême droite et une
activiste féministe. Chagaldak Zamirbekov et Theater 705, l’un des rares
théâtres kirghizes indépendants et une voix féministe d’Asie centrale, ont créé
Уя (Nest) à partir d’entretiens faits avec des Kirghizes ayant tous·tes répondu
à la même question : qu’est-ce que la maison pour vous ? Leurs récits, jusqu’à
leurs mots et intonations, sont reproduits par les acteur·ices dans un style
cinématographique hyperréaliste. Les personnages partagent un même espace sans
sembler se voir, évoquant un certain sentiment de solitude et de désarroi de la
société kirghize – un terreau fertile pour l’idéologie nationaliste. Cette
maison, ce nid, pourrait-elle être la nation au sein de laquelle nous pourrions
coexister ou vivre véritablement ensemble ? Уя (Nest) dépeint un portrait de la
société kirghize au croisement entre l’hyperbole et le réalisme. Une occasion
rare de tendre l’oreille aux révélations intimes d’une région trop longtemps
absente du festival.
********** Nederlands **********
Met Уя (‘Nest’) kijken we binnen in de gang van een appartementje in Bishkek
waar verschillende personages de revue passeren: een meisje dat in het
Kirgizische nachtleven werkt, een jongen wiens vader is vertrokken om voor IS te
vechten, een oudere vrouw die weeskinderen opvangt, een extreemrechtse
nationalist en een feministische activiste. Theater 705, één van de weinige
onafhankelijke theaters in Kirgizië en een feministische stem in Centraal-Azië,
creëerde Уя (Nest) op basis van interviews met Kirgiziërs. Ze beantwoordden
telkens de vraag: wat is ‘een thuis’ voor jou? In een cinematografische,
hyperrealistische stijl weeft Chagaldak Zamirbekov deze verhalen tot een geheel.
Niet alleen de woorden, maar ook pauzes en intonaties worden trouw
gereproduceerd. De personages delen dezelfde ruimte maar lijken elkaar niet te
zien, wat een gevoel van eenzaamheid en vervreemding oproept, sterk aanwezig in
de Kirgizische samenleving en een vruchtbare bodem voor nationalistische
ideologieën. Misschien is dit huis, dit nest, wel de natie zelf; een plek waar
mensen naast elkaar aanwezig kunnen zijn, of écht kunnen samenleven. Уя (Nest)
schetst een portret van de Kirgizische samenleving op de grens van hyperbool en
realisme.
********** Français **********
Libre adaptation du conte « la petite fille aux allumettes » (Andersen), –
Spectacle écrit pour la rue, une marionnette portée, trois acteurs-musiciens et
une caravane « pop up » – Comme un cri de colère poétique…
Spectacle à partir de 5 ans. Théâtre-installation.
********** Nederlands **********
Een vrije bewerking van Andersen's sprookje "Het meisje met de lucifers" - Een
voorstelling geschreven voor de straat, met een pop, drie acteur-muzikanten en
een pop-up caravan - Als een poëtische schreeuw van woede...
Vanaf 5 jaar. Theaterinstallatie.
********** English **********
A free adaptation of Andersen's fairy tale "The Little Match Girl" - A show
written for the street, with a puppet, three actor-musicians and a pop-up
caravan - Like a poetic cry of anger...
For ages 5 and up. Theatre-installation.
In deze double bill worden we uitgenodigd om onze relatie tot onze handen te
heroverwegen en stil te staan bij hun rol in heden, verleden en toekomst.
Door aan te raken, creëren we relaties van nabijheid waardoor we uit onze
omgeving treden. In toenemende mate worden onze aanrakingen echter beïnvloed
door technologieën die de manier waarop we onszelf en anderen waarnemen,
veranderen. In Hands Made van Begüm Erciyas spelen de handen van het publiek de
hoofdrol. Begeleid door een soundtrack observeren de toeschouwers hun hand en
die van hun buur, wat tegelijk een effect van intimiteit en vervreemding tot
stand brengt. Geïsoleerd van de rest van het lichaam worden onze handen het
middelpunt van een reflectie over handwerk en tastzin. Waar zijn deze handen mee
bezig geweest, en wie of wat zullen ze in de toekomst aanraken?
