Comédie grinçante et féroce, où fiction et réalité se superposent. Qui n'a
jamais été victime d'un patron sans scrupules, d'un DRH inhumain, d'un
conseiller Pôle Emploi déroutant? Après son licenciement, son passage à la
Maison de l'Emploi et une séance de coaching insolite, les tribulations de
Madame Michaud vous entraineront vers un entretien d'embauche un peu
particulier, face à une DRH aveugle dont la stratégie de communication confine
au mysticisme. Très vite, l'enjeu professionnel disparait au profit de questions
existentielles, à la fois loufoques et inquiétantes. Entre grotesque, poésie,
hystérie et questionnement philosophique, cette pièce dessine une comédie acide
et déjantée où tous les moyens sont bons pour parvenir à être soi même.
Le Nom des choses
23april
-30april
61 Rue Victor Hugo, 93100 Montreuil, France
Description
Spectacle à partir de 7 ans.
Pourquoi une table s'appelle une table et pas un schling à Et si ça s'appelait un schling, ça servirait quand même à manger à Fascinée par la faculté d'étonnement des enfants, Muriel Imbach décortique le langage et explore, de manière joyeuse et poétique, le rapport entre le nom des choses et leur réalité. Formée à la philosophie avec les enfants, la metteuse en scène suisse Muriel Imbach, dont vous aviez peut-être déjà découvert le spectacle À l'envers, à l'endroit en avril 2023 au TPM, nourrit ses créations des réflexions entendues lors d'ateliers organisés dans des classes. C'est le cas dans ce spectacle, petit bijou d'inventivité. Dans un espace ludique, cinq personnages s'amusent à malaxer les mots sans réserve, à jouer avec la musicalité de la langue, à décortiquer la parole, à expérimenter selon la façon des surréalistes. Peu à peu, ce choeur malicieux fait surgir une civilisation étrange, cousine de la nôtre, où le langage se dit et se vit différemment. Le Nom des choses devient alors un poème à la fois drôle et philosophique, une ode à la langue et à l'imaginaire. Dès 7 ans.
Infos réservation :
23 avril : 14h3024 avril : 15h25 avril : 14h3026 avril : 10h / 14h3027 avril : 18h29 avril : 10h / 14h3030 avril : 10h / 14h30
Date info
Du mardi 23 avril 2024 au mardi 30 avril 2024
15h00 • 18h30 • 20h00
Tickets
Info:
Prix : De 9.00 € à 26.00 €
1 Picture
Suggested events
[Exposition marionnettique / Performance mécanisée]
Laissez-vous surprendre par cette déambulation marionnettique, à la rencontre de
deux univers artistiques singuliers.
On aurait dit
Deux médiatrices-marionnettistes vous invitent à pénétrer au coeur de nos
imaginaires d'enfants, à retrouver ces petits morceaux d'irrationalité qui
réinventent et manipulent avec légèreté les règles de jeu du réel. Le duo
célèbre la liberté d'inventer et la joie d'écrire son propre monde, en un
pétillant et joyeux voyage !
Je brasse de l'air
On déambule dans le clair-obscur d'un espace hors du temps, peuplé de machines
qui entrent dans la lumière et s'animent tour à tour. Toutes déploient des
trésors d'ingéniosité dans des tentatives d'envol que l'on sait vouées à
l'échec. Les mécanismes que l'on découvre sont délicats, intelligents,
poétiques, (solitaires, touchants). Ils peuplent une zone particulière de notre
imaginaire, nourrie de nos espoirs et de nos peurs.
