Le Nom des choses

Description

Spectacle à partir de 7 ans.

Pourquoi une table s'appelle une table et pas un schling à Et si ça s'appelait un schling, ça servirait quand même à manger à Fascinée par la faculté d'étonnement des enfants, Muriel Imbach décortique le langage et explore, de manière joyeuse et poétique, le rapport entre le nom des choses et leur réalité. Formée à la philosophie avec les enfants, la metteuse en scène suisse Muriel Imbach, dont vous aviez peut-être déjà découvert le spectacle À l'envers, à l'endroit en avril 2023 au TPM, nourrit ses créations des réflexions entendues lors d'ateliers organisés dans des classes. C'est le cas dans ce spectacle, petit bijou d'inventivité. Dans un espace ludique, cinq personnages s'amusent à malaxer les mots sans réserve, à jouer avec la musicalité de la langue, à décortiquer la parole, à expérimenter selon la façon des surréalistes. Peu à peu, ce choeur malicieux fait surgir une civilisation étrange, cousine de la nôtre, où le langage se dit et se vit différemment. Le Nom des choses devient alors un poème à la fois drôle et philosophique, une ode à la langue et à l'imaginaire. Dès 7 ans.

Infos réservation :

23 avril : 14h3024 avril : 15h25 avril : 14h3026 avril : 10h / 14h3027 avril : 18h29 avril : 10h / 14h3030 avril : 10h / 14h30

Date info

Du mardi 23 avril 2024 au mardi 30 avril 2024

15h00 • 18h30 • 20h00

Tickets

Info:

Prix : De 9.00 € à 26.00 €

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Un long poème d'amour, une conversation virtuelle entre une fille et son père. Cordélia rêve : son père la convoque prestement. Il veut savoir combien elle l'aime. Elle bégaie. Il se fâche. Elle le quitte. Plus tard, elle apprend qu?il est malade. Elle part à sa recherche. Elle le retrouve dans les bois, seul, égaré. Il semble ne pas la reconnaître. Le personnage de Cordélia, en référence à la fille de Shakespeare, est déployé en une reine des temps modernes, un clown féminin libéré des carcans sociaux. Elle interpelle son père, célèbre avec lui le Théâtre qui les unit. Ça et là, on entend quelques vers tirés du Roi Lear, ainsi que la voix du père, absent du plateau, qui parle à sa fille, présente sur la scène. Les mots de Sara Llorca se conjuguent à la musique de Benoît Lugué qui chante la douceur et la rudesse qui font le jeu du duo père-fille.
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