Nothing But Fingers is een performance van beeldend kunstenaar Moe Satt. Hij
raakte gefascineerd door de rol van handgebaren in Zuid-Afrikaanse
jachtcommunicatie en in traditionele dans in Myanmar en Zuidoost-Azië, waarbij
menselijke gebaren dierlijke vormen kunnen aannemen. Samen met danseres Liah
Frank onderzoekt hij hun expressieve potentieel en vermogen om energiestromen in
het lichaam te sturen. Een bijzondere choreografie waarin de handen de rest van
het lichaam dicteren, tot de finale overgave.
Uren: 14u / 15u / 17u /18u
********** Français **********
C’est l’histoire de trois personnages : Josef, La Fillette et l’Accumulateur .
Josef vit seul dans son petit appartement, il mène une existence routinière.
Tous les jours sont les mêmes : un peu de gym, aller au boulot à vélo, pousser
des caisses et des caisses, rentrer à la maison .
La Fillette vit seule aussi. Plus inquiétant pour une fillette. Elle vit au
milieu de conteneurs abandonnés. Mais dans cet amoncellement, elle joue, elle
saute : elle est chez elle, bien vivante au milieu de ce no man’s land.
Un jour, toute occupée qu’elle est à imiter une mouette, elle découvre un bébé
dans un conteneur. Consciente qu’il ne pourra pas s’en sortir si on
le laisse là, elle part chercher Josef pour qu’il vienne l’aider à trouver une
solution.
Entre temps, hélas, le conteneur dans lequel se trouve le bébé disparaît.
La Fillette n’aura alors de cesse de le retrouver.
********** Nederlands **********
Dit is het verhaal van drie personages: Josef, Het Meisje en De Accumulator.
Josef woont alleen in zijn kleine flat en leidt een routinematig bestaan. Elke
dag is hetzelfde: een beetje fitnessen, naar het werk fietsen, dozen en dozen
duwen, thuiskomen.
Het kleine meisje woont ook alleen. Nog meer zorgen voor een klein meisje. Ze
woont midden tussen verlaten containers. Maar in deze hoop speelt ze, springt
ze: ze is thuis, springlevend midden in dit niemandsland.
Op een dag, terwijl ze een zeemeeuw nadoet, ontdekt ze een baby in een
container.
Ze is zich ervan bewust dat de baby het niet zal halen als ze hem daar
achterlaat en gaat op zoek naar Josef.
Josef om haar te helpen een oplossing te vinden.
Helaas is ondertussen de container met de baby verdwenen.
Het kleine meisje zal nooit stoppen met proberen hem te vinden.
Elders,
parallel, is er de Accumulator. Het kruist nooit
anderen. De Accumulator is ook alleen. Alleen met zijn computer.
De Accumulator is een hoofd en vingers. En de hele dag is hij
opdrachten. En hij ontvangt. En hij beveelt opnieuw en opnieuw. Tot hij
totdat hij is opgeslokt door alle orders, alle dozen die zijn
geleverd.
Un Conteneur
spreekt over onze wereld, de wereld van overconsumptie
werk en het leven dat verspild wordt aan het verdienen ervan. Het gaat over de
mensen die het maken
en degenen die worden uitgesloten. Het gaat over degenen die hebben
en zij die niets hebben, en omgekeerd. Het gaat over degenen
Het gaat over degenen die ondergedoken leven en die we niet hopen te zien.
Maar Un Conteneur gaat ook over de onherleidbare vreugde van de kindertijd,
vriendschap en de kracht van het collectief.
********** English **********
This is the story of three characters: Josef, The Girl and The Accumulator.
Josef lives alone in his small flat, leading a routine existence. Every day is
the same: a bit of gym, cycling to work, pushing boxes and boxes, coming home.
The little girl lives alone too. More worrying for a little girl. She lives in
the middle of abandoned containers. But in this heap, she plays, she jumps:
she's at home, very much alive in the middle of this no-man's-land.
One day, busy imitating a seagull, she discovers a baby in a container.
in a container. Aware that the baby won't make it if it's left there, she sets
off to find Jose.
Josef to come and help her find a solution.
Unfortunately, in the meantime, the container containing the baby has
disappeared.
The little girl will never stop trying to find him.
Elsewhere,
in parallel, there is the Accumulator. It never crosses
others. The Accumulator is alone too. Alone with his computer.
The Accumulator is a head and fingers. And all day long, he's
commands. And he receives. And he orders again and again. Until he
until he's swallowed up by all the orders, all the boxes that have been
delivered.
Un Conteneur
speaks of our world, the world of over-consumption
stultifying work, and the life wasted on earning it. It's about the people who
make it
and those who are excluded. It speaks of those who have
and those who have nothing, and vice versa. It speaks of those
It's about those who live in hiding and whom we hope not to see.
But Un Conteneur is also about the irreducible joy of childhood, friendship and
the strength of the collective.
"Les relations mère-fille peuvent être magnifiquement compliquées".
Car si le lien qui les unit est unique, il est aussi et surtout complexe.
Cette relation l'auteure a souhaité la décomplexer
en proposant une pièce théâtrale aussi drôle qu'émouvante.
La comédienne nous explique : " On parle ici d'une mère particulière parce
qu'elle est encombrante, étouffante, castratrice voire destructrice même.
C'est un personnage très théâtral, ce qui me permet de l'imiter et d'en faire
rire,
mais aussi d'être dans l'émotion car elle peut être touchante et se révéler
d'une fragile flamboyance".
Un spectacle poignant !
DUREE - 55min
_______________________________________________________
« Le spectacle des Belges qui veulent simplifier la langue française » : tout
est faux dans cette phrase. Pas « simplifier » mais faire preuve d’esprit
critique. Pas « des Belges », mais des passionnés qui veulent partager les
découvertes des linguistes. Pas même la langue, seulement son orthographe. Car
l’orthographe, c’est pas la langue, juste le code graphique qui permet de la
retranscrire.
Une approche pop et iconoclaste, pour dédramatiser un débat et aussi parce qu’il
faut bien avouer que l’Académie Française a un vrai potentiel comique...
Notez que tout n’est pas faux : il s’agit bien d’un spectacle... Et drôle en
plus.
C'est quand la dernière fois que vous avez changé d’avis ?
_______________________________________________________
Conférence ludique, instructive, interactive. La Libre Belgique, Guy Duplat,
28.09.16
Le tout agrémenté de fautes légendaires – le fameux « Omar m’a tuer » – et
flagrants délits humoristiques. Le Soir, Catherine Makereel, 16.09.16
Une vraie gourmandise intellectuelle. L’Humanité, Caroline Constant, 22.11.19
Erudit, drôle, bien menée, La Convivialité est un objet scénique atypique qui
titille les méninges. Le Monde, Sandrine Blanchard, 18.11.19
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VOIR LE TEASER : https://vimeo.com/236903278
AFTER SCENE - Je 25.05 après la représentation. Avec l’équipe du spectacle.
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Conception et écriture Arnaud Hoedt et Jérôme Piron - Jeu Philippe Couture,
Arnaud Hoedt, Jérôme Piron, Antoni Severino (en alternance) - Direction
technique Charlotte Plissart - Régie Charlotte Plissart, Clément Papin, Aurélie
Perret (en alternance) - Co-mise en scène Dominique Bréda, Arnaud Pirault et
Clément Thirion - Création vidéo Kévin Matagne - Conseiller technique Nicolas
Callandt. Conseiller artistique Antoine Defoort - Assistanat à la mise en scène
Anaïs Moray – Photo visuel Kévin Matagne - Développement et diffusion Habemus
Papam.
Une création de la compagnie Chantal & Bernadette. En coproduction avec le
Théâtre National/Bruxelles et L’Ancre/Charleroi et Hypothalamus renforcé. Avec
le soutien du Théâtre La Cité/Marseille, de La Bellone/Bruxelles, de la
compagnie La Zouze/Marseille et du Service de la Langue française de la
Fédération Wallonie-Bruxelles et du Centre culturel de Braine L’Alleud. Avec
l’aide du Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles (Service du théâtre).