Tout public +7 ans
90 min
Site web :
https://www.theatre-halle-roublot.fr/spectacles/on-aurait-dit-%2F-je-brasse-de-l%E2%80%99air-
Sans raison explicable, Jeanne, un jour, ne rentre plus chez elle, délaisse
travail, amour, enfants, et se réfugie dans une chambre d'hôtel anonyme, puis
dans la ville elle-même. Au gré de ses errements dans les parcs publics, de ses
nuits blanches devant le fleuve, de ses marches immenses au coeur des paysages
urbains à qui sont autant d'étapes vers une redécouverte d'elle-même à elle
rencontre le " Vieil homme étourneau ", un vieillard qui lui semble être un
ange, et une jeune fille répondant au nom de Lou Reed dont la chambre d'hôtel
s'est peu à peu transformée en marais'
Quatre hommes, comédiens, ayant grandi dans les années 1980, pendant la guerre
civile libanaise, tentent d'exorciser leur mal-être de quarantenaires, une nuit,
à Beyrouth. Leurs échanges sont entremêlés au théâtre d'Ibsen qu'ils rejouent,
comme un écho à leur situation. Cette nuit-là une décision majeure est advenue :
passer à l'action. Réagissant à l'apathie générale et au fatalisme qui prévaut
depuis des décennies au Liban, les quatre amis résistent en rejouant. Ils
décident de s'opposer par leur présence physique à la destruction d'un site qui
représente leur patrimoine intime. Cet acte symbolique souligne une
problématique qui est au c'ur du travail de l'autrice : l'amnésie organisée dans
un pays où la frénésie de reconstruction prévaut sur un travail de mémoire
indispensable.
Dates de représentation : 2 mai 2024 à 19h30, 3 mai 2024 à 19h30, 4 mai 2024 à
18h30, 5 mai 2024 à 16h30, 7 mai 2024 à 19h30, 8 mai 2024 à 16h30.
Les Envols - Fratellini Circus Tour est un spectacle de cirque présenté par les
apprentis de l'Académie Fratellini. Ils présenteront leurs numéros de fin
d'études dans les disciplines suivantes : corde lisse, jonglage, cerceau aérien,
roue Cyr, acrobatie, équilibre, mât chinois et jonglage. Ce spectacle est
l'ultime étape de leur parcours de formation. Les représentations auront lieu
les 4 et 5 mai 2024 à la MC93 à Bobigny.
Infos réservation :
sam 04 mai 2024 - 18h00dim 05 mai 2024 - 16h00
VENDREDI 3 MAI - L'Afro, Shatta & Gouyad Sauce est juste délicieuse !
Laissez-vous tenter par le parfum délicieux de toutes les musiques du Soleil.
C'est à ne manquer sous aucun prétexte vraiment alors venez : Pass pour les
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Un long poème d'amour, une conversation virtuelle entre une fille et son père.
Cordélia rêve : son père la convoque prestement. Il veut savoir combien elle
l'aime. Elle bégaie. Il se fâche. Elle le quitte. Plus tard, elle apprend qu?il
est malade. Elle part à sa recherche. Elle le retrouve dans les bois, seul,
égaré. Il semble ne pas la reconnaître.
Le personnage de Cordélia, en référence à la fille de Shakespeare, est déployé
en une reine des temps modernes, un clown féminin libéré des carcans sociaux.
Elle interpelle son père, célèbre avec lui le Théâtre qui les unit. Ça et là, on
entend quelques vers tirés du Roi Lear, ainsi que la voix du père, absent du
plateau, qui parle à sa fille, présente sur la scène.
Les mots de Sara Llorca se conjuguent à la musique de Benoît Lugué qui chante la
douceur et la rudesse qui font le jeu du duo père-fille.
Hervé Koubi rend hommage aux barbares, inconnus ou oubliés, peuples des
origines.
Le chorégraphe a passé cinq années entre l'Algérie et la France pour renouer
avec la terre de ses ancêtres, tissant des liens avec douze danseurs algériens
et burkinabés. Riche de cette immersion, il revient avec Les Nuits barbares, qui
mettent en scène la peur de l'inconnu, ce barbare, mais aussi le besoin d'aller
vers l'autre.
À travers une danse saisissante et enivrante, il porte un regard sensible sur
l'histoire du bassin méditerranéen et fait vivre le métissage dans une création
d'une beauté inouïe, lumineuse. Portés, sauts périlleux et acrobaties, de
somptueux tableaux s'enchaînent et conjuguent force brute, intensité et
précision de la danse, rutilance des costumes, entre parade guerrière hypnotique
et ballet contemporain, mâtiné de hip hop.
Un creuset de cultures, d'images, de danses, de clairs obscurs : magnifique !
Le Centre culturel Coréen accueille deux équipes de choc de breaking pour une
rencontre inédite : les Français du Pockemon Crew et les Coréens de 1MILLION,
célèbre studio de danse fondé à Seoul, notamment connu pour ses performances sur
les réseaux sociaux. Au programme, une battle amicale en présence d’un DJ au
Théâtre du Châtelet !
En guise d’ouverture de cette nouvelle saison culturelle, le Centre Culturel
Coréen s’allie au KOFICE (Korean Foundation for International Cultural
Exchange), qui organise chaque année un programme culturel intitulé Korea Season
pour mettre ensemble à l’honneur les mouvements rythmés et spectaculaires du
breaking, aussi appelé « danse hip-hop » ou « breakdance » !
C’est donc l’occasion rêvée de faire se rencontrer deux équipes de choc : les
Français du Pockemon Crew – collectif né à Lyon dans les années 1990 sous la
direction artistique de Riyad Fghani et pionnier du breaking en France – et les
Coréens de 1MILLION, studio de danse fondé à Séoul en 2015, qui réunit 26
millions d’abonnés sur Youtube et plus d’1 million d’abonnés sur Instagram
depuis le très grand succès de l’émission Street Woman Fighter.
Ce jeudi 2 mai, les deux crew sont invitées à se produire au Théâtre du Châtelet
le temps d'une performance dansée qui prônera fièrement la fusion artistique et
portera haut les couleurs du breaking.
Bien plus qu’un spectacle de danse, « Urban Pulse Uprising » est une véritable
exploration du large répertoire des danses de rue auquel le breaking fait
partie, une invitation à faire fi des frontières et à faire se rencontrer
différents univers chorégraphiques. Une création originale mêlant expérience
scénique multidimensionnelle, défis prenants et célébration de l’expression
corporelle. Et l'événement relève d'une symbolique forte : cette année, ce style
de danse né aux États-Unis dans les années 70 a rejoint le programme olympique à
l’occasion des JO de Paris.
Un événement réalisé en collaboration avec Rookie Pars de Battle Pro, Dot
Production et le Théâtre du Châtelet, avec le soutien du Ministère coréen de la
Culture, des Sports et du Tourisme.
Philharmonie de Paris (1-R-2022-3944 & 4254, 2&3-R-2021-13751 & 13749) présente
ce concert. ORCHESTRE DE PARIS / KLAUS MÄKELÄBeethovenConcert symphonique•
Grande salle Pierre Boulez - PhilharmoniePROGRAMME Ludwig van BeethovenChant
élégiaqueSymphonie n° 9 « Hymne à la joie »DISTRIBUTIONOrchestre de ParisChœur
de l'Orchestre de ParisKlaus Mäkelä , directionCatriona Morison ,
mezzo-sopranoMauro Peter , ténorRené Pape , baryton-basse Mémorable célébration
beethovénienne avec ce concert qui fait voisiner une œuvre rare et presque
oubliée, le Chant élégiaque, avec le monument culturel, devenu l’étendard des
Lumières européennes, qu’est la Neuvième Symphonie. Très rarement interprété, le
Chant élégiaque est une pièce de circonstance, composée à la demande d’un ami de
Beethoven qui souhaitait célébrer la mémoire de son épouse morte en couches.
Même si on ne saurait dire qu’elle anticipe les derniers Quatuors, elle témoigne
de l’esprit de recherche et de spéculation propres à la période tardive de
Beethoven. Mais à la tristesse succède la joie comme principe de paix
universelle avec la monumentale Neuvième Symphonie, véritable mythe culturel
mobilisé dans d’innombrables films et romans. De ses quatre mouvements, dont un
Adagio contemplatif dans lequel on retrouve l’esprit du quatuor à cordes, le
plus illustre est évidemment le dernier, qui introduit les voix et fait retentir
« l’Ode à la joie » de Schiller : architecture grandiose, d’une subtilité dont
seule l’analyse de détail, malgré l’apparente simplicité, peut rendre compte.
C’est l’une des pages les plus décisives de l’histoire de la musique, apogée
d’une œuvre à ce point hors norme qu’elle fit définitivement craquer les cadres,
et dans laquelle Wagner voyait « la dernière des symphonies